L'histoire de Narnia ne m'appartiens pas tout revient à C.S Lewis.
Histoire contenant des OC comme Eléa et tante Missia ainsi que d'autre par la suite
Chapitre1:
Nouvelle rencontre
Les eaux se faisaient calmes depuis plusieurs semaines déjà, le vents soufflait peu voir rarement et laissait place à une chaleur étouffante parfois torride et compliquait, ainsi, sévèrement les taches journalières de l'équipage du passeur d'aurore, seul visible à l'horizon, voguant majestueusement comme maitre des mers et océans de Narnia. Ce calvaire n'avait que trop duré pour les troupes du nouveau et respecté roi Caspian X, qui ne demandaient qu'à naviguer au grès du vent, et non par la seule force de leurs bras. Il faut dire que faire avancer un navire pareil demande plus d'efforts qu'il n'en faut à ces hommes déjà épuisés par cette chaleur pesante qui semblait avoir élue domicile à Narnia pour un temps encore indéterminé. Quand ce n'est pas l'hiver qui prend possession de Narnia c'est l'été, n'y a t-il donc aucun juste milieux dans ce monde, pensa Caspian adossé au grand mat, fixant impassiblement l'horizon la tête légèrement penché à droite comme si elle était devenu difficile à porter ce que ne manqua pas de remarquer le capitaine Drinian qui se fit un malin plaisir à le lui faire remarquer:
-« Est ce là le maintient d'un noble seigneur sir, si votre tête est devenu si lourde je peux vous la couper, elle ne vous gênera plus, mais je doute que vous puissiez vous en passer bien longtemps. »
Tavros qui passait par là ne put s'empêcher d'esquisser un sourire, quand à Caspian, il fit mine de prendre la posture la plus arrogante et condescendante qu'il put, la même qu'avait l'habitude de prendre son oncle Miraz face à son peuple. Le sourire de Tavros se transforma alors en fou rire suivi de près par l'hilarité peu retenu de Caspian.
-« Mon cher Drinian, comment fais-tu pour arrivé à me faire rire dans de tels moments? » Réussi à articuler ce dernier tout en se tenant fermement les cotes.
-« Ce n'est pas chose difficile de vous faire rire sir, le plus dur et de vous faire avouer ce qui vous tracasse. »
L 'expression enjouée du roi s'éteint instantanément, ses lèvres encore relevées dans un sourire joueur étaient, à présent, pincées par la culpabilité et le doute. Tavros c'était, quand à lui, éloigné jugeant cette conversation d'ordre privée.
-« Mon seigneur, n'oublié pas que votre comportement d'éteint sur l'équipage, si vous même désespéré à trouver une terre où nous pourront trouver de nouvelles provisions, qui nous redonnera le courage d'avancer? Il est déjà suffisamment dur pour vos hommes de ramer jour et nuit tantôt dans le chaud tantôt dans le froid.
-pardonne moi Drinian, je ne sais plus quoi faire, tout ce que je demande c'est que le vent revienne, du moins qu'il y en ai suffisamment pour faire avancer ce satané bateau! »
Son pied se fracassa violemment contre le mat qui grinça comme pour réprimander le fauteur de trouble qui venait de lui assener cette secousse brutal.
-« Le vent reviendra sir, comme toute chose, ayez confiance en Narnia. »
C'était permis de rajouter Ripitchip tout en caressant le mat à l'endroit ou Caspian avait frappé.
-« Que me conseillez vous de faire dans ce cas?
-Et bien de soutenir vos troupes comme vous l'avez toujours fais mon seigneur, ne cédez pas à la panique, tout vient à point à qui sait attendre sir. »
Sur ces mots, le roi c'était redressé tout en retirant sa chemise d'un blanc immaculé coincé dans sa ceinture de cuire noir et c'était lancé à l'assaut des rames à la cale, il était temps de faire avancer ce navire.
