Edward & Bella, une rencontre, une nuit – OS concours
Titre: Arizona Dream (merci à Emir Kusturica pour ce tire que je lui emprunte!)
Auteur(s):Louise Malone
Bêta:/
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Disclaimer: les personnages appartiennent à Stephenie Meyer
Cet OS est pour répondre au concours d'Allocop: Edward et Bella:une rencontre ,une nuit! Pour plus de détails allez sur leur profil (dans mes auteurs favoris!)
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Cette fic est dédiée à Fleur 50 qui m'a gentiment "harcelée" avec son idée de fic avec des motos! Voici ce que j'en ai fait!
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Arizona, septembre 2009.
Les deux motos rutilantes se tenaient cote à cote, et les deux motards se faisaient des signes de la main, amicaux, mais indiquant clairement qu'ils étaient en compétition.
Il y avait peu de spectateurs, ce qui était normal pour une course à la fois illégale et improvisée.
Malgré tout, l'ambiance était bonne enfant.
Le top départ à peine donné par une jeune femme blonde, ils filèrent comme l'éclair le long de l'immense route rectiligne.
Ils franchirent le ligne d'arrivée symbolisée par une petite brune face à un grand blond vêtu lui aussi d'une tenue de motard ensemble, et l'accident se produisit alors que la moto Honda CB 1000R était presque à l'arrêt.
Le conducteur leva un bras victorieusement et tourna la tête. Il dérapa sur une flaque d'huile et tomba sur le coté, effectuant un dérapage sur plusieurs dizaines de mètres.
Son concurrent, le conducteur de la Ducati 696 sauta à terre et se précipita vers lui,arrachant son casque, révélant des cheveux roux foncés.
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La jeune femme brune entra d'un pas résolu dans le hall de l'hôpital. La fureur habitait ses traits délicats, et des larmes de colère perlaient au coin de ses yeux.
Elle obtint le renseignement qu'elle souhaitait auprès de la réceptionniste et se dirigea à grandes enjambées furieuses vers la chambre 523.
Elle entra sans frapper, et fonça sur le jeune homme immense et brun au bras et à la jambe gauches plâtrés, couché dans le lit.
Celui-ci eu un faible sourire en apperçevant la jeune femme, qui ne prêta pas attention aux autres personnes présentes dans la chambre.
« JACOB BLACK ! »
Le jeune homme répondit en riant :
« Bella Swan… »
Elle frappa furieusement du pied par terre et se jeta sur Jacob, sans qu'on sache, de prime abord, si elle allait le frapper ou l'embrasser. Elle enfouit sa tête dans le cou du jeune indien, puis lui asséna une tape sur la tête :
« Tu m'as fait une peur horrible ! Tu imagines ce que j'ai ressenti quand le policier m'a appelée pour m'annoncer que tu avais eu un accident avec cette stupide moto ? Encore une de tes imbéciles de courses illégales en plus je suppose ! Tu es un gamin irrécupérable ! Tu as presque 22 ans Jake ! Et tu vas encore me dire que c'est pour l'honneur des « beautiful werevolves » ! Vous affrontiez encore les « wonderful vampires » j'imagine ! Si j'en tenais un de ces « wonderful vampires », je lui ferai bouffer sa moto tiens ! »
« Justement tu en as trois ici présents… »
Dit Jacob en tachant de réprimer son rire.
Bella releva la tête et regarda enfin autour d'elle. Elle reconnut deux jeunes hommes et les invectiva d'une voix ironique :
« Paul ! Embry ! Pourquoi ça ne m'étonne pas ?! »
Les deux jeunes gens lui firent un amical signe de la main.
La jeune fille regarda les autres jeunes hommes.
Un grand brun athlétique, un blond immense et un roux aux yeux d'un vert intense. Tous trois étaient magnifiques.
Elle reporta son attention sur Jacob, et l'interrogea muettement en levant un sourcil interrogatif.
