Coucou ! Me revoilà mais cette fois ce n'est pas avec une de mes fictions mais bien une traduction, ma première en plus ! C'est une fiction que j'ai trouvé un peu par hasard en recherchant d'autres fictions à lire. La version originale est en anglais. En espérant que cette histoire vous plaise autant qu'elle me plait.
Résumé: Que seraient les Vongola si il n'étaient pas la vieille, puissante et influente Famille que nous connaissons tous ? Si ils étaient la jeune et peu connue Famille Vongola de la première génération? A 19 ans, le jeune Giotto Vongola à du pain sur la planche, comme empêcher ses gardiens de créer des ennuis et de faire en sorte qu'ils n'offensent pas des Familles plus anciennes avec lesquelles il essaye de former des alliances, sans mentionner le fait que, un jour, de façon complètement impromptue, son (ex) petite amie déposa leur fils nouveau-né sur le seuil de sa porte sans un regard en arrière. Lisez pour voir comment Giotto essaye de se débrouiller en élever son fils et sa Famille.
Disclamer: KHR ne m'appartient pas, et l'histoire non plus. Elle appartient à SkyGem dont j'ai reçu l'accord pour traduire sa fiction. La traduction, elle, m'appartient.
Note de la traductrice [donc moi]: La fiction comporte 30 chapitres pour le moment et la fiction n'est pas terminée. Je viens seulement de commencer à traduire la fiction. Vu que c'est ma première traduction, j'essaye de faire ça correctement et je vais essayer de trouver un rythme de parution. Le début risque d'être aléatoire, le temps que je prenne quelques chapitres d'avance après cela, ça passera à un chapitre par semaine, j'espère que cette fiction vous plaira et je transmettrais vos reviews à l'auteur. Merci de lire cette traduction. Rebornx3
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La chose que Giotto détestait le plus dans son travail, probablement le plus à propos de sa vie, était la pile interminable de papier à laquelle il devait faire face chaque jour.
Avec un soupir, il déposa son bic, et se leva de son siège pour se rendre sur le balcon, qui se trouvait à quelques pas sur la gauche de son bureau. S'étirant, il essaya de se débarrasser de la rigidité qui s'était installé dans ses muscles lors des heures qu'il venait de passer assis derrière son bureau. Jetant un regard sur la pelouse verte émeraude s'étendant au dehors, ainsi qu'à l'allée menant hors de la propriété et au-delà de la petite forêt, il ne put s'empêcher de sourire. La vue était [à son avis] à couper le souffle.
S'étirant une nouvelle fois, il étouffa un bâillement (il avait seulement dormis trois heures la nuit dernière) et il était sur le point de retourner à l'intérieur se servir une bonne tasse de café lorsque quelque chose attira son regard.
Regardant en bas, il vit une voiture qui lui était peu familière, et ses yeux s'élargirent lorsqu'il reconnut la personne qui était assise dans cette dernière.
Ses yeux s'élargirent d'une façon comique, il s'était pincé pour s'assurer qu'il ne s'était pas endormis, quand il sentit une petit douleur vive, il s'était rendu compte qu'il était bel et bien réveillé et que la femme qu'il regardait fixement était bel et bien son ex petite amie, Nana. Tout deux avaient rompu il y avait environ six mois, pour des raisons que le blond ignorait et il ne l'avait plus vu depuis.
Comme si elle avait senti ses yeux posés sur elle, elle leva la tête et leurs regards se rencontrèrent. Tout de suite, il pu remarquer qu'il y avait quelque chose de différent chez elle; ses cheveux bruns étaient mous et ternes, et elle ne semblait pas... aussi mince qu'avant, bien que cela se remarquait à peine.
Comme ils se fixaient l'un l'autre, il put voir dans ses yeux un monde de haine et de regrets et même juste un semblant de douleur. Elle tint son regard fixe encore quelques secondes, mais ensuite, elle remonta dans sa voiture et le chassa de sa vie.
L'attention de Giotto était tellement focaliser sur la japonaise qu'il ne remarqua pas qu'un des majordomes ouvrait les larges doubles portes en dessous, il ne remarqua pas non plus l'expression étonnée du majordome lorsqu'il vit le paquet déposé au sol devant la porte. Giotto n'avait d'yeux que pour Nana parce que, la vérité devant être dite, il était toujours beaucoup trop amoureux d'elle.
