Pour me changer les idées j'ai décidé de commencer une Fanfic beaucoup plus légère que la première. Par légère j'entends bien sur beaucoup plus « Lemon » et beaucoup moins sombre. J'espère vous divertir sans trop abuser et ne pas me laisser emporter trop loin. Si c'était le cas merci de m'avertir....lol....bonne lecture.

Bella est une call-girl de luxe(humaine) et Edward(vampire) un flambeur grand amateur de Las-Végas et de très belles femmes.


P.O.V. Edward.

Le vol AA 7246 d'Américan Airline en provenance de Paris venait de se poser à l'aéroport de Dallas-Fort Worth.

Les formalités douanières accomplies, je prenais le métro pour quittais le terminal D pour le terminal A départ des vols nationaux en direction de Las-végas.

A peine arrivé devant le panneau lumineux annonçant les vols au départ, j'eus la désagréable surprise de constater que mon vol avait plus de 2 heures de retard. Cela faisait donc a peu près 03h30 à tuer.

Je ne pouvais que pester contre moi-même. Ce matin j'avais raté le jet privé mis à la disposition des «grosses baleines» françaises par le «Bellagio».

Les casinos avaient pris l'habitude de traiter avec tous les égards leurs plus gros joueurs. Par plus gros joueurs, ou «grosses baleines» dans le jargon professionnel, on parlait d'un joueur capable de flamber plus d'un million de dollars par jour aux tables d'un casino.

C'est ainsi que plusieurs fois par an j'étais invité dans les plus beaux casinos de la planète en VIP pour passer quelques jours à assouvir ma plus grande passion: «la flambe».

J'aime plus particulièrement les parties de «Texas hold'em no limit». Je suis capable d'y jouer 2 ou 3 jours durant, sans m'arrêter.

Ce jeu me passionne tellement que je m'astreint à ne pas utiliser mes facultés spéciales car où serait l'intérêt du jeu si je trichais.

J'avais beau pester contre moi-même cela n'accélèrerai pas le temps qui me séparer de l'embarquement. Si j'avais été comme le commun des mortels, je me serai attablé à la première table libre d'un snack et j'aurai déguster un hot-dog avec un coka bien frais(super le cliché américain).

Mais voilà j'étais loin d'être le commun des mortels. Mais moi aussi j'avais une petite envie. A oui je ne vous l'ai pas encore dit. J'ai une autre passion. Les femmes. Je suis un grand consommateur de femmes. Au sens propre comme au figuré.

Seul le jeu peut me faire oublier les femmes. Je suis capable de me priver de femmes pour assouvir ma passion du poker. Je ne pense pas que je renoncerai à une partie pour n'importe laquelle des créatures de cette terre.

Pendant ce temps là à Végas.

P.O.V. Bella.

La chaleur de la caresse du soleil sur mes cuisses dénudées me ramenèrent des bras de Morphée.

Le réveil était difficile et je ne savais pas vraiment ou je me trouvais. Les draps de soie, la taille du lit, sa forme ronde, le luxe de la chambre et surtout sa taille, je devais me trouver dans une des plus belle suite de Végas.

Mais laquelle?

J'étais entièrement nue et je ne voyais aucun de mes vêtements à l'horizon. Délicatement posé sur un coffre en bois précieux magnifiquement sculpté, un peignoir semblait n'attendre que moi.

Je le déplia et m'aperçus qu'il portait le logo du César Palace. Je me dirigeai vers la terrasse pour profiter du point de vue. Époustouflant. La vue était féerique.

Je me trouvais en fait au dernier étage du plus prestigieux hôtel de Végas. Cette suite devait faire 5 fois la taille de mon appart et c'est le genre de suite qui n'est louée qu'à une catégorie très spéciale de clients.

Les grosses baleines.

«ma chérie tu as du décrocher le gros lot».

Je me voyais déjà avec un play-boy milliardaire, genre nouveau riche, PDG d'une boite de nouvelles technologies dans la sillicon vallée.

Il devait surement être beau gosse, type surfer bronzé. Quel dommage que je ne me rappelle de rien.

Je fus tirer de mes pensées par le bruit de la porte, le groom service venait de rentrer dans la suite, il poussait un chariot bien garnit. Cela tombait à point, je mourrais de faim.

«bonjour mademoiselle» me dit le garçon d'une voix polie légèrement teintée de timidité. Il ne devait pas être plus vieux que moi.