Ce dernier fit les présentations d'une voix amusée :
« Bella, je te présente les « wonderful vampires » : Jasper Withlock ; Emmett McCarthy et Edward Masen, les gars, voici ma petite sœur Bella, elle aboie mais ne mord pas ! »
« Je ne suis pas petite Jake, et je ne suis pas ta sœur ! »
« Bon, alors voici Bella, elle vient d'avoir 18 ans, elle est la fille de la femme de mon père, mais je la considère comme ma sœur, la supportant depuis plus de 10 ans ! »
Les 5 jeunes hommes éclatèrent de rire.
Bella se renfrogna mais passa une main tendre sur le visage de Jacob.
« Leah est au courant ? »
Jacob gémit :
« Oui ! Elle ne va pas tarder d'ailleurs, elle risque d'être pire que toi ! »
« C'est normal Jake ! Ces motos sont des imbécillités, et des pompes à fric ! Aucun intérêt, à part celui de frimer ! »
Le jeune homme roux, Edward apparemment, prit la parole :
« Toi, tu n'as jamais fait de moto… »
Bella pivota furieusement vers lui :
« De quoi je me mêle ! Et non je n'ai jamais fait de moto ! Et je ne risque pas ! Tu as vu l'état dans lequel est mon frère ?! »
« Je croyais que ça n'était pas ton frère ! »
« Tu te prends pour qui ? »
« Tu sais, je suis certain que si tu essayais la moto, tu adorerais ça, avec ton caractère rebelle et indomptable… »
Bella resta muette un instant, contemplant le jeune homme, tout en se demandant s'il se moquait d'elle ou pas.
« Et moi, je te dis que je n'aimerai pas ça ! »
« On parie ? »
« C'est idiot ! Même si ça me plaisait je pourrais toujours mentir et dire le contraire ! »
« Non, c'est comme le sexe, quand ça plait, on ne peut pas le cacher ! »
Bella rougit furieusement, pendant que les 6 hommes éclataient de rire.
« De toutes façons, je n'ai ni moto, ni permis moto… »
« Tu peux tester en tant que passagère »
Bella perdait pied. Edward avait l'air très sérieux…
« Je n'ai pas de casque ! »
« On peut t'en prêter un… »
Jacob intervint :
« Il en faut un à sa taille ! »
Le grand blond, celui qui s'appelait Jasper, se rappelait Bella, intervint :
« Alice ou Rose peuvent lui en prêter un, elles sont à la cafétéria, je vais les chercher »
Bella resta pantoise.
Elle regarda Edward qui lui souriait, d'un air à la fois arrogant, moqueur et amical . Un drôle de mélange. Et il était incroyablement sexy…
Jasper revint rapidement, avec une magnifique blonde, et une petite brune qu'il tenait par la main.
Bella essaya les deux casques, et Edward décida qu'elle emprunterait celui d'Alice.
Elle n'eut pas le temps de dire ouf qu'elle était sur le parking, revêtue du blouson de cuir de la blonde, et en train d'enfiler le casque de la brune.
Elle regarde son jean, si elle avait mis autre chose, comme une jupe, elle n'aurait pas pu se retrouver dans cette situation…D'un autre coté, elle ne possédait pas de jupes, n'en ayant pas porté depuis au moins 5 ans.
Edward enfila son propre casque et enfourcha sa moto.
Il se tourna vers Bella :
« Grimpe ! »
Elle hésita. Elle était encore à temps de reculer.
Edward souleva son casque :
« Tu as la trouille ? »
Son sourire était moqueur.
Elle sentit la colère bouillonner dans ses veines et elle grimpa derrière lui sans réfléchir.
Elle posa ses mains sur ses propres cuisses.
Il mit le contact et se tourna vers elle :
« Tiens toi à moi »
Elle attrapa son blouson entre deux doigts.
Il se tourna à nouveau vers elle en riant :
« Tu dois te tenir vraiment, ça va décoiffer ! »
Il s'empara de ses bras et les noua autour de sa taille.
Elle sentit son visage brûler à cause de cette soudaine intimité, et surtout du fait que cela lui plaise autant. Elle bénit alors le casque qui masquait ses traits.
