Spoiler du tome 5.
Chapitre 1-Un été qui tourne à la catastrophe.
Durant tout le trajet dans la voiture, Harry ne dit pas un mot. Il avait réussi à garder contenance devant ses amis, devant les parents de ses amis et devant les membres de l'Ordre du Phoenix qui étaient présents avec lui à la gare et à l'école. Mais il lui était de plus en plus difficile de contenir les larmes qui ne cessaient de vouloir couler de ses yeux depuis la mort de Sirius, cette fameuse nuit, dans le Département des Mystères, au Ministère de la Magie. Il déchargea ses affaires d'école, seul, bien entendu, et les traîna mollement jusqu'à sa chambre, où l'attendait son Oncle, ce qui étonna passablement le jeune garçon. En effet, la derniere fois que son oncle était rentré dans sa chambre, c'était avant le début de sa seconde année à Poudlard.
"-Très impressionnant, ton numéro avec ces gens à la gare... Mais si tu crois que ça m'a impressionné... Au contraire, cela m'a rendu furieux... Désormais, tu écriras tes lettres sous mon commandement, et écriras seulement ce que je te dicterai. Je vais cacher ta chouette, pour que tu ne puisses rien écrire sans mon consentement..." dit le gros hommes, la veine sur sa tempe battant furieusement, ce qui était, pour ceux qui le connaissaient, une marque d'irritation sérieuse. Son visage violet était congesturé par la fureur qu'il érpouvait... Harry ne l'avait jamais vu dans cet état, même lorsqu'il avait fait gonfler la tante Marge, trois années auparavant.
Quelques secondes après, il attrapa le jeune homme, qui se débattait furieusement, et comença à lui assener des coups tous plus violents les uns que les autres. Harry eut bientôt le souffle coupé par un coup de poing magistral qui lui était arrivé juste en dessous des côtes. Il tomba ave un bruit sourd sur ses deux genoux, qui lui firent savoir sa douleur alors qu'ils touchaient le sol. L'oncle du jeune Harry Potter lui labourrait les côtes de coups de pieds. Les bouts en fer des chaussures de l'oncle Vernon n'arrangeaient rien à la douleur qu'il éprouvait, une douleur qui grandissait... Harry se surprit à penser qu'il préférait le Doloris à cela... Mais au moins il savait pourquoi ceux qui lui infligeaient le faisaient... Tandis que son oncle, Vernon Dursley... Qu'est-ce qui pouvait bien le pousser à agir comme il agissait. On entendit bientôt un craquement sinistre, signe que l'une des côtes de Harry venait finalement de céder sous les coups de son Oncle.
Le gros Moldu, visiblement satisfait de ce qu'il venait de faire, laissa le garçon à terre, en boule, position dans laquelle il s'était mis pour se protéger des coups. Après lui avoir craché à plusieurs reprises dessus, son oncle sortit enfin de la pièce, laissant Harry seul avec sa douleur. La porte claqua, et Harry put entendre le bruit d'une clef qui tournait dans la serrure. Il entendit son oncle ricanner méchemment alors qu'il descendait les escaliers, pour aller certainement s'empiffrer dans la cuisine...
Harry Potter, le Survivant, dernier espoir du monde Sorcier, n'arrivait même pas à se lever après la correction que lui avait infligé son gros Moldu d'oncle. Ce fut sur ces sombres pensées que s'endormit le jeune Sorcier. Il ne savait alors pas qu'il avait une sérieuse hemorragie... Il ne savait pas non plus que s'il ne se faisait pas soigner rapidement, elle le tuerait avant la fin de la semaine...
