Auteur : Mady Johns ( nouvelle dans la profession de fanficeuse)
Titre : Crayon , pastel et peinture.
Résumé : Kuwabara nous éblouis toujours pas son extraordinaire intelligence , de curieuse créature ni humaine ni démone débarque dont ne sait où , une jeune peintre au talent extraordinaire se fait harceler pas une étrange entité qui détruit ses oeuvres, Kurama mène l'enquête et ...
Chapitre1 :
C'était un beau vendredi après-midi de printemps. Les oiseaux gazouillaient, les arbres se paraient de leur plus beau feuillage et les filles, toutes plus mignonnes les unes que les autres commençaient à revêtir leur tenue d'été. On pouvait donc dire que Kasuma Kuwabara était plutôt dans de bonne disposition tandis qu'il se baladait dans ce charmant parc , où il devrait absolument invité mademoiselle Yukina à faire un tour, rien qu'avec lui , et qu'une douce brise venait caresser son visage.
La furie sadique et autoritaire qui lui tenait lieu de sœur aînée était partie en voyage, lui promettant donc un week-end de paix. Tout allait donc pour le mieux. Il regardait distraitement les gens autour de lui : Une grand-mère , un gosse avec un ballon , un PDG en costume trois pièce , pendu à son téléphone, un démon caché dans les bosquets , une femme enceinte , un gosse à roller… Marche arrière ! Le gosse avec les roller, il n'avait pas mis ses protèges genoux ! Euh ? Non, ce n'était pas ça. Rembobine encore un peu, Kuwa ! La femme enceinte, elle était drôlement jeune ? Non plus, encore un peu ! Mais t'as une mémoire de trois seconde ou quoi ? Il y a un démon caché dans les bosquets. Ca n'éveille pas un peu ta curiosité, baka ?
Notre ami (A : euh ! le votre, peut-être ?) se dirigea donc l'air de rien vers le bosquet, essayant de ne pas alarmer son éventuel occupant. Il avançait donc entre les buissons, les arbres, les canettes de bières, les orties, les sachets plastics, les ronces ( K :Dis donc , il est vachement profond ton bosquet ! A : Toi, ta gueule et avance !) , lorsqu'il aperçut une singulière silhouette blottie contre le mur en brique rouge qui délimitait le parc. Il s'approcha encore un peu et sortit son épée astrale, juste au cas où.
C'était bleu argenté, couvert d'écailles luisantes comme une belle carrosserie (A :ben, oui ! Les mecs à part les bagnoles…), ce devait être grand mais pour l'instant c'était tout recroquevillé sur soit même et ça tremblait comme une feuille. Il fit un pas sur le côté pour la voir sous un meilleur angle.
La créature poussa un couinement étouffé et se serra un peu plus contre le mur, comme si elle espérait s'y fondre. On se demandait vraiment ce qui lui faisait aussi peur, chez le grand nigaud (A :euh ! Chez Kasuma Kuwabara ! (L'auteuse évite de justesse un coup d'épée astrale)). Ce dernier ressentit, grâce à son sixième sens, qu'il n'y avait en cette drôle de bestiole aucune agressivité, juste de la peur et de la douleur.
- Hum, excusez-moi. Vous êtes perdu ?
- Je ne sais pas où je suis. Lui répondit une voix souffreteuse et étrangement douce.
- Ecoutez, vous ne pouvez pas rester ici. (A : Waw ! T'as trouvé ça tout seul ! K: Fous-moi la paix, auteuse à la noix !!! )
La créature se mit en mouvement, dépliant lentement ses longs membres grêles. Une fois debout, elle mesurait une bonne tête de plus que Kuwabara. Sa tête était ornée de longues plumes jaunes et vertes, qui se dressèrent une seconde, lui faisant une crête, avant de revenir à leur position initiale, plaquée le long de son crâne. Son visage était la seule zone à ne pas être recouverte d'écaille mais d'une fine peau grisâtre. Elle n'était vêtue que d'une courte tunique gris perle.
Et là, Kuwabara se mit à réfléchir …euh ! Non, j'ai dis une connerie, désolé !...En tout cas, le problème se posait de savoir comment il allait faire sortir son étrange vis-à-vis du bosquet sans que personne ne le voie. Il décida finalement de tenté le coup à la vaille que vaille et fit signe à la créature de le suivre l'air de rien dans le parc.
- Super, le costume, hein ? Lançait-il au curieux qui les suivaient du regard. C'est pour le prochain festival de hard rock !
Ils arrivèrent finalement à la demeure de Kuwabara, malgré les inquiétudes de celui-ci qui sentait le stress augmenter à une vitesse affolante, chez son invité et qui craignait que se sentant menacer, il ne devienne violent.
- Comment tu t'appelles ?
- M'appelles ?
- Ton nom, quoi ?