Il démarra souplement et roula quelques kilomètres à faible allure.
Elle comprit parfaitement qu'il la laissait s'habituer.
Il prit doucement de l'allure, et, d'une main, l'encouragea à le serrer davantage. Elle le fit d'elle-même quand la vitesse devint plus importante.
La peur lui serrait le ventre, elle évitait de regarder devant elle, et se crispait, raide contre lui, sursautant chaque fois qu'il se penchait pour tourner.
Ils n'avaient pas fait 5 miles qu'il s'arrêta sur le bas coté.
Il descendit et ôta son casque :
« Bella…tu dois te détendre et suivre les mouvements de mon corps : quand je me penche tu dois te pencher avec moi et pas te crisper, sinon tu vas nous envoyer dans le décor ! »
« J'ai peur ! Ça ne me plait pas du tout ! Tu te penches trop ! On va tomber ! »
Il éclata de rire.
Elle descendit, honteuse et furieuse, ôta le casque et le lui balança dans les bras, puis se tortilla pour enlever le blouson :
« J'en ai marre, je rentre en stop ! »
Il retrouva son sérieux d'un coup et la prit par le bras alors qu'elle commençait à marcher le long de la route.
« Certainement pas ! C'est bien plus dangereux de faire du stop que de la moto ! »
Elle lutta pour se dégager mais il avait largement le dessus physiquement.
Il la traîna jusqu'à la moto et lui mit le casque quasiment de force.
Sifflant entre ses dents, il lui dit :
« Tu as gagné, tu es trop coincée pour la moto…Je te ramène »
« Je ne suis pas coincée ! »
« Bon sang ce que tu es têtue ! »
Elle remonta, les dents serrées.
Il roula doucement et elle regarda le coucher de soleil. Le paysage d'Arizona était splendide, les couleurs et la luminosité de cette fin septembre magnifiaient encore le désert qu'elle aimait tant.
Il prit un peu d'allure, et elle réussit à se détendre un peu.
Elle sentait qu'il conduisait sûrement, et la peur s'allégea un peu.
A l'entrée de la ville il s'arrêta et se tourna vers elle, pour lui demander, d'une voix douce :
« Ça va mieux ? »
Elle hocha la tête.
« On continue un peu ? »
« Euh…un peu »
« Tu as encore peur ? »
« Oui, mais moins, c'est pas si mal, en fait »
L'aveu lui brûlait les lèvres.
Il se contenta de sourire et redémarra pour faire demi tour.
Ils roulèrent jusqu'au promontoire surplombant la vallée, et il se gara prés du pic.
Ils descendirent pour contempler le paysage.
Elle admira silencieusement le soleil rougeoyant se fondre derrière l'horizon de sable et d'aridité, tandis que lui la regardait elle.
Il souriait de la voir, silencieuse et recueillie, profiter d'un des plus beaux paysages au monde. Elle le faisait totalement craquer, et il n'avait pas vraiment l'intention de la laisser s'échapper ainsi.
Quand le soleil eut totalement disparu, elle se tourna vers lui et fut surprise de voir qu'il la regardait intensément.
Bégayant, elle lui demanda :
« Il y a des phares sur ta moto ? Parce qu'il fait presque nuit ! »
Il éclata de rire et la serra dans ses bras.
Cette fille était géniale, amusante, innocente, belle, sexy, et avec un caractère de feu.
Il cessa de rire et la regarda :
« Bien sur qu'il y a des phares ! Ne t'en fais pas pour ça… »
Il repoussa ses longues mèches brunes que le vent ramenait vers son visage et posa ses lèvres sur celles de la jeune fille.
Elle répondit au baiser et lui donna l'accès à sa bouche quand il lui en quémanda l'accès du bout de la langue.
Leur baiser eut la même saveur que leur relation : intense, passionné, coléreux. Chacun luttait pour prendre le contrôle, et Edward finit par presser le corps de la jeune fille contre le sien, pour qu'elle comprenne à quel point ce baiser éveillait son désir. Elle gémit dans sa bouche en sentant sa virilité contre son ventre et passa ses bras autour de son cou.
