Notes : Bonjour tout le monde ! Aha, ça faisait un moment que je n'avais pas posté de fanfics, surtout de fanfics Merlin ;) Eh bien me revoilà avec quelque chose de tout nouveau, mon premier AU modern Merthur ! Cette histoire sera donc un slash ! (m'enfin pour ceux qui me lisent vous me connaissez ça reste gentillet et à peu près innocent haha) et pour les nouveaux, eh bien j'espère que vous aimerez cette fic et je vous laisse donc ici commencer votre lecture :)

Il aurait du savoir que venir ici était une mauvaise idée. Gwen avait longtemps insisté pour qu'ils aillent à une discothèque. Le truc, c'est qu'elle n'avait pas précisé quelle sorte de discothèque. Ils étaient dans une boite gay. Quand il avait demandé des explications, elle s'était excusée en prétextant qu'un ami lui avait donné rendez-vous ici afin de « s'amuser » un peu. Le pire, c'était qu'elle semblait s'amuser. Sur la piste de danse, elle se déhanchait sous le rythme de la musique, avec un grand sourire. Il ne savait même pas comment elle avait trouvé le moyen d'entrer ici.

Et lui ? Oh eh bien, il devait trouver toute sorte de planque, à l'abri des garçons un peu trop lourds. Il ne pouvait pas leur en vouloir. Ils étaient dans une boite gay. Mais étaient-ils vraiment obligés de lui mettre une main aux fesses toutes les cinq secondes alors qu'il essayait de se détendre sur la piste ? C'était désespérant. En plus, il n'était pas gay. Après tout, il était sorti avec une fille ou deux, et il se rappelait même très clairement avoir été amoureux de Freya. Mais Freya était une histoire spéciale. Une histoire qu'il voulait juste... effacer.

Il décida d'aller au bar. Il avait soif, et il en avait ras-le-bol d'être là à rien faire. Il s'assit sur un tabouret, et commanda une bière. Il fallait dire qu'il n'avait pas grand chose pour se permettre plus.

Seulement le serveur lui donna à la place de la bouteille attendue un verre rempli de cocktail.

- Excusez-moi, dit-il, je crois que vous vous êtes trompé...

- Non, répondit-il, le jeune homme de là-bas vous offre une tequila.

Il leva les sourcils, surpris. L'homme que le serveur désignait était brun, avec un peu de barbe et un regard espiègle. Voyant qu'il avait été remarqué, il sourit d'un air charmeur, et se déplaça, avec l'intention visible d'aller jusqu'à lui.

Paniqué, il n'eut même pas le temps d'essayer de fuir que l'homme était là, juste à côté de lui.

- Bonsoir, dit-il charmeur, tu t'amuses bien ici ?

C'était parfois désespérant de constater que parce qu'il paraissait moins que son âge, les gens avaient tendance à le tutoyer directement.

- Si on veut... je suis venu.. pour une amie.

- Et où est-elle cette amie ?

- Sur la piste, répondit-il en touillant distraitement sa boisson avec sa paille.

L'homme l'observa quelques secondes, avant de tendre sa main vers lui en un geste théâtral :

- Je me nomme Gauvain, mais appelle-moi Gwaine.

- Salut Gwaine, dit-il sans grand entrain.

- Puis-je connaître ton nom ?

Il ouvrit la bouche pour répondre..

...

Assis tout seul à une table, Arthur se dit qu'il aurait dû venir seul, comme à son habitude. Mais ses amis avaient tous insisté pour l'accompagner, afin de voir à quoi ressemblait une discothèque gay. Il avait trouvé ça stupide, puisqu'il était le seul de la bande à l'être, mais avait cédé. Et à présent, ils dansaient tous, et livraient un beau spectacle. Lancelot, tout innocent qu'il était, semblait avoir oublié qu'ici, c'était pour draguer les hommes et non les filles, car il était en train de parler à une jolie fille aux cheveux frisés marrons et aux yeux chocolats. Et celle-ci ne le repoussait même pas.

