Je saaaaiis ! Je devrais pas commencer une histoire maintenant quand j'en ai encore deux à terminer ! Mais je suis tellement à fond dans "Le Hobbit" et "Le Seigneur des Anneaux" que j'ai pas pu résister ! ^^' Honte à moi...

Bon ! Concernant cette histoire... J'ignore encore combien de chapitres elle comprendra. Euuuh... Quand je dis "ignorer", c'est vraiment "Je sais pas !" ! Disons déjà seulement qu'il y aura deux arcs majeurs. J'ai bien entamé le chapitre deux, mais je tiens à savoir, en avant goût, ce que vous en pensez avant de poster la suite, histoire de savoir si je dois me ronger les ongles à force de chercher à réussir à trouver une suite ou si je m'arrête là parce que c'est vraiment trop nul !

Ahem ! ... ^^'

Bon, bah, le mieux, c'est de vous laisser lire, hein !

Bonne lecture !

Tous les personnages de J.R.R Tolkien sont à Tolkien et mes OC m'appartiennent corps et âme ! ;3

Délégation et relations diplomatiques

- Ne fais pas tant d'histoires pour si peu, Thorïn, et dépêche toi ! Tu vas être en retard !

- Mais, Mère ! J'ai autre chose à faire ! Père et Grand Père ont toujours tout fait sans moi ! Pourquoi je dois y aller aujourd'hui ?

Dana, épouse de Thraïn, fronça davantage les sourcils, si c'était possible, devant la réponse désinvolte de son fils aîné, avant de lui tirer l'oreille sans pitié, et ce, devant les dames de compagnie de la princesse d'Erebor qui durent se retenir de glousser, même si leurs rougissements étaient on ne peut plus explicatifs.

- Que je ne t'y reprenne plus à me parler de cette manière, petit sacripan ! , gronda Dana en ignorant les protestations du petit nain, Est-ce donc ainsi que tu as été élevé ? Rappelle toi que tu n'as que 35 ans, pas 80 ! Recommence et je serais obligée de sévir !

- Aïe, aïe, aïe ! Oui, d'accord, Mère, d'accord ! , s'exclama le tout jeune prince qui essayait surtout de se soustraire à sa redoutable poigne.

- Bien !

Sur ce, elle le lâcha, laissant Thorïn se frotter l'oreille devenue rouge avec un air qui mêlait honte et reproche, même s'il avait le bon sens de garder les yeux baissés. Dana poussa un soupir légèrement énervé en se pinçant l'arrête du nez, faisant tinter les perles d'or qui ornaient son bouc, à son menton.

- Pour répondre à ta question, reprit-elle, les yeux toujours fermés, Ton père et ton grand père reçoivent aujourd'hui une délégation des Monts du Fer, envoyée par ton oncle. Afin de te préparer à ton rôle de roi, il a été décidé que tu commencerais à assister aux affaires d'importance telles que les réceptions d'invités diplomatiques comme celle-ci. C'est pourquoi, et je vais être parfaitement claire sur ce point car je refuse d'avoir à me répéter, il faut que tu y ailles aujourd'hui et maintenant, non pas après l'entraînement à l'épée avec Dwalïn et ton frère Frerïn.

Le petit nain aux cheveux de jais se retint de justesse de pousser un soupir de lassitude. Il aurait du sentir le coup venir ! Surtout quand une des dames de compagnie de sa mère, Zini, était venue le chercher sur le chemin de l'aire d'entraînement. Ecouter des adultes parler de politique, peuh ! Ca ne valait pas un bon combat avec une hache ou une épée ! Pourquoi son père lui avait-il montré le premier maniement des armes si ce n'était pas pour se battre en cas de problème avec l'ennemi ? Et maintenant, on voulait le forcer à rester debout pendant des heures à coté du trône d'Erebor, à regarder des inconnus s'incliner et parler « relations » ? En quoi était-ce utile, qu'on lui explique !

- Pourquoi ce n'est pas Dis ?