- Je ne sais pas.
- Ouais, je vois.
Ce n'était pas gagné (A :…Pas de protestation ? K: Non, là, je suis d'accord : c'est pas gagné !). Il grimpa quatre à quatre les escaliers qui menaient aux chambres. Il trouverait peut-être quelque chose dans les affaires de son père, qui était encore plus grand que lui. Il dénicha un sweat-shirt jaune canari, complètement informe mais qui avait l'avantage, non négligeable dans ce cas, d'avoir une capuche et un pantalon en toile violette avec des petites étoiles sur les coutures (il ne voulait pas savoir où son père avait porté ça).
La créature ne fit pas de manière pour enfiler le costume, ainsi une grosse paire de botte en caoutchouc bleu qui lui arrivait, à mis mollet et des moufles. Kuwabara jugea le résultat du regard et avec son sens inné du bon goût, l'estima tout à fait satisfaisant.
- Bon, je vais t'emmener, chez quelqu'un de confiance.
- S'appelles ?
- Maître Genkai.
La créature le montra du doigt.
- Oh ! Et moi, je suis Kasuma Kuwabara, le brave (K :Non, je ne me la joue pas ! A : Mais, je n'ai encore rien dit !).
XXX
La gare était bondée et personne ne semblait prêté attention au grand type drôlement habillé, accompagné par un rouquin à l'air particulièrement abruti ( K : Cette fois-ci, tu es allé trop loin ! (L'auteuse vient de se faire couper une mèche de cheveux par un coup d'épée astrale, ce qui a le don de l'énervée) A : Kasuma, tu vas mourir ! ). Soudain, le démon s'arrêta, courbé en deux, de toute évidence en proie à une vive douleur.
- Eh ! Ca ne va pas ? Fallait le dire, si t'étais blessé !
- Je meurs de faim ! Je ne veux pas mourir !
- Euh ! Et tu manges quoi d'habitude ?
- N'importe quoi fera l'affaire. Répondit-il sur un ton que Kuwabara trouva étrangement inquiétant ( A : N'importe quoi, il correspond parfaitement à cette description.)
Bon, puisque n'importe quoi fera l'affaire, arrangeons-nous pour éviter que ce n'importe quoi ait une famille et un boulot. En plus, l'autre semblait vraiment sur le point de crever ou du moins il était vraiment convaincu de l'être. Le Ningen se précipita vers l'un des innombrables magasins de nourriture et acheta deux plateaux de voyage et un sandwich.
En fait, il avait prévu de garder l'un des deux plateaux pour lui mais le démon avala tout en moins de trois minute chronos (et sans ôté ses moufles, un prouesse), attirant ainsi l'attention d'un ou deux passant. Enfin leur train entra en gare. Un fois assis, il n'y eu plus trop de problème, même si le démon n'arrêta pas de se plaindre d'avoir toujours faim. Au moins, il avait aimé le sandwich et ne semblait pas décidé à goûter à autre chose.
XXX
Genkai sentit la présence de Kuwabara qui se rapprochait alors qu'elle revenait des sources d'eau chaude et alla l'attendre au sommet des escaliers.
- Tiens cela faisait longtemps.
Depuis que Yukina ne vivait plus ici, exactement.
- Content de vous revoir, Genkai-sama.
Il s'arrêta un instant, amusé de la trouver en peignoir rose pâle avec des petites fleurs blanches et les cheveux mouillés (C'est Genkai, quand même !) mais ne fit aucun commentaire …eh ! Y est pas suicidaire, tout de même ! (1).
- Qui est avec toi ? Demanda-t-elle, remarquant le personnage drôlement habillé qui se tenait quelques marches en dessous et qui exhalait littéralement la peur.
- Il s'est complètement paumé dans le Ningenkai mais il n'est pas agressif. Alors comme je ne savais pas où l'emmené et que vous aviez dit que votre domaine pourrait abrité des Youkai en détresse.
- Je pensais pour après ma mort mais bon, cela ne me pose pas de problème à priori. Dit-elle se dirigeant vers sa maison
- Tant mieux, merci ! Tant qu'on y est, vous ne pourriez pas lui donner quelque chose à manger, il est en train de mourir de faim. Il n'est pas difficile, il mange n'importe quoi.
- Je vais voir ce que je peux faire. Il peut se débarrasser de ce costume ridicule, ici. (Genkai ne partage pas le bon goût de Kuwabara)
Le démon ne se fit pas prier et dévoila son aspect dans tout ce qu'il avait de plus singulier. Genkai haussa un sourcil (Oui, un seul ! Comme les vulcains !) mais comme tout bon vul…comme tout bon maître d'arts martiaux, s'abstient de donner son avis.
- Bien, suis-moi !
- Merci. Répondit l'invité osant enfin desserrer les lèvres.
- Quel est ton nom ?