Le Survivant ne s'éveilla le lendemain matin que lorsque sa tante vint lui mettre plusieurs claques, les habituels hurlements n'ayant cette fois pas suffit. Ses membres meurtris par la raclée qu'il avait reçu la veille, hurlèrent leur mécontentement lorsqu'Harry, au terme de nombreux efforts, réussissait finalement à se lever. Il eut soudain une idée lumineuse.... Ne pouvant pas la mettre à l'oeuvre tout de suite, Harry descendit les escaliers en boîtant. Il se rendit dans la cuisine le plus vite qu'il put et commença à préparer le petit déjeuner pour les deux ogres qui lui servaient d'oncle et de cousin, sa tante déjeunant toujours un peu plus tôt qu'eux, pour avoir le loisir de pouvoir réveiller son neveu en hurlant, puis d'aller porter une tasse de thé fumante à son mari pour l'aider à se lever et aller couvrir son Duddykins de baisers, avant de lui laisser les 15 livres qu'il pourrait dépenser dans la journée. Quand il pénétra dans la pièce, il put voir le regard satisfait que son oncle avait posé sur lui, et plus précisément sur les hématomes qu'il lui avait fait la veille au soir. La tante Pétunia adopta un air indifferent, tandis que son gros porc de cousin le regardait avec amusement. Il prépara donc le petit déjeuner, puis remonta directement dans sa chambre, prétextant un mal de ventre attroce qui lui otait toute envie de manger. Cela était bien entendu faux, son ventre criait famine, mais Harry voulait réaliser son plan au plus tôt. Il alla rapidement dans sa chambre, s'assit au meuble à moitié défoncé par une masse que Dudley avait eu pour l'un de ses anniversaires qui lui servait de bureau, prit une plûme et un encrier dans sa valise, ainsi qu'un morceau de parchemin dans sa valise. L'encre qu'il avait prise était cependant très particulière. Il s'agissait en effet d'une encre invisible, qui avait pour propriété de se réveler dès que la personne à qui avait été adressée la lettre la lise.
IL écrivit donc, au bas de son parchemin, un rapide mot, et rangea ses affaires pêle-mêle dans sa valise, alors qu'il entendait le pas lourd de son oncle dans l'escalier. Il alla s'alonger rapidement sur son lit, puis, quelques secondes plus tard, son oncle ouvrait sa porte d'un grand coup de pied, l'attrapait par le col et le faisait s'asseoir à son bureau, lui demandant d'écrire une lettre aux gens qu'il avait rencontré, à son plus grand déplaisir, à la gare. L'adolescent ouvrit donc sa malle, prit le parchemin sur lequel il avait écrit à l'encre invisible, puis se munit d'un encrier normal et de sa magnifique plume d'aigle. Il écrivit donc le message que lui avait dicté son oncle, de sa belle écriture ronde, puis signa simplement, comme il avait l'habitude de le faire. Il avait adressé le message à Tonks, une jeune Aurore( je le précise au cas où certains n'auraient pas compris que cette fic était une suite éventuelle au Tome 5 de la grande J.K Rowlings, une femme qui force mon admiration, ceci soit dit en passant.) qui faisait, malgré son jeune âge de 21 ans, partie de l'Ordre du Phénix. La jeune Nymphadora Tonks avait gagné la sympathie d'Harry l'année passée, alors qu'il était encore chez les Dursley et que les membres de l'Ordre étaient venus le chercher, ou encore alors qu'ils étaient au QG de l'Ordre du Phénix. Voyant qu'Harry avait signé, l'oncle de ce dernier partit rapidement, puis revint avec la chouette blanche comme neige de Harry. Le jeune sorcier attacha la lettre à la patte de sa chouette et lui murmura à l'oreille :
"Au 12, Grimmauld Place, dépêche toi et donne la lettre à Tonks, elle aura sûrement une coiffure bizarre. Vas maintenant."
Son oncle ne l'avait pas entendu mais, une fois que le volatile fut partit, il reçut une nouvelle raclée, qui aurait pu rendre celle de la veille au soir presque risible. Harry s'en sortit cette fois avec un poignet cassé(le gauche, pour qu'il puisse continuer à écrire) et 4 nouvelles côtes cassées. Son hémorragie se trouva elle aussi agravée.
"Pourvu qu'elle comprenne", se dit Harry avant de s'évanouir, une fois que son oncle eut été parti...
E voilà le premier chapitre de ma deuxième fic est sorti, je vais maintenant écrire un chapitre de chaque fic en alternance, le prochain chapitre sera donc sur "Harry Potter et la revanche de Voldemort"... Je remercie en passant tous les gentils reviewers qui ont reviewé suite à mon petit mot.
Reviewez pour cette fic aussi SVP, même si ce n'est pas long, ou si c'est des critiques, ça fait toujours plaisir de voir que des gens s'interressent à votre fic. Je chercher aussi un titre pour cette fic, mais pour l'instant, ca restera " Spoiler du Tome 5". Je n'ai pas de titre car je ne sais pas comment va évoluer cette fic. Pour l'instant, je n'ai écrit que 3 chapitres au brouillon, et j'ai enfin fini d'écrire "Harry Potter et la Revanche de Voldemort", mais toujours au brouillon. Vous savez ce que vous avez à faire pour que je continue de publier ms chapitres. A bon entendeur salut. ThTomeWriter.