- Dois-je te rappeler à chaque fois que ta sœur n'est pas destinée à monter sur le trône d'Erebor ? , demanda Dana, L'héritage se fait de père en fils, d'homme à homme. Tu le sais parfaitement.

- Et Frerïn, alors ? , demanda-t-il néanmoins avec espoir, Lui aussi c'est un garçon !

- Par la barbe de Durïn, Thorïn, je t'en prie ! , s'énerva sa mère, Cesse de poser des questions idiotes, enfin ! Tu es l'aîné, l'héritier ! Maintenant, vas y avant que je ne parle de ta conduite superficielle à ton père !

Elle prit juste le temps d'ajuster une dernière fois le manteau rehaussé de fourrure sombre de son fils avant de l'envoyer, avec deux gardes, vers la salle du trône, le laissant maugréer à son aise dans sa barbe encore inexistante une fois qu'il fut seul, avec pour seuls témoins les deux nains armés qui le suivaient en silence.

Quelle plaie d'être héritier ! Il ne comptait plus le nombre de fois où il avait envié son petit frère et sa petite sœur. Leur seule tâche était de porter le nom de Durïn, et de faire prospérer l'illustre lignée une fois qu'ils seraient adultes et mariés. Lui devrait porter le poids de la couronne sur son front, en plus du nom de son ancêtre.

… Et le pire, c'était que Dis commençait à avoir de la barbe !

On avait beau lui avoir répété plusieurs fois que la barbe apparaissait souvent beaucoup plus rapidement chez les petites naines que chez les petits nains, il ne pouvait s'empêcher de ressentir régulièrement une étincelle de jalousie en voyant le fin duvet sombre et précoce qui recouvrait déjà le menton et les joues de sa sœur… alors qu'elle avait 10 ans de moins que lui !

Rien à faire, tout était vraiment contre lui !

*O*O*O*

Lorsque les deux gardes l'abandonnèrent devant la salle du trône, Thorïn était d'encore plus mauvaise humeur qu'avant, si c'était possible. Sa mère n'avait pas hésité à lui confisquer ses armes en lui disant qu'elle les lui rendrait lorsque cette réunion, inutile selon lui, serait terminée. C'était dans ces moments là qu'il aurait bien aimé être magicien : Il pourrait faire avancer le temps, ou encore subtiliser les armes confisquées sans que Dana ne s'en rende compte, ou encore…

Il y avait décidément beaucoup de choses qu'il aurait volontiers fait s'il avait été magicien.

Il s'obligea malgré tout à carrer les épaules et à entrer d'un pas digne lorsque les gardes lui ouvrirent les portes. Ce n'était pas l'entrée principale, beaucoup plus impressionnante que ça, et qui ne permettaient pas de traverser l'immense salle en vitesse. Néanmoins, il avait encore une bonne trotte avant d'arriver à la série de marches qui conduisaient au haut trône de pierre massif incrusté d'or et de symboles nains.

Apparemment, il était le dernier arrivé. Devant les conseillers et les gardes royaux, son père, richement vêtu, la barbe ornée de perles et de tresses de guerre, discutait à voix basse avec son grand père, installé à la place qui lui revenait de droit. Comme à chaque fois que Thror se présentait en tenue royale, avec la couronne sur la tête, Thorïn se sentait… étrange. La couronne d'Erebor lui avait toujours semblé trop grande, et lourde, une impression qui s'était confirmée alors qu'il n'avait pas l'âge de sa petite sœur : Thror, à sa demande, lui avait posé la couronne sur son crâne. L'ornement en or et en métal riche et précieux n'avait pas tenu deux secondes sur sa tête enfantine avant de glisser sur son nez et autour de son cou, déclenchant un rire chez le vieux roi sur les genoux duquel il était alors assis. Il lui avait ébouriffé les cheveux avant de reprendre la couronne sous le visage rougissant de son petit fils. Aujourd'hui encore, Thorïn se demandait si l'ornement royal glisserait de la même manière s'il le posait sur sa tête maintenant, ce qui, il ne savait vraiment pourquoi, avait quelque peu tendance à le rendre nerveux.