Il la repoussa doucement et plongea son regard vert dans le chocolat de ses yeux à elle :
« Chez toi ou chez moi ? »
« J'habite sur le campus… »
« OK, chez moi alors »
Il remit son casque et elle l'imita.
Elle grimpa derrière lui et le serra un peu plus fort que nécessaire.
Il roula vite, et le désir qui habitait son corps l'empêcha d'avoir peur.
Il mit pied à terre devant un immeuble de deux étages et gara sa moto rapidement.
Il prit Bella et l'entraîna dans les escaliers puis le long d'un couloir.
A peine la porte franchie il la plaqua contre le mur et l'embrassa à nouveau frénétiquement.
Leurs lèvres se pressaient violement, leurs langues s'enroulaient, douces et exigeantes.
Il lui arracha le blouson de cuir et sa chemise grise d'un même mouvement.
Elle lui souleva son tee shirt noir et il le jeta à terre.
Elle ne portait plus q'un soutien gorge noir qu'il arracha littéralement.
Elle le regarda dans les yeux, et il soutint son regard.
Il craqua le premier et se jeta à nouveau sur ses lèvres, la soulevant par les hanches et elle enroula ses jambes autour de son bassin.
Il la porta ainsi jusqu'à son lit et la balança dessus.
Il la plaqua d'une main, et lui enleva son jean de l'autre. Le désir qui les habitait leur coupait le souffle.
Elle s'agenouilla sur le lit et entreprit de déboutonner sa braguette. Il la regarda faire, haletant.
Elle fit glisser le jean sur ses hanches, et il acheva de s'en débarrasser. Il ne portait plus qu'un boxer noir, déformé par une érection impressionnante.
Il l'attira à lui et ils s'embrassèrent comme si leur vie en dépendait.
« Bon sang ce que tu es belle…J'ai envie de toi…j'ai envie de te prendre, de te faire crier, de te faire jouir… »
Elle frémit.
« Tu es drôlement dominateur ! »
« Absolument, et tu vas aimer ça ma belle ! »
Elle le regarda furieusement et il fit rouler son string le long de ses hanches.
Une fois nue elle ressentit une satisfaction intense à être ainsi regardée avec avidité.
Elle le fixa dans les yeux et passa ses doigts le long se son intimité, se caressant sensuellement.
Il grogna de désir et enleva son boxer.
Elle fut impressionnée par la taille de sa queue mais réussit à ne pas le montrer.
Il la renversa sur le lit et vint se positionner au dessus d'elle, souriant.
Le désir le rendait dingue.
Il avait 23 ans et couchait avec des filles depuis l'age de 16 ans mais jamais il n'avait ressenti une telle intensité de désir.
« Je n'ai pas l'intention d'y aller doucement…j'ai trop envie pour ça ! »
« Ne t'en fais pas, ça fait 3 ans que je ne suis plus vierge ! »
Il embrassa son cou, puis se concentra sur sa poitrine, prenant dans sa bouche les mamelons durcis de désir de sa partenaire, avant de se laisser glisser contre sa petite chatte entièrement épilée.
L'odeur de son désir l'envoûtait, elle était très mouillée et il alla goûter son désir nacré du bout de la langue.
Elle gémit et ouvrit largement les cuisses quand il approfondit sa caresse et lapa littéralement sa féminité, jouant avec son clitoris.
Elle se laissait totalement aller dans la caresse, sans fausse pudeur ou gêne mal placée.
Il se redressa, le sexe tellement tendu qu'il avait l 'impression d'être sur le point d'exploser.
Elle le poussa sur le dos et vint à son tour prendre sa queue dans sa bouche.
Il se redressa sur son coude pour la regarder le sucer.
Il gémissait de plaisir et de bien être.
Elle le comblait comme jamais aucune autre pipe ne l'avait fait…
"Oh…oui, comme ça. Tu es douée…oui, vas-y…Suce moi bien…comme ça…mmmhhh »
Il se rejeta en arrière, tous les sens aux aguets, tandis que sa queue, emprisonnée dans un étau de douceur, lui procurait des sensations divines.
