Trahison.
Titre : Trahison.
Auteur : Azalea.
Origine : Gundam Wing.
Genre : Dramatique.
Couple : 2+6+2 et 1+2.
Résumé : Cela fait plusieurs mois que Duo se comporte étrangement. Il est de moins en moins présent et rentre à des heures tardives.
Chapitre I : Duo change de camp.
Quatre :
Depuis combien de temps n'a-t-on plus eu droit à ton humour déplacé ? Ca fait si longtemps que nous ne t'avons plus vu rire aux éclats que nous en oublions même ton sourire.
Quand reviendras-tu ? Ta présence nous manque tant.
Plus les jours passent et plus Wufei perd espoir que tu reviennes un jour.
Trowa, lui, ne baisse pas pour autant les bras. Il ne les a jamais baissé d'ailleurs.
J'admire sa façon d'être avec nous ; Malgré le fait qu'il soit solitaire, il a toujours été présent pour nous apporter son soutien quand le besoin se faisait ressentir.
Néanmoins, il reste le cas « Heero ». Certes, c'est un excellent soldat, mais on dirait que ton absence n'exprime rien pour lui.
Pourtant, au court de ces derniers mois, il a beaucoup change. . . à croire qu'il ne veut pas accepter d'être humain, il refoule le moindre sentiment. Cependant, je sais qu'il ne reste pas si indifférent qu'il veut nous le faire penser en ce qui concerne l'approche que tu as à maintes reprises voulu tenter envers lui.
Je l'ai su lorsque j'ai vu cet expression de tranquillité sur son visage à chaque fois que vous restiez ensembles lors d'une mission. C'est dans ces moment que l'on peut comprendre qu'il t'aime et que pour rien au monde il ne l'admettrait.
Seulement maintenant, tout est terminé pour lui. . . il a laissé passé sa chance.
En fin de compte, le baka c'est bien lui. Celui qui a perdu sa seule raison de vivre, sa seule raison d'exister mit à part les combats que nous menons afin d'instaurer le pacifisme dans les colonies.
Il le savait et, à chaque moment où il croisait mon chemin, je pouvais lire de l'amertume au plus profond de ses yeux, même s'il faisait tout pour ne pas le laisser paraître.
Finalement, peut être me suis-je trompé. . . sans doute est-il celui qui en souffre le plus, et à mon avis, il ne pourra plus nous le cacher encore très longtemps.
Soldat parfait ou pas, il finira par craquer.
Heero :
Je n'en ai rien dit aux autres, mais hier, je t'ai entendu rentrer.
Il devait être trois heures et demies du matin et tu avais tellement l'air fatigué, tes traits étaient tirés. Pas étonnant vu l'heure qu'il était.
Tu es passé devant moi et tu ne m'as pas adresser un regard. Avant, je pouvais apercevoir cette lueur qui brillait dans tes yeux améthystes, mais rien. . . j'étais devenu comme invisible.
Duo, je sais pourtant combien tu m'aimes, Quatre m'en a si souvent parlé. Mais moi, je ne pouvais pas comprendre ce que tu ressentais et à vrai dire je me fichais pas mal des quelques sentiments que tu avais à mon égard.
Combien de fois n'as-tu pas essayé de me parler ?
Combien de fois ne t'ai-je pas repoussé pour quelques mots que tu pensais si fort ?
Je m'en veux tant de ce que je t'ai fait, pourras-tu un jour me pardonner ?
Rien n'a jamais été très rose entre nous et je dois avouer que je t'en veux encore de m'avoir tiré dessus au paravent. C'était la première fois que je te voyais et si je ne te connaissais pas mieux, il ne me serait jamais venu à l'esprit d'imaginer que sous ton masque de tueur se cachait une personne aussi agréable.
Tu es toujours prêt à aider tes amis en cas de besoin. Tout le contraire de moi qui n'hésiterais pas à sacrifier leur vie si ça s'avérait nécessaire voir même la mienne.
Il s'en résultait malgré tout que tu avais beaucoup changé, tu ne me portais plus aucune attention.
Celui que je connaissais m'avait laissé tombé, mais pourquoi ? Est-ce trop tard pour rattraper le manque d'intérêt que je te porte ?
Je parviens à me souvenir du jour où nous nous étions retrouvés seuls. Tu avais profité d'un moment libre pour me parler.
Tu m'avais dit « Je ne sais pas vraiment ce que c'est d'aimer, mais lorsque je le saurai, je jure de vivre pour la personne qui partagera ma vie et de rester à ses côtés même au travers de la mort ».