Ils étaient en train de se ridiculiser. Agacé de les voir faire les intéressants sur la piste de danse, il alla au bar. Il demanda une tequila. Pendant que le barman s'en occupait, son regard se promena sur les quelques hommes assis au bar. Il y avait un rouquin, un blond, plutôt séduisant d'ailleurs, mais il sentait que ce n'était pas lui qu'il devait choisir.

Son regard finit par se poser sur un jeune homme de son âge, aux cheveux noir de jais, habillé d'une chemise verte par dessus laquelle il avait une veste bleue, et un jean de la même couleur, en train de discuter avec un autre homme et de siroter son verre.

Il prit son verre, et partit s'installer à côté du brun .Celui-ci le remarqua tout de suite, il le vit bien. L'espace d'une seconde, son regard l'avait suivi, avant de se replonger dans la conversation avec l'autre homme.

Déterminé, il posa sa main sur l'épaule du brun, et dit en regardant l'autre homme dans les yeux :

- Excusez-moi, vous pourriez peut-être... partir plus loin. Il me semble évident qu'il n'est pas intéressé.

L'inconnu le regarda, une lueur d'amusement dans le regard, nullement offensé. Le brun, en revanche eut l'air énervé.

- Peut-être que je le suis ! s'exclama-t-il, comment le sauriez-vous ?

L'autre mit sa main sur sa deuxième épaule, et murmura :

- Laisse.. ce n'est pas la peine.

Puis il ajouta plus bas, pour éviter qu'Arthur n'entende :

- Et puis, on sait tous les deux qu'il a raison non ?

..Suivi d'un clin d'oeil. Il se leva de son tabouret, et s'adressa à lui :

- Comportez-vous bien, ou vous aurez à faire à moi !

Arthur sourit, tandis que le brun s'écriait, indigné :

- Gwaine !

Le dénommé Gwaine rigola de bon cœur, avant de s'en aller. Mais Arthur devinait qu'il n'avait pas dit ça en l'air, et serait prêt à intervenir à tout dérapage.

- Alors ? Puis-je connaître votre nom ? demanda-t-il avec un sourire charmeur.

- Non, répondit-il d'un ton sec, espèce de...

- Je suis Arthur, vous n'alliez pas dire un juron j'espère ? demanda-t-il d'un air innocent mais amusé.

- De tête de cuillère ! finit l'autre.

Il leva un sourcil. Ça, c'était nouveau.

- Qu'est-ce qui vous donne le droit de venir ici et de chasser mon ami hein ?

- Arrêtez, j'ai bien vu que vous en creviez d'envie.

- Pas du tout ! Qui aurait envie de se retrouver avec quelqu'un d'aussi...

- .. Irrésistible ? Elégant ? Génial ?

- .. royalement crétin ! Et puis d'abord qu'est-ce qui vous a fait penser que je voulais vous voir hein ?

- Vous m'avez regardé.

- Non.

- Si.

- Pas une seconde !

- Mais un peu quand même.

- Ce n'est pas vrai !

- Vous avez raison, c'était plus d'une seconde.

- Pas du tout, je vous ai regardé à peine deux millièmes de sec...

Devant le regard victorieux du blond, le brun se renfrogna. Et puis d'abord de quel droit cet homme venait-il ici lui dire tout ça ? C'est vrai quoi.. avec sa veste en cuir entre le marron et le noir, son élégante chemise rouge, et son pantalon marron, ses cheveux couleur or... il n'était pas si beau que ça. Ou peut-être un peu quand même. Ou peut-être beaucoup..

- Si ça peut vous rassurer, vous n'êtes pas mal non plus puisque vous avez attiré mon attention, concéda Arthur avec un petit sourire.

- Monsieur est trop gentil, marmonna-t-il, je devrais me sentir impressionné.

- Vous le seriez encore plus si vous m'accompagniez sur la piste de danse.

Devant l'hésitation du brun, Arthur trouva utile d'ajouter :

- Sauf si vous avez la trouille de danser mal.

Une lueur déterminée apparut dans le regard bleu du brun, et il se leva du tabouret, avec l'intention d'y aller. Arthur, fier de lui, l'accompagna.

