Titre : Éclairman

Auteur : Baleeven

Disclaimer : Bien entendu, je ne suis en rien l'auteur d'Harry Potter ! Tout appartient à la formidable JK Rowling. Par contre, il y aura sûrement par la suite des personnages inventés (de mon crû donc pas touche ^^) et l'histoire m'appartient ! Je ne gagne pas d'argent à publier cette fanfiction ! vos reviews seraient mon seul salaire ) !

Avertissement !: Cette fic est classée M avant tout pour son contenu qui pourrait heurter –psychologiquement parlant- quelques âmes sensible, je vous préviens donc chers lecteurs, qu'il y aura présence dans les premiers chapitres de violence sur enfant.

Note d'auteur : Bienvenue pour ce premier chapitre d'Eclairman ! Je tiens à préciser que c'est ma première fic, de ce fait je ne vous demande pas seulement d'être indulgents (un peu quand même ^^) mais aussi de me faire part de vos critiques qui m'aideront à m'améliorer. Je serai très heureuse de lire votre avis ), en espérant que ça vous plaise,

Bonne lecture !

Chapitre Premier : Avertissement.

_Garçon ! As-tu terminé la vaisselle ?

_Oui, oncle Vernon.

_Viens ici dans ce cas. Pétunia et moi avons quelque chose à te dire.

_D'accord, répondis le petit garçon -qui ne semblait pas avoir plus de 4-5ans- en descendant du petit tabouret en plastique sur lequel il était perché pour faire sa corvée.

Il s'essuya ensuite consciencieusement les mains dans la serviette accrochée à cet effet avant de se diriger vers le salon d'un pas étrangement maladroit.

Il s'arrêta automatiquement sur le seuil de la porte, l'air incertain.

Maigre et petit, il ne semblait pas manger beaucoup. Ses cheveux sales, normalement d'un noir d'ébène lui arrivaient au niveau des épaules.

Ses grands yeux verts étaient cachés derrière d'immenses lunettes qui lui mangeaient tout le visage. Celles-ci ne semblaient tenir que grâce à la grande quantité de scotch qui les entourait. C'est un miracle en soit qu'il puisse ne serait-ce que voir à travers elles cars étaient en si mauvais état que cela aurait été étonnant si il voyait mieux avec que sans.

Mais ce n'est pas cela qui semblait l'ennuyer pour l'instant.

Le jeune garçon regardait autour de lui, mordant nerveusement sa lèvre inférieure gercée, l'air d'attendre quelque chose.

_Approche, ordonna tante Pétunia de sa voix perçante.

L'enfant obéit et dodelina doucement pour s'arrêter devant elle.

_Tu te souviens de Marge ? aboya l'oncle Vernon.

Le petit garçon acquiesça lentement, retenant difficilement un frisson.

Oh oui, il se souvenait de la tante Marge… et de ses horribles chiens. Il ne savait plus lesquels des deux lui faisaient le plus peur.

_Bien, commença Vernon satisfait, elle va passer quelques jours ici en vue des fêtes de Pacques. Et je dois m'assurer que tu te conduiras convenablement en sa présence. N'est-ce pas, mon garçon ?

_Oui, oncle Vernon acquiesça l'enfant avec force dans une innocence attendrissante.

_Elle viendra dans environ un mois, une semaine avant les fêtes, te voila prévenu. Et elle restera pour une durée encore indéterminée.

_En attendant, continua la tante Pétunia, tu m'aideras. Je veux que tout soit parfait pour la fête et que Marge se sente comme chez elle et n'ait à se plaindre de rien, menaça-t-elle, les yeux plissés.

_Et surtout pas de choses bizarres, souligna son époux, la moustache frémissante d'indignation à cette simple idée. Bien. Pétunia t'a préparé une liste de corvées à terminer pour l'arrivée de Marge en plus bien sur, du reste de tes corvées habituelles. Tu as compris ?

