Bonjour à tous,
Je me présente, je m'appelle Lucille dans la réalité ;). Je vais bientôt atteindre ma majorité, je viens enfin de comprendre (après 100000 lectures sur ce site) comment poster une histoire =P (je suis blonde -__-'). Bref, bref, je vous poste pas fic "Quand la folie te consume" que je poste aussi sur un autre site (peut-être connaissez-vous ?) mais celui-ci est fermé et puis l'idée d'écrire et de poster ici me trotte dans la tête depuis longtemps.
J'espère que mon style va vous plaire, que l'histoire aussi et qu'il n'y aura pas trop de fautes =)
Gros bisous à vous, et bonne lecture. N'hésitez pas à me laisser votre avis =D
Hermione Granger, glisse une échelle par sa fenêtre, jetant quelques œillades vers sa porte. Celle-ci est close, les lumières sont éteintes, et elle entend toujours les ronflements de ses parents. Elle jette un rapide coup d'œil dans le vide et enfourche l'échelle. Sans bruit elle se laisse dégringoler vers l'infini. Enfin ses pieds touchent terre et elle ne peut se retenir de pousser un léger cri de bonheur.
Elle emporte l'échelle derrière la maison, la cachant. Un instant plus tard Hermione est sur son vélo, tout en relâchant ses cheveux. Cette silhouette pédale à toute allure.
Son cœur bat si rapidement, il fait nuit noire et malgré sa baguette dans son soutient gorge elle a terriblement peur.
Après quelques longues minutes, elle entend de la musique, un rugissement, un truc impossible. Elle sourit et accélère, désormais elle n'a plus peur.
Elle jette littéralement son vélo derrière l'immense demeure et d'un seul geste retire son pantalon, passe sa jupe, un t-shirt et ses chaussures fétiches à talons hauts.
D'un pas trébuchant elle avance puis arrive enfin à la porte de la maison. La musique assomme la belle brune. Des jeunes vinrent vers elle en hurlant.
- Tu as pu sortir !
- Eh oui, j'ai pris l'échelle de secours hihi, mes parents dorment comme des bébés.
- On va boire, viens !
Hermione attrape un verre d'une substance inconnue et cherche des yeux sa meilleure amie moldus. Elle la voit, enfin, sur la piste entrain de danser sensuellement avec un jeune homme.
La sorcière s'approche alors et l'arrache aux bras musclées. Elle fait son plus beau sourire au garçon qui en perd ses moyens et traîne Ludivine dans une autre pièce.
- Mione tu as pu venir, c'est trop bien !
- Eh oui ! Mes parents dorment et je me suis dit que moi aussi pour une fois je pouvais sortir et m'amuser !
- Mais bien sur que tu peux ! Viens on va danser !
Durant quelques heures elles se déhanchèrent, vers 5 heures du matin il n'y a plus personne, enfin la plus part des étudiants sont parti et les autres sont un peu partout dans des chambres ou sur le tapis du salon.
Hermione, elle, ne dort pas, elle a beaucoup bu, un peu trop même, sa tête tourne, la jolie brune sort à l'air frais et descend dans le jardin. Au loin elle aperçoit la somptueuse piscine de Ludivine.
Après un léger coup d'œil autour d'elle, ses vêtements tombent à terre, sans hésiter ses sous-vêtements glissent à leur tour sur son corps, ses habits ne sont plus qu'un tas sur le sol brûlant.
Hermione plonge alors dans cette eau douce et chaude. Des milliers de choses lui passent à travers la tête, elle si pudique en général s'expose sous la lune.
Cette lune ronde et blanche, brillante éclairant la surface de l'eau. Cet arc de cercle qui semble la juger.
Son corps est brûlant, malgré la fraîcheur de l'eau, sa demi frange lui tombe sur les yeux, elle se sent si légère. Sa tête s'enfonce sous l'eau et y reste longtemps.
Après un long moment, ses cheveux émergent de l'eau alors qu'un 'plouf' résonne dans l'air.
Automatiquement Hermione s'affole, elle se retourne et fait face à deux yeux gris.
En premier lieu elle se plonge totalement dans ses yeux, puis prend conscience des mèches qui tombent devant ces deux perles bleues, incroyablement sexy.
Hermione, prise sous le charme, avance sa bouche délicatement. Ses lèvres percutent d'autres lèvres divinement douces. Elle enroule d'instinct ses bras autour de la nuque du bel étranger.
La Gryffondor ne prend pas la peine d'étudier plus ce jeune homme, et l'embrasse à pleine bouche se collant contre lui.
