Bonjour tout le monde!
Voici ce qui est certainement le plus long OS que j'aie écrit jusqu'à présent. Avant de continuer mon blabla inutile, quelques avertissements :
Comme l'indique le rating, il y a un lemon (ou lime, je ne sais pas), donc pour ceux que ça gêne, passez directement au(x) chapitre(s) suivant(s) beaucoup plus light au niveau rating (sans doute K+)
Le début de ce chapitre contient des extraits de l'épilogue de JKR que j'ai adapté pour les besoins de l'histoire. Donc, si vous n'avez pas encore lu le dernier tome HP ( ça existe encore des incultes pareils ?! Oo ) et ne désirez pas que la fin vous soit dévoilée, ne lisez pas ce OS !
Pour ceux qui restent (je vous ai quand même pas tous fait fuir ?) comme je l'ai dit ci-dessus, le début de ce OS se passe pendant l'épilogue de JKR que j'ai adapté pour le montrer à travers les pensées d'Hermione (en italique) et celles de Drago (en gras). Ce OS tient en partie compte de l'épilogue de JKR mais pas des tomes 6 et 7, notamment.
Voilà, je pense vous avoir donné toutes les informations nécessaires à cette lecture. Personnellement, je trouve ce OS assez classique et banal, mais j'espère qu'il vous plaira quand même. En ce qui concerne le lemon, c'est le premier que j'écris, donc soyez indulgents et pardonnez mon inexpérience.
Bonne lecture à tous,
Mina
Quai de la gare, début de l'année scolaire
Je suis sur le quai 9 ¾ de la gare King's Cross avec ma femme et mon fils. Il entre en première année à Poudlard… Poudlard, lieu de ma jeunesse qui m'a laissé tant de souvenirs… Même ce quai de gare me rappelle toute une foule de sentiments. Tiens, la famille Weasley est là aussi…
Rose entre en première année à Poudlard et nous l'accompagnons donc tous les trois à la gare. J'aperçois Harry, Ginny et leurs enfants à travers la fumée du train. Albus entre lui aussi en première année. Les enfants grandissent si vite… Ron dit à Harry : « Regarde qui est là! ».
A ces mots, nous regardons tous dans sa direction. Harry et Ron lui jettent des regards haineux qu'il nous rend bien. Il est accompagné de sa femme et de son fils. Scorpius me fait penser à lui, plus jeune :droit, fier, feignant l'indifférence pour ne pas laisser deviner son enthousiasme et sa joie, bref un vrai petit Malefoy. Drago a l'air fatigué, sans doute travaille-t-il trop…
Ca y est, je me suis fait repérer par la bande de Potter: ils sont tous en train de me fixer d'un air pathétique qu'ils espèrent haineux… Elle est toujours aussi belle, après toutes ces années… Quel gâchis qu'elle se soit mariée avec cet idiot de Weasley ! Et qu'elle ait eu tous ces affreux gamins aussi roux que lui ! Elle semble mélancolique depuis qu'elle m'a vu…
Je n'écoute plus la conversation qu'à moitié, une partie de mon esprit est avec mes amis, mais une autre ne peut s'empêcher de se souvenir de cette nuit…
Cela fait si longtemps que je ne l'avais plus vue… Depuis… Depuis cette nuit-là, en fait…
C'était la veille de la Grande Guerre et le dernier jour scolaire à Poudlard. J'étais persuadée que j'allais mourir le lendemain, pétrifiée de peur comme tous les autres, bien que je tentais de le cacher, surtout devant Harry et Ron. Je venais de passer la soirée avec eux à essayer de les rassurer. Je n'en pouvais plus de feindre l'optimisme, j'étouffais parmi tous ces visages inquiets et anxieux, c'est pourquoi j'errais dans les couloirs de Poudlard, seule…
L'angoisse me tordait le ventre : mon père m'avait écrit pour me dire que la Grande Bataille aurait lieu le lendemain, à Poudlard. J'imaginais déjà quel carnage ce serait et je n'en voulais pas, malgré ce que je prétendais. Mais surtout, j'avais peur de mourir. Ma vie n'avait jamais été rose et ne risquait pas de le devenir, mais je refusais de mourir si jeune pour servir la soif d'ambition d'un fou ! J'errais seul dans les couloirs lorsque nous nous sommes croisés. Dans nos yeux brillaient la même peur de la mort, le même refus de cette bataille et surtout le même désir…
Je ne parvenais pas à penser de manière sensée. J'étais persuadée que j'allais mourir le lendemain, alors à quoi bon réprimer ce désir qui enflammait mes sens et mon corps ?
