Auteur : veiledndarkness
Titre : Descent
Traduction : lovePEOPLEandCOWBOY
Résumé : De la naissance à la mort, nous n'avons qu'une vie.
Warnings Usual disclaimer. They aren't mine, they never will be.
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La première fois que Bobby avait trouvé Jack évanouit dans le parc, il avait hurlé et l'avait ramené à la maison, en l'attrapant sévèrement malgré tout. Jack avait marmonné la promesse qu'il arrêterait d'en prendre, qu'il serait clean. Bobby avait voulu le croire.
La deuxième fois, Bobby l'avait traîné d'une des tanières les plus populaires pour drogué, le sermonnant méchamment en emmenant Jack dans la voiture. Il avait hurlé sur une bonne partie du chemin, insistant sur le fait qu'il inquiétait et effrayait Evelyn. Jack ne s'excusa pas, ne donna pas d'explication. A la place, il s'était avâchit dans le siège, regardant par la fenêtre et il avait ignoré les paroles de Bobby.
La troisième fois, Bobby n'était pas là. Il faisait six mois de travaux forcés pour agression. Jack avait disparu quelques semaines, lançant des remarques cinglantes à quiconque le questionnait. Il ne fut pas longtemps avant qu'il abandonne l'école, restant à l'écart pendant plusieurs jours. Cette fois là, Evelyn le retrouva inconscient dans la salle de bain, convulsant légèrement, sa main s'agrippant légèrement sur un flacon à moitié vide d'analgésique qu'il avait volé. Jack était resté silencieux à l'hôpital après qu'ils lui aient fait un lavage d'estomac, faisant de son mieux pour prétendre qu'il n'avait pas besoin d'aide.
La quatrième fois, Bobby était revenu du travail plus tôt, retrouvant Jack allongé au milieu de son lit, murmurant des excuses pour les fautes qu'il avait commis. Il avait serré Jack, lissant ses cheveux en arrière, pressant un baiser sur son front, et il l'avait écouté chaque chose que Jack avait confessée. Sa culpabilité bouleversante, son besoin de ne plus se sentir perdu. Bobby avait acquiescé. Il comprenait. Quand Jack fut plus cohérent, plus conscient de ce qu'il venait de se passer encore, Bobby lui avait parlé calmement, ses paroles le traversant, simplement ça, la fois qui compta le plus.
"TU n'as qu'une vie Jackie, ne passe pas à côté."
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