Déterminé à oublier ses amis, il plongea ses propres yeux bleus dans ceux de son cavalier. La danse bougeait bien. Très proches, mais sans pour autant se toucher, ce fut comme un jeu qui se jouait entre eux. Aucun ne quitta du regard l'autre durant toute la danse. Jamais il n'avait eut un contact visuel aussi...intense avant.

La chanson suivante en revanche, fut une chanson plus calme, idéale pour un slow. Devant la main tendue par Arthur, le brun hésita, puis en croisant de nouveau les yeux bleus, la saisit. Le contact les fit tout deux frissonner. Leurs corps se collèrent, et ils tournèrent.

Le brun avait presque l'impression de sentir les battements de cœur de son partenaire. A quoi jouait-il ? Il l'ignorait. Tout ce qu'il savait, c'était que ce Arthur l'avait énervé, et une envie de lui rabattre le caquet l'avait pris.

Mais à présent qu'il était collé à lui, il avait un peu peur. Ce qui était au départ un jeu devenait de moins en moins innocent avec le temps. Il sentait leurs corps se coller de plus en plus, et ça le rendait mal à l'aise. La chanson toucha à sa fin. Avec un certain soulagement, il s'écarta du blond, et croisa de nouveau cet incroyable regard qu'il possédait. Ce fut comme si un sort l'avait cloué sur place. Il se figea, et attendit.

Les lèvres si tentantes d'Arthur s'approchaient doucement des siennes. Avec une lenteur presque désespérante. Mais alors qu'il effleura sa bouche, ce fut comme une décharge électrique qui le prit, et il se recula brutalement, sous le choc.

Arthur le regardait, surpris. Avant qu'il ne puisse dire quelque chose, il s'enfuit. Il entendit à peine le « Hey ! » poussé par le blond. Tout ce qui lui importait était de sortir vite d'ici. Tant pis pour Gwen. Elle comprendrait.

Il emprunta la première porte de sortie qu'il trouva, et se retrouva enfin à l'extérieur, dans l'air frais. Mais alors qu'il se croyait loin d'Arthur, celui-ci arriva à son tour. Surpris, il essaya de s'enfuir de nouveau, mais une main s'enroula autour de son poignet, et le ramena illico juste en face du blond.

- Laisse-moi ! s'écria-t-il.

- Puis-je au moins savoir ce qu'il s'est passé ?!

- Je.. Je ne suis pas gay !

- Il s'est pourtant passé un truc, là-bas, tu le sais comme moi ! N'ose même pas me dire que tu n'as rien ressenti !

Ne sachant pas quoi faire, il baissa la tête. Arthur, énervé par ce comportement, le plaqua contre le mur. Leurs yeux se rencontrèrent de nouveau, et cette fois, aucune fuite n'était possible. La magie recommença, et le blond l'embrassa à pleine bouche, goûtant avec gourmandise les lèvres de son compagnon. Celui-ci répondait d'ailleurs tout aussi hardiment. C'était un baiser passionné, comme s'ils avaient attendu toute leur vie ce moment.

La main d'Arthur se posa sur la nuque du brun, rejointe bientôt par la main du concerné sur cette même main . Tous deux se sentaient transportés, et ne pouvaient se résoudre à briser ce moment magique.

Ils se séparèrent finalement, le besoin de l'air étant présent. Pendant un instant, ils se regardèrent. Le brun avait l'air presque effrayé, comme s'il venait de se rendre compte de ce qu'il s'était passé. Finalement, il le repoussa violemment, et de nouveau voulut courir.

- Attends ! Je pourrais peut-être au moins avoir ton nom ! Moi, je t'ai dit le mien ! s'écria Arthur.

Cela eut le mérite de stopper le brun, qui se retourna vers lui, avec hésitation.

- Merlin, se décida-t-il à répondre.

Puis il recommença à courir, et cette fois, Arthur ne le retint pas.

...

- Où tu étais passé hier ? Je t'ai cherché au moins une heure !

Il savait qu'il n'aurait pas dû venir rendre visite à Gwen. Mais ça avait été plus fort que lui. Il avait juste eu envie d'avoir quelqu'un à qui parler.