J'ai obéi à cette pulsion qui m'ordonnait de me jeter sur elle. En réalité, nous nous sommes littéralement jetés l'un sur l'autre, incapables de résister ou de penser, incontrôlables…
Nous nous embrassions sauvagement, presque comme des bêtes. Sa bouche descendait sans douceur dans mon cou, comme affamée, m'arrachant un gémissement.
Son gémissement m'a distrait un instant, et ce fut à mon tour de me retrouver plaqué contre un mur. Elle m'a embrassé à en perdre haleine tout en arrachant les boutons de ma chemise, l'ouvrant, impatiente. Elle ne m'a pas laissé le temps de protester, ses mains habiles caressant mon torse, tandis que sa chemise rejoignait la mienne au sol. Je me suis rendu compte que j'étais appuyé contre une porte, et non un mur, lorsque celle-ci s'est ouverte et nous a fait tomber au sol.
La porte contre laquelle je l'avais plaqué s'est ouverte et nous a fait tomber par terre. Il en a profité pour se retourner et me placer sous lui. Sa langue et ses mains expertes parcouraient mon corps avidement et sans douceur, me faisant gémir de plus en plus fort. Sans que je m'en sois rendue compte, il avait enlevé ma jupe, puis ma culotte qu'il avait presque arrachée. J'ai décidé qu'il avait assez joué et que c'était à présent mon tour.
Elle s'est brusquement redressée et a frotté son corps contre le mien. Je n'ai pu m'empêcher de gémir, ce qui l'a fait sourire. Elle a retiré précipitamment, sans la moindre délicatesse, mon pantalon et mon boxer. J'avais compris le message : je me suis relevé et l'ai portée sur un des bancs de cette salle de classe. Elle a enroulé ses jambes autour de mes hanches et je l'ai pénétrée d'un coup brutal, nous faisant crier de plaisir à l'unisson.
Nous avons fait l'amour une bonne partie de la nuit dans cette salle de classe, jusqu'à ce que nous nous soyons écroulés au sol, épuisés. Il n'y avait eu aucune tendresse, aucune douceur dans ces ébats, encore moins de l'amour, juste un désir intense et de la sauvagerie, presque de la violence. Et pourtant, jamais plus je n'ai connu un tel plaisir. Cette nuit a été la plus intense de toute ma vie.
Jamais une fille ne m'avait donné autant de plaisir. Tous mes autres ébats me paraissent fades et sans intensité à côté de ce que j'ai pu ressentir cette nuit-là. C'était unique…
Quai de la gare, début des vacances de Noël
Je suis à nouveau sur ce quai de gare avec ma femme et d'autres parents emmitouflés dans leurs manteaux, à attendre mon fils. Astoria relève le col de son manteau en fourrure, il est vrai que ce vent d'Hiver est vraiment froid…
Tiens, Weasley vient d'arriver avec Potter. Ils s'éloignent du passage, mais je garde les yeux fixés sur celui-ci. L'arrivée du train interrompt ma contemplation. Scorpius nous cherche du regard. Son visage s'illumine lorsqu'il voit sa mère, mais il se reprend bien vite et s'avance calmement vers nous, impassible. Pendant ce temps, les enfants Weasley et Potter courent vers leurs parents. Aucune dignité… Ils demandent où est Granger : elle travaille, ils la verront ce soir. En entendant ces paroles, je ressens une légère déception dont je ne parviens pas à déterminer la cause.
Quai de la gare, fin des vacances de Noël
Cette fois, je suis seule pour conduire les enfants à la gare : Ron et Harry ont été appelés d'urgence en mission et Ginny travaille. Je leur fais un dernier signe de la main tandis que le train démarre.