…
Londres était pluvieux en cette après-midi de septembre et la capital était recouverte de parapluies de toute sorte, les usagés peinaient à les garder droit, courbés sous la pression des bourrasques de vents qui avaient prises en grippe la majeur partie de l'Angleterre depuis pas loin d'un mois. Bigben sonnait pourtant 13 heure qu'une jeune femme semblait avoir quelque difficultés à sortir de sous la couette. Eléa Swan était pourtant bien réveillée à cette instant, et devait l'être depuis plusieurs heures, cependant, elle ne paraissait guère décidée à sortir de son lit et allongée sur le coté, elle regardait la pluie tomber mollement sur les carreaux embués de sa fenêtre. Les cours avaient déjà repris il y a de cela 3 jours maintenant mais Eléa était décidée à ne pas mettre un pied dehors par un temps pareil tout en sachant que ce temps perdurait et perdurera, apparemment, un sacré moment. On sonnait à la porte pour la quatrième fois aujourd'hui pourtant cela n'importunait en rien notre jeune héroïne qui se doutait que la personne à l'origine de ce vacarme sonore n'était rien de plus que ça tante qui cherchait à recueillir des nouvelles d'elle ou tout simplement savoir si sa très cher nièce était malheureusement encore en vie car oui Eléa vivait seul et çela depuis 6 ans, elle n'avait que 13 ans quand ses parents sont tragiquement décédés ou plutôt été assassinés par un homme de main engagé par un créancier sans scrupule à qui ils devaient plusieurs centaines de livres seulement.
Elle fut confié à sa grande tante Missia qui ne ratait aucune occasion de lui rappeler que la mort de ses parents n'était dut que par sa naissance, les obligeant à demander crédits à des hommes peu recommandables. Elle fit alors bien vite ses bagages et partie s'installer, malgré son jeune age, seul dans un vieux grenier à louer en plein centre de Londres. Depuis elle se bat pour survivre malgré la maigre pension que lui versait sa tante chaque mois car il faut avouer que Eléa arrivait tout de même à lui soutirer 90 livres par mois ce qui frôlait le miracle lorsque l'on sait que cette vielle femme est sans aucun doute la dame la plus avare de Grande Bretagne. C'est avec toute la délicatesse d'une tortue qu'elle glissa de ses draps pour atteindre la porte d'entrée et elle regretta très vite de l'avoir ouverte quand elle remarqua l'expression de profond reproche plaqué sur le visage de sa tante qui annonçait de forte représailles:
-« Que me vaut le plaisir de votre visite ma tante?
-Je viens reprendre l'argent que je t'ai donner au début de ce mois.
-Je vous demande pardon, et en quelle honneur, cet argent représente ma pension l'auriez vous oublié?!
-Je le sais bien et je sais aussi que vous l'avez dépensé il y a de cela 2 jours pour vous acheter un livre sans intérêt cher le vielle antiquaire en bas de la rue.
-je ne vois pas en quoi cela vous regarde, et il ne m'a couté qu'un seul livre que je sache!
-je vous apprend jeune fille que ces sous ne tombe pas du ciel et je ne vous les donne pas pour que vous les dilapidiez dans ce genre de broutilles je vous laisse l'argent de ce mois ci puisque je suis une femme d'une grande tolérance mais vous n'aurez rien le mois prochain n'y pour celui qui suit! »
La vielle tante avait dit ces mots en franchisant le seuil et fini sa phrase en claquant la porte pour ne laisser aucune possibilité de réponse à sa nièce resté droit comme un I, les points serrés et le visage devenu rouge de colère, décidément elle aurait dut resté au lit.
…
voilà quatre jours que le passeur d'aurore avait touché terre au large d'une petite île du sud regorgeant, pour le plus grand bonheur de tous, de fruits et autres denrées délicieuses. Le plein d'eau potable avait été effectué et les hommes avaient repris assez de force pour continuer leur traversée, il était temps de repartir. Caspian regardait s'éloigner l'île penché sur la rambarde à l'arrière du navire, ils avaient réussi à gagner de nouvelles provisions pour le voyages mais le vent était toujours absent et il commençait à lui manquer cruellement.