Je n'avais pas immédiatement compris la signification de ses paroles, mais j'eu ensuite la sensation qu'il te manquait quelque chose. . .
Je repris soudain mes esprits lorsque je remarquais le message qui s'affichait sur l'écran de mon ordinateur. . . le professeur J. . . une mission.
Autant prévenir les autres tout de suite.
Je les rejoignis donc dans le salon où ils étaient tous rassemblés à l'exception, bien entendu, de Duo.
Ils m'adressèrent tout trois un regard interrogatif attendant que je justifie la raison de ma présence.
_ Nous avons une nouvelle mission. annonçais-je.
_ Les consignes ? ajouta Wufei.
_ Détruire Zechs Merquise, sa base et en conséquent ses installations. Je compte évidemment préparer le plan, nous le mettrons à exécution dans deux jours.
_ Lequel d'entre nous se chargera d'en informer Duo lorsqu'il sera rentré ?
_ Je m'en charge. Dis-je.
Je montais dans la chambre que je partageais avec l'américain depuis plus de deux mois.
Même si je ne voulais pas l'accepter, je dois bien avouer que sa présence n'était pas pour me déplaire ; C'était vrai que son humour me tapait, la plupart du temps, sur les nerfs, mais je n'avais pas réalisé à quel point celui-ci m'encourageait à continuer mes missions.
Se battre afin d'établir un pacifisme total me paraissait, jusqu'à ce que je le rencontre, ennuyeux.
Mais il s'est soudain avéré que sa joie de vivre me forçait à continuer ce que j'avais commencé. Pourquoi ? Je ne sais pas.
Malgré ces pensées, je réalisais que le travail que je tentais d'accomplir depuis plusieurs minutes sur mon ordinateur était rempli d'erreurs.
Quatre :
Lorsque Heero avait quitté la pièce, un long silence pénible s'était installé.
Cependant, Trowa n'hésita pas à l'étouffer sous sa façon de voir les choses.
_ Vous ne trouvez pas que depuis que Maxwell est moins présent, Heero se comporte étrangement.
Pour une fois qu'il parlait, nous devions nous rendre à l'évidence que ses dires étaient exacts.
Voyant Wufei choqué, je décidais d'imposer mon avis sur la question.
_ Je suis d'accord pour dire que Heero n'est pas mal déstabilisé ces temps-ci, mais je suis certain qu'il va se reprendre.
_ Sois un peu réaliste, quand crois-tu qu'il se reprendra ? Nous sommes en période de guerre et la moindre faille peut nous être fatale.
_ Je crois en lui. . .
Je fus alors surpris par l'irruption de Duo dans la pièce.
_ Salut les gars !
_ Où étais-tu ? demanda froidement Wufei.
_ Qu'est-ce que signifie cet interrogatoire ?
_ On s'inquiète juste pour toi. repris-je. Tu ne devrais pas t'absenter aussi souvent.
_ J'y crois pas, voilà qu'ils veulent me donner des conseils à présent ! Désolé de vous décevoir, mais je suis assez grand pour me débrouiller tout seul.
_ Mais Duo. . .
_ Laisse tomber, tu vois bien que ça ne sert à rien. me dit Trowa.
Effectivement, je le vis monter l'escalier en direction de la chambre, sans plus nous adresser une quelconque attention.
Heero :
Il venait d'entrer dans la chambre. Toujours en train d'élaborer un plan, je sentis mon c?ur battre la chamade. Comment sa présence pouvait-elle me mettre aussi mal à l'aise ?
_ Heero ! Qu'est-ce que tu fais encore scotché devant cet ordinateur ?
_ Parlons en justement. . .
_ En parler ? Tu plaisantes j'espère ? Depuis quand notre cher iceberg souhaite-t-il entamer la conversation ?
_ Depuis que j'ai pris connaissance de la nouvelle mission qui nous est donnée d'exécuter.
_ Une nouvelle mission. . . enfin un peu d'action !
_ Baka, tu ne sais même pas à quel danger celle-ci nous expose.
_ Expliques-toi, je suis tout ouïe.
_ Avant que tu n'arrives, j'élaborais un plan pour attaquer le Peace Million.
Je le vis soudainement pâlir avant qu'il ne répète la dernière partie de ma phrase.
_ Attaquer le Peace Million. . .
_ Hum.
_ C'est. . . c'est impossible.
Tsuzuku.
