Les disclamer, vous connaissez la chanson, rien ne m'appartiens, bouhh !!!
Cette fic est une ONE-SHOT et n'aura pas de suite !!!!!!
Missi de me laissez un review !!!!
ElleJe la vois souvent, tous les jours je crois. Depuis quelque temps, j'ai l'impression qu'elle me suit à chaque pats. Elle n'a jamais été aussi belle. Ce n'est pas la première fois que je la voix, mais je ne l'avait jamais autant regardée, je ne l'avait jamais trouvée aussi attirante. Elle est grande, svelte—mais pas trop, elle a de très longs cheveux ébènes qui ondulent légèrement, elle a des yeux très obscurs est pénétrant. Je ne l'ai jamais directement regardée dans les yeux, je n'ai pas osé.
Je ne sais plus exactement depuis combien de temps ou combien de fois est-ce que je l'ai vu, mais elle me paraissait moins belle.
Elle était à chaque combats. Elle me regardait, elle se tenait un peu à l'écart. J'était conscient de sa présence sans vraiment y faire attention. Elle m'a sourit plus d'une fois, m'a tendu les bras. Ces temps, ça présence m'entoure, pesante, constante. J'hésite, à chaque fois que je la vois, de la regardé dans les yeux, me réfugié dans ses bras. Je suis sûr qu'elle me comprendrait, qu'elle serait me soulagé de mes paine.
Il fait nuit, il est minuit et tous le monde dors. La rentrée était il y a deux jours. Je ne me souviens pas avoir parlé. Tous les regards son sur moi. Je sens leur pitié et je n'en veux pas. Tous me semble si faux. Elle, elle est vraie, je le sait.
Je suis dans une des plus hautes tours, une petite pièce circulaire vide. Je regarde par la fenêtre, les étoiles, une en particulier. Je la voix, son visage m'apparaît et jamais encore je ne l'ai trouvé aussi belle et séduisante. Je plonge mon regard dans le sien et je ne peux plus le détourné, il m'envoûte. Je la regarde encore, je veux la suivre. Je sais qui Elle est, je l'est su en la regardant dans les yeux. J'aurais dû le deviner plutôt. Je sais ce qu'Elle est et je n'ai pas peur. Je veux la rejoindre.
Je monte sur le rebord de la fenêtre sans détacher mon regard du sien, je ne regarde pas en bas parce que je sais qu'il y a : rien. Elle me sourit, elle est délicieuse. Je lui sourit aussi, j'accepte, autrement dit. Elle me tend sa main et je la saisi. Elle est douce mais froide. Elle m'entraîne, je m'avance. Je tombe, je tombe, je tombe encore. Personne ne me rattrapera en bas. Je vais m'écraser, je vais mourir. Je l'ai suivi. Ces temps, elle était plus belle que jamais et j'ai succombé à son charme. La Mort, m'a sourit, je lui est sourit. J'ai sourit à la mort. Je l'ai suivie. Je n'ai pas résisté à son appelle pace que rien, absolument rien ne me retenait. La Mort, la Grande faucheuse… moi je l'appellerait Elle.
Je tombe encore, j'ai l'impression que je n'atteindrait jamais le sol, que ses derniers temps je n'ai fait que de tomber. Tomber, tomber, tomber. Je tombe une dernière fois. Je ne bouge pas, je ne fais rien pour empêché ma chute. Je ferme juste les yeux. Tous est noir. Tous le restera. Je ne vois rien, je ne verrais jamais plus.
Je vais mourir, je n'ai pas peur. Je vais mourir, je suis heureux.
Ma chute s'arrête.
…
Je ne suis plus.