Il regarda fixement un long moment l'endroit où elle avait disparu, souhaitant qu'elle fasse demi tour, mais elle ne l'avait pas fait, et finalement, il se retourna et il rentra à l'intérieur.
Juste au moment où il allait reprendre place sur son siège, il eut un coup sec à la porte et il se redressa immédiatement et essaya de paraître moins fatigué; il ne voulait pas passer pour un boss faible devant ses subordonnés.
« Entrez » dit-il d'une voix autoritaire.
La porte s'ouvrit pour révéler Ferro, un majordome âgé qui travaillait pour la famille de Giotto depuis que le blond était encore enfant. Giotto venait d'une très ancienne et très puissante famille et il avait toujours vécu dans le luxe jusqu'à ce que ses parents se fassent assassiner et qu'il doivent se débrouiller seul. Après être passé dans des familles d'accueil, le garçon en eut finalement assez et il s'était enfuis. Peu de temps après ça, il rencontra ses gardiens et ensemble, ils formèrent un groupe d'auto-défense connu comme les Vongola. Un jour, alors qu'il cherchait du personnel pour travailler dans la nouvelle base des Vongola, Giotto était tombé par hasard, sur la fiche d'un vieux majordome qui recherchait du travail et qu'il reconnut tout de suite comme étant le major d'homme de son enfance. Après une émouvante réunion, Giotto avait offert Ferro de travailler pour lui, ce que le vieux major d'homme avait accepté. C'était il y a environ un an.
Offrant un sourire avec un soupire à l'homme, Giotto dit « Ferro, entre. Quelque chose s'est produit ? » Ensuite, après une courte pause, il demanda avec une petite voix, « G, n'a rien fait sauté, n'est-ce pas ? »
Le vieil homme secoua simplement la tête, son expression était grave.
L'inquiétude le guettant, Giotto se leva et s'approcha du majordome. « Que s'est-il passé, Ferro ? »
« Suivez-moi s'il vous plait, maitre Giotto. » dit-il, ensuite il se retourna et partit à une allure vive.
Le suivant, Giotto sentit grandir le malaise.
Avant qu'il n'aille trop loin, Ferro s'arrêta une fois de plus et Giotto remarqua qu'ils se trouvaient devant l'infirmerie.
Ferro se déplaça et juste quand Giotto étendait le bras pour attraper la poignée de porte, il entendit les pleurs d'un bébé venant de l'intérieur de la pièce. En entendant le son, Giotto se tourna vers le majordome interrogativement. « Est-ce Takeshi? » demanda-t-il inquiet, pensant au fils de son gardien de la pluie, qui avait été déposé par sa mère à la maison, il y a de cela quatre mois. Il s'avérait que Asari n'était pas au courant que sa petite amie était enceinte, et elle ne lui avait rien dit, refusant simplement de le voir pendant la période de sa grossesse. Quand l'enfant eut environ deux mois, elle avait amené l'enfant disant, en larmes et le coeur brisé, à Asari que son père lui avait interdit tout contact avec ne serait-ce que l'un d'entre eux. C'était un adieu larmoyant et Asari avait été bouleversé pendant plusieurs jours après. Juste quand, ils commençaient tous à être inquiets, le gardien de la pluie était redevenu lui-même et il avait décidé de se consacrer à son fils et de lui donner tout l'amour dont il était capable pour compenser celui de sa mère absente. Finalement, Giotto et les autres (même Alaude) aimaient énormément l'enfant, tout comme le personnel de la maison.
Sans attendre la réponde de Ferro, Giotto ouvrit vite la porte de l'infirmerie et se rua vers les employées qui entourait un berceau d'où les cris provenaient, pensant que c'était celui de Takeshi.
Lorsqu'il arriva au berceau, il vit avec choc que ce n'était pas Takeshi qui se trouvait là; c'était un tout jeune enfant, seulement de deux ou trois semaines, qui avait sur la tête une épaisse et duveteuse chevelure brune.
Giotto chancela en arrière sous le choc après avoir regardé l'enfant, qui lui ressemblait beaucoup lorsqu'il était bébé.