L'enfant hocha la tête avec hésitation essayant de tout mémoriser.

_Très bien, se détendis son oncle, à présent je dois aller travailler.

_Pourquoi ? s'étonna sa femme d'une voix suraigüe en remarquant qu'en effet son mari portait déjà son costume. On est dimanche ! ajouta-t-elle en prenant une gorgée de son jus de fruit.

_C'est vrai, mais aujourd'hui, nous recevons un nouveau modèle de perceuse très performant –tu sais Pétunia chérie, je t'en ai parlé avant-hier - et en tant que nouveau vice président de l'entreprise je me dois d'être là pour accueillir cette petite merveille qui vaut pas moins de quelques centaines de Livres Sterling. Expliqua fièrement Vernon en bombant le torse, sa moustache se soulevant de plaisir tandis que sa femme l'applaudissait avec enthousiasme pour sa nouvelle promotion.

_Cela tombe merveilleusement, s'exclama joyeusement son épouse. Marge sera si contente de l'apprendre ! Bonne journée mon chéri ajouta t elle alors que son mari quittait le domicile. Que fais-tu encore ici toi ? fit-elle en se tournant vers le petit garçon dont les deux adultes semblaient avoir oublié la présence.

_Je…je…tu… tu as dis que tu allais me…m'apporter des… des corvées. Bredouilla l'enfant.

_Tu parles si mal, grimaça Pétunia l'air dégouté. On dit : tu as dis que tu avais des corvées à me confier.

Le petit garçon hocha positivement la tête.

Un léger silence plus tard, Pétunia soupira, agacée.

_Répète idiot, ordonna t elle.

_Je…je…

_Sans bégayer, ajoute t elle de plus en plus exaspérée.

Harry s'en voulait d'user de sa patience ainsi.

Il déglutit profondément.

_Je… tu…tu as dit que…que…que…oh, tante Pétunia, je me rappel' plus ! sanglota le petit garçon en cachant son visage rougi de ses petites mains.

_Idiot, lui répéta la dite tante pas le moins du monde attendrie, en le poussant vers la cuisine.

_Je suis désolé. Pleura le garçon.

_Je n'en ai rien à faire de tes pitoyables excuses, répliqua distraitement la femme en fouillant dans la corbeille en papier posée sur la table brillante de propreté.

_Suis désolé, répéta le petit en la suivant de près sans oser la toucher, j'te jure tante Pétuna. Tu…tu veux que je t'aide ? souffla t il avec espoir.

_NON ! cria sa tante de plus en plus énervée en se tournant vers lui. Éloigne-toi de moi, immonde vermine.

Puis devant son manque de réaction elle hurla : TOUT DE SUITE !

L'enfant fit un bond en arrière se blessant légèrement quand son petit corps rencontra avec violence l'un des tiroirs du petit buffet où étaient fièrement entreposées une dizaine d'assiettes en porcelaines et de couverts en argent.

Il aura surement un bleu demain matin.

_Tu ne sers vraiment à rien dans cette maison ! continua sa tante, impitoyable. Je me demande tous les jours pour quelles raisons je n'ai pas écouté mon Vernon quand il m'affirmait que l'on ferait mieux de te jeter dans un orphelinat. Et dans ces moments là, tu sais ce que je me dis ? Mais non Pétunia, aussi monstrueux qu'il soit, il est quand même le fils de ta sœur. Une sœur indigne pour laquelle je ne mérite pas de me sacrifier en élevant un vermisseau tel que toi, oui ! Mais j'ai pensé que tu m'aideras tout naturellement en échange de notre hospitalité. Mais finalement tu ne m'ais d'aucune utilité ! Juste un poids pour nous tous, toujours à demander plus, jamais satisfait. Tu n'es qu'un égoïste ! Vas donc plutôt t'enfermer dans ton placard, ça nous fera des vacances.

_Oui, tante Pétunia, sanglota l'enfant, mais… mais…et…et les cor…les corvées ?