- J'ai réfléchis et je crois que je n'en ai pas.
La vielle jeta un coup d'œil à Kuwabara, qui se contenta d'hausser les épaules, l'air de dire qu'il ne comprenait pas plus qu'elle, ce qui était loin d'être exceptionnel (le contraire l'aurait plutôt inquiétée). Le démon s'empressa d'ajouter :
- Mais je veux bien en avoir un, si vous voulez ! Seulement, je ne sais pas lequel.
- On arrangera ça, plus tard.
XXX
A des kilomètres de là, notre Kurama adoré (2) venait de passé sa commande, dans le salon de thé où Kaito, le maître du mot tabou, lui avait donné rendez-vous. Kurama prenait régulièrement des nouvelles des différents porteurs de pouvoirs car des problèmes avec leurs pouvoirs pourraient non seulement provoqué des incidents fâcheux mais aussi témoigner de trouble du côté du portail ,qui était maintenant ouvert en permanence.
D'ailleurs Kaito avait déjà vingt minutes de retard, ce qui n'était pas dans ses habitudes. Le littéraire fit son apparition. Il était un peu essoufflé comme s'il avait couru.
- Je suis désolé d'être en retard ! Il y a eu un imprévu…En fait, ce n'était pas vraiment un imprévu mais bon.
- Que s'est-il passé ? Demanda Kurama intrigué.
Kaito s'assit et commanda un thé au fruit rouge, avant de lui expliquer.
- C'est à mon club Art et Lecture. On a une membre qui dessine extrêmement bien, elle n'est pas ignorante en littérature non plus mais pour le dessin et la peinture, elle a vraiment une aptitude impressionnante. Cela fait plusieurs semaines qu'elle essaye de décorer les murs de notre salle de réunions de fresques.
- Elle essaye ?
- Oui, elle essaye. Parce qu'à chaque fois qu'elle a terminé une de ses fresques, un vandale s'introduit, durant la nuit, dans notre locale et l'efface. Il ne touche à rien d'autre, même pas aux peintures faites par d'autre membre. Il cible exclusivement les œuvres de Tan.
- Comment fait-il pour entrer ? Vous avez une idée ?
- Aucune ! La serrure est intacte et je prends soin de fermer correctement toutes les fenêtres.
- Qui a les clefs ?
- Moi et trois autres membre mais je ne les vois vraiment pas faire quelque chose d'aussi odieux…Ah, oui ! J'ai aussi donné un double de mes clefs à Tan. Elle est réellement d'une patience mythique. Elle dit que ce vandale est son plus grand critique mais moi, je pense qu'il y a quelque chose de très étrange là-dessous.
- D'étrange ? Dans quel sens ?
- Il n'y a pas que ses peintures qui disparaissent.
- Mais tu as dis qu'il ne s'en prenait qu'à ses œuvres.
- Tan fait aussi des croquis. Elle m'en avait offert une série que j'aimais bien mais, lorsque j'ai voulu les ressortir, un fois rentrer chez moi, ils avaient disparus. Tu imagines que j'étais assez mal à l'aise, lorsque je lui ai annoncé.
- J'imagine.
- Elle ne l'a pas mal prit et m'en offert un nouveau.
- Qui a disparu, lui aussi, je parie.
- En effet, je sais qu'il était dans mon sac, au moment où je suis monté dans le train mais à la moitié du trajet, j'ai eu une drôle d'impression, comme si quelqu'un m'avait frôlé avant de s'enfuir (3) et j'ai regardé dans mon sac.
- Qu' as-tu fais ? J'ai besoin de connaître les détails, si tu veux que je te donne mon avis.
- J'ai voulu vérifier quelque chose alors je l'ai invité chez moi et j'ai lui ai demandé de me faire un croquis sur place. Elle a accepté et me l'a laissé. Je l'ai soigneusement rangé dans un classeur dans mon bureau mais le lendemain …Il avait disparu, apparemment détruit sur place, vu que j'ai retrouvé des cendres dans mon classeur.
- Effectivement, il a de bonnes raisons de soupçonner une intervention surnaturelle.
- Est-ce que tu accepterais de passer, à mon club, un de ces jours ? Tan continue à peindre, comme si de rien n'était mais moi, je m'inquiète. Si une entité quelconque a une telle haine de ses œuvres, elle pourrait décidé un jour ou l'autre de se débarrasser purement et simplement de l'artiste.
- C'est, en effet, une éventualité à redouter. Est-ce que je peux passer demain ?
- Evidemment. Merci infiniment, Kurama (4).
XXX
- Jumoku ?
- Oui, puisque que Kuwabara a fait ta connaissance dans un bosquet. C'est jusqu'à ce que tu trouves ton véritable nom ou quelque chose qui te plaira d'avantage, évidemment.
