La route des douze maisons 1

Depuis la fin des guerres le sanctuaire avait reprit ces petites habitudes, Athéna avait obtenue de récupérer tous ces chevaliers au grand complet. Et la vie avait repris un cour normal, enfin pour un temps de paix. Les idylles se nouaient et se dénouaient. Certain recevant plus de sollicitations que d'autre. Un seul résistant contre l'ambiance générale propice au rapprochement. Celui qui avait juré de ne rien éprouver jamais. Un jour un des nombreux éconduit, sanglotait sur un refus des plus dur du grand chevalier des glaces. La déesse Aphrodite s'en émue. Elle se souvenait dans un cas semblable avoir exaucé un souhait. Pour Narcisse dans les temps anciens. Un vœu et une décision qui maintenant lui semblaient bien cruels. Elle réfléchit longuement à punir le mécréant. Mais ce n'était pas un homme du commun. Enfin un sourire passa sur ses lèvres, Athéna, ma chère, ma très chère Athéna. Ma nièce, si soucieuse de l'humanité. Elle vérifia dans son miroir qu'elle était irrésistible et parti voir Zeus.

Aphrodite – Ho Zeus, je viens à vous en suppliante, nulle ne se soucie plus de moi !

Zeus – Voyons, relevez vous, que vaut toute ces larmes ?

Aphrodite – On ne croit plus en moi, on me bafoue, on m'ignore.

Zeus – Enfin, mais qui ça ?

Aphrodite – Tous. Je suis une déesse oubliée.

Zeus – Ne pleurez pas,

Aphrodite – Athéna et ses chevaliers.

Zeus – Quoi ! Toute la chevalerie.

Aphrodite – Certain seulement, mais un. Un ! Me défit !

Zeus – C'est grave. Dois je exiger la tète de ce renégat ?

Aphrodite – Je voudrais me mesurer à Athéna.

Zeus – A et quel en serait les modalités, votre dernière intervention dans la guerre de Troyes ne fut pas couronné de sucsé. Par champion interposé ?

Aphrodite – Je propose à ma nièce de lui imposer un champion et si il traverse les 12 maisons zodiacales en 12 heures après m'avoir célébré avec chaque gardien, je consentirais à garder l'amour sur le monde, sinon, je me retirerais et en priverais toute l'humanité.

Zeus – Soit, j'y consens.

Aphrodite – Puis je me retirer.

Zeus – Faite, je vous en prie.

Zeus – Je me demande si je fais bien, pourvue que Athéna comprenne. C'est pas de tricher que je lui demande, mais si elle pouvait faire preuve de diplomatie. Hélas, l'humaine dans la quelle elle s'est réincarnée n'est pas la plus agréable. Elle a trop de personnalité. Un choix éclairé, facilité la victoire de sa tante. Sinon je sais pas où ira le monde. Un monde sans amour pour les humains, les pauvres. Elle veut se retirer, elle va pas me faire le coup de Déméter ? Un hiver sentimental, pour tous, a non pas d'olympe sans ça ! Mais c'est pas croyable ! Bientôt c'est moi qui pourrais plus goûter à la passion. Un si doux transport. Vil mortel, tu pourrais pas te satisfaire de si peu, et pas refuser ce qui m'est si cher.

Zeus – Athéna, Ta tante veut te défier, l'heure est grave. Si elle perd elle a décidé de ne plus assurer ses fonctions

Athéna – Ses fonctions, c'est plutôt une excellente nouvelle. Elle a enfin renoncé de troubler l'ordre.

Zeus – a part j'ai sous-estimer l'adversaire, parler de passion à la sage déesse vierge. Pourtant Aphrodite doit triompher. A les querelles de famille… Et ces milles rancunes cuites et recuites par les siècles.

Zeus – Je t'es informé, fait comme tu l'entends.

Zeus - a part Je vais en parler à sa réincarnation. Elle a treize ou quatorze ans. Merveilleux comme toute jeune fille elle doit aspirer au grand amour.

Zeus – Melle Kido ?

Saorie – (surprise par télépathie) Oui ?

