Bonjours à toi qui passe par là, ce n'est qu'un petit OS sans prétentieux et aussi ma première fanfiction. Je m'excuse pour les fautes restante et vous souhaite une bonne lecture ^^ (on se retrouve en bas pour les plus courageux !)

Titre : Plaintes silencieuses d'Albus S. Potter

Pairing : Un petit soupçon de ASP/SHM

Auteur : Au dernières nouvelles j'ai écrit ça toute seule ^^, à moins qu'on soit plusieurs dans ma tête ...

Disclaimer : Pour mon plus grand malheur je ne suis pas la fabuleuse J.K Rowling, je me contente donc juste d'écrire deux trois trucs sans grand intérêt, je ne suis donc pas payer pour ce que je fais (Ahh si seulement ).


Sur le célèbre quai 9 ¾ j'attendais le train, celui que je prendrais aujourd'hui chaque année , et ce pendant 7 ans. Les gens autour de moi paresse heureux, un peu trop, certains semblent plus tendu à l'idée de quitter leur famille, mais tous sont excités à l'idée de commencer une nouvelle année à Poudlard. Tous sauf moi.

Tel un automate je me force à sourire, au fond de moi je sais très bien que je ne veux pas y allé, là-bas ce sera pareil qu'ici les gens ne me verront que comme Potter et jamais en la personne de Albus. Mais après tout le prénom Albus ne m'appartient même pas de même pour Severus, je n'ai pas d'identité propre... Je ne suis personne et tant de monde en même temps, quel paradoxe.

Je vois ma mère me parler, faire semblant de m'aimer, je n'entend rien, ma tête bourdonne et mon ventre se tord sous la pression.

Je ne veux pas y aller.

Mon père tout heureux doit sûrement supposer que tel qu'il me connaît : fidèle, courageux, plein de bonne volonté, je finirais à Gryffondor.

Il ne me connaît pas.

James continue de me souffler des menace à l'oreille, décrivant ma prochaine mise à mort, ou le fait tout le monde me haïssaient au plus au point lui le premier, tout ça en utilisant un langage pour le moins original.

Essaye toujours ça ne me fait plus rien depuis bien longtemps.

Lily comme à son habitudecontinue decourir partout nous faisant son énième caprice de la journée, s'énervant de ne pas être à notre place. Le triste destin de la petite dernière pourrie gâté, chouchouté par ses parents.

Sache que je donnerais tout pour être à ta place alors n'envie pas la mienne.

Et puis moi – l'intrus la tâche de peinture le faux raccord l'enfant raté qu'on doit supporté - cherchant du regard l'issue de secours ou au moins un endroit ou disparaître, tiens disparaître ça m'était nombre de fois venue à l'esprit mais par manque de courage -pardon papa je ne serais jamais un bon Gryffondor – ou par lassitude cela ne c'est concrétisé.

Et parmi toutes ses têtes une se démarquait de toutes les autres : petit gabarie et des cheveux presque se retourne comme si il m'avait « sentit »,nos regard se croisent, d'innoncente perles grises se posent sur moi et un sourire d'une pureté rare se dessine sur son visage,les papillons dans mon ventre dansent.

Je le sens. Lui me regarde comme Albus.

Le train entre en gare et sans un regard pour mes accompagnateurs je prend ma valise et monte à la suite du petit garçon, finalement les 7 prochaines années a venir ne seront peut-être pas aussi horrible que je le pensais...


Alors ? Ca vous a plu, Oui ? Comment ça non ?!Bon je prends le risque de me répétez mais c'est ma toute toute première fanfiction je ne vous demande pas d'être indulgent au contraire acharnez-vous dites moi ce qui ne vas pas que je puisse progressée :) !

Sur ce Salutation ~

S.G