Il est des choses magnifiques. Comme une rousseur sous le soleil. Comme une rousseur sur l'autre oreiller. Comme deux iris verts – verts comme l'arbre sur lequel il grimpait à cinq ans, comme la forêt dans laquelle il s'aventurait à quinze ans, comme la verdure sur laquelle il somnolait à vingt-cinq ans. Il en avait le cœur qui s'écarquillait d'une telle beauté, celle de Lily, celle de son amour. Il n'était pas bien grand la première fois qu'il la vit, mais il avait déjà sût s'émouvoir de sa peau de nacre et de sa pensée de feu. Il se rappelle, puisque c'est tout ce qu'il lui reste. La perception de son corps s'est évanouie il y a longtemps maintenant pour mieux se consacrer au souvenir du sien. Il se rappelle de ses courbes, de ses seins et de ses hanches, puis de ses mains sur son torse et de son souffle sur sa peau, cela pour mieux oublier qu'il est mort.
Je ne sais pas trop ce que j'ai tenté d'écrire, juste que dès fois, il m'arrive quelques phases où je m'émerveille d'un personnage ou d'un couple, et la tête pleine de James Potter, je me suis retrouvée à vouloir écrire quelque chose sur lui, mais sans plus d'idées. Je voulus parler de James à-travers Sirius, pour tout vous avouer, mais voilà que je l'ai écrit à travers Lily. Puis ce 'drabble' frôle le fantastique, puisque James y techniquement mort,… Enfin, ce n'est pas quelque chose de sciemment écrit, de correctement pensé, mais au final, je l'aime bien ce petit texte. J'espère que le sentiment est partagé.