Il s'empressa de saluer son grand père et son père d'une inclinaison du buste, évitant leurs regards aussi bleus que le sien. Le retard pouvait être toléré, mais à certains moments, il ne fallait pas trop tenter sa chance. Thraïn pouvait atteindre ses limites assez rapidement si on se montrait insolent alors que la faute ne permettait pas de telles bravades, même s'il aimait profondément ses enfants. Quant à Thror… Disons qu'on ne faisait pas attendre le roi.

- Pardonnez moi… J'ignorais qu'on avait requis ma présence ici, souffla le petit nain.

- La prochaine fois, tâche de ne pas être en retard, répondit Thraïn avant de lui faire signe de prendre sa place à coté du trône.

Retenant de justesse un soupir qui mêlait soulagement et ennui, Thorïn obéit en prenant soin de cacher son oreille encore rouge des rabrouements de sa mère. Il tenait très moyennement à ce que son père lui demande la raison pour laquelle son oreille était d'une telle couleur…

Tandis qu'il se dandinait sur place en s'efforçant d'imiter son père, si droit et digne à la droite de Thror, il commença néanmoins à se demander, au bout de longues minutes, s'il avait été à ce point en retard. La délégation n'était toujours pas arrivée, et on lui faisait des remontrances sur l'heure de son arrivée ! Franchement, Thorïn avait parfois bien du mal à comprendre le raisonnement des nains adultes…

Il était prêt à demander combien de temps il leur faudrait encore attendre, debout devant le vide, quand un héraut se présenta finalement à eux en s'inclinant.

- Votre Majesté, Prince Thraïn, Prince Thorïn… La délégation des Monts du Fer, conduite par le noble Glaed, émissaire du seigneur Doriad.

Sur ce, les grandes portes s'ouvrirent complètement, pour laisser passer un groupe de nains richement vêtus pour certains, habillés de cotes de mailles et d'armures pour d'autres, même si leurs armes avaient été déposées avant qu'on ne leur accorde une audience avec le Roi sous la Montagne. Ils devaient être une vingtaine, mais Thorïn doutait qu'ils soient au complet. Une délégation, il avait au moins retenu ce point là dans ses cours barbants sur les relations politiques entre les royaumes de la Terre du Milieu, était généralement composée d'au moins quarante personnes, sinon plus, quand il s'agissait de nains.

Arrivés non loin du trône, les nouveaux venus s'arrêtèrent et s'inclinèrent avec respect devant Thror et ses héritiers. Par ennui, le jeune Thorïn tenta de deviner qui était le dénommé Glaed avant qu'il ne se présente de lui-même, et son choix se porta sur le nain imposant en premier plan, vêtu de vêtements coûteux qui mêlaient cotte de mailles, fourrure et velours. Il avait une barbe spectaculaire, décorée et tressée avec un soin qu'on aurait pu presque qualifier de maniaque.

Mais Thorïn découvrit son erreur lorsqu'un autre nain s'avança pour s'incliner une nouvelle fois devant son grand père, et le tout jeune prince se mordit la lèvre en voyant le véritable « noble Glaed ». Grand aussi, pour un nain, quoique pas autant que le premier, il était habillé de manière beaucoup plus sobre que celui devant lequel il se tenait. En fait, il portait plus une armure qu'une tenue officielle. Et chose étonnante, sa barbe, sans ornements précieux, mais percluses d'innombrables tresses de guerre à un point tel qu'il aurait pu concurrencer Thraïn, était d'un roux cramoisi, très sombre. Thorïn songea furtivement qu'il l'avait laissée tremper dans le sang de ses ennemis, avant de remarquer que ses cheveux avaient la même teinte. Sa voix était aussi grave que celle de son père et roulait volontiers sur les « r », dénonçant son accent prononcé des Monts du Fer.

- Au nom de cette délégation, ainsi que de votre gendre, le seigneur Naïn, je vous remercie grandement pour votre hospitalité, Thror, Roi sous la Montagne d'Erebor.

