Bonjour bonjour ! Me revoila avec ma nouvelle fic ! Je publie le rpologue aujourd'hui, mais le chapitre 2 arrivera pas avant le 5... Je verrais en fait ! lol Un immense merci à ma Beta Phika17 ! En esperant que ça vous plaise !
Nom : Edward Cullen
Age : 17 ans
Famille : Emancipé depuis trois semaines.
Voilà comment me qualifier en trois points, que je vais clarifier. Vous l'avez tous compris, je m'appelle Edward Cullen, vous connaissez forcément mon père, le grand chirurgien, mais un égoïste qui n'écoute pas le dernier de ses enfants. Depuis ma naissance, il s'est toujours dit que le dernier de ses enfants travaillerait dans la médecine, comme lui. Chirurgien à ses côtés, il imaginait plein de scénarios déments. Mais, je vouais une passion sans faille au piano, à la musique. Mon rêve : devenir pianiste, ou prof de piano, ou compositeur de musique de film. Mais, en tout cas, mon domaine, c'était la musique.
Il racontait, à qui voulait l'entendre, qu'à la fin de mes études, j'irai en fac de médecine. Pourtant je lui répétais chaque jour que je voulais être musicien. Mais il faisait la sourde oreille. Mon prof de piano avait décelé mon talent, et ma mère, mon frère et ma sœur étaient ébahis quand une note sortait de mon instrument.
Un jour, il a fallu que tout explose chez les merveilleux Cullen. Mon père avait organisé un repas avec le chef de l'hôpital et sa femme, et avait invité mon frère Emmett, 23 ans, qui faisait des stages pour faire entraineur de football américain, et ma sœur Alice, 21 ans, étudiant pour travailler comme créatrice de couverture de livres. Ils vivaient tous deux à Seattle.
FLASHBACK
Le chef de la clinque est assis en face de moi, se tenant à coté de sa femme. Il me pose une question simple, à laquelle tout adolescent peut répondre :
- Que vas-tu faire plus tard Edward ? Mon père a répondu à ma place.
- Il travaillera pour vous, monsieur, avec un grand sourire. A ce moment-là, j'explose. Ca fait trop longtemps. Trop longtemps que mon père donne son avis sans écouter le mien, trop longtemps qu'il vit dans un rêve éveillé. Mais il est temps qu'il redescende sur terre. Je me lève et je regarde mon père droit dans les yeux.
- NON PAPA ! JE NE FERAIS JAMAIS COMME TOI PUTAIN. QUAND VAS-TU COMPRENDRE ? JE VEUX ETRE MUSICIEN. MUSICIEN ! Et, devant tout le monde, il me gifla. Une gifle douloureuse, pas dans le sens physique mais au sens psychologique. Mon propre père m'oblige à suivre une carrière qui me répugne. Personne n'ose parler autour de la table, et j'espère que son patron et sa femme on put voir le VRAI Carlisle Cullen.
Je suis allé dans ma chambre, mon frère et ma sœur m'ont rejoint, et pour me soutenir face à mon père, ils sont restés dans la chambre, avec moi. Allongé sur mon lit.
FIN DU FLASHBACK
Le lendemain, il me supprimait ma raison de vivre : mes cours de piano.
Mon prof, plus que déterminé, m'envoyait des partitions par mail, et je m'entrainais quand il n'était pas là. Ma mère me couvrait, m'enregistrait, me filmait pour que j'envoie au prof et qu'il juge ma technique.
Deux mois plus tard, il m'annonça que ma seule chance de faire musicien était de me présenter au concours d'entrée du conservatoire, dans la section des jeunes de 17 ans. Les auditions se déroulaient dans quinze jours, et, si je n'y allais pas, le prof ne croyait plus en rien. Je me concertais avec ma mère, mon frère et ma sœur. Ils étaient tous d'accord pour dire que je perdrais une chance incroyable. Je me suis inscrit. Tout le monde me couvrait pour que j'aille passer ce concours. Emmett annonça à mon père qu'il m'invitait à Seattle pour prendre l'air. Il accepta.
Quand mes doigts touchèrent les touches du piano, je regardai ma partition. Il fallait une composition classique, une autre moderne et une courte invention. Je connaissais chaque pièce par cœur, je m'autorisais donc quelques coups d'œil au jury. Ils avaient l'air ébahis. Mon prof m'annonça que j'avais presque gagné ma place ici.
Trois semaines plus tard, je trouvais dans ma boite aux lettres un dossier d'inscription pour mon rêve. Je montrais la lettre à mon père. Il ne dit rien, se dirigea dans sa chambre et me tendit un formulaire. En gras était écrit : DEMANDE D'EMANCIPATION. Déjà signé de son nom.
- Je ne veux pas d'un fils qui ne respecte pas ses parents. Et il était parti. Il avait signé en bas. Ne manquait plus que ma signature et celle de ma mère. Je pris le stylo et marquai mon nom. Ma mère hésita puis :
- Je fais ça pour que tu sois libre, et que tu vives ton rêve. Je t'aiderais du mieux que je peux, tu resteras toujours mon fils, Edward. Et elle signa.
Le soir au diner, mon père regarda le formulaire. Il fut content en voyant que tout le monde avait signé.
- Je te laisse jusqu'à ton entrée dans ton 'école' pour dégager d'ici. Pas d'argent de notre part, et pour vivre, te loger et payer ton 'rêve' tu te démerdes.
Hier, ma mère et ma sœur m'avaient aidé à plier bagages. Ma mère pleurait à chaudes larmes, mais je la rassurais. Elle me donna aussi 20 000 $ en liquide pour que je puisse vivre un peu, avant de me trouver un job, en dehors des cours.
Ma sœur prit une partie de mes bagages et je la suivis en voiture jusqu'à Seattle. Elle m'hébergerait pendant un moment.
Aujourd'hui, après m'être perdu plusieurs fois dans le métro, j'arrivais enfin vers mon rêve. Le conservatoire. Lieu où les plus grand sont passés. Je passais les doubles portes. Je me sentais dans un rêve, j'entendais de la musique magnifique. Tout était tellement beau que je n'osais pas toucher. Je suivis les panneaux indiquant la salle de réunion. Nous devions etre une trentaine à l'intérieur. Je me mis dans un coin et regardai autour de moi. Je pus apercevoir une chevelure brune en pagaille. Sa chevelure. Mon visage se colora et je me mis à penser à elle.
Je vais vous expliquer ce qui ce passe…