- Est-ce que tu te rends compte, poursuivit-elle, que j'ai dû laisser un type, le seul hétéro de la boite sans doute, en plan juste pour te retrouver ?

- Le seul hétéro ? Je te remercie ! Et moi alors, je suis quoi ? répliqua-t-il.

Parfaitement. Hier soir avait été juste un baiser... sans aucune signification.

- Toi, tu es une catégorie bizarre, répondit-elle, et ne change pas de sujet !

- Comment ça une catégorie bizarre ?

- Je ne sais pas.. tu es toi. Dans tous les cas, laisse-moi encore une seule fois en plan dans une boite gay, et je t'assure que tu le regretteras !

- Je te signale que c'est toi qui m'a laissé tout seul. Je suis resté mais tu ne te décollais pas de la piste. J'ai fini par partir, mais j'ai oublié de te prévenir.

- Heureusement pour toi que j'ai son numéro de téléphone, dit-elle, ou tu l'aurais regretté toute la vie.

- Oh, je suis si soulagé, ironisa-t-il, alors ? Dis-moi comment ça se fait qu'un hétéro soit là ?

- Il m'a dit qu'il accompagnait un ami, répondit-elle, il s'appelle Lancelot.

Merlin hocha la tête, distrait.

- Eeeeet, continua-t-elle avec un sourire excité, il m'a dit qu'il connaissait quelqu'un qui cherchait un homme à tout faire. Il aurait besoin d'aide pour son jardin, ou construire des meubles, réparer des trucs ...

Il releva la tête vers son ami, vaguement intéressé. Il cherchait un travail d'été, et homme à tout faire pourrait convenir. Il n'était pas particulièrement doué non plus dans ce genre de domaine, mais il n'était pas nul.

- Alors je lui ai dit que je connaissais quelqu'un qui était merveilleux et qui serait probablement intéressé, et il m'a promis d'en parler à son ami.

- Quelqu'un qui était merveilleux ? répéta Merlin en haussant un sourcil, si tu faisais référence au travail, à mon avis mon employeur risque d'être déçu.

- Il fallait bien te mettre un peu en valeur ! rétorqua-t-elle.

Il s'apprêta à répliquer, mais une sonnerie de portable raisonna. Gwen s'empressa de prendre le sien, et de décrocher.

- Allo ? …. Ah, Lancelot ! Oui je vais très bien, et toi ? ….. non c'est vrai ? C'est génial ! Merci beaucoup, tu es génial !

Elle continua de lui faire des compliments pendant une minute, avant de décrocher.

- Son ami veut te rencontrer cette après-midi à 15h !

Il avala sa salive de travers, et se mit à tousser. Il réussit à articuler :

- Quoi ? Mais comment tu veux que j'ai le temps de préparer un entretien d'ici trois heures ? Il ne va jamais m'engager, je n'ai même pas imprimé de CV !

- Rassure-toi, tu n'as pas besoin de tout ça ! répliqua-t-elle, son ami ne cherche pas quelqu'un d'exceptionnel non plus. Tu n'auras plus qu'à me remercier ce soir en te mettant à genoux et voilà !

Comment la fille toute timide et gênée qu'il avait connu avait pu se transformer en.. ça ? C'était un vrai mystère. Une autre sonnerie raisonna soudain. Il comprit que cette fois, ça venait de son téléphone, et décrocha.

- Ah ! Merlin ? C'est Gwaine ! Alors, comment c'était hier avec l'autre blond ?

Gêné, il répondit précipitamment :

- Salut Gwaine... il n'y.. il n'y rien eu hier. Rien du tout. Excuse-moi, je dois y aller, mais je te rappelle !

Sans lui laisser le temps de répondre, il raccrocha . Il se sentit un peu coupable de faire ça, alors que le jeune homme avait été si gentil avec lui hier, mais il ne voulait pas que son amie soit au courant. Celle-ci le regarda justement d'un air soupçonneux.

- Gwaine ? Qui est-ce ? Un gars de la discothèque ?

- Non ! Pas du tout ! s'exclama-t-il, c'est juste.. un.. un vieil ami...

