Titre de la Fic: Flirt with Danger

Titre du Chapitre : The Man

Titre complet : The Man with Katana. (L'homme au Katana.)

Auteur : Keiko.A

Couple : Reituki ^^

Rating : M

Disclaimer : Gazetto ne m'appartient toujours pas. L'histoire est mienne.

Note : Shiroyama (nom) Yuu (prénom) est pour moi, Aoi. Reita est Suzuki Ryô

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Ils étaient tous en place. D'une seconde à l'autre, ils allaient entrés. L'attente ne dura pas longtemps, avant que tout les hommes en uniformes ne fassent leurs entrés dans une espèce de restaurant, plutôt connu pour héberger des membres d'un gang, qui parlaient tous comme si ils faisaient partis d'une entreprise, plutôt que d'une organisation a tendance maffieuse. Une déformation professionnel sûrement. L'arme au point, il entra dans l'arène avec ses collègues, menaçant un blondinet avec un katana à la ceinture. Il lui intima l'ordre de se retourner et mettre les mains sur le mur, pour le fouiller, et au final l'arrêter. Ce ne fut pas une horreur, bien loin de là, ils semblaient tous plus ou moins coopératif. Et ce n'était pas étonnant venant de maffieux qui se donnaient des apparences respectables. Reita était en train de fouiller le petit blond, tandis qu'il lui trouvait un sourire un peu louche, non pas qu'il semblait préparer quoi que ce soit, mais ce sourire avait un petit côté pervers, qui malgré les efforts du policier, réussit à le déstabilisé quelques secondes. Reita lui adressa la parole, lui demandant alors.

« T'as un permis pour ton sabre au moins? »

Il était a peu près sûr que ce blondinet au sabre avait sûrement déjà tué pour le compte de son organisation, et il ne prit aucun risque, et une tonne de précaution. Après tout, qui voudrait qu'il fasse comme son père? Sûrement pas lui. Mais le policier resta sans aucune réponse à sa question, sûrement que la réponse était oui, mais qu'il y avait très peu de personnes dans cette pièce qui voulaient parler à la police. Rien de nouveau somme toute. Il traîna le blondinet jusque dans le fourgon avec ses amis, et tout les policier rentrèrent au central. Une petite rafle, histoire de tiré des informations, et d'énerver un peu cette "entreprise". Voilà ce que les chefs voulaient qu'ils fassent. Voilà ce que le commissaire voulait, voilà ce que le lieutenant Suzuki fit.

Une fois au poste, Reita se dirigea aux toilettes pour hommes. En entrant, il vit Shiroyama-San. Il n'eut pas le temps de lui adresser une salutation, que l'homme s'avança jusqu'à lui, en lui disant.

« Mon dieu, Reita ce que tu es sexy dans ton uniforme... »

Reita eut un sourire gêné, c'était dur de parler avec Aoi de temps en temps, à cause de ça. Le fait d'avoir couché avec lui à quelques reprises, rendait leurs relation de travail un peu compliquée. Et aujourd'hui il aurait bien aimé que ça ne soit pas le cas. Il répondit alors, esquivant Aoi qui tentait de l'embrasser.

« Pas sur le lieu de travail. »

Aoi sembla se résigné, malgré sa moue boudeuse, il finit par parler d'autres choses.

« On est vraiment obligé de les interroger? Ils ne diront rien, ils devraient le savoir depuis le temps. »

« Décisions des chefs. Y'a pas vraiment à discuter. »

Aoi sembla contrarié une fois de plus, ajoutant seulement.

« Avec cette attitude, tu va prendre du galon vachement vite... »

Reita lâcha un soupir. Il savait très bien qu'il insinuait qu'il était un lèche-bottes, mais ce n'était pas le cas. Il fallait le faire, et de toute façon, discuter avec le chef était bien souvent une perte de temps, alors autant en finir au plus vite. Reita passa de l'eau sur son visage, tandis que Aoi quitta la pièce, qu'il suivit assez vite.

Une fois le blondinet installé dans la salle d'interrogatoire, Suzuki-san s'assit en face, et le fixa longuement, sans dire un mot. Le blondinet le fixait lui aussi, puis finit par lui dire.

« Vous ne comptez pas poser la moindre question? »

Reita eut un petit sourire, avant d'y répondre.

« Tu y répondrais si c'était le cas? »

« Non. »

Le blondinet hocha la tête un sourire en coin. Le silence régnait, mais le blondinet prit le bloc de papier en face de lui, et lui adressa à nouveau la paroles.

« Un stylo? »

Reita lui tendit sans poser la moindre question. Peut être comptait-il dessiner, ou lui écrire des obscénités, comme certains le faisait, et ça ne le perturbait pas plus que ça. Il le laissa dessiner, et puis au bout de dix minutes, demanda à ce qu'on fasse sortir le blondinet, pour un retour en cellule. C'est à ce moment là qu'il se pencha pour lire ce qui était écrit sur la feuille de papier... Il eut le loisir de lire que l'individu lui avait fixé un rendez vous, et il lui semblait fortement que ce n'était pas un rendez vous pour des confessions, mais pour quelques choses de plus physique. Il prit le papier, et le mit en chiffon dans sa poche, pas besoin que ses collègues voient ça.