…
Au même instant en Angleterre, Eléa c'était rassise sur son lit avec un étrange bouquin entre les mains. Elle restait là sent bouger à fixer l'objet en question, il faut dire que elle même en temps normal n'aurait jamais acheté cette chose sans importance, pourtant quelque chose l'avait pousser à rentrer dans cette boutique à l'apparence miteuse et sinistre, cette attraction qu'elle avait ressentit en remarquant ce livre, qui soit dit en passant n'était même pas un livre puisque les pages à l'intérieur étaient vierges et en plus avait sa reliure déchirée. Mais il avait comme scintillé, elle l'aurait parié, quand elle l'avait touché pour la première fois. C'est dans ces circonstances qu'elle c'était retrouvée avec, seulement une dizaine de minutes plus tard. Elle feuilletait les pages à la recherche d'elle ne savait trop quoi, peu être quelque chose qui justifierait sa soudaine attirance pour lui, pour se prouver rien qu'à elle même qu'elle n'était pas devenu complètement folle. Découragée elle referma brutalement le livre mais au moment ou elle s'apprêtait à l'envoyer rencontrer le mur d'en face, celui ci se mit à briller. De surprise Eléa l'achat le livre qui tomba ouvert au sol et c'est au moment ou elle voulut le ramasser qu'elle vit s'écrire sur l'une des page:
« viens un autre monde t'attend »
La lumière blanche alors émise par l'étrange bouquin devint plus forte jusqu'à finir par aveuglé totalement Eléa qui ne sentait plus que le sol vibrer férocement sous ses pied nus, elle tentait de hurler, de crier au secoure mais elle ne s'entendait pas elle même. Elle se sentit alors happée vers le bas, elle ferma les yeux en tentant vainement de se retenir à n'importe quoi et percuta, finalement de plein fouet le sol qui lui sembla bien plus dur et plus humide aussi qu'elle ne l'aurait cru et perdit connaissance.
…
Le bateau c'était soudain mit a tremblé, tous se précipitèrent sur le pont pour connaître l'origine de ce remue-ménage et quelle ne fut pas leur surprise lorsqu'ils constatèrent que la mer était toujours aussi calme. Drinian avait l'œil au gaie s'attendant à voir apparaître des monstres marins de tout coté, Caspian ainsi que le reste de son équipage avaient déjà l'arme en main près à faire face à n'importe quelle menace mais rien, l'eau ne sourcillait pas . Ce n'est que lorsque Ripitchips s'apprêtait à sauter en pleine mer voir sous la coque la cause de toute cette agitation qu'un fracas retentit dans la cale. En une fraction de seconde Caspian et ces hommes ouvrirent la trappe pour y passer la tête. La roi y pénétra en premier suivi de près par Tavros et Ripitchip. A vrai dire, Caspian S'attendait à tout sauf à ça, même rencontrer dans sa propre cale la sorcière blanche en chaire et en os l'aurait, sans doute, moins troublé. Il fouilla l'obscurité du regard, sur ses garde plus que jamais, pour enfin attarder son attention sur une petite forme au sol. Il fit signe de la main à ses deux meilleur soldats et pointa l'étrange ombre du doigt, ils contèrent jusqu'à trois et sautèrent dessus. Alors que Tarvos portait une torche au dessus de la silhouette, Ripitchip couvrait les arrières de son roi pendant que celui ci avait bondit sur sa cible. Il était, à présent au dessus du corps, du corps?! Il encerclait ses jambes des siennes, avait emprisonné ses poignet d'une main et tenait de l'autre un canif sous sa gorge ce n'est que lorsqu'il se permis de respirer qu'il prêta plus d'attention à sa prise et il en resta bouche bée de stupeur. Se tenait sous lui le corps d'une jeune femme inconsciente au long cheveux cuivrés ondulés et aux vêtements peu orthodoxes. Sans vraiment savoir pourquoi, il porta une main à la joue de la nouvelle venu et fut rassuré de constaté qu'elle respirait encore, Tarvos brisa le silence le premier:
-« C'est une jeune fille d'Ève! » c'était t-il doucement exclamé plus pour lui même que pour les autre.
-« En effet mais comment cette charmante enfant c'est elle retrouvée dans la cale du passeur d'aurore? »Avait demandé le petit rat tout en rangeant sa minuscule épée dans son fourreau.
Caspian c'était relevé et désigna l'étrange livre plutôt abimé prés d'elle.
« Cette chose la peu être amené ici mais le meilleur moyen de connaître la vérité sur cette jeune femme est de lui demandé personnellement et pour ça il va falloir attendre qu'elle se réveille. »
Joignant les gestes à la parole, Il s'approcha d'elle et la pris dans c'est bras pour la remonter sur le pont.
