Je ne possède ni les personnages de Harry Potter ni ceux de Twilight … Hélas … L'histoire ne m'appartient pas non plus je ne fais que la traduire pour vous. Cette histoire appartient à la génialissime MISTEEIRENE merci beaucoup à elle d'avoir accepté que je la traduise

Chapitre 1 :

« Albus, que faite vous là ? »

Le sorcier assit sur mon bureau semblait plus fatigué et plus vieux que dans mon souvenir. Cela fait près de 11 ans que je n'avais plus revus mon vieil ami … Le jour où, il m'a donné mon fils, mon cœur !

« Il a besoin de vous Carlisle »

Carlisle passa une main dans ses cheveux parfaitement coiffés et tomba sur sa chaise.

« Il y a près de 4 ans que nous n'avons pas eu de nouvelles de lui Albus. Pourquoi maintenant ? »

J'ai essayé de garder ma voix pour ne pas me montrer bouleversé. Albus m'a regarder et j'ai été surpris de voir des larmes dans ses yeux.

« La guerre est finie, il a tué Voldemort, mais il est brisé et j'ai peur qu'il ne puisse pas s'en relevé. »

C'était comme si quelqu'un poignardait mon cœur sans vie. Je n'ais pas vu ou entendu parler de mon fils depuis la fin de sa quatrième année à Poudlard, l'école pour sorciers et sorcières. Ma famille et moi avons été dévastés lorsque nous avons reçu une lettre de Albus indiquant que Le Seigneur Voldemort étais revenu et que mon fils devait rester pour apprendre, se former.

« Quatre ans Albus ! Quatre ans sans un mot sans un soupçon de vie .Nous ne savions pas si il était blessé ou pire, mort. »

J'ai essayé de restreindre la colère et la tristesse dans ma voix. J'aime mon fils, mais il m'a fait mal, il nous a fait du mal.

« S'il vous plait Carlisle, ne blâmez pas Harry. Harry n'a rien fait de mal. »

Albus regarda ses mains et j'ai été surpris de les voir trembler.

« Les lettres, nous en avons envoyé des douzaines à Harry et il n'a jamais répondu à aucune d'elles. »

Ma famille et moi avons déménagé à Forks Washington pour partir loin des souvenirs du petit Harry qui nous hantaient. Il n'y avait pas une pièce dans notre maison ou nous n'apercevions pas le fantôme d'Harry ou entendus son rire.

Harry avait 6 ans quand Albus c'est présenté a notre maison. Terrifié et abusé, Harry ne voulait pas parler ou garder un contact visuel. Ma famille est immédiatement tombée en amour pour lui avec ses grands yeux émeraude.

Albus l'avait confié aux « tendres » soins de sa tante et son oncle après que ses parents aient été tués. Albus qui n'a vu que les gens bon, des gens qui auraient du l'aimer comme un fils. Aimer.. Comment ces animaux auraient pu savoir comment aimer un petit garçon si précieux et spécial tel qu'Harry.

Violences, paroles cruelles, famines, ecchymoses, os brisés et cicatrices, voila tout ce qu'Harry a obtenus d'eux. Les anciennes marques de fouet jonchaient son petit dos, chaque os était voyant et il était de la taille d'un enfant de 4 ans.

Albus avait besoin d'un endroit sûr pour Harry, un endroit où il pourrait apprendre à être aimé et aimer en retour. Quelque part loin du monde magique avec une famille qui pourrait le protéger.

Au début, je pensais qu'Albus était hors de lui en demandant à une famille de vampire d'adopter un petit enfant humain. Et si on ne le traitait pas bien ? Que faire s'il saignait et que l'un des membres de ma famille le mordait. Etait-il juste de demander à Jasper, qui se bat 24/24h 7/7j avec sa soif de sang, de vivre avec l'odeur du sang d'un enfant innocent.

Après avoir passé seulement quelques minutes à observer ce petit garçon terrifié, je savais qu'il allait devenir mon fils. Ma femme, qui a le plus grands cœur par rapport à toutes les personnes que j'ai pus rencontrer, tomba instantanément en amour pour Harry. Rosalie me lança un regard me promettant plein de douleur si je refusais Harry et Emmett ferais n'importe quoi pour Rosalie. Je savais qu'Alice préparais déjà la chambre parfaite et une armoire pour Harry. Edward, mon premier fils ne pouvait détourner son regard des yeux d'Harry. Après quelque temps, il me regarda et hocha la tête.

