Prologue
Être faussement amnésique du a une hypnose vampirique et le devenir réellement a cause une rencontre avec un arbre c'est comme être au prise au piège d'un cauchemar terrifiant, un de ceux ou l'on est forcée de fuir de courir jusqu'à ce que les poumons donnent l'impression d'exploser, sans que l'on réussies pourtant à bouger assez vite. Mes jambes paraissaient s'engourdir au fur et à mesure que je me frayais un chemin parmi les badauds québécois insoucieux du grave danger qui se produira à midi alors que les aiguilles de l'immense horloge, elles, ne ralentissaient pas leur course. Animées par une force implacable et inexplicable, elles tournaient indifférentes, se rapprochant inexorablement de la fin – la fin de tout y compris ma vie sexuelle.
J'ai perdu la mémoire sauf pour un seul nom Janes ma bien aimée janes hua, mais je n'étais pas en train de rêver, a elle cependant, et à la différence d'un mauvais songe, je ne cavalais pas pour sauver ma peau mais quelque chose d'infiniment plus précieux dont j'ai oublié le nom. Ma propre survive ainsi celle de la nièce d'Alice ne pesait rien du tout mes yeux, ce jour-là.
Selon Alice, et de cette pute de Janes Ma seul chance de me faire rappelez totalement d'elle de me rappelez de son nom et de la voir en face sans y détourner le regard. Si elle n'avait pas été piégée par le soleil éclatant en menaçant de faire explosée mentalement tout la ville en plein soleil, cela se serait sans doute terminé autrement. Malheureusement, j'étais la seule à pouvoir traverser cette place bondée et baignée d'une lumière accablante.
Or, j'étais incapable d'avancer plus vite.
Voilà pourquoi il m'importait peu que nous fussions cernées par des ennemis si extraordinairement dangereux. Une innocente était en danger et moi seul peu la sauver elle et le monstre que j'ai larguée et que j'ai perdu son nom du a mon amnésie causée par un innocent jeu d'hypnose de Janes Hua et un rencontre accidentelle avec un tronc d'arbre. Lorsque la cloche se mit à sonner l'heure, déclenchant des vibrations sous la plante de mes pieds maladroits tout en l'entendant énoncée l'acte trois de Hamlet je compris que j'arrivais trop tard et je fus soulagée qu'un destin sanglant attendît dans la coulisse. Car en échouant, je perdais toute chance et le désir de retrouver ma mémoire a moitié retrouvée sauf pour son nom.
Un deuxième coup retentit, marquant le zénith exact du soleil ou entend l'être ou ne pas être.