«Monsieur Garrisson vous fait dire qu'il n'aura pas le temps de déjeuner avec vous mais qu'il souhaite vous voir pour le diner ce soir»

«il m'a aussi demander de vous dire que votre petit présent se trouvait à coté du téléphone dans le bureau».

Il osait à peine me regarder.

Ma poitrine avantageuse, 25000 $, cadeau de mon dernier ou avant dernier boy friend débordait légèrement et ma peau halé tranchait nettement avec la blancheur du peignoir.

J'aurais bien fait une entorse à ma règle, mais non pas de sexe gratuit et je ne pense pas que son salaire lui permette une seule heure avec moi... même pas une petite gâterie. A la rigueur il pourrait m'apercevoir nue.

Je me dirigea vers le bureau et je n'eus aucun mal à trouver l'enveloppe laissée pour moi par mon généreux bienfaiteur. 150 billets de 100 $. Je n'allais quand même pas en donner un en guise de pourboire.

Il avait beau être mimi comme tout, je n'étais pas sœur theresa. Une petite idée espiègle me parcouru l'esprit.

De retour dans la chambre, je pris soin de me baisser pour ramasser mon string en mettant bien mes fesses en l'air et à l'air afin qu'il profite du spectacle.

A la rougeur sur ces joues je compris que j'avais réussi mon effet.

J'enfilais donc mon string tout en le fixant coquinement du regard. Puis je m'approcha de lui et tout en lui faisant, avec la main une douce caresse sur le visage, je le remercia et l'invita à partir.

Et voilà comment on sauve un billet de 100 $. Il était temps de passer à table, la magnifique horloge accrochée au mur en face du lit indiquée 15h30.

A 1700 km de là.

P.O.V. Edward

Toujours préoccupé par le temps que j'avais à tuer, je ne m'étais pas aperçu qu'une jeune femme se tenait à quelques mètres de moi.

Elle paraissait agacée car elle n'arrivait pas, à priori, à se servir de son téléphone portable. Vêtue d'un tailleur élégant, de couleur sombre qui faisait ressortir sa longue chevelure blonde platine.

Elle tenait à la main une petite mallette en cuir qui à la forme devait contenir son PC portable. En bandoulière un très chic sac de marque Guess avait tendance à glisser de son épaule à chaque fois qu'elle torturait son mobile.

Elle avait le charme de ces cadres supérieures qui déambules dans les couloirs des grosses multinationales. On se laisserait volontiers harceler par son patron quand on devinait les courbes que son tailleur, pourtant strict, n'arrivait pas à dissimuler.

Une seconde de concentration me permis de lire dans ses pensées. Elle pestait contre son assistante qui avait du oublier, encore une fois, d'activer son forfait en mode international.

Elle ne pouvait donc se connecter à aucun réseau sur le sol américain et elle ne pouvait donc pas par conséquence avertir de son retard la personne chargée de la récupérer à son arrivée à Végas.

J'allais donc jouer au chevalier servant.

«excusez mon impertinence mademoiselle mais me permettez vous de vous venir en aide?»

La je pense que je passe pour le vrai Bauf mais bon après tout il y a encore des gens pour apprécier la politesse.

Elle était vraiment jolie, très peu maquillée et je pouvais sentir l'odeur discrète mais présente de son «Chanel numéro 5». Elle devait avoir à peu près 25 ans.

Elle me regarda un peu surprise et me dit «pourquoi vous êtes opérateur de téléphonie mobile?»

Il y avait de l'agacement dans sa voix.

Je me contenta de la fixer et de faire une légère moue de dépit et je lui dis en souriant:

« non mais si vous le désirez je peux vous prêter le mien. Mon assistant a eut la bonne idée avant que je parte du bureau de m'activer un forfait international illimité ».

«vous êtes surement mieux secondé que moi et c'est avec grand plaisir que j'accepte votre proposition.»

Je lui tendit mon téléphone en lui disant de prendre tout son temps et j'eus même la courtoisie de m'écarter afin de lui laisser l'intimité de la conversation.

Bien sur, même si elle était partie téléphoner à l'autre bout du hall je n'aurais rien manqué de sa conversation.

La personne au bout du fil semblait un peu agacée et la perspective de devoir l'attendre 3 heures de plus ne l'enchantait pas du tout. Il s'agissait en fait de son big boss qui lui arrivait de Londres par un vol direct.

Il lui fit comprendre que la limousine ne l'attendrait pas et qu'elle n'avait qu'à prendre un taxi pour le rejoindre au Cesar Palace lieu de leur convention sur les cellules photovoltaïques.