Titre : Trahison.
Auteur : Azalea.
Origine : Gundam Wing.
Genre : Dramatique.
Couple : 2+6+2 et 1+2.
Résumé : Cela fait plusieurs mois que Duo se comporte étrangement. Il est de moins en moins présent et rentre à des heures tardives.
Chapitre I : Duo change de camp.
Quatre :
Depuis combien de temps n'a-t-on plus eu droit à ton humour déplacé ? Ca fait si longtemps que nous ne t'avons plus vu rire aux éclats que nous en oublions même ton sourire.
Quand reviendras-tu ? Ta présence nous manque tant.
Plus les jours passent et plus Wufei perd espoir que tu reviennes un jour.
Trowa, lui, ne baisse pas pour autant les bras. Il ne les a jamais baissé d'ailleurs.
J'admire sa façon d'être avec nous ; Malgré le fait qu'il soit solitaire, il a toujours été présent pour nous apporter son soutien quand le besoin se faisait ressentir.
Néanmoins, il reste le cas « Heero ». Certes, c'est un excellent soldat, mais on dirait que ton absence n'exprime rien pour lui.
Pourtant, au court de ces derniers mois, il a beaucoup change. . . à croire qu'il ne veut pas accepter d'être humain, il refoule le moindre sentiment. Cependant, je sais qu'il ne reste pas si indifférent qu'il veut nous le faire penser en ce qui concerne l'approche que tu as à maintes reprises voulu tenter envers lui.
Je l'ai su lorsque j'ai vu cet expression de tranquillité sur son visage à chaque fois que vous restiez ensembles lors d'une mission. C'est dans ces moment que l'on peut comprendre qu'il t'aime et que pour rien au monde il ne l'admettrait.
Seulement maintenant, tout est terminé pour lui. . . il a laissé passé sa chance.
En fin de compte, le baka c'est bien lui. Celui qui a perdu sa seule raison de vivre, sa seule raison d'exister mit à part les combats que nous menons afin d'instaurer le pacifisme dans les colonies.
Il le savait et, à chaque moment où il croisait mon chemin, je pouvais lire de l'amertume au plus profond de ses yeux, même s'il faisait tout pour ne pas le laisser paraître.
Finalement, peut être me suis-je trompé. . . sans doute est-il celui qui en souffre le plus, et à mon avis, il ne pourra plus nous le cacher encore très longtemps.
Soldat parfait ou pas, il finira par craquer.
Heero :
Je n'en ai rien dit aux autres, mais hier, je t'ai entendu rentrer.
Il devait être trois heures et demies du matin et tu avais tellement l'air fatigué, tes traits étaient tirés. Pas étonnant vu l'heure qu'il était.
Tu es passé devant moi et tu ne m'as pas adresser un regard. Avant, je pouvais apercevoir cette lueur qui brillait dans tes yeux améthystes, mais rien. . . j'étais devenu comme invisible.
Duo, je sais pourtant combien tu m'aimes, Quatre m'en a si souvent parlé. Mais moi, je ne pouvais pas comprendre ce que tu ressentais et à vrai dire je me fichais pas mal des quelques sentiments que tu avais à mon égard.
Combien de fois n'as-tu pas essayé de me parler ?
Combien de fois ne t'ai-je pas repoussé pour quelques mots que tu pensais si fort ?
Je m'en veux tant de ce que je t'ai fait, pourras-tu un jour me pardonner ?
Rien n'a jamais été très rose entre nous et je dois avouer que je t'en veux encore de m'avoir tiré dessus au paravent. C'était la première fois que je te voyais et si je ne te connaissais pas mieux, il ne me serait jamais venu à l'esprit d'imaginer que sous ton masque de tueur se cachait une personne aussi agréable.
Tu es toujours prêt à aider tes amis en cas de besoin. Tout le contraire de moi qui n'hésiterais pas à sacrifier leur vie si ça s'avérait nécessaire voir même la mienne.
Il s'en résultait malgré tout que tu avais beaucoup changé, tu ne me portais plus aucune attention.
Celui que je connaissais m'avait laissé tombé, mais pourquoi ? Est-ce trop tard pour rattraper le manque d'intérêt que je te porte ?
Je parviens à me souvenir du jour où nous nous étions retrouvés seuls. Tu avais profité d'un moment libre pour me parler.
Tu m'avais dit « Je ne sais pas vraiment ce que c'est d'aimer, mais lorsque je le saurai, je jure de vivre pour la personne qui partagera ma vie et de rester à ses côtés même au travers de la mort ».