Jasper était le plus surprenant. Je pensais qu'il aurait été pris de panique à la pensée d'un humain avec nous, mais il souriait. Souriant car il ne ressentait aucune soif de sang envers Harry. Pour une raison quelconque, le sang du petit garçon ne l'attirait pas.

« Je suis désolé Carlisle, je suis un vieil homme et j'ai fait beaucoup d'erreurs mais je crains que celle que j'ai faite à votre famille est la pire. »

Avec un soupir, Albus fouilla dans sa robe pourpre et en sortit un sac. Me regardant dans les yeux Albus ouvrit le sac et jeta les dizaines de lettres non ouvertes adressées chacune à Harry Potter Cullen.

« Je suis vraiment désolé Carlisle. Je n'ai jamais donné les lettres à Harry. Je savais combien cela le déchirait d'être loin de vous, mais j'avais besoin de lui qu'il se concentre sur sa tâche. Je n'ai jamais voulu vous blesser vous ou Harry mais il devait survivre à cette guerre. Je l'aime comme un fils, je ne pouvais pas le perdre. »

Jamais de toutes mes années je n'ai autant eu envi de faire du mal à quelqu'un comme je voulais faire du mal à Albus. Comment … Comment pouvait-il garder nos lettres loin d'Harry ? Que devais penser Harry ?

Ma main sur ma chaise était si serré que je pouvais entendre l'accoudoir craquer.

« Comment pouvez-vous Albus ? Qu'en est-il de Harry ? Sait-il que vous avez gardé nos lettre ou pense t-il que nous l'avons abandonné… oublié ?

Je me suis toujours enorgueillie de ma maitrise de moi, mais en se moment il était important de ne pas le perdre et déchirer la gorge de mon ancien 'ami'.

Albus enleva ses lunettes et se frotta les yeux avec lassitude. Avec des larmes cette fois, Albus atteint sa robe et en sortit un autre sac, un sac plus grand. D'une main tremblante, il me le tendit.

« Chaque semaine, Harry venait me demander s'il avait des lettres de vous. Ça ma brisé le cœur de le voir quitter mon bureau en larmes … à chaque fois je lui disais qu'il n'avis pas reçu de carte Carlisle. »

Albus pris une minute pour se reprendre, regardant par dessus mon épaule parce qu'il ne pouvait pas me regarder dans les yeux.

« Chaque semaine pendant quatre ans, Harry vous a envoyé des lettres. Chaque Noël, chaque anniversaire, il a envoyé des cadeaux. Harry n'a jamais renoncé à vous, à sa famille. »

Avec mon cœur coincé dans ma gorge, j'ai ouvert le sac… Des centaines de lettres, certaines adressées à moi, certaines pour le reste de la famille étaient posées là. Des dizaines de cadeaux étaient également là réduits dans le sac… Albus avait empêché ses lettres de nous atteindre.

Jamais je n'avais senti une telle douleur, pas même lors de mon tournage. Mon précieux fils n'a jamais renoncé à nous, n'a jamais cessé de tendre la main vers nous. Si seulement je pouvais pleurer, libérer une partie de cette douleur, cette culpabilité. Culpabilité parce qu'après seulement deux ans sans nouvelles, ma famille et moi avons déménagé… nous nous sommes éloignés d'Harry. Au fond de nos cœurs, nous n'avons jamais oublié à propos de Harry, mais nous n'avons jamais parlé de lui, cela faisais beaucoup trop mal.

Debout, poussant ma chaise dans le mur j'avançais vers Albus avec mes yeux noirs.

« Amenez-moi à mon fils, MAINTENANT ! »

Albus se leva, s'éloignant de moi « Carlisle écoutez, j'ai besoin de vous expliquez tout ce qui s'est passé ! »

Claquant ma main sur mon bureau, laissant une empreinte j'hurlais. « J'ai fini de vous écouter, je veux voir mon fils et maintenant ! »

J'avais besoin de mon fils maintenant, j'avais besoin de le tenir pour lui faire savoir que nous l'aimions encore et que l'on voulait encore de lui. Hochant la tête, Albus pris mon bras et nous sommes partis de mon bureau à l'hôpital. Je savais que ma famille serait inquiète quand je ne rentrerais pas à la maison après mon quart de travail, mais je ne pouvais pas attendre une seconde de plus pour voir mon fils. J'espère seulement qu'Alice peut voir ce que je fais.