Disclamer : Ceci n'est que pur imagination, je vais très bien dans ma tête (je tiens à le préciser) mais comme certains m'ont demander d'écrire une fic un peu trash, voilà qui est fait… Ames sensibles, éviter de lire…
SEXE, DROGUE, MEURTRES ET VIDEO
Dans une espèce de cachot…
Une ombre s'avance, tenant un chalumeau à la main. Devant lui, un homme attaché par des chaînes maintenues au plafond et au sol. Des bruits étouffés se font entendre, l'homme est sans doute bâillonné.
L'ombre : Allons, allons. Ca ne sert à rien de vous égosiller. Personne ne peut vous entendre de toute manière.
L'homme redouble de gémissements
L'ombre : Ah !!! Ca m'embête vraiment, vous savez ? J'adore entendre les gens crier, me supplier… (Avec un petit sourire) Oui, je dois dire que c'est génial (il redevient sérieux puis se met à éclater de rire. Il s'arrête net) Garde ton calme ! … Mais c'est tellement excitant !!!... Tue-le tout de suite… je ne peux pas m'amuser avec lui ?... Défoule-toi
L'homme le regarde ahuri.
L'ombre : C'est bon le maître à parlé, nous allons, JE vais vous faire une fleur. Je vous promets de ne pas trop vous faire souffrir.
L'ombre s'avance et met le chalumeau en route l'homme essaye de crier et de se débattre.
*** Commissariat du 55eme***
Lieutenant : Comme vous le savez sans doute, on a encore retrouvé un cadavre dans les cours de la 98ème. Trois cadavres en deux semaines, avec le même mode opératoire en ce qui concerne la mort. Comme pour les deux autres, le meurtrier a brûlé les yeux et a coupé la langue au chalumeau avant de séparer les bras et les jambes du reste du corps. Il a ensuite évidé sa victime et est parti avec sa langue en guise de trophée. Notre homme est passé du statu de meurtrier à celui de serial killer grâce à son dernier forfait. Pour le peu qu'il reste du corps, on peut avancer que la victime a été battue sauvagement avant de…enfin de… Bref, les trois victimes n'ont rien en commun, ni couleur de peau, ni sexe, pas d'âge ou de couleur de cheveux précis, même pas leur lieu de résidence. La première habitait à Baltimore, la deuxième à Chicago, et la troisième à New York. La population commence à avoir peur elle compte sur nous pour arrêter ce meurtrier. Alors je veux que vous me le trouviez, faites comme bon vous semble, mais je veux que ce fumier soit derrière les barreaux avant la fin de la semaine. La seule certitude que nous ayons c'est qu'il vit à New York, du moins pour le moment. Alors bonne chance. (Les policiers se lèvent). Ce type frappe à l'aveuglette, alors soyez prudent les gars.
Ty : Un mec comme ça, ça ne devrait pas exister
Bosco : C'est pas un homme c'est un monstre
Sully : La peine de mort c'est tout ce qu'il mérite
Faith : Et encore c'est trop doux pour ce qu'il a fait
Ty : Et qu'il risque de continuer à faire si on ne se dépêche pas de le trouver
Bosco : Lorsque j'aurais coincé ce trou-du-cul, je peux vous garantir qu'il n'ira pas à son procès intact.
***
Une pièce éclairée par d'étranges lumières vertes semble se dérober sous les pas de l'ombre. Tout tourne, tout se déforme les bruits se font amples et lointains, les voix se déforment à ses oreilles.
L'ombre : Il faut…le faut…toujours. Tu crois que tout le monde est gentil ?...Ils ne sont pas si méchant… Ce sont eux qui t'ont rabaissé, jour après jour, rappelle t-en ! Rappelle toi de l'humiliation que tu as subie…Ils t'ont exclu de ce monde… Mais c'est mal !... Il le faut !... Il le faut ? Il le faut… Dis-le plus fort…Il le faut…Plus fort… Il le faut, il le faut, il le faut il le faut, le faut…TOUJOURS !
Il se met à éclater de rire, un rire amplifié, vagabond. Il prend un couteau et commence à se mutiler, dessinant des formes sur ses bras avec sa propre peau.
***
Dans une allée, sur la 48ème rue.
Les ambulances et les voitures de police sont présentes sur les lieux. Une foule s'est rassemblée devant cette agitation. Certains policiers essayent de faire reculer ces gens, à la fois subjugués et terrorisés par le spectacle. Un cadavre dans la rue, recouvert d'un drap gorgé de sang. Les détectives prennent des photos, les inspecteurs interrogent les personnes présentes.
Sully et Ty s'avancent près du corps où se tiennent Bosco, Faith, Kim et Doc. Ty commence à soulever le drap.
Bosco : C'est pire que les autres.
Ty regarde l'aspect de ce qu'il présume être le reste d'un corps, dont les intestins sortent de part et d'autre du ventre littéralement séparé en deux. Il ne peut en regarder plus, il s'éloigne rapidement du corps et déglutit difficilement.
Kim : Faut vraiment que vous attrapiez ce gars j'ose plus sortir de chez moi.
Faith : On fait ce qu'on peut
Doc : On n'en doute pas !
Christopher s'approche.
Christopher : Davis, vient par-là
Sully : Laissez-le !
Christopher : Pardon ?
Bosco : Ca va Jason, lâche-le ! Il ne se sent pas bien.
Christopher : Je suis pas là pour faire baby-sitter. Ok ? Les agents Connelly et Whitterson du F.B.I sont là.
Faith : F.B.I ?
Bosco : Qu'est-ce que ces cons viennent foutre ici ?