Chapitre 1-Un été qui tourne à la catastrophe.
Durant tout le trajet dans la voiture, Harry ne dit pas un mot. Il avait réussi à garder contenance devant ses amis, devant les parents de ses amis et devant les membres de l'Ordre du Phoenix qui étaient présents avec lui à la gare et à l'école. Mais il lui était de plus en plus difficile de contenir les larmes qui ne cessaient de vouloir couler de ses yeux depuis la mort de Sirius, cette fameuse nuit, dans le Département des Mystères, au Ministère de la Magie. Il déchargea ses affaires d'école, seul, bien entendu, et les traîna mollement jusqu'à sa chambre, où l'attendait son Oncle, ce qui étonna passablement le jeune garçon. En effet, la derniere fois que son oncle était rentré dans sa chambre, c'était avant le début de sa seconde année à Poudlard.
"-Très impressionnant, ton numéro avec ces gens à la gare... Mais si tu crois que ça m'a impressionné... Au contraire, cela m'a rendu furieux... Désormais, tu écriras tes lettres sous mon commandement, et écriras seulement ce que je te dicterai. Je vais cacher ta chouette, pour que tu ne puisses rien écrire sans mon consentement..." dit le gros hommes, la veine sur sa tempe battant furieusement, ce qui était, pour ceux qui le connaissaient, une marque d'irritation sérieuse. Son visage violet était congesturé par la fureur qu'il érpouvait... Harry ne l'avait jamais vu dans cet état, même lorsqu'il avait fait gonfler la tante Marge, trois années auparavant.
Quelques secondes après, il attrapa le jeune homme, qui se débattait furieusement, et comença à lui assener des coups tous plus violents les uns que les autres. Harry eut bientôt le souffle coupé par un coup de poing magistral qui lui était arrivé juste en dessous des côtes. Il tomba ave un bruit sourd sur ses deux genoux, qui lui firent savoir sa douleur alors qu'ils touchaient le sol. L'oncle du jeune Harry Potter lui labourrait les côtes de coups de pieds. Les bouts en fer des chaussures de l'oncle Vernon n'arrangeaient rien à la douleur qu'il éprouvait, une douleur qui grandissait... Harry se surprit à penser qu'il préférait le Doloris à cela... Mais au moins il savait pourquoi ceux qui lui infligeaient le faisaient... Tandis que son oncle, Vernon Dursley... Qu'est-ce qui pouvait bien le pousser à agir comme il agissait. On entendit bientôt un craquement sinistre, signe que l'une des côtes de Harry venait finalement de céder sous les coups de son Oncle.
Le gros Moldu, visiblement satisfait de ce qu'il venait de faire, laissa le garçon à terre, en boule, position dans laquelle il s'était mis pour se protéger des coups. Après lui avoir craché à plusieurs reprises dessus, son oncle sortit enfin de la pièce, laissant Harry seul avec sa douleur. La porte claqua, et Harry put entendre le bruit d'une clef qui tournait dans la serrure. Il entendit son oncle ricanner méchemment alors qu'il descendait les escaliers, pour aller certainement s'empiffrer dans la cuisine...
Harry Potter, le Survivant, dernier espoir du monde Sorcier, n'arrivait même pas à se lever après la correction que lui avait infligé son gros Moldu d'oncle. Ce fut sur ces sombres pensées que s'endormit le jeune Sorcier. Il ne savait alors pas qu'il avait une sérieuse hemorragie... Il ne savait pas non plus que s'il ne se faisait pas soigner rapidement, elle le tuerait avant la fin de la semaine...