Je n'avais pas immédiatement compris la signification de ses paroles, mais j'eu ensuite la sensation qu'il te manquait quelque chose. . .
Je repris soudain mes esprits lorsque je remarquais le message qui s'affichait sur l'écran de mon ordinateur. . . le professeur J. . . une mission.
Autant prévenir les autres tout de suite.
Je les rejoignis donc dans le salon où ils étaient tous rassemblés à l'exception, bien entendu, de Duo.
Ils m'adressèrent tout trois un regard interrogatif attendant que je justifie la raison de ma présence.
_ Nous avons une nouvelle mission. annonçais-je.
_ Les consignes ? ajouta Wufei.
_ Détruire Zechs Merquise, sa base et en conséquent ses installations. Je compte évidemment préparer le plan, nous le mettrons à exécution dans deux jours.
_ Lequel d'entre nous se chargera d'en informer Duo lorsqu'il sera rentré ?
_ Je m'en charge. Dis-je.
Je montais dans la chambre que je partageais avec l'américain depuis plus de deux mois.
Même si je ne voulais pas l'accepter, je dois bien avouer que sa présence n'était pas pour me déplaire ; C'était vrai que son humour me tapait, la plupart du temps, sur les nerfs, mais je n'avais pas réalisé à quel point celui-ci m'encourageait à continuer mes missions.
Se battre afin d'établir un pacifisme total me paraissait, jusqu'à ce que je le rencontre, ennuyeux.
Mais il s'est soudain avéré que sa joie de vivre me forçait à continuer ce que j'avais commencé. Pourquoi ? Je ne sais pas.
Malgré ces pensées, je réalisais que le travail que je tentais d'accomplir depuis plusieurs minutes sur mon ordinateur était rempli d'erreurs.
Quatre :
Lorsque Heero avait quitté la pièce, un long silence pénible s'était installé.
Cependant, Trowa n'hésita pas à l'étouffer sous sa façon de voir les choses.
_ Vous ne trouvez pas que depuis que Maxwell est moins présent, Heero se comporte étrangement.
Pour une fois qu'il parlait, nous devions nous rendre à l'évidence que ses dires étaient exacts.
Voyant Wufei choqué, je décidais d'imposer mon avis sur la question.
_ Je suis d'accord pour dire que Heero n'est pas mal déstabilisé ces temps-ci, mais je suis certain qu'il va se reprendre.
_ Sois un peu réaliste, quand crois-tu qu'il se reprendra ? Nous sommes en période de guerre et la moindre faille peut nous être fatale.
_ Je crois en lui. . .
Je fus alors surpris par l'irruption de Duo dans la pièce.
_ Salut les gars !
_ Où étais-tu ? demanda froidement Wufei.
_ Qu'est-ce que signifie cet interrogatoire ?
_ On s'inquiète juste pour toi. repris-je. Tu ne devrais pas t'absenter aussi souvent.
_ J'y crois pas, voilà qu'ils veulent me donner des conseils à présent ! Désolé de vous décevoir, mais je suis assez grand pour me débrouiller tout seul.
_ Mais Duo. . .
_ Laisse tomber, tu vois bien que ça ne sert à rien. me dit Trowa.
Effectivement, je le vis monter l'escalier en direction de la chambre, sans plus nous adresser une quelconque attention.
Heero :
Il venait d'entrer dans la chambre. Toujours en train d'élaborer un plan, je sentis mon c?ur battre la chamade. Comment sa présence pouvait-elle me mettre aussi mal à l'aise ?
_ Heero ! Qu'est-ce que tu fais encore scotché devant cet ordinateur ?
_ Parlons en justement. . .
_ En parler ? Tu plaisantes j'espère ? Depuis quand notre cher iceberg souhaite-t-il entamer la conversation ?
_ Depuis que j'ai pris connaissance de la nouvelle mission qui nous est donnée d'exécuter.
_ Une nouvelle mission. . . enfin un peu d'action !
_ Baka, tu ne sais même pas à quel danger celle-ci nous expose.
_ Expliques-toi, je suis tout ouïe.
_ Avant que tu n'arrives, j'élaborais un plan pour attaquer le Peace Million.
Je le vis soudainement pâlir avant qu'il ne répète la dernière partie de ma phrase.
_ Attaquer le Peace Million. . .
_ Hum.
_ C'est. . . c'est impossible.
Tsuzuku.