Christopher : Aider les abrutis comme toi qui n'arrivent pas à faire leur boulot
Faith (voyant Bosco devenir rouge) : Calme toi
Sully : Là vous insultez la police entière, y compris vous, SERGENT !
Connelly se racle la gorge, Christopher se retourne.
Connelly : Un problème ?
Christopher : Aucun monsieur. Je voudrais vous présenter les policiers qui feront tout pour vous faciliter le travail tant que vous serez là. Voici l'officier Yokas
Whitterson : Enchanté
Ils échangent une poignée de mains.
Christopher : Et les officiers Boscorelli et Sullivan. Et l'autre là-bas, c'est Davis
Connelly : Bien, je crois qu'on n'est pas là pour échanger des civilités, alors dites-nous un peu ce qui s'est passé !
Il passe entre Faith et Bosco, suivit par Whitterson. Il se penche sur le cadavre et soulève le drap.
Bosco : Le corps a été retrouvé il y a 20 min.
*
Flash :
L'ombre avance avec un fer rouge entre ses mains des bruits sourds se font entendre. La victime s'affole. Elle est toujours maintenue par des chaînes. Mais l'endroit a changé. La victime s'époumone dans le bâillon. L'ombre est à son niveau.
*
Bosco : A en jugé par les marques sur le dos, les fesses et les parties génitales, la victime a été brûlée au fer.
*
Flash :
L'ombre commence à déboutonner le pantalon de sa victime, posant le fer brûlant dans un récipient se trouvant à côté. Il descend le pantalon jusqu'aux chevilles de l'homme captif, puis commence à la caresser sur son caleçon avant de le tirer brutalement vers le bas. La victime essaie de se libérer, mais rien n'y fait. Des « non » étouffés sortent du bâillon. L'ombre caresse doucement le torse de son 'prisonnier' avant d'abaisser ses mains aux parties génitales, qu'il commence à explorer avec des mains expertes. Luttant au départ, le captif ne peut faire autrement que de se laisser aller aux caresses de son assaillant, puis finit par jouir. Il laisse sa tête se reposer en arrière. L'ombre se lève à ce moment là puis se saisit de la tige au bout de laquelle se trouve le fer brûlant.
L'ombre : J'espère que t'en as profité ! Petit cadeau de notre part !
L'homme écarquille les yeux. L'ombre approche le fer rouge du pénis de sa victime. Plusieurs cris étouffés se font entendre lorsque le fer entre en contact avec l'objet visé. De la fumée s'élève lentement. L'homme crie de toutes ses forces. L'ombre enlève le fer. Elle se met derrière sa victime, puis applique de nouveau le fer rouge au niveau de l'omoplate cette fois, le faisant descendre le long du dos. Les cris redoublent puis cessent.
*
Bosco : Les marques de fer datent de quelques jours. Le meurtrier a ensuite frappé sa victime avant de la démembrer.
*
Flash :
L'ombre se tient debout devant sa victime. Il prend le visage de l'homme entre ses mains.
L'ombre : Je me débrouille très bien pas vrai ?
L'homme le regarde effrayé
L'ombre : Toi aussi tu trouves ?... Vraiment tu es excellent, mais ne t'arrêtes pas là… D'accord
Il éclate de rire puis commence à frapper l'homme avec une barre métallique. Suffisamment pour que ses os se cassent, mais pas assez pour qu'il meure. Il prend son temps. A chaque coup l'homme crie, l'homme pleure. Pour finir, l'homme se tait.
L'ombre : C'est tout l'art de choisir l'endroit ou frapper
*
Connelly : Ca a été fait à la sauvage.
Faith : Avec un chalumeau
*
Flash : L'ombre s'avance vers sa victime, la frappe une ou deux fois à des endroits choisis. La victime geint. Elle n'a plus la force de crier.
L'ombre : Je suis désolé mais je vais devoir vous quitter. Je vous aimais bien mais… nous devons le tuer…Il est gentil…Sympathique ??!! Finit… Tant pis, nous allons devoir vous dire au revoir.
L'ombre prend le chalumeau derrière elle et le met en route. L'homme regarde, horrifié, ce fou.
L'ombre : Ne nous regardez pas comme cela, ça ne vous sert plus à rien.
L'ombre approche le chalumeau des yeux de l'homme. Ce dernier commence à crier aussi fort qu'il le peu, mais le bâillon l'en empêche. Après quelques minutes, l'ombre arrête, pose tranquillement le chalumeau derrière elle s'en va chercher quelque chose puis revient avec une grande pince. Il enlève le bâillon de sa victime. Elle ne peut même pas parler.
L'ombre : ne t'en fais pas, nous allons faire ça bien.
L'ombre tire la langue de sa victime, prend la tenaille et la lui coupe d'un coup sec. Le corps de l'homme s'arque en arrière dans la douleur. L'ombre retire le bout de langue sanguinolente. Elle pose la tenaille, emballe le bout de langue. Elle reprend le chalumeau, et commence par le bras droit. La dernière jambe tombe après quelques minutes… Du sang, partout du sang, que du sang… L'ombre pose son chalumeau, puis prend la barre de fer et éventre sa victime tout en chantant…
L'ombre : morte morte morte. Du sang, rien que du sang, elle est partie, Arah Kiri.
*
Whitterson : C'est une horreur.
Connelly : Vous êtes sûr que c'est comme ça que ça s'est passé ?
Bosco : On n'est jamais sûr de rien
Sully : Mais ça doit être dans ce genre là.
Whitterson : Alors dans ce cas…
Connelly : Il faut trouver ce mec, et vite.
TBC