Il abrégea la conversation. Elle semblait un peu déstabilisée.

C'était surement sa première mission à l'étranger et rien ne semblait se dérouler comme elle l'avait prévu.

Elle me tendit le téléphone en me remerciant:

« merci beaucoup monsieur et excusez moi si je vous ai quelques peu blessé par mes propos »

« ce n'est rien » répliquai-je presque aussitôt « la première fois moi j'ai raté l'avion »lui dis-je d'un ton compatissant.

« vous avez raté l'avion »me dit elle d'un ton interloqué.

« oui, pour ma première mission, je devais me rendre à Hong Kong et comme je n'arrivais pas à trouver le sommeil la veille , j'ai pris des somnifères et je ne me suis pas réveillé »

«elle esquissa un léger sourire »

Tout en continuant mes amabilités je l'invitais à nous assoir pour prendre un rafraichissement.

Nous avons ainsi passé deux bonnes heures à nous raconter nos péripéties lors de nos déplacements professionnels. Je n'avais aucun mal à remettre aux gouts du jour tout se qui avait pu m'arriver en 109 ans.

« les passager du vol AA 4969 pour Las Végas veuillez vous présenter porte 35 pour les formalités d'embarquement »

La voix dans le haut parleur du hall venait de nous interrompre.

« Je crois que notre vol est enfin annoncé »

« oui, en effet, au bout de trois heures c'est pas trop tôt. » dit elle en soupirant « mais j'aurais tant aimé que vous ayez le temps de me terminer le récit de votre fantastique histoire avec les bédouins dans le désert marocains. »

« J'ai un billet en business classe et vous? »

« pour le vol intérieur oui, il n'y en avait plus de disponible pour le transatlantique »

« Parfait nous serons peut être pas trop loin et nous pourrons continuer notre conversation »

Elle ne savait pas que j'achetai systématiquement la place à coté de la mienne afin d'être tout seul lors de mes déplacements.

J'avais du mal à supporter la présence d'inconnus à mes cotés. Ils étaient soit pénibles soit trop appétissants. Dans les deux cas j'avais du mal à ne pas les tuer avant la fin du vol.

Une fois à bord, je n'eus donc aucune difficultés à lui dire que la chance était de notre coté et qu'il n'y avait pas de passager à coté de moi et qu'elle pouvait donc, une fois que nous serions en vol, venir s'asseoir avec moi.

La discussion se faisait plus amicale et elle pris l'initiative:

« nous ne nous sommes même pas présentés, si vous le permettez je m'appelle Valérie Pourien et vous? »

« je m'appelle Edward, Edward Cullen » « et si nous en sommes au présentation permettez moi de proposer que nous nous tutoyons. »

« je , je suis d'accord »me dit elle « alors tutoyons nous Edward »

Je profitais du reste du vol pour user de mon charme naturel, et aidé un peu,beaucoup, par mon charisme si envoutant de vampire, pour quelle se sente vraiment à l'aise et en confiance avec moi.

Nous en étions à nous raconter des histoires un peu plus croustillantes et à parler de ci de là de nos ex, de nos conquêtes, elle m'avoua qu'elle était seule depuis un an, même pas une petite aventure pour le fun, tellement elle était occupé à faire évoluer sa carrière.

Je me mis au diapason de ce qu'elle me disait et lui dit que de mon côté c'était pareil je m'investissait à fond dans ce que je faisais et que cela faisait longtemps que je n'avais pas eut une vraie aventure , juste un casse croute par-ci par-là et encore cela faisait tellement longtemps que je ne savais pas si cela faisait 6 mois ou un an.

« vraiment Edward, pourtant tu es fort séduisant, je croyais que quelqu'un comme toi collectionnait les aventures. »

« c'est marrant Valérie c'est exactement ce que je pensais de toi et c'est pour ça que j'ai hésité à t'aborder pour t'aider car j'avais peur que tu croies que je voulais te draguer »

Elle posa sa main sur la mienne et nous nous mimes à rire de bon cœur.

Le pilote annonçait notre descente sur l'aéroport de Végas.

Nous avons récupéré nos bagages sur les toboggans automatiques et je lui ai demandé si elle voulait profiter de la limousine qui venait me chercher.