Je regarde le train partir, emmenant mon fils vers Poudlard. La neige tombe dru autour de moi, recouvrant le monde de son manteau blanc. Je soupire de lassitude à l'idée de rentrer chez moi, mais me met malgré tout en marche. Je m'arrête en la voyant : ses cheveux voltigent doucement autour de son visage, emportés par le vent hivernal et parsemés de flocons blancs, son sourire s'efface lentement de son visage et un soupir gonfle sa poitrine à travers son manteau. Je sais que je devrais partir, mais je reste immobile à la regarder, incapable de bouger, envahi par un brasier de désir qui enflamme mon corps tout entier.
Ca y est, les enfants sont partis… Je soupire en pensant à tout ce qui m'attend chez moi : l'ennui et la solitude. Je m'apprête à partir mais je me sens observée. Je me retourne et croise son regard voilé par le désir. Je ne peux m'empêcher de le regarder : le temps qui a passé n'a en rien altéré sa beauté et son maintien aristocratique, ses cheveux me semblent plus longs que dans sa jeunesse mais ont gardés cette blondeur si rare; pas une ride ne défigure son visage où transparaît une certaine lassitude. Ses yeux gris pâles continuent de me fixer et je sens le désir m'envahir moi aussi.
Nous nous défions du regard, seuls sur ce quai de gare, la neige virevoltant entre nous, jusqu'à ce que nous n'en puissions plus et comblions la distance qui nous séparait en nous embrassant passionnément.
Nous ne mettons fin à ce baiser que pour reprendre notre souffle et transplaner devant un vieil hôtel miteux. Le gérant semble avoir l'habitude des clients comme nous car il nous tend une clé avant même que nous ne lui ayons demandé, tout en nous annonçant le prix. Nous tentons de nous contenir et de rester calmes tandis que nous montons vers la chambre, brûlants de désir.
Une fois arrivés dans la pièce, nous nous jetons l'un sur l'autre, arrachant presque nos vêtements, impatients.
A peine quelques minutes après que nous ayons joui sur le lit de cet hôtel sordide, il se lève et commence à se rhabiller. Je n'en suis pas surprise, ce moment n'était qu'un intermède, une incartade passagère à notre vie quotidienne, je le savais dès le début. Il me faut maintenant retourner à l'ennui et la monotonie de ma vie avec Ron…
Je le regarde finir de s'habiller, je savais que cela se passerait ainsi, c'était les termes de notre accord tacite. Alors, pourquoi ressens-je cette amertume ?
Je me lève et ramasse mes vêtements. Je jette un coup d'œil dans sa direction : l'amertume transparaît dans son regard, mais elle se tait. Tout comme moi. Nous n'échangerons aucun mot. A quoi bon ? Nous en avions envie tous les deux, nous l'avons fait, point. Que pouvons-nous attendre de plus ? Rien, ou du moins, nous en avons tacitement décidé ainsi. C'était intense et terriblement bon, mais à présent, il nous faut retourner à nos vies respectives : elle avec son incapable de mari et moi, dans mon manoir froid et austère où tout n'est qu'apparences…
Hôpital sainte-Mangouste, un mois plus tard
J'ai toujours eu en horreur les hôpitaux et je les évite autant que possible, mais cette fois, j'étais obligé de m'y rendre : je devais aller chercher les résultats de mes examens médicaux. Comme s'ils ne savaient pas les envoyer par hibou… Je le fais remarquer à la réceptionniste qui me rétorque qu'elle n'y est pour rien et me demande de m'asseoir dans la salle d'attente.
Je m'apprête à partir d'ici au plus vite après que le médecin m'ait expliqué pendant dix minutes que je n'avais aucun problème de santé, mais en passant près de la réception, je l'ai vue.
Je me dirige vers la réception où je trouvai ma supérieure devant le tableau des horaires. Je lui demande de travailler un peu plus longtemps, mais elle refuse. Je tente d'argumenter en lui disant que je ne suis pas fatiguée et que je ne veux pas me retrouver seule chez moi : Ron est en mission cette nuit. Mais c'est vain: mon implacable supérieure m'ordonne de rentrer chez moi, et de me reposer.