Une des servantes, une jeune femme dans la vingtaine du nom de Gabrielle, demanda l'attention de Giotto par une timide tape sur l'épaule.
Reportant son attention loin du bébé, Giotto la regarda avec confusion, ensuite il reporta son attention sur un bout de papier qu'elle tenait entre ses mains. Lui prenant des mains, il reconnut directement l'écriture de Nana. Il lu la lettre non pas une mais bien deux fois pour s'assurer que ce qu'il lisait était juste. Une fois qu'il eut fini de lire la lettre, il sentit la colère monter progressivement en lui, voilà ce que la lettre disait:
Cher Giotto,
Avant que tu ne dise quoi que ce soit, je voudrais m'excuser. Des excuses pour quoi, tu dois te le demander. Ma réponse à cette question est: beaucoup de chose. Je suis désolée d'avoir couché avec toi alors que je savais que je ne t'aimais pas, je suis désolée d'être tombée enceinte. Je suis désolée que ma mère ne voulait pas que j'avorte. Je suis désolée de ne pas t'avoir dit que j'étais déjà promise à quelqu'un. Mais il y a une chose pour laquelle je ne suis pas désolée. Je ne suis pas désolée de te laisser cet enfant. Bien que je l'ai porté pendant neuf mois et que je lui ai donné naissance, je le déteste de chaque fibre de mon corps et je ne veux plus rien à voir avec lui ou avec toi. Cela m'importe peu de ce que tu vas faire avec lui, tu peux le laisser dans un orphelinat, ou bien essayer de l'élever toi-même. Je n'ai qu'une seule demande: laisse moi en dehors de tout ça.
Sincèrement,
Nana.
Après avoir fini de lire la lettre une seconde fois, Giotto sentit une myriade d'émotion. Il ne savait pas comment réagir. Devrait-il se sentir triste? Trahis? Avoir le cœur brisé? En colère? Abattu?
A la fin, l'émotion qui pris le pas sur les autres était la colère. Il était en colère de s'être trompé; il était en colère que Nana ce soit avéré être une tout autre personne que ce qu'il pensait; il était en colère qu'elle soit sortit de sa vie et de celle de son fils de cette manière, sans jeter un regard en arrière.
Luttant pour ne pas entrer en mode de dernière volonté, il se contenta de broyer le morceau de papier dans sa main et de le faire bruler à l'aide de sa flamme du ciel.
Les quatre servantes présentes dans la pièce, reculèrent effrayées de voir leur patron en colère, lui qui est si gentil habituellement.
Soudainement, il eut un autre cri du bébé provenant du berceau et la colère de Giotto retombât peu à peu.
Regardant son fils, Giotto ne put s'empêcher de penser qu'il semblait si petit et si fragile. Tendant sa main vers le garçon, Giotto lui caressa doucement la joue et, à sa surprise, il avait arrêté de pleurer. Doucement, ses paupières s'ouvrirent et pour la première fois Giotto vit les yeux de son fils. Ils étaient d'un beau brun chocolat et le blond se sentit incapable de détourner le regard. Offrant un sourire timide au garçon, Giotto fut récompensé avec un joyeux gazouillis suivit par un sourire innocent. Alors il sut qu'il n'y aurait pas de retour en arrière.
Plus vite qu'il ne le remarqua, Giotto s'était attaché à son fils tout juste connu et il savait qu'il ferrait absolument tout pour lui.
Atteignant le berceau, ses mains se placèrent instinctivement sous les bras de son fils qu'il prit dans ses bras.
Berçant son fils près de son cœur, il ferma les yeux quelques instants et lorsqu'il les rouvrit, il avait un léger sourire aux lèvres. Il avait déjà trouvé le nom parfait pour le garçon.
Amenant sa bouche près de l'oreille de son fils, il murmura, « Bienvenus chez les Vongola, cher Tsunayoshi. »
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Voilà pour ce premier chapitre, j'espère qu'il vous aura plu. Je vais essayer de faire de mon mieux pour la traduction et si vous voyez des fautes (grammaire, conjugaison ou autre) n'hésitez pas à me le dire et si vous avez des conseils je suis preneuse. J'espère que ça ira quand même pour une première traduction!
A la prochaine, n'oubliez pas les reviews ;) Rebornx3