Elle hésita un instant puis me dit « d'accord Edward mais je ne voudrais pas avoir l'air d'abuser de te gentillesse »

« mais non Valérie sinon je ne te l'aurai pas proposé »

Comme à son habitude, le personnel du Bellagio avait soigné le moindre détail et la limousine était somptueuse, digne des plus grandes stars avec ses vitres noires opaques et son bar intérieur remplis de Don Perignon, mon champagne préféré.

Valérie semblait sous le charme et me dit: « ton patron doit te tenir en haute estime pour prendre soin de toi de la sorte, moi je me contente de profiter de sa voiture ou je dois prendre un taxi ».

Elle semblait un rien envieuse.

«Tu sais Valérie quand tu auras deux ou trois année de suite doublé ton CA (chiffre d'affaire) tu verras il te mangera dans la main».

Le bouchon de la bouteille alla rebondir sur le capitonnage du toit et un léger trait de champagne finit sa course à l'endroit exact ou je l'avais dirigé, c'est à dire en direction de son décolleté.

Elle poussa un léger cri de surprise et prenant l'air vraiment embarrassé je me fendit de plusieurs « excuse moi Valérie, je suis vraiment maladroit »

Elle semblait vraiment embêtée.

« ce n'est rien Edward, le champagne ne doit pas être assez frais. C'est courant quand le champagne n'est pas assez frais qu'il déborde de la bouteille »

« c'est juste embattent car je dois me rendre directement au congrès et que je vais sentir l'alcool car nous avons accès à nos chambres qu'à partir de 19h00.»

Elle essayait de réparer les dégâts avec une serviette en papier mais le mal était fait et son tailleur ainsi que son chemisier était imbibés de champagne.

« écoutes Valérie je sais comment me faire pardonner. »

« on vas passer au Bellagio, ils ont un service de pressing irréprochable et ils auront vite fait de nettoyer mes bêtises et dans le cas contraire je me ferai un plaisir de t'offrir l'hospitalité de ma chambre pour que tu puisses de changer »

La j'avais peur d'y aller un peu trop directement mais un peu à ma surprise elle n'omit pas d'objection.

La responsable du pressing nous confirma qu'il leur faudrait a peu près deux heures pour réparer les dégâts.

« je n'ai malheureusement pas deux heures Edward, mon congrès a déjà du commencer, je préfèrerai aller rapidement me changer »

Je fis signe au service d'étage de monter sans attendre nos bagages et nous suivîmes le garçon d'étage jusqu'à l'ascenseur.

« ravi de vous revoir monsieur Cullen, j'espère que votre séjour sera agréable et que vous aurez de la chance »

« merci Allan »

« nous vous avons réservé la suite Astrale comme à votre habitude »

« tout est toujours parfait Allan je vous remercie » lui dis-je en lui tendant un billet de 100 $ sous le regard un peu médusé de Valérie.

L'ascenseur s'arrêta au dernier étage et Allan nous accompagna jusqu'à la porte de la suite. D'un coup de carte il déverrouilla la porte et nous pria d'entrer.

A voir la tette de Valérie elle n'avait jamais vue une suite de 300 m² surtout pas une suite dans un palace comme le Bellagio, une suite qui se louait à plus de 50,000 $ la semaine.

Un deuxième billet de 100 $ dans la main d'Alan écourta sa présence.

Valérie interloquait par tant de classe et de luxe et surtout par tous les égards qu'avait envers moi le personnel de l'hôtel me dit:

« Edward dis moi la vérité tu n'es pas qu'un directeur commercial dans l'industrie chimique ».

« non en effet, je te dois la vérité. En fait je suis un vampire et j'ai décidai d'abuser de toi et de boire ton sang ensuite ».

Elle se figea puis éclata de rire « Edward je pense que cette histoire sera encore plus captivante que celle des bédouins »

« La salle de bain est au fond à droite, Valérie »

Son rire l'accompagna dans le couloir.

Arrivée dans la salle de bain, elle me demanda « Edward je peux prendre une douche rapide, je n'ai jamais utilisé une salle de bain aussi luxueuse »

« Fait comme chez toi » lui dis-je.

J'entendis l'eau couler.

J'entrouvrais la porte et j'admirai la silhouette que me laissait deviner la vitre de la cabine de douche.

« tu m'as parlé? » cria t elle comme si j'étais encore à l'autre bout de la suite.

« non je n'ai rien dis. » dis-je d'une voix calme et posée.

Au timbre de ma voix elle devina ma présence et me dit « puisque tu es là, rends toi utile s'il te plait et passes moi un peignoir et une serviette »

Je ne répondit pas.

Elle fit coulisser la porte et me dit « alors tu as perdu ta langue ?»