Zeus – Je suis Zeus et porteur du mauvaise nouvelle. Le monde est en grand danger une fois encore. Mais je sais qu'avec l'aide de vos chevaliers vous saurez affronter la menace. Je sais aussi que vous etes lasse de touts ces combats, et que vous aspirez à une vie plus tranquille, faite d'amour avec un beau mariage en robe blanche. Hélas, Aphrodite à décider de ne plus répandre l'amour.

Saorie – Non, c'est injuste et trop triste. Pourquoi fait elle ça ?

Zeus – Il nous reste un espoir. Vous ! Pour prouver que ce noble sentiment est inutile elle à choisit de vous affronter. Si elle perd et elle fera tout pour, elle se retirera.

Saorie – Non c'est impossible, il faut qu'elle gagne !

Zeus – Voila demoiselle, je vous confie le sort de l'humanité.

Saorie – nous réussirons !

La princesse avança vers la salle du pope, demandant au garde de courir chercher tous les gardiens du zodiaque. Elle réfléchit de long instant le temps que tous gagnent la pièce. Le grand pope regarda la jeune fille attendant qu'elle se décide. Elle hésita devant toute cette assemblée, prit une grande inspiration et commença. Annoncant un nouveau conflit et l'enjeu. Que sa tante viendrait bientôt donner les modalités des hostilités.

Une heure après la Déesse Aphrodite en personne fit son entrée. Elle dévisagea chaque chevalier et rit intérieurement du mauvais tour qu'elle allait leur jouer, enfin lui jouer.

Aphrodite – Ma nièce je te défie, comme Zeus te l'a déjà annoncé. Mon héros doit parcourir les douze maisons du zodiaque du bélier au grand temple, et cela en m'honorant avec chaque gardien.

Saorie – Soit,

Aphrodite – Si mon héro réussit l'amour inondera le monde, sinon, ce qui doit te ravir je renoncerai à troubler les destinées humaine avec. Pour cela il auras… y a combien de flamme sur l'horloge ?

Saorie – 12 flammes.

Aphrodite – 12 heures. C'est un peu juste disons 2 tours du cadran.

Saorie – Et votre héro ?

Aphrodite – Je peux un choisir un où je veux ?

Saorie – bien sûr

Aphrodite – Toi ! Chevalier tu seras mon élu.

Saorie – Camus sera votre

Aphrodite – L'épreuve commencera demain à la pique du jour.

Sur ceux elle quitta la pièce, laissant la japonaise inquiète et le verseau défait.

Aphrodite (le chevalier) – ha c'est facile, donc son héros doit coucher avec tous les chevaliers.

A ces mots le chevalier du froid défailli - coucher avec ?

Certain jetèrent un regard compatissant à l'infortuné, leur déesse congédia rapidement le

Verseau et la conversation reprit.

Aphro – Bon, on fait quoi ?

Saorie – Il faut qu'il y arrive !

Milo – Donc on l'aide de notre mieux ?

Saorie – Elle nous facilite pas la tache ; Mais pourquoi a-t-elle choisit le frigide de service !

Aphro – Je me serais bien dévoué.

Saorie – oui, avec toi elle aurait gagné même sans aide.

Shaka – Mais c'est immoral ! Je refuse de faire ça !

Saorie – Je suis ta déesse alors tu serre les dents et tu obéis !

Masque de mort – Penses pas qu'as toi ! Et Camus tu crois qu'il est heureux !

Cette nuit là une grande agitation régna dans les douze maisons, chacun pensant, redoutant le lendemain.

Le verseau se retourna une fois de plus dans son lit, incapable de trouver le sommeil. Il se demanda pourquoi lui, lui qui n'avait jamais eu d'aventure. Avec le temps il c'était dit que c'était normal. Si il ne devait avoir aucun sentiment, l'amour même physique impliquait à la base un sentiment amoureux. Il se serra un peu plus contre son oreiller, demain arriverait et toujours bien trop tôt. Mais pourquoi lui, lui qui n'avait jamais essayé.

Le jour allait enfin ce lever, les combattants étaient en place, la belle déesse escortait son héro et Saorie les accompagnait au bas des escaliers. Les flammes de la grande horloge s'allumèrent, et Camus sous le regard glacé de la déesse de l'amour et celui encourageant de Saorie commença à monter les premières marches vers la maison du Bélier.

A suivre