Titre : Take it Easy

Auteur : Amy

Bêta-Lectrice : Sora

Message de l'Auteur :

Après avoir lue de nombreux "Imagine" avec des scénario mettant en scène Osomatsu j'ai finis par être... très déçue par eux. Mais inspiré concernant ma version.

Osomatsu est mon favoris de la fratrie, et je me demandais comment se comporte-il s'il est vraiment amoureux et pas infatué? Comment ses frères réagissent, particulièrement Jyushimatsu qui a été vraiment amoureux le premier? Et les parents?

Parce que je souhaite dépeindre Osomatsu au plus proche de ce qu'il est dans l'anime, cette histoire a pris naissance.

De l'enfance à l'âge adulte, la sexualité, la fraternité, la famille, et bien sûr l'amour... c'est ce que vous trouverez dans cette histoire.

Bonne lecture. ^^

(Ce premier chapitre a un nom qui fait référence à une chanson chanter par le seyuu de Osomatsu, Sakurai Takahiro. Essayer là, elle est superbe)


When you wis upon a star

Osomatsu trouvait ça ironique qu'il ait put se retrouver dans le métro alors qu'il ne le prenait jamais, tout ça à cause d'une aventure musclé avec ses frères qui à un certain point n'avaient pas hésité à l'abandonner.

Ah, il avait hâte de rentre et de tous leur casser la gueule.

Enfin, ce n'était pas si mauvais, il n'avait que le métro a prendre après c'être crevé les chaussures à la marche.

Le NEET était cela dit coincé dans les affluences de gens bien connus du Japon, et bien qu'il en mourait d'envie, il ne pouvait pas s'asseoir. Il resta coller entre plusieurs personnes mais il avait les yeux ailleurs.

C'est qu'on avait une jolie vue! Regarder moi toute ces poitri- collines!

Finalement, ça le gênais encore moins d'être dans le métro. La "vue" lui faisait même oublier la faim.

Ils s'arrêtèrent encore à une station, et quelques personnes descendirent, rapidement remplacé par d'autre.

Osomatsu profita tout autant du changement de paysage quand il remarqua quelque chose qui... n'allait pas avec.

Une fille était prise entre l'entrée et un homme, et si ce n'était pas pour son regard il n'aurait pas fait attention...

Ah. Elle se mit à trembler. Son regard alla à l'homme, qui resta de marbre, mais il pouvait voir son épaule bouger...

...

"Oi."

Les deux inconnus sursautèrent alors que Osomatsu les interpellaient, enfin surtout l'homme.

"En dirait que tu ne sais pas ce que "toucher avec les yeux veux dire, pas vrais?"

L'homme était un peut plus grand que lui et en costard cravate. Mais cela devait-il l'inquièter? Pas le moins du monde.

Il se tourna vers Osomatsu en disant juste :

"Qu'est-ce que vous insinuer?"

Il regarda la jeune femme pour s'assurer qu'il n'était pas sur le point de faire une connerie, mais vue qu'elle était paralysé par la peur, cela ne fit qu'encourager Osomatsu à utiliser son poing.

Tout d'abord, il attrapa le type par la cravate.

"Tu sais TRES bien ce que je veux dire."

Il était plus petit, donc ça le faisait tirer d'avantage sur la cravate. Ca devait lui faire mal non?

Au même moment, les portes du métros s'ouvrirent, et une idée claire et simple apparut à Osomatsu :

"Faites de la place s'il vous plait! Je sort les ordures!"

Et quelques secondes plus tard un bruit brusque et clair se fit entendre, suivis d'un cris. Osomatsu avait simplement éjecter le gêneur du métro, attirant toute l'attention sur lui.

Il fit comme si de rien n'était et s'installa à côté de la jeune femme.

Après un coup pareil, personne n'osa l'interpeller et les gens entrèrent dans le métro d'un air craintif, laissant l'homme en costard cravate à son triste sort, ayant ironiquement heurté une poubelle sur sa trajectoire.

Et le métro reprit son cours, dans le silence. L'ambiance restait pesante cela dit.

Osomatsu tenta quelque chose :

"C'était bien envoyé non?"

Il ricana à sa propre blague mais ne détacha aucune réaction de la personne qu'il avait rencontré. Compréhensif, il demanda :

"Est-ce que ça vas aller?"