Je l'observe discuter avec une médicomage que je devine être sa supérieure. J'ignorais que c'était son métier, mais je dois avouer que la blouse blanche lui va à ravir… Tiens, Weasley n'est pas là cette nuit. Intéressant… Il ne me reste plus qu'à contacter Astoria pour la prévenir que je dois travailler sur un dossier urgent au ministère…
Je sors de l'hôpital en soupirant : une morne soirée commence pour moi… C'est alors que je le vois. Il me sourit doucement et me tend la main. Je répond à son sourire et glisse ma main dans la sienne, signe que j'accepte son invitation. Nous transplanons dans le même hôtel sordide que la dernière fois, sans un mot. Nous ne parlons pas, mais je lis dans son regard que la situation n'est pas la même que la dernière fois, quelque chose a changé en lui, en moi: en nous…
Le même désir embrase toujours nos corps, mais quelque chose a changé, imperceptiblement. Notre premier baiser est passionné, brûlant et témoigne de notre désir, mais le deuxième est plus doux, plus lent, plus tendre et plus inhabituel entre nous. Sans réfléchir et sans savoir pourquoi, je plonge la tête dans son cou pour respirer son odeur.
Pour la première fois, je passe ma main dans sa chevelure si douce.
Nous retirons les vêtements de l'autre lentement, sans précipitation, prenant le temps de découvrir chaque centimètre carré du corps de l'autre, de le caresser, de le faire languir, de le faire gémir de plaisir et de frustration.
Ivre de caresses et fou d'un désir trop longtemps contenu, je la pénètre enfin. Contrairement à nos ébats précédents, je prends mon temps et effectue de lents va-et-vients qui la font gémir de frustration. Elle me fait crier de plaisir en m'enfonçant un peu plus en elle d'un coup de hanches. Je comprends le message et accélère mes mouvements, la faisant crier à son tour.
Il jouit peu de temps après moi et s'écroule à mes côtés, le corps recouvert de sueur. Nous n'avons toujours pas échangé une parole, mais je suis consciente, et lui aussi sans doute, qu'un nouveau pas a été franchi entre nous. Autant nos deux ébats précédents étaient intenses, sauvages et brefs, autant celui-ci était doux, tendre et lent.
Nous restons longtemps enlacés dans ce lit, ma tête posée au creux de son cou. Je voudrais rester, mais ne peux pas. Je m'éloigne donc à contrecœur d'elle et me rhabille.
Une demi-heure plus tard, il ramasse ses vêtements éparpillés dans la pièce. Cette fois, je ne m'en formalise pas et m'étonne même que nous soyons restés si longtemps enlacés après l'amour. Juste avant de sortir de la pièce, il se retourne et me jette un dernier regard… Regrette-t-il vraiment de partir, ou l'ai-je rêvé ?
Hôpital sainte-Mangouste : réfectoire, huit mois plus tard
Cela fait presque neuf mois que nous sommes amants… Jamais je n'aurais cru que je tromperais ainsi Ron et que Drago me rendrait si heureuse. Tout me paraît toujours plus beau, plus intense, plus doux entre ses bras. Il me fait renaître à la vie… Au fil de nos rendez-vous et de nos ébats, notre relation a évolué. Progressivement, des gestes tendres et complices sont apparus entre nous : nos mains qui se frôlent dans l'obscurité, nos regards qui se cherchent, des sourires discrets à travers la foule… Des habitudes ont été créées, inconsciemment : je ne peux m'empêcher de caresser ses cheveux que je trouve si doux, et il ne peut poser la tête sur mon épaule sans respirer mon odeur dans mon cou. Nos paroles, inexistantes au début, ont évolués de mots courts et brefs à de longues conversations sur divers sujets. Nous ne passons jamais toute la nuit ensemble, l'un de nous devant toujours partir, mais nous ne nous quittons plus sans échanger un long baiser.
Je regarde ma montre : ma pause est déjà finie… J'ai tellement hâte d'avoir fini mon service. Ce soir, Ron sera en mission d'Auror et me croira à l'hôpital en train de faire des heures supplémentaires. Ce soir, la femme de Drago le croira au ministère en train de travailler sur une affaire urgente et de la plus haute importance. Ce soir, nous passerons toute la nuit ensemble, pour la première fois.