Thror accepta ses remerciements d'un hochement de tête, encourageant d'un même mouvement le nain à poursuivre. Une nouvelle fois, Thorïn retint un profond soupir de lassitude, songeant avec envie à Frerïn et Dwalïn qui devaient faire des joutes animées sur l'aire d'entraînement sans lui. C'était complètement injuste ! Lui se retrouvait coincé ici jusqu'à ce qu'il ait des crampes dans les mollets et un mal de crâne à se taper la tête contre une enclume ! Pourquoi n'était-il pas né second fils ?

L'air renfrogné, le jeune prince ne trouva rien d'autre à faire qu'à continuer d'observer les nouveaux venus qui ne pipaient mot, se contentant d'écouter le chef de leur expédition parler d'il ne savait même plus quoi. Il y en avait des gros, des minces, des grands, des petits, des costauds, des « fétus de paille », des…

Des…

Thorïn cligna des yeux, quelque peu surpris par la taille du nain qui se balançait d'un pied à l'autre en silence entre deux soldats portant de lourdes armures qui paraissaient le surveiller. Il était vraiment minuscule à coté d'eux, une impression renforcée par le manteau à capuchon relevé gris qu'il portait et qui cachait son visage, en plus d'être occupé à regarder quelque chose situé à sa droite. Le petit prince plissa les yeux pour essayer d'apercevoir ne serait-ce que le bout d'un nez, un œil ou encore le menton…

Il fut servi.

L'inconnu dut sentir qu'on le regardait car il tourna si brusquement la tête vers lui que le capuchon glissa sur ses épaules. Et là, Thorïn eut un peu de mal à y croire.

Non seulement c'était un enfant, qui devait avoir son âge, peut être même être un peu plus jeune que lui…

Mais en plus, c'était une fille !

Le petit prince dut se retenir de secouer la tête de surprise, étant exposé à la vue de tous. Pourtant, sa vue ne le trompait pas. C'était bien une enfant naine qui le regardait, enroulée dans son manteau gris argent. Elle avait les cheveux aussi cramoisis que la barbe tressée de Glaed, décorés de perles en or qui faisaient comme des gouttes dorées perdus dans une rivière de boucles de feu, et n'avait encore aucune pilosité faciale. Thorïn se demanda s'il y avait un lien de parenté entre le chef de la délégation et cette fille. Mais surtout, qu'est ce qu'elle faisait là ?

En fait, il crut surtout que le monde tournait à l'envers quand la fillette, qui avait un grand sourire… Lui tira soudainement la langue ! Outré, Thorïn ne put s'empêcher de répliquer avec autant de discrétion que possible (étant placé devant tout le monde, en hauteur, quoique légèrement reculé par rapport au trône…), et ce, après avoir vérifié que personne ne le regardait. Loin d'être scandalisée, la fille recommença, se mettant cette fois ci à loucher par-dessus le marché. Décidé à se venger d'un tel affront venant d'une inconnue alors que lui était un prince, sincèrement irrité par l'audace, Thorïn se fendit d'une grimace rapide, mais efficace, puisque la fillette fronça brièvement les sourcils avant de contre attaquer avec une tête affreuse. En voyant le regard que lui lança alors le petit nain, elle fut secouée d'un rire silencieux, qui s'éteignit rapidement devant la tête qu'il tirait. Pure provocation à laquelle elle ne put résister. La fillette fit alors une nouvelle grimace spectaculaire qui le fit froncer du nez, et il dut chercher une nouvelle parade en vitesse.

Sa moue provoqua un nouveau froncement de sourcils chez l'inconnue qui eut alors un mauvais sourire, puis entreprit une telle grimace que l'irritation de Thorïn augmenta encore d'un cran. Tentant le tout pour le tout, le petit prince lui fit alors sa tête la plus affreuse, celle qu'il utilisait avec Frerïn pour effrayer Dis, parfois, avec des histoires de fantômes, le soir.