Toujours en état de choc, tout ce qu'elle put faire c'est regarder en sa direction tout en resserrant sa main. Osomatsu se mit à sourire en frottant son nez comme il en avait l'habitude et en tendant la sienne. L'inconnue lui prit la main, visiblement sans y réfléchir :

"Ne t'inquiète pas, tout vas bien se passer."

Il ne lui lâcha pas la main de tout le trajets.

Cela dit, Osomatsu fut sortie de sa tranquilité quand ils arrivèrent à l'arrêt de son quartier :

"C'est mon arrêt!"

La jeune fille se contenta de cligner des yeux :

"... le miens aussi, en dirait..."

Ils remarquèrent qu'ils se tenaient toujours la main. Osomatsu rigola de gêne :

"Ah- haha! Désolé, j'avais oublié...

_ Non, ce n'est pas grave. Lui assura la jeune femme"

Ils avaient quand même à sortir du tram en même temps, pour se retrouver à marcher ensemble et en silence. Vint le moment ou leur chemin devaient visiblement se séparer, la jeune femme devant passer un passage piéton alors qu'Osomatsu allait continuer tout droit.

"Ah, je vois... bon, bah, je vous souhaite bonne journée!"

Il lui fit au revoir de la main et elle sourit en retour. Elle se retourna pour s'en aller.

Osomatsu la regarda partir un moment sans rien penser, et sans prévenir elle revint vers lui un papier dans les mains.

"C-c'est mon numéro de téléphone...

_ ...eh?! "

Elle regarda ailleurs :

"C'est juste que votre voix est assez rassurante donc ça ne me gênerait pas si on se reparlait.

_ O-ok..."

Tout de suite après avoir dit ça, elle fut très pressé de partir, ne lui laissant pas le temps de lui donner son numéro. Pour être honnête, tout deux semblait trop ailleurs à présent pour y penser.

Osomatsu la regarda s'éloigner avant que ce qui venait de se passer le foudroie litérallement.

Il venait de sauver une femme d'un agresseur.

Elle lui avait sourit.

Il c'était tenus la main pendant ce qui avait parus être des heures pour lui.

Et maintenant il venait de récupérer son numéro de téléphone.

Un rire du crétin qu'il était résonna dans la rue, suivit d'un cris :

"HEY! LES GARS! VOUS ALLEZ PAS ME CROIRE!"

Il avait beau être à des mètres de la maison, son premier réflexe fut d'y courir tout en y hurlant ses mots.

Une fois devant la porte de chez lui il prit une inspiration et entra avec un sourire jusqu'aux oreilles. Enfin, arrivé jusqu'à ses frères :

"Hey, devinez qui a eut le numéro d'une fille sans effort aujourd'hui?"

...ses frères le regardèrent avec un air douteux.

"C'est sûrement un faux. Commença Choromatsu,

_ FAUX! Et je vais te dire pourquoi Choromatsu!"

Osomatsu s'installa avec fiéreté avant de s'asseoir en tailleur, et d'inviter ses frères à écouter le plus âgé.

Ce que... peut d'entre eux firent, mais il parvint à capter leur attention, au point que finalement ils se rassemblèrent en effet autour de lui.

Il raconta, bien fier de lui, le comportement de pur héro qu'il avait eut. A y réfléchir, c'était digne d'une série télé, mais surtout d'un mensonge.

Pour cette raison ses frères restèrent de marbre.

"Vous ne me croyez pas?! Sérieux?!

_ Tu n'a qu'à l'appeler, et on te croira. soupira Choromatsu, fatigué des bêtise de son frère"

A ce moment Osomatsu se figea. Il passa sa main sur sa nuque en ricanant d'un air gêné :

"Peut être plus tard non? Vous savez, le temps qu'elle se remette de- HE PARTEZ PAS!"

En un instant, ils étaient déjà tous retourné à leur place initiale.

Osomatsu soupira. Tant pis pour eux, il leur montrera bien qu'il avait raison plus tard.

Quand même vexé, il décida de descendre au salon pour aller regarder la télé.

"Osomatsu-nii-san, Osomatsu-nii-san!"

Jyushimatsu s'avançait vers un Osomatsu a moitié endormis devant la télé, agitant les bras :

"Osomatsu-nii-san, ça vas bientôt être l'heure de manger tu sais!

_ Ah... mmm... ouais...