_Cesse immédiatement ces borborygmes ! s'écria Pétunia en le frappant avec le premier objet à porté de main qui se révéla être une cuillère en bois particulièrement longue. Tu es si exaspérant !

_Pardon, fit à nouveau le petit garçon, les yeux à nouveau remplis de larmes contenues. Je vais aller dans le placard, j'te dérangerai plus tante Pétuna, Promis.

_C'est ça, je viendrai fermer à clé. Tu resteras là bas jusqu'à demain matin. Annonça t elle. Tu es privé de déjeuner, je te ramènerai un peu de nourriture ce soir si tu te tiens tranquille et si Vernon est toujours de bonne humeur après que je lui ai raconté que tu as encore commis une de tes monstruosités.

Et devant le regard incrédule du garçon, elle ajouta, furieuse : je sais que c'est toi petit paresseux. Inutile de nier comme tu le fais à chaque fois. Tu sais très bien que cela ne nous met que plus en colère. Tu ne voulais pas faire tes corvées alors tu as simplement fait disparaître la liste avec ta…ta bizarrerie. Cria t elle finalement.

L'enfant pâlit brusquement.

_Non, j'te jure ma tante…

_Ne mens pas, je sais bien que c'est toi, imbécile. Qui d'autre ?

Qui d'autre était une question qui se posait souvent dans le foyer Dursley. Qui d'autre à part Lui, le garçon responsable de tous leurs maux ? Lui le sale petit menteur égoïste, le monstrueusement anormal gamin, 6 ans à peine et déjà considéré comme enfant à problèmes dans tout le voisinage. Ce pauvre petit orphelin déséquilibré dont les parents guère mieux, étaient de profondes raclures comme le disait souvent l'oncle Vernon. Un père alcoolique qui aurait tué son épouse (une pauvre idiote qui s'était fait stupidement engrossé et qui se retrouvais mariée et enceinte à seulement 18ans) et failli mettre fin aux jours de son nouveau né dans un accident de voiture où il était, ivre mort, le conducteur de l'automobile. Une horrible Peugeot 203 disait son oncle à qui voulait l'entendre quand on le questionnait sur le petit garçon qu'il accueillait si gentiment sous son toit. Une Peugeot de voyou, rouge peinte de flammes et de symboles sataniques avait il ajouté à l'attention du riche père d'un des camarades de classe de Dudley et qui se révélait également être son actuel supérieur, un certain Polkiss.

_Non… s'il te plaît, tante Pétuna… ne dis rien à oncle Vernon… je… je te promets d'être sage et de faire pleins, pleins de corvées… s'il te plaît…

_Bien sur que je lui dirais petit pouilleux. Ne crois pas t'en sortir si facilement. Maintenant vas-t en dans ton placard ou j'irai t'y enfermer moi-même.

Le petit garçon alla dans sa « chambre » le plus rapidement que le pouvaient ses petites jambes déjà meurtries. Et après avoir doucement claqué la porte, il s'y adossa en haletant, les larmes coulant librement sur ses joues, les irritants.

Oncle Vernon…Non pas encore… Il allait être tellement furieux ! Il était sur de n'avoir rien fais cette fois pourtant !

Comme toutes les autres fois d'ailleurs. Souffla une voix qu'il ne percevait pas.

Mais si tante Pétunia disait qu'il était le responsable, c'est que c'était vrai. La tante Pétunia et l'oncle Vernon ont toujours raison après tout. Ils étaient si gentils de l'accueillir chez eux, et comment il les remerciait ? Ce n'était surement pas en étant un si mauvais garçon qu'il risquait de leur plaire ! Dès aujourd'hui, il redoublerait d'efforts, surtout pour la préparation des fêtes.