Le Survivant ne s'éveilla le lendemain matin que lorsque sa tante vint lui mettre plusieurs claques, les habituels hurlements n'ayant cette fois pas suffit. Ses membres meurtris par la raclée qu'il avait reçu la veille, hurlèrent leur mécontentement lorsqu'Harry, au terme de nombreux efforts, réussissait finalement à se lever. Il eut soudain une idée lumineuse.... Ne pouvant pas la mettre à l'oeuvre tout de suite, Harry descendit les escaliers en boîtant. Il se rendit dans la cuisine le plus vite qu'il put et commença à préparer le petit déjeuner pour les deux ogres qui lui servaient d'oncle et de cousin, sa tante déjeunant toujours un peu plus tôt qu'eux, pour avoir le loisir de pouvoir réveiller son neveu en hurlant, puis d'aller porter une tasse de thé fumante à son mari pour l'aider à se lever et aller couvrir son Duddykins de baisers, avant de lui laisser les 15 livres qu'il pourrait dépenser dans la journée. Quand il pénétra dans la pièce, il put voir le regard satisfait que son oncle avait posé sur lui, et plus précisément sur les hématomes qu'il lui avait fait la veille au soir. La tante Pétunia adopta un air indifferent, tandis que son gros porc de cousin le regardait avec amusement. Il prépara donc le petit déjeuner, puis remonta directement dans sa chambre, prétextant un mal de ventre attroce qui lui otait toute envie de manger. Cela était bien entendu faux, son ventre criait famine, mais Harry voulait réaliser son plan au plus tôt. Il alla rapidement dans sa chambre, s'assit au meuble à moitié défoncé par une masse que Dudley avait eu pour l'un de ses anniversaires qui lui servait de bureau, prit une plûme et un encrier dans sa valise, ainsi qu'un morceau de parchemin dans sa valise. L'encre qu'il avait prise était cependant très particulière. Il s'agissait en effet d'une encre invisible, qui avait pour propriété de se réveler dès que la personne à qui avait été adressée la lettre la lise.
IL écrivit donc, au bas de son parchemin, un rapide mot, et rangea ses affaires pêle-mêle dans sa valise, alors qu'il entendait le pas lourd de son oncle dans l'escalier. Il alla s'alonger rapidement sur son lit, puis, quelques secondes plus tard, son oncle ouvrait sa porte d'un grand coup de pied, l'attrapait par le col et le faisait s'asseoir à son bureau, lui demandant d'écrire une lettre aux gens qu'il avait rencontré, à son plus grand déplaisir, à la gare. L'adolescent ouvrit donc sa malle, prit le parchemin sur lequel il avait écrit à l'encre invisible, puis se munit d'un encrier normal et de sa magnifique plume d'aigle. Il écrivit donc le message que lui avait dicté son oncle, de sa belle écriture ronde, puis signa simplement, comme il avait l'habitude de le faire. Il avait adressé le message à Tonks, une jeune Aurore( je le précise au cas où certains n'auraient pas compris que cette fic était une suite éventuelle au Tome 5 de la grande J.K Rowlings, une femme qui force mon admiration, ceci soit dit en passant.) qui faisait, malgré son jeune âge de 21 ans, partie de l'Ordre du Phénix. La jeune Nymphadora Tonks avait gagné la sympathie d'Harry l'année passée, alors qu'il était encore chez les Dursley et que les membres de l'Ordre étaient venus le chercher, ou encore alors qu'ils étaient au QG de l'Ordre du Phénix. Voyant qu'Harry avait signé, l'oncle de ce dernier partit rapidement, puis revint avec la chouette blanche comme neige de Harry. Le jeune sorcier attacha la lettre à la patte de sa chouette et lui murmura à l'oreille :
"Au 12, Grimmauld Place, dépêche toi et donne la lettre à Tonks, elle aura sûrement une coiffure bizarre. Vas maintenant."
Son oncle ne l'avait pas entendu mais, une fois que le volatile fut partit, il reçut une nouvelle raclée, qui aurait pu rendre celle de la veille au soir presque risible. Harry s'en sortit cette fois avec un poignet cassé(le gauche, pour qu'il puisse continuer à écrire) et 4 nouvelles côtes cassées. Son hémorragie se trouva elle aussi agravée.
"Pourvu qu'elle comprenne", se dit Harry avant de s'évanouir, une fois que son oncle eut été parti...
E voilà le premier chapitre de ma deuxième fic est sorti, je vais maintenant écrire un chapitre de chaque fic en alternance, le prochain chapitre sera donc sur "Harry Potter et la revanche de Voldemort"... Je remercie en passant tous les gentils reviewers qui ont reviewé suite à mon petit mot.
Reviewez pour cette fic aussi SVP, même si ce n'est pas long, ou si c'est des critiques, ça fait toujours plaisir de voir que des gens s'interressent à votre fic. Je chercher aussi un titre pour cette fic, mais pour l'instant, ca restera " Spoiler du Tome 5". Je n'ai pas de titre car je ne sais pas comment va évoluer cette fic. Pour l'instant, je n'ai écrit que 3 chapitres au brouillon, et j'ai enfin fini d'écrire "Harry Potter et la Revanche de Voldemort", mais toujours au brouillon. Vous savez ce que vous avez à faire pour que je continue de publier ms chapitres. A bon entendeur salut. ThTomeWriter.