Il cria de frustration quand elle cessa la fellation, quelques secondes avant qu'il ne jouisse.
Le regardant dans les yeux elle s'installa sur lui à califourchon et vint frotter sa chatte trempée contre sa queue tendue.
Elle était la sensualité incarnée.
Cette fille puait littéralement le sexe.
Elle fit glisser son sexe dans le sien, et commença de prudents mouvements de hanche, pour l'absorber doucement, rendue timide par la grosseur de l'engin.
Mais il l'attrapa par les hanches et l'empala littéralement sur lui d'un seul coup, les faisant crier, lui de plaisir, elle de surprise.
Elle s'immobilisa, déroutée par la brûlure dans son intimité.
Il était trop gros pour elle et elle se retira en gémissant.
Il la retourna d'un coup de rein et lui écarta les cuisses.
« Non ! C'est trop gros ! Ça me fait mal ! Arrête ! »
« Certainement pas !On va y aller doucement, tu vas t'habituer ! »
Il mouilla ses doigts de salive et introduisit deux doigts dans le vagin de la jeune femme, caressant son clitoris du pouce, et câlinant ses seins de l'autre main.
Elle se détendit progressivement, et se mit à onduler des hanches en gémissant. Il écarta ses doigts pour agrandir son intimité.
Il se retira d'elle et vint l'embrasser.
« Tu es prêtes ? »
« Je ne sais pas… »
Il la caressa longuement du bout de sa queue et s'enfonça de quelques centimètres.
Elle se mit à gémir :
« Non ! C'est trop gros ! Ça ne rentrera jamais ! »
« Bien sur que si ! Ton corps est fait pour recevoir le mien…Détend toi, tu vas adorer ça… »
Il reprit sa pénétration, sortant régulièrement pour humidifier son sexe. Elle se tenait à ses bras et le regardait l'investir, partagée entre la peur et le plaisir.
Il finit par buter au fond de son ventre et gémit en la regardant.
Sa voix était sexy, son sourire en coin l'était encore plus.
Elle se mit à trembler quand il commença à aller et venir en elle.
« Doucement… »
« Non, pas doucement, c'est pas comme ça que c'est bon… »
La plaquant fermement contre le matelas il imprima un rythme fort et soutenu.
Les premiers mouvements lui parurent inconfortables mais son vagin s'habitua rapidement à l'intrusion et elle se mit à gémir de plaisir.
Il ne la ménageait pas, mais ne la brusquait pas non plus.
Il était incroyablement viril, mais pas violent.
Elle se mit à crier, subissant les assauts de son compagnon avec un plaisir sans cesse grandissant.
Bientôt elle ne se contrôla plus du tout et le supplia :
«oh ! ouiiii ! Plus fort ! Oh ! S'il te plait ! Plus fort ! Encore ! C'est si bon ! Ooooh »
Il se fondait en elle, luttant pour ne pas augmenter le rythme, il voulait sa jouissance à elle avant le sienne, il voulait qu'elle soit à lui, complètement à lui, qu'elle se donne entièrement ,totalement, qu'elle le laisse faire tout ce dont il avait envie.
Il mouilla à nouveau son index et vint frotter son clitoris, arrachant à Bella un cri plus fort que les autres, et s'enfonça profondément en elle.
Elle renversa la tête en arrière, gémissant son plaisir et bientôt son souffle se fit erratique, ses joues devinrent écarlates. Sa délivrance était proche.
Elle le regarda :
« Edward !je vais venir ! Encore ! N'arrête pas ! Comme ça ; OUI ! Encore ! Oh ! »
Elle hurla en soulevant les hanches, en proie à un orgasme fulgurant, le meilleur et le plus intense qu'elle ai jamais connu.
Il lutta pour ne pas jouir avec elle, les parois de son intimité se resserraient autour de lui délicieusement, rendant son sexe encore plus étroit.
Il sortir d'elle dès que son orgasme fut un peu calmé.
Elle était toute molle, le ventre encore brûlant du plaisir incroyable qu'elle venait de prendre.