Mais il n'était qu'un anormal et doutait de parvenir à les faire l'aimer. Il était un monstre après tout et il était connu que les monstres font des tas de bêtises. Et il ne dérogeait malheureusement pas à cette règle monstrueuse car des bêtises, il en faisait tout le temps et c'était bien pour cela qu'il était toujours puni, que Dudley avait toujours une plus grande portion que la sienne, une plus grande chambre, de nouveaux vêtements, des contes pour les gentils enfants, des jouets et des jeux vidéo, ainsi qu'une chaise pour manger à table !

Le jour où il se conduirait en bon garçon et arrêterait de faire de vilaines actions, lui aussi aurait tout ça. C'est tante Pétunia qui le lui avait dit en le tapant avec la poêle, alors qu'il se plaignait de Dud'.

Il entendit d'ailleurs ce dernier descendre l'escalier qui surplombait le placard d'un pas lourd et gémissant.

_Maman ! pleurnicha son cousin en pénétrant dans la cuisine. J'ai faim !

_C'est prêt mon chéri. Assieds toi.

Il pouvait presque entendre Dudley engloutir ses céréales tant il imaginait la scène du fond de son placard, dans le noir le plus total.

_Maman ! hurla de nouveau Dudley. Maman, où est Harry ? J'm'ennuie !

Le dit Harry eu un pincement au cœur en entendant son cousin le demander. Il était rare que l'on requière sa présence. A part pour les corvées. Ou pour les punitions.

Mais Dud', ce bon Dud' pensait à lui ! Comme s'était gentil de sa part ! Peut être qu'il l'aimait bien finalement !

Ils pourraient jouer ensembles, partager des secrets et inventer des mondes imaginaires comme celui du dessein animé préféré du Dudley dont il arrivait parfois à interpréter les sons de son placard.

Car oui les méchants et vilains monstres n'ont pas le droit de regarder la télé.

Le petit Harry bondissait de joie tant il était content.

Enfin sautillait serait plus juste. Harry avait bien trop peur de faire du bruit et de briser ce rêve en milles morceaux.

_Voyons, Duddy ! s'exclama sa tante de la cuisine. Qu'est ce qui te prend tout à coup mon bébé ? Depuis quand as-tu besoin de lui pour t'amuser ? Ton nouveau jeu ne te plaît pas ?

_Humm, ronchonna son fils, j'ai pas compris comment 'faut faire pour attaper les Pokémons. Je perds tout le temps !

_Oh tu es si adorable mon poussin ! s'extasia Pétunia. Ça ne fait rien mon chéri. Quand papa reviendra du travail, je suis sure qu'il voudra bien t'expliquer comment attraper les Pokémons.

_Non, j'aime pas ! hurla son fils. Il est nul ce jeu ! N'y a même pas de supers pirates et d'extra-terrestres, d'abord !

_Très bien, déclara Pétunia d'une voix douce. Nous irons en acheter un autre dès que possible, mon bébé. Mais je suis certaine, mon canard, que le jeu te paraitra beaucoup plus amusant quand papa te l'expliquera…

_J'ai dis non ! cria le gamin. Je veux Harry ! je veux jouer au karaté ! c'est trop cool comme dans Jackie Chan, il est super fort ! Je veux être un karatéka et je vais m'entrainer sur Harry et je serai trop fort comme les chasseurs de monstres et des sorcières ! Et Harry, je l'éliminerai, haha !

Harry devint encore plus pâle que ce qu'il était déjà, il ne savait pas ce qui le faisait le plus peur. Que Dud' le déteste finalement et veuille l'éliminer ou qu'il ait prononcé l'un des mots interdits. Est-ce que Dudley va être puni ? Est-ce que lui aussi, on va le mettre dans un placard jusqu'à ce que l'oncle Vernon rentre du travail pour les corriger ? Est-ce que lui aussi, il aurait plus le droit de regarder la télévision ?