Sortant de la salle d'interrogation, il retourna à son bureau, à côté de celui de son coéquipier : Aoi. Il lui jeta un ou deux regard, que le brun comprit, et s'approcha de lui en lui demandant.

« Quelques choses te préoccupes? »

« Tu connais le nom du blond que j'ai serré?»

Aoi sembla réfléchir quelques instant. C'est pas comme si il les connaissait tous non plus. Il poussa un peu Reita sur le côté pour prendre la place sur le pc, et tapez quelques choses dans la banque de données des casiers judiciaires. Une fois fait, Reita pu contempler face à lui, le visage du blondinet sur son casier, et lire tout ses exploits, tandis que Aoi lui demanda une nouvelle fois.

« Pourquoi tu voulais savoir? »

Reita était en train de détailler le visage de l'homme, sans oser vraiment répondre à la question de son collègue, et sexe friend par moment. Il était plutôt mignon le blondinet, et ce qui frappa Reita, était surtout qu'il remarquait ça, qu'une fois devant une photo sur ordinateur, et pas quand la personne était face à lui. Commençait-il a faire comme son père déjà? C'était pas très bon signe. Il répondit alors de manière inconsciente.

« Tu le trouves mignon? »

« Si on aime le genre beauté froide et capable de vous tuer pendant l'acte, il est parfait oui. »

Reita n'ajouta rien de plus, et ferma son dossier. Aoi avait raison, cet homme était dangereux, et de toute façon il ne comptait pas se rendre au rendez vous, alors à quoi bon regarder sa photo?

La journée passa, la bande fut libérée, et l'heure tourna. Et plus l'heure tournait, et plus, Reita regardait sa montre. Il se leva, et sortit du central, se dirigeant vers l'Hôtel indiqué sur la papier par le blondinet. Il était curieux de voir ce que ça donnerait. Il alla directement dans la chambre que le blondinet avait marquée, et y entra, attendant sagement qu'il arrive, se demandant encore ce qu'il faisait là.

Ruki ne tarda pas a arriver, Katana à la ceinture, comme à son habitude. Il entra dans la pièce, et eut la surprise de voir le policier adossé au mur en train de douter. Il n'attendit pas plus longtemps pour jeter son dévolu sur les lèvres du policier, et bientôt sur le reste du corps qui allait avec. Reita ne voulait pas que ça arrive, du moins c'était ce dont il était en train d'essayer de se persuader quand des lèvres d'une douceur infini, et d'une avidité époustouflante le coupèrent dans ses pensées. Et c'est comme ça, que Reita fut certain de ne pas ressembler à son père. Se retrouver entrain de mêler son corps à celui d'un truand dans une chambre d'Hôtel plus que douteuse, n'avait rien pour le rapprocher du parfait policier qu'il rêvait et redoutait d'être. Mais pour une fois dans sa vie, c'était si bon de pêcher.

C'était purement physique. Purement épuré comme style, surtout venant d'un fana de katana, Reita s'était attendu à quelques choses d'extravagant, voir même de trop pervers, mais... apparemment les truands aimaient bien faire comme les autres par moment. Une fois finie, Reita qui n'avait pas l'habitude de s'en aller comme un voleur, resta dans le lit, comme si il était tout à fait normal d'être avec cet homme plutôt inconnu, et du mauvais côté de la barrière. Mais quand au dénommé Ruki, ce fut bien différent. Une fois qu'il eut ce qu'il voulait, il se rhabilla sans adresser le moindre regard, ni la moindre paroles au policier. Ce fut Reita qui brisa le silence le premier.

« Tu t'en vas comme ça? »

« C'était juste un coup d'une fois. C'est tout. »

Reita était un peu contrarié par cette affirmation. Pourquoi? Il n'en savait rien. Il lui demanda alors.

« Pourquoi moi? »

Ruki eut un léger rire étouffé, se retournant vers le policier qui semblait toujours ne pas comprendre.

« Dès que je t'ai vu, j'ai su que je te laisserais pas indifférent. Et soyons clair, tu es beau, et musclé, je me suis tout de suite dis que tu serais un bon coup. Tu as dépassés mes attentes. Mais ça restera unique. »

Reita le fixa quelques secondes, avant de prendre une décision, qui le surprenait un peu lui-même.

« Alors reviens dans ce lit, que je te prouves que je suis encore meilleur la seconde fois. »

En ce qui concernait le blondinet, il avait décidé que ça ne resterait qu'un coup d'une fois, parce qu'étant un flic, ça ne pourrait jamais être plus qu'un plan cul, et il ne comptait pas s'habituer à sa présence, de risque de donné des informations malgré lui. Il le regarda, se demandant si Reita avait eut sa fierté blessée par ses propos, ou si son corps et leurs réussites, lui manquaient déjà. Mais malgré tout, il ne se fit pas prier très longtemps, et restant au même endroit, il enleva ses vêtements découvrant son corps entièrement sous les yeux d'un Reita qui semblait de plus en plus avide de l'avoir proche de lui. Il retourna auprès de lui, remettant à tout l'heure la séparation, pour s'amuser un peu plus longtemps avec ce si délicieux policier.

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Voilà, une nouvelle fiction. Je sais que certain vont être mécontent que j'ai pas finit les autres. Mais je compte vraiment bientôt finir Comme pour la première fois, et You poisonned me.

J'espère que vous avez aimé. A bientôt. Gros bizou.