Elle sent les habits du jeune homme complètement gorgés d'eau et prend encore plus conscience de son corps nu. Elle sent les caresses infiniment douces sur sa peau, puis soudain l'humidité disparait, le clapotis de l'eau résonne dans la nuit silencieuse.
La lumière du jour perce le ciel, la lune s'incline face à l'immense astre de feu qui se réveille lentement.
Quelque chose claque violemment et son bruit résonne dans l'immense demeure. Une porte s'ouvre, Hermione prend alors conscience de la réalité. Elle se sent voler, elle tourne la tête pour voir ce qu'il se passe et son futur amant en profite pour baiser son cou. La brune croise un regard, un regard qui pétille dans l'ombre, elle voit un homme qui la dévisage. A peine eue-t-elle le temps de l'observer que déjà elle est loin de lui.
Soudain tout est sombre, un matelas se fait sentir sous son corps. Hermione soupire d'aise. Elle sent les mains de son amant disparaître partout sur son corps, sa bouche s'aventure plus loin.
Hermione finit par perdre la tête près d'une heure plus tard et s'endort sur un torse transpirant et dur comme de la pierre.
Un bruit sourd la réveille, ainsi qu'une brûlure sur son corps. Ses yeux s'ouvrent mais bien vite se referment, le soleil l'éblouit. Plus lentement cette fois ses paupières s'ouvrent alors qu'elle étire son corps. Elle heurte un mur.
Se tournant, elle voit un jeune homme nu, lui tournant le dos. Hermione sent alors des courbatures qui viennent par vagues prendre possession de son corps, dénudé.
Une panique folle envahit Hermione, elle ne se souvient de rien, ne sait pas ou elle est, ni avec qui. D'un regard elle cherche ses affaires, mais ne les voit pas. Puis elle jette un coup d'œil par la fenêtre et voit juste en dessous de la fenêtre sa jupe rose ainsi que ses sous vêtements.
La jeune femme s'empare de quelque chose pour se recouvrir le corps puis ouvre délicatement la porte avant de s'enfuir. Il n'y a pas un bruit dans l'immense maison, un véritable château. Hermione met plus de 10 minutes à trouver la sortie. Elle s'échappe finalement par une fenêtre de la cuisine, d'une hauteur assez raisonnable.
Rapidement elle récupère ses habits puis rentre le plus rapidement chez elle, oubliant son vélo et courant à travers les rues.
Lorsqu'elle arrive à la maison, dans sa tenue légère enfilée plus que rapidement, Hermione fait face au regard assassin de sa mère.
- Ou étais-tu passée Hermione ? J'étais morte de peur !
- Je suis partie faire un tour très tôt ce matin, j'avais trop chaud et j'en ai profité pour réveiller Ludivine, sa piscine est merveilleuse.
- Enfin Hermione on ne quitte pas la maison comme ça ! Tu le sais ! Tu serras privée de sortie !
- Maman, j'ai 17 ans depuis 1 mois, ne crois pas que tu peux encore me « priver » de sortie. Je vais prendre une douche.
Sous l'eau fraîche Hermione s'abandonne et pleure, pleure car elle ne se souvient même plus de ce qu'il a bien pu se passer. Elle sait juste que cette nuit, elle a fait l'amour avec un parfum inconnu, et que c'était sa deuxième fois a peine, et que … elle vient de tromper l'homme qu'elle aime depuis sa première année. Ron.
Hermione s'effondre, elle est devenue une garce, l'ombre d'une femme fatale. L'ombre d'une Marie couche toi la. L'ombre de quelqu'un de détestable.
Le sexe complique toujours tout !
Alors que la brune est allongée sur sa moquette, un hibou se pose sur son bureau. Elle sait immédiatement que c'est le hibou qu'elle avait offert à la famille Weasley.
Hermione, je viens d'avoir mon permis pour Transplaner, j'arrive.
Un plop bruyant interrompt les pensées de la jeune femme. Des bras l'encerclent déjà, la voilà plaquée contre le corps solide de Ron. Alors qu'il fait basculé leur corps sur l'énorme lit, Hermione tente de le repousser, en vain. Alors qu'elle s'abandonne à lui, et craque sous la tendresse de ses caresses qui descendent de plus en plus bas, un cri retentit.
Ron aussi rouge qu'une tomate se relève, se tenant devant Madame Jane Granger, rouge, les poings fermés.
- Bonjour madame Granger.
- Ronald !
Hermione soupire, lève les yeux avant de voir le regard de sa mère dévié dangereusement vers l'entre jambe de Ron qui devint encore plus rouge.