La voix qu'il devinait tremblante de Pétunia interrompit ses pensées : La magie n'existe pas mon cœur. Ni les sorciers, ni les magiciens ou quoi que ce soit d'aussi farfelu. Il n'y a que les monstres comme ton cousin qui font des monstruosités et des bêtises sans arrêt. Et les gentils garçons comme mon petit Dudlychou ne doivent pas fréquenter des fripouilles comme lui…

_Je veux Harry, l'interrompit Dudley d'une voix impérieuse. TOUT DE SUITE ! ajouta-t-il après un court silence.

Harry entendit tante Pétunia soupirer imperceptiblement en s'arrêtant devant son placard. Elle l'ouvrit à la volée et se retrouva devant le petit garçon aux yeux verts.

_Sors d'ici, lance-t-elle sèchement.

_Non, souffla Harry en reculant, il va faire mal. Je veux pas.

_Ce n'est pas toi qui décide, cracha la femme en l'empoignant par le col de son pull d'infortune.

Elle le poussa vers l'arrière jardin, en passant par la porte de la cuisine, où l'attendait son cousin le sourire jusqu'aux oreilles.

Puis elle s'en alla, retourner à ses fourneaux, les laissant seuls, finir le repas avant d'aller acheter ce qui lui manquait pour faire « une bonne salade de fruits ».

Harry avança et s'arrêta timidement devant Dudley. Il attendit, les yeux obstinément baissés vers le sol. Pas longtemps hélas, car un poing s'abattait déjà sur son ventre. Suivi d'un deuxième. Puis d'un autre. Jusqu'à ce que le petit Harry, le souffle coupé par la douleur ne s'écroule au sol en tenant fermement son estomac d'une main et d'une autre protégeant sa tête tandis que les coups de pied rejoignaient les droites que lui donnait allègrement son cousin.

_Alors ? demanda celui-ci. Suis doué ou pas ? Suis fort ou pas, hein ? Réponds !

_Oui, Dud'. T'es le plus fort. Cria Harry alors que son cousin lui tirait les cheveux méchamment.

_Je sais ! grogna Dudley, l'air furieux. Mais Boris, il dit que je serai jamais aussi trop fort que lui ! Alors bah que Melvin, bah qu'il lui a dit que je frappais super fort pour mon âge. Mais Boris y veut pas ! M'énerve ! Je vais m'entrainer et même que dans quelques jours, je serai super trop fort !

_Mais non, il se trompe Boris. Le rassure l'enfant brun. C'est qu'un gros menteur, tu le sais bien. C'est toi le meilleur.

Le pire c'était surement qu'Harry le pensait. Que Dudley était le plus fort.

_Tais-toi ! Hurla son cousin en l'émergeant de coups. Dis pas ça de Boris ! C'est pas un menteur ! c'est toi le gros menteur et je vais lui dire que tu dis des trucs trop méchants sur lui ! il va te taper ! Bien fait.

_Non, gémit Harry, fais pas ça Dud'. S'il te plait.

_Si ! on va même te frapper tous ensembles. Lui et ses amis et moi et même bah je vais dire à Piers de venir parce que lui aussi qu'il t'aime pas ! Même que personne t'aime !

La vérité sort de la bouche des enfants.

Harry avait perdu toute couleur et des larmes ravageaient son visage sale.

Il se leva avec difficulté après avoir légèrement repoussé son cousin et courut derrière l'Oranger dont Pétunia raffolait.

Il regarda d'ailleurs vers la cuisine. Il pouvait la voire d'ici. Elle lui donnait de dos et s'afférait devant la table de travail. Elle ne regardait pas dans leur direction. Ne vérifiait pas que tout allait bien.

Enfin peut être qu'elle l'avait fait mais qu'elle n'aimait tellement pas Harry qu'elle n'a pas bougé un doigt en le voyant à terre.

Elle est surement encore trop fâchée par ces bêtises.

Quelles bêtises déjà. Harry ne s'en souvenait même plus mais cela n'avait plus d'importances.

Il devait échapper à son cousin.

A suivre …

oOoOoOoOoOo

Merci d'avoir lu, à bientôt pour la suite !

Bali

Review ?