Elle était vraiment superbe. Elle se tenait là, nue, des gouttes d'eau dansaient sur les courbes de son corps d'autres s'écoulaient lentement le long de ses cuisses.

« oui je l'ai perdue, peut être la tu retrouvée? Ou peut être sais tu ou est elle allée? »lui dis-je d'un air plein de sous entendu.

« non » me dit-elle « mais je sais ou je serai allé si j'étais une langue »

« ha oui ! Et tu serai allé ou alors ? »

« je ne sais pas » dit elle tout en faisant remonter lentement sa main à l'intérieur de sa cuisse.

« je serai surement allé dans un endroit doux et soyeux » Sa main venait d'effleurer le léger duvet blond qui démarquait son bas ventre. »

Je m'agenouillai devant elle.

Mes lèvres se posèrent juste au dessus de son genou. Je commençais à faire de léger cercles sur sa peau tout en remontant très lentement me laissant guider par la douceur de sa peau.

Ma bouche semblait comme aimantée, elle était inexorablement attirée par son intimité. A son contact, j'introduis ma langue entre ses lèvres.

Elle était déjà chaude et humide. J'étais déjà conquis pas son goût et sa saveur.

« je crois que tu avais raison, je l'ai retrouvée » lui dis-je en poussant encore plus loin mon exploration buccale.

Elle gémit doucement et saisit ma tette à pleines mains comme si elle avait voulu que je puisse pénétrer encore plus loin en elle. Sa saveur se faisait de plus en plus abondante.

Elle s'était appuyée contre le mur et avait passée une jambe derrière ma tête en appuis sur mon dos de sorte d'ouvrir encore plus son entre-jambe.

Je me délectais de son nectar. Plusieurs fois je saisi délicatement entre mes lèvres son clitoris et je l'aspirais doucement tout en introduisant un de mes doigts délicatement au plus profond de son sexe.

Elle mouillait maintenant abondamment et je n'eut aucun mal à introduire un deuxième doigts et à accélérer mes va et viens.

La cadence de ses gémissements suivaient le rythme de mes aller venus en elle et mes petites succions sur son clitoris lui arrachaient des cris de plus en plus prononcés.

Elle jouit dans ma bouche par petits jets chauds et légèrement sucrés tout en étant parcouru par des spasmes qui contractèrent sa paroi abdominale.

Elle me releva et m'embrassa à pleine bouche comme si elle voulait déguster à son tour toute la jouissance qu'elle venait de déverser autour de ma bouche.

Tout en m'embrassant, sa main descendit le long de mon ventre et elle commença à défaire ma ceinture.

J'enlevais mon pantalon, mon caleçon et mon tee-shirt.

Elle saisit mon sexe à pleine main comme si elle voulait jauger de sa longueur et de sa largeur puis s'attarda sur mes testicules quelle malaxa avec habileté.

Elle se mit a genoux et engloutit mon gland. Sa bouche était chaude. Sa langue jouait comme si nous étions encore en train de nous embrasser.

Elle tournoyait autour puis descendait le long de ma verge en direction de mes bourses et remontait titiller l'orifice d'où bientôt jaillirait ma semence.

Ses mains pétrissaient mes fesses et caressaient le haut de mes cuisses. Je commençais quelques mouvement de bassins faisant pénétrer mon sexe au plus profond sa gorge.

Voyant mon état d'excitation elle se releva , se mit dos à moi, écarta les jambes et guida mon sexe dans son vagin.

Elle pris appuis par terre avec ses deux mains. Je me mis à la posséder violemment par à coups.

A chaque coups de butoir elle répondait par un oui de plus en plus animal.

Ne pouvant résister à l'ardeur de mes assauts elle glissa et se retrouva face contre terre ce qui eut pour effet de la faire se cambrer encore plus et de rendre encore plus profonde ma pénétration.

Elle jouit et je la rejoignit dans l'extase. De longs jets chaud se répandirent en elle.

Elle sourit et avant qu'elle n'ouvre les yeux à nouveau, je plantais mes dents dans sa carotide et je me mis à boire son sang.

Je finis de la déguster jusqu'à la dernière goutte.

C'était si bon de pouvoir se nourrir ainsi juste après avoir jouit. J'adorai ca.

Je fis appeler Alan. Comme à son habitude il me demanda 10000 $ pour se débarrasser du corps de l a pauvre Valérie. Il me rappela que le tournoi commençait dans 2 heures.

A suivre...