- Qu'est-ce que tu voulais dire par il n'y a rien eu hier ? demanda-t-elle.

Il ne put s'empêcher de se maudire lui-même, pour avoir mentionné la veille.

- Euh... je.. je lui avais dit que tu m'entraînais de force dans une discothèque. Et.. il voulait savoir si j'avais survécu .

Elle eut un sourire compréhensif, avant d'ajouter :

- Tu sais c'est pas si grave de ne pas savoir mentir. Tout le monde ne peut pas le faire.

Merlin ouvrit la bouche, puis la referma, puis l'ouvrit.. puis la referma . C'était trop tard, il le savait. Il était grillé.

- D'accord, Gwaine est quelqu'un que j'ai rencontré hier... mais c'est un ami ! ajouta-t-il.

Gwen hocha la tête, méfiante.

- Donc... tu l'as rencontré dans une boite gay ? Et c'est juste un ami ? Tu es sûr qu'il voit ça comme toi ?

- Oui ! s'indigna-t-il, évidemment ! Bon au début il était venu pour.. enfin maintenant c'est bon, il sait très bien que je ne suis pas intéressé !

Son amie leva un sourcil, un peu perplexe, mais finit par le laisser tranquille.

...

- Dire que je vais sans doute embaucher un bon à rien juste pour te faire gagner des points auprès de cette... Gwen ! marmonna Arthur, il a intérêt à être un minimum bon !

- Elle m'a assurée qu'il était merveilleux !

- Etant donné qu'elle est son amie, je crois que j'aurais été un peu inquiet pour son amitié si elle avait dit qu'il était nul, ironisa-t-il, je n'arrive pas à croire que tu aies réussi à avoir quelqu'un dans une boite gay, alors que dans une boite hétéro tu n'as jamais trouvé personne.

Lancelot remua, mal à l'aise.

- Je n'ai pas été le pire. Léon et Percy n'arrêtaient pas de faire les imbéciles sur la piste, je te rappelle.

- Comment l'oublier, gémit-il, je te ferais dire que c'est moi qui ai du aller les chercher, et devant tout le monde ! Si ma réputation n'est pas foutue après ça...

- Et à part ça ? Tu as réussi à... trouver quelqu'un ?

Arthur mélangea son café, songeur.

- Oui... et non. C'était bizarre. J'ai trouvé quelqu'un, et on s'est embrassés, mais... je ne suis pas sûr qu'il ait apprécié. Enfin je veux dire.. je sais qu'il a aimé, mais... direct après, il s'est enfui. Il était plutôt confus. Il m'a dit qu'il n'était pas gay. J'aurais dû le laisser tout de suite au lieu de me jeter sur lui. En tout cas, je ne suis pas prêt de le revoir.

- S'il n'est pas gay, qu'est-ce qu'il faisait dans une boite gay ?

- Et c'est toi qui me dit ça ? répliqua Arthur.

Lancelot rougit.

- Oui bon... ce soir tu pourras toujours y retourner et trouver quelqu'un d'autre.

- Moui...

Il but une gorgée de café, toujours songeur. Le jeune homme de la veille n'avait pas quitté ses pensées. Le baiser avait été incroyable, et jamais il n'avait ressenti ça avant. Il voudrait surtout le retrouver, plutôt que de tourner la page et jeter son dévolu sur quelqu'un d'autre.

« Ding dong »

- Ce doit être eux, annonça Lancelot d'un air réjoui, je sortirai avec Gwen pendant que tu t'entretiendras avec ton futur homme à tout faire !

- Je sais, ne t'en fait pas, tu seras seul avec ta future chérie, j'ai saisi, c'est la dixième fois que tu me le dis ! répliqua Arthur en se dirigeant vers la porte.

Il l'ouvrit, et découvrit la fille d'hier avec qui Lancelot discutait, et... lui.

Notes : Et voilà, j'espère que vous avez aimé ce premier chapitre, si c'est le cas, je vous invite à faire votre bonne action de la journée et à laisser une pitite review (comme ça vous serez sûrs que le Père Noël il passera O:-) )