_ Tu l'a toujours pas appelé hein? Balança Jyushimatsu"

Osomatsu fixa son frère, prit au vif, avant que sa confidence refasse surface et le fasse sourire.

"J'attend un signe, Jyushimatsu.

_ Osomatsu-nii-san, arrête, tu deviens douloureux à regarder."

Les deux se mirent à rire. Son imitation de Karamatsu était bien envoyé.

Cela dit, il ne mentait pas tant que ça a propos du signe.

Quand ils eurent finis de manger, Osomatsu alla sur la terrasse et s'appuya sur le rebord.

Il chercha le numéro de téléphone et le ressortit de sa poche, et soupira.

Oh, il savait que c'était un vrais bien sûr mais...

Pendant un moment, il se sentit nerveux. Il allait dire QUOI au juste?

Il regarda vers le ciel. Haha, qui sait, peut être qu'il y allait vraiment y avoir un signe...

"...WOAH! Une étoile filante!"

C'est l'occasion de faire un voeu.

"Bon, je sais pas si ça marche mais au cas ou... donnez moi un coup de main pour aborder cette fille-"

Mais en réponse de sa prière un cris perçant fendis la nuit.

Il eut a peine le temps de réouvrir les yeux qu'il fut percuté de plein fouet par un corps étranger et projeter contre le mur.

"Osomatsu-nii-san? Osomatsu-nii-san?!"

Ils s'affolèrent tous en entendant ce bruit violent, et avec leur quotidien ils s'attendaient à tout sauf à ça.

Je veux dire, que faisait cette FILLE écraser contre son frère et le mur?!

Il se passa que peut de temps avant que l'inconnue ne retombe en arrière sur le sol, alors qu'Osomatsu était encastré dans le mur paralysé.

...la voix de Choromatsu se fit entendre, s'adressant à Jyushimatsu :

"Tu as fais un autre sport que du baseball aujourd'hui pas vrais?

_ Non, je n'ai fait que du baseball! Hey, arrêtez de tous me regarder comme ça!

_ Ca peut très bien être Doctor Dekapan la raison de ça... fit remarquer Karamatsu,

_ Au lieu de parler, on devrait les aider vous penser pas?"

Les garçons semblaient plus préoccuper par la fille évanouit sur leur terrasse que leur frère assomé. Mais étrangement ils y firent de nouveau attention quand ce dernier retomba par un effet de gravité, sur la jeune femme.

Il fut injustement frapper par Choromatsu :

"POUR QUI TU TE PREND?! Traiter ainsi une pauvre innocente!

_ Mademoiselle, comment vous portez-vous? M'entendez-vous, a travers votre doux sommeil? Déblatéra Karamatsu en tenant la main de la femme

_ Elle est en vie Kusomatsu? Demanda Ichimatsu en s'approchant à son tour

_ Karamatsu-nii-san, ce que tu dis vas lui faire saigner des oreilles! continua Jyushimatsu sans tact

_ TAISEZ VOUS ET ARRETEZ DE VOUS RAPPROCHER! VOUS ALLEZ LUI FAIRE PEUR! Hurla Todomatsu par derrière"

Et ce fut ce qui la fit se réveiller. Sans prêter attention à la personne qui lui tenait la main, elle s'assit avec difficulté en gémissant de douleur :

"Aie... aie... je dois vraiment arrêter de passer près de ce labo..."

C'est là qu'elle constata qu'on lui tenait la main. Son regard alla à la personne qui le faisait justement. Elle fut prise de stupeur et demanda d'une voix hésitante et surprise :

"V-vous êtes l'homme du métro?

_ Du métro? Heh, fit Karamatsu heureux qu'on lui prête attention visiblement, Je n'ai pas le souvenir de-

_ M-mais pourquoi... il y en a d'autre?"

Son regard alla sur les autres frères qui l'entourait sans bouger. Choromatsu essayait de trouver quelque chose,mais Todomatsu le dévança :

"Désolé pour tout ça... bonsoir! Nous somme la fratrie Matsuno. Me concernant, je suis-"

Elle s'évanouit deux seconde plus tard, visiblement encore plus choqué qu'avant.

L'ambiance retomba totalement en voyant la pauvre inconnue si choqué que sa bouche semblait se remplir de mousse.

Ichimatsu termina la scène en disant :

"En dirait qu'on a encore tuer quelqu'un."