Elle sentit confusément qu'il la retournait sur le ventre, tout en lui murmurant des mots excitants :
« Tu es une petite furie du sexe, tu aimes ça hein ma jolie ? Tu vas voir je vais te faire jouir encore, tu vas m'en redemander »
Elle sentit ses doigts mouiller sa petite fente surchauffée, puis il la fit cambrer et immédiatement sa queue appuya contre sa petite ouverture.
Il la pénétra cette fois sans difficulté, l'orgasme l'aayant détendue, et elle cria quand il buta d'emblée contre le fond de son ventre.
Il l'investissait totalement, et cette sensation, annonciatrice d'un grand plaisir, lui procurait un sentiment d'angoisse, tant elle se sentait à la merci de cet homme.
Il devait penser qu'elle était prête à le recevoir, parce que cette fois, fidèle à sa promesse, il ne la ménagea pas.
Il la prenait de manière particulièrement intense, allant et venant dans son ventre au rythme qui lui convenait, sans se soucier de ses cris, dont elle même ne savait plus s'ils étaient l'expression du plaisir ou de la peur.
Rapidement elle ressentit un bonheur primitif à être ainsi dominée, et ses cris ne signifièrent plus que le plaisir à l'état pur.
Il poussait en elle, se frayant à chaque fois un passage dans son intimité délicate, conscient de vivre la plus formidable baise de toute sa vie.
Elle était totalement sous contrôle, complètement ouverte à lui, mais elle était brûlante,et très étroite.
Il s'enfonça plus rapidement encore, sentant les prémices de l'orgasme courir dans sa colonne vertébrale.
Elle alla frotter son clitoris quand il la prit à la soulever du matelas, pour se soulager un peu de la terrible pression qu'il lui infligeait.
Quand il la pillona en criant, elle sentit l'orgasme l'emporter et elle hurla sans pudeur, le sentant se déverser en elle.
Il sentit l'orgasme arriver et donna un dernier coup de rein plus violent que les autres.
Elle cria et ses fines parois se resserrèrent brutalement, l'envoyant au paradis, il cria en serrant son poing dans ses longs cheveux, se déversant longuement au fond de son ventre, jouissant comme jamais il ne l'avait fait.
Quand le dernier spasme de plaisir eut quitté leurs ventres ils roulèrent sur le coté, en sueur, haletants et heureux.
Il la prit contre lui, sa tête reposant sur son torse, pour reprendre leur souffle.
Il voulait lui proposer une douche quand ils seraient un peu remis, mais quand il voulut lui suggérer il se rendit compte qu'elle s'était endormie.
Il sourit et embrassa ses cheveux.
La resserrant contre lui, il les couvrit de la couette et se laissa aller à son tour dans le sommeil.
Quand il se réveilla le lendemain matin, il était seul dans le lit, et il se sentit étrangement désappointé.
Par terre il y avait le blouson de Rosalie et le casque d'Alice.
Il se leva et trouva sur la table basse un mot griffonné :
« Merci, pour la ballade et pour le sexe.
Bella »
A coté du petit mot il trouva son soutien gorge, hors d'usage, qu'il avait arraché la veille au s'assit sur son canapé, entièrement nu, et huma le soutien gorge. Il sentait l'odeur de la fille qui lui avait procuré son plus grand plaisir.
Il était déçu et furieux qu'elle soit partie.
Mais trop arrogant pour lui courir après…
Bella courait dans la rue, à la recherche d'une pharmacie ouverte un dimanche. En pure perte.
Elle serait contrainte d'attendre lundi matin pour acheter la pilule du lendemain.
Dès qu'elle avait ouvert un œil le matin même, dans les bras du plus extraordinaire des amants, elle avait réalisé que, dans le feu de l'action, ils n'avaient pas utilisé de préservatifs. Hors elle ne prenait pas la pilule…
Le plaisir de la veille avait, pour l'un comme pour l'autre, un goût amer, bien que pour des raisons très différentes…
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Je ferai une suite à cet OS en novembre!