Sauf que là, il se retrouva avec l'intégralité de la délégation, son père, son grand père, ses conseillers et ses gardes qui le regardait. Mortifié, il demeura figé avec son visage tordu en grimace pendant ce qui lui parut une éternité, même si ce n'avait été, en réalité, que quelques secondes, à peine. La fillette, elle, était complètement écroulée de rire devant la tête qu'il faisait, jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'on la regardait aussi. Son visage s'empourpra alors, devenant presque aussi sombre que ses cheveux perlés. Un silence gêné s'installa dans la salle du trône. Silence qui fut rompu, étonnement, par Thror. Ce dernier avait un sourire indulgent sous son épaisse barbe argentée, et donna une tape sur l'épaule de son petit fils qui trouvait ses pieds décidément très intéressants, et dont le visage arborait la couleur bien mure d'une tomate.

- Ces petits sont vraiment pleins d'énergie, de nos jours ! , s'exclama-t-il, détendant ainsi d'un seul coup l'atmosphère.

Glaed jeta un regard à la fillette qui la fit rougir encore davantage, avant d'incliner la tête devant le roi et son fils.

- Pardonnez ma fille, votre majesté, demanda-t-il, Le voyage a été plutôt long…

- Tout est pardonné, coupa Thror (On sentait toujours le sourire dans sa voix), Je pense que l'idéal, surtout, pour ces petits, serait qu'ils aillent se défouler ailleurs, loin de toutes ces discussions qui ne doivent pas tant les intéresser que ça… Thraïn, je pense que Thorïn en a assez vu pour aujourd'hui, ajouta-t-il à son fils.

Ce dernier regarda son propre fils d'un air interdit, et Thorïn n'arrivait à discerner si c'était de la colère, de la lassitude ou de l'amusement qui brillait dans ses yeux bleus. Peut être un peu des trois…

- Je pense aussi, Père...

Thorïn n'en crut pas ses oreilles. On le laissait partir… plus tôt ? Il allait pouvoir retrouver Dwalïn et Frerïn à l'aire d'entraînement !

- Il n'a qu'à faire visiter les lieux à sa jeune amie ici présente.

La joie du petit prince retomba aussi vite qu'elle avait jailli, telle une fontaine qui se tarit brusquement. Son regard bleu croisa celui de la fillette, apparemment pas vraiment plus heureuse que lui, qui avait à peu près retrouvé les couleurs qui avaient été les siennes avant qu'elle ne se mette à rougir sous le regard de son propre père, et il se retint de lui tirer la langue le premier, cette fois ci. A cause d'elle, il s'était ridiculisé devant son père, son grand père et l'ensemble d'une délégation des Monts du Fer… Et en plus il devait lui faire visiter sa maison ?

Pourtant, en croisant à nouveau le regard de son père, il sut qu'il n'avait pas le choix. Même Thror semblait approuver l'idée, et Glaed s'empressa d'enfoncer le clou :

- C'est une excellente idée, votre Altesse. J'ose espérer que ma fille ne fera pas d'esclandre, ajouta-t-il en appuyant ses mots d'un regard éloquent envers la fillette, Elle est farceuse et sait bien manier les mots, mais elle a été bien élevée…

La fillette s'empressa de hocher la tête pour confirmer les paroles de son père, et Thror l'engagea alors à suivre Thorïn qui paraissait aussi heureux que si on lui avait annoncé que son destin était de devenir danseur de claquettes de pierre…

Oui. Thorïn, vous l'aurez remarqué, est jeune.

Très jeune.

Je ne vous cacherais pas que la scène des grimaces a été une véritable partie de plaisir à écrire. J'étais en train de me bidonner toute seule devant mon ordinateur, à 1h 15 du matin en ce 26 Juin 2013 parce que je voyais dans ma tête un Thorïn version miniature en train de faire des grimaces devant tout le monde !

Débilité quand tu nous tiens...

Alors, je mets la suite, ou pas ? N'hésitez pas à me dire par reviews ! ;3

Namarië