- Hum…
Genkai avait contacté Koenma et celui-ci avait envoyé Botan, pour voir si elle pourrait les renseigner sur leur mystérieux invité. Pour l'instant la guide du monde spirituel était allé lui parler un peu et semblait s'être laissée attendrir par sa détresse. Elle revient vers eux en faisant non de la tête.
- Je n'ai vraiment aucune idée mais il a l'air d'avoir subi un important traumatisme.
- J'ai usé de mon don sur lui et je n'ai sentit nul de trace d'un tel traumatisme. (5)
- S'il ne s'en souvient pas.
- Bon ! Fit Genkai. Je vais appeler Kurama pour voir s'il ne pourrait pas passer y jeter un coup d'œil (6).
Un cri de peur et surprise retentit. Ils se précipitèrent pour voir ce qui arrivait à leur invité et trouvèrent Hiei qui regardait la créature recroquevillée, d'un air sceptique. Le jaganshi désigna Jumoku de la pointe de son épée.
- Qu'est-ce que c'est que ce truc ?
- Je te signale que ce n'est pas un truc mais une personne, espèce de nabot misanthrope. S'exclama Kuwabara à la grande indifférence du démon du feu.
Ils rentrèrent à l'intérieur. Hiei les suivit en lançant des regards peu rassurant à un certain Ningen, qui jugea bon de prendre ses distances.
- Kuwabara a trouvé ce démon, complètement perdu en ville. Amnésique apparemment. Expliqua Genkai. Tu pourras peut-être nous aidé à savoir d'où il vient. Tu t'y connais sûrement mieux que nous.
Hiei grogna d'un air méprisant.
- Déjà, je ne sais pas où vous avez été cherché que ce truc était un démon.
- Et qu'est-ce que c'est alors ? Une plante en pot ? Railla Kuwabara qui ne savait décidément pas quand il fallait se taire.
Le jaganshi détourna le regard d'un air profondément lassé et exaspéré tandis que le Ningen courait dans tout les sens , en essayant d'éteindre le feu qui avait prit à ses chaussures et en poussant des cris de goret (7). Il fit mine de repartir. Il était juste venu se reposer et vider le frigo mais apparemment ce n'était pas le moment.
- Eh ! L'arrêta Botan.
- Ouais ?
- Tu ne nous as pas dit ce qu'était Jumoku.
- Le corps pourrait être celui d'un démon mais ce n'en est pas un, pour l'âme, je crois que c'est humain.
- Humain ?
- Ouais ou tout proche. Fit le démon du feu, l'air de s'en foutre mais alors là, pas qu'un peu.
Il partit en mode supersonique, laissant les autres comme deux ronds de flancs. Botan lança un regard hésitant à Jumoku qui semblait soulagé de voire s'en aller le détenteur du troisième œil. Un humain ? Mais qu'est-ce qui lui était arrivé ? Est-ce que quelqu'un lui aurait fait ça ?
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1 .Et puis on se demande vraiment quel commentaire, il aurait pu faire qui n'aurait pas été d'une stupidité affligeante. Kuwa : Bon ça suffit, maintenant ! Pourquoi t'écris sur moi, si c'est pour m'insulter sans arrêt ? Auteuse : Ben, justement ! T'as décidément rien compris à l'esprit des fanfic, idiot !
2. Quoi ! Qui a dit qu'il n'adorait pas Kurama ? Pour l'autre taré, je veux bien mais Kurama ! Il n'y a qu'un seul personnage qui arrive à la cheville de Kurama et c'est…Non pas Hiei, désolée pour les fans du jaganshi , je l'aime bien aussi mais c'est pas le coup de foudre…Raizen ! Pourquoi t'es mort ?...Bouhouhou ! Mais je le ressuscite dès que j'en ai l'occasion dans une fanfic…Euh ! Je m'égare peut-être un peu.
3. Alors ça, c'est vraiment bizarre ! Kaito : Est-ce ironique ? Auteuse : Euh ! Non, c'est vraiment bizarre, en fait. Kurama : Dans ce cas, puis-je savoir pourquoi tu nous interromps ? Auteuse, toute penaude : Pour rien, désolée. Je voulais juste participer.
4. Ouais, Kurama c'est le meilleur !!!! (No comment)
5. Euh ! C'est Kuwabara qui vient de parler aussi bien ? Attention, nous sommes entrée dans la quatrième dimension. Kuwabara : Je te déteste.
6. Quand vous avez un problème, qui devez-vous appelez ? Tous en chœur : Kurama !!! Auteuse : Le pauvre ! C'est ça d'être trop parfait, on a plus une minute à soi.
7. Kuwabara : Dis, Kurama, tu ne connaîtrais pas un poison ? Kurama : Un poison ? Kuwabara : Ouais, de préférence un truc qui prend du temps et qui cause d'atroces souffrances.