Le lendemain matin
Je la regarde dormir, bercé par sa respiration ralentie par le sommeil. Je n'aurais jamais cru connaître une telle sérénité et un tel bien-être. Par sa simple présence, elle apaise mon âme tourmentée et chasse mes inquiétudes et mes doutes. Je me sens tellement bien avec elle, je voudrais que le temps s'arrête et que cet instant dure toujours… La Terre pourrait s'arrêter de tourner que je ne m'en rendrais même pas compte, puisqu'elle est avec moi…
J'ouvre doucement les yeux, éblouie par la lumière du jour. Je finis par m'habituer à la clarté de la pièce et voit Drago qui me regarde tendrement. Je lui souris et lui dis d'une voix ensommeillée : « Bonjour mon amour… »
Soudain, je le vois pâlir et crois reconnaître de la peur dans son regard.
Elle s'éveille doucement et me sourit. Je réponds à son sourire, quand elle me dit : « Bonjour mon amour… »
Je sens le sang quitter lentement mon visage, mon sourire disparaître et la peur me serrer le cœur. Pourquoi m'a-t-elle appelé ainsi ? Qu'attend-t-elle de moi ? Qu'attend-t-elle de plus ? Pourquoi veut-elle parler d'amour et de sentiments ? L'amour est dangereux et fait souffrir… Pourquoi ?
Il semble de plus en plus terrorisé. Je l'appelle, mais il me répond pas: il est comme absent. Qu'ai-je donc fait de mal ? Qu'ai-je dit qui l'effraie ainsi ? Est-ce parce que je l'ai appelé « mon amour » ? Je croyais que lui aussi m'aimait, je croyais qu'il avait changé, mais j'ai dû me tromper…
Elle détourne la tête pour me cacher ses larmes. Cette vision me brise le cœur et je sors de ma léthargie pour la forcer à me regarder : son regard n'est qu'un abîme de souffrance et un reproche muet. Le remord m'envahit doucement et je sèche ses larmes tout en lui disant : « Pardonne-moi… Je ne veux pas te faire de mal… C'est juste que… »
J'ai la gorge nouée, mais je me force à continuer : « Ca me fait peur… Tes sentiments me font peur et… Les miens surtout. Ils me rendent fragile et faible… Je ne veux pas être faible, je ne veux pas souffrir… Je… Je ne veux pas que tu… que tu me laisses… »
Tout au long de son explication, je sens mon cœur se remplir de bonheur et de tendresse. Il prononce sa dernière phrase d'une voix étouffée et effrayée comme celle d'un enfant. Je le prends dans mes bras et le berce tout en caressant ses cheveux et en lui répétant : « Je ne te laisserai jamais, mon amour… Jamais. »
Elle me berce, comme elle le ferait avec un enfant et chasse mes peurs. Je relève la tête et, timidement, lui dit : « Hermione… Je t'aime. »
THE END
Alors, qu'en avez-vous pensé? C'était pas trop nul? Svp, même si c'était nul, dites-le moi par review, ça ne prend pas tant de temps que ça, c'est gratuit (si, si, je vous assure!) et ça permet à l'auteur de s'améliorer et de savoir si sa fic a été appréciée. Alors, please, rassurez-moi ou détruisez-moi (au choix) mais donnez-moi votre avis...
Et enfin, (tu ne croyais tout de même pas que je t'avais oubliée, Ed? Admettons, c'était le but... Moi sadique? Mais non, juste irrécupérable... XD ) comme promis, je te dédie tout particulièrement ce OS puisqu'il te plaît tant et que c'est un happy end (je l'ai fait... Ca a brisé mon coeur de petite vieille acariatre et sadique, mais je l'ai fait...). Je voulais aussi te remercier pour ta correction et tes conseils (je ne sais pas si ce OS aurait vu le jour, sans tes conseils...). En résumé, thank you! (ça, je sais prononcer, il n'y a pas de r... XD) And don't foRget to Review! ;-) Jtdr ma française dingue (et fière de l'être en plus...) préférée (logique, t'es la seule...)
Ta petite vieille acariatre et sadique irrécupérable (et belge en plus! XD) préférée
ps: Tu remarqueras à quel point je suis gentille: je l'ai posté avec une semaine d'avance! Alors, je veux une "récompense" (autrement dit, une review) digne de ce nom! Pas deux, trois petites lignes de rien du tout, non, une magnifique et longue review où tu me dis à quel point tu aimes cet OS, à quel point tu m'admires, et à quel point je suis géniale! XD Moi, prétentieuse? Jamais... (croisement discret des doigts...)
