- Tu as peur n'est-ce pas ? Moi aussi. Mais toi et moi ont le savaient pas vrai ? Ont savaient qu'au bout d'un moment la vie se retournerait contre nous, que notre utopie n'était qu'un songe éphémère, un chemin brisé, un mensonge voilé. Doux euphémisme me poussant à croire que peut-être nous étions pareils. J'ai fais souffrir tellement de personnes au cours de ma vie, consciemment ou pas. J'ai tué des centaines de vies sans ressentir une once de regret, de douleur. Parce-que je devais le faire, c'était mon devoir. Je suis un mangemort Granger.

Et toi tu n'est qu'une innocente jeune fille, tu sais se que sa fait de te regardé ? De croiser ton regard emplis de cette putain de tendresse ? Ca fais mal. Ca fait drôlement mal, je me sens honteux et mauvais parce-que toi tu représente la vie pendant que moi je suis la mort en personne. Tu représente se qu'il y à de mieux dans se monde, tandis que mon existence n'à rien de normal. Je suis né une lame entre les mains, poignardant l'humanité de chaque personne me croisant sur terre, me nourrissant de leurs haines, leurs dégoûts envers ma personne me faisant me sentir un peu plus puissant, plus grand.

Et toi et moi nous venons de deux univers différents qui n'étaient pas fais pour se rencontrer, mais bordel qu'est-ce que je t'aime. Regarde ou ca nous à mener. Face à face, ma main sur ton cou. Comme à notre première rencontre n'est-ce pas chérie ? Doux destin qui nous as forcé à nous croisé sur le champs de bataille, pas que ce soit notre première altercation. Ni la dernière dois-je dire. Je t'avais sauvé et en avait payé les conséquences. Et je me disait que tout cela en valait la peine pour ce qui avait suivis, mais personne ne m'avais dis qu'il y aurais une fin.

Je célébrerai une énième mort se soir Granger, la tienne.