Prologue
Hey ! Salut les gens !
Me revoilà pour une nouvelle fanfic Solangelo écrite en collaboration avec Kalilith sur Wattpad. J'espère qu'elle vous plaira !
Bonne lecture !
Samedi 6 mai 2028 – Heure : Inconnue – Lieu : Inconnu
Pdv : X
Ma victime était là, juste devant moi. Elle tremblait de tout son corps, ce qui me procurais une satisfaction malsaine. Elle était attachée sur une chaise, immobilisée par des clous rentrant dans ses bras et ses cuisses.
J'avançais vers elle. C'était un homme d'une trentaine d'années. A mon approche, il se figea, paralysé par la peur.
J'esquissai un sourire carnassier tout en sortant un scalpel de mon manteau. La pauvre petite chose devant moi ferma les yeux. Des larmes coulaient déjà le long de son visage.
J'arrachai d'un coup sec sa chemise pour pouvoir ainsi exercer le profond désir que je ressentais dans ma poitrine. Je traçai des yeux la ligne que je comptais dessiner avec mon outil. Elle partait du bas de son cou jusqu'à son nombril. Parfait...
Ainsi je m'exécutai, avec comme toujours, l'impatience d'entendre sa douleur sans encore le tuer. Je ne gâchais jamais les bonnes choses.
Je coupai la chair cet inconnu aussi simplement que si c'était du beurre. Je n'enfonçai pas trop la lame pour qu'il garde assez de sang pour la suite de mon petit jeu.
Telle une douce mélodie, ses hurlements de douleurs traversaient mes oreilles. Je pourrai l'entendre tous les jours. Je me mis à rire, en voyant mon prisonnier de débattre en vain.
Malheureusement pour lui, son calvaire n'était pas terminé. Après le torse et le ventre, je m'occupai avec la même dextérité de ses bras et ses jambes.
Ma victime me suppliait d'arrêter, ce qui m'encourageai à continuer.
-P-Pitiez épargnez moi ! J-Je ferai tout ce que vous voulez ! J'ai une femme et des enfants !
-Hum... non. A moins que vous m'offrez votre femme et vos enfants. Mais j'ai la certitude que vous ne ferez pas cela ! Car, en homme courageux que vous êtes, vous allez vous sacrifier pour votre famille, lui sifflais-je avec une lueur perfide dans mes yeux.
Il me regarda, les yeux hagards.
Voir toutes ces larmes mêlées au sang ruisselant de ses membres provoquaient en moi une intense euphorie.
En effet, cela faisait depuis déjà une semaine que je n'avais pas touché à mes nombreux engins de torture. Le sang m'avait manqué.
Je m'avançai encore plus près de lui. Si près que nos visages se touchaient presque. Puis, je pris une grande inspiration et humai l'odeur métallique de ce corps abîmé. Oui... c'était une très bonne proie.
Je glissai mon doigt le long de sa coupure pour qu'il s'imprègne du fluide rouge qui me plaisait tant.
Ma victime se crispa et laissa échapper un cris. Il tremblait encore plus, si bien que tout son corps commençait à transpirer.
Je mis mon doigt sur le bout de mes lèvres et, avec un sourire, léchai le sang déposé.
L'homme que j'avais attaché me regardait avec horreur. J'adorais cela.
Puis, ayant finis le petit échauffement, je passai aux choses sérieuses.
Je pris un petit crochet et, d'un coup sec, lui transperçai l'œil droit !
Il hurla comme un fou lorsqu'un liquide transparent jaillit de son globe occulaire. Le son qu'il faisait paraissait plus animal qu'humain.
Je triturai son œil à l'aide de mon crochet pendant une longue minute et, une fois lassé de ce petit spectacle, tirai mon outil pour déloger l'œil.
Il restait accroché à mon arme.
J'observai une fois de plus mon œuvre. L'homme c'était évanoui sous la douleur.
J'explosai finalement dans un fou rire incontrôlable. C'était si bon de faire souffrir ! J'essuyai donc mon scalpel et mon crochet et décidai de laisser ma victime mourir dans cet entrepôt sombre à petit feu. Demain, je reviendrai pour cacher le cadavre, probablement dans un autre lieu tout aussi agréable. Puis je nettoierai toute trace de mon passage dans ce lieu pour éliminer les preuves d'un potentiel assassina.
Pour résumer, cette victime-ci était plutôt chanceuse. Elle n'avait pas tant souffert que cela et avait eu affaire à l'un des criminels les plus recherché des États-Unis.
Fier de mon acte, je quittais ma planque et retournais tranquillement chez moi.
Re !
Alors qu'en pensez vous ? Envie de lire la suite ?
Ciao !
