Trop pour une journée

Disclamer : c'est ma première fic avec plusieurs chapitres alors ça risque d'être nul !

Chapitre 1 : la disparition.

Le lieutenant Riza Hawkeye, comme tous les matins, donnait à manger à son petit chien, Black Hayate. Mais aujourd'hui, Black Hayate n'était pas la. Il avait disparu. Riza fouilla partout : de son lit jusqu'à la douche, du tapis jusqu'aux WC, de la poubelle jusque dans le frigo. Rien. Rien de chez rien. Niet. Nada. Que dalle. Rien quoi !

Elle était complètement désespérée, elle s'affala alors sur son canapé et alluma la télé.

Le colonel Roy Mustang était debout depuis la veille. Autant dire qu'en fait, il ne s'était pas couché. Il s'était mis en tête que le lendemain il irait voir Riza, et lui ouvrirait (enfin !) son cœur. Ce qui l'empêcha totalement de dormir. Mais maintenant il était près. Rase de près, lave, habille élégamment et même parfume (une performance pour lui). Il ouvrit donc la porte de son appartement, un bouquet de fleurs a la main et qui ne vit –il pas ? Black Hayate. Lui-même, en personne. Enfin, en animal.

Riza regardait le JT, le truc le barbant qu'elle n'avait jamais vu. Le présentateur faisait une tête à faire pleurer un croque-mort. Mais Riza avait tellement le cafard qu'elle ne le remarque même pas. La tristesse l'avait complètement envahit, elle ne voulait plus vivre. Elle avait le sentiment que sa fin était proche. Elle venait de perdre l'animal de sa vie !

Les cheveux de Roy se dressèrent sur sa tête, un hurlement inhumain sortit de sa bouche et il prit une couleur verdâtre.

BLACK HAAAYAAATE ! QU'EST QUE TU FAIS LA ? hurla t-il de sa voix la plus aigue.

Comme seule réponse le petit chien pissa sur son paillasson. Roy était entre la colère et l'étonnement, la joie et la peur, l'envie de vomir et l'envie d'aller aux WC, l'envie de faire un footing et l'envie de voir sa mère, enfin bref, il regarda le chien pendant une bonne demi-heure, puis le pris dans ses bras.

Riza avait changé de chaîne, les cyclones, les tsunamis, les incendies et le chômage la gonflait. Elle ne pensait qu'à son petit chien chéri a elle.

Mais voila elle tomba sur une pub (sans se faire trop mal) ou un grand blond baraqué avec une houppette, scintillant de toute ses forces, était entrain de remplir une machine a laver (je précise que la machine fait aussi sèche-linge, rasoir, avec une option micro-onde et téléphone portable – climatisation incluse et lecteur CD pour un euro de plus- etc.…) avec une poudre qui d'après lui lavait vos habits (heureusement d'ailleurs !) et les rendaient comme neufs ! Ensuite une jeune fille blonde aussi (vive les clichés) sortait le linge et poussait un ho admiratif et sautait dans les bras du grand baraqué. La fin de la pub était très romantique car on les voyaient s'en aller, enroules dans des draps blancs vers le soleil couchant.

-Alex Louis Amstrong ! S'exclama Riza, mais j'hallucine ou quoi ? C'est quoi ce bordel !

Elle sortit de chez elle en courant, direction, la base.