Je suis de retour ! ("Pour vous jouer un mauvais tour ! - Merci Miaouss.") Nous voilà parti explorer les méandres des mythes, des légendes, et de l'Histoire, en compagnie de nos enquiquineurs préférés !

Cette histoire sera clairement orientée humour et conneries. Avec un poil de citron, parce que quand même, j'ai des principes. /pan/ L'histoire sera composée de plusieurs petits arcs, chacun correspondant à une époque ou à un mythe.

Et j'en appelle à vous lecteurs ! Oui, vous qui êtes en train de faire rouler la molette de votre souris pour passer mon blabla ! Ne niez pas, je vous ai vus ! Si vous avez des envies particulières au niveau des époques ou mythes à perturb... Explorer, n'hésitez pas. Sur ce...

History Time !


Centre de gestion multi-univers, entre minuit et 23h59.

"Chef ! On a un putain de problème !

- De un, vous allez arrêter de me claquer cette porte ! De deux, votre langage est inadmissible ! Refaites moi votre entrée Bob !"

Le pauvre second quitta la pièce à reculons, imitant sans le savoir un célèbre chanteur, ferma la porte, avant de la rouvrir avec délicatesse, après l'avoir doucement effleuré pour manifester son intention de l'ouvrir. Il s'apprêta à parler, mais s'arrêta en voyant la mine courroucée de son supérieur.

"Vous n'avez pas l'impression d'oublier quelque chose ?

- D'attendre votre magnanime permission d'entrer dans le royal bureau de votre divine personne ? Tenta-t-il, ressortant mot pour mot l'article 6259 du paragraphe 708 du volume 12 du livre "Tenter d'être à la hauteur de son merveilleux patron. Livre bien évidemment rédigé par son chef lui même. En taille de caractère huit.

"Eh bien, qu'attendez vous ?"

Le concerné refit encore une fois le chemin jusqu'à la sortie en grommelant, avant de frapper (Toujours avec autant de douceur, pas froisser cette pauvre porte, elle n'était pour rien dans cette histoire.) à nouveau, jusqu'à recevoir la si noble permission d'entrer, ce qu'il fit avant de déclarer, formulant ses mots avec soin :

"Chef, nous sommes dans une situation qui craint du boudin. Mais genre qui craint VRAIMENT du boudin.

- Et quelle est cette situation qui justifie que vous ne m'apportiez pas mon café Patrick ?

- C'est Carlos moi monsieur. Tenta le malheureux, réfléchissant déjà à sa lettre de démission. Et à son envie de mettre de l'arsenic dans le café.

- Ne changez pas de sujet Sandy. De toute façon, c'est moi le chef, donc moi qui décide de votre prénom. On dirait que vous n'avez rien appris de cotre expérience de stagiaire."

Oh, bien sûr que si, il avait appris. Il avait eu tout le temps d'étudier l'art oh combien subtil du dégrafage avec les orteils, et le non moins délicat art d'aller chercher le PQ senteur fraise des bois à l'autre bout de la ville, sans oublier celui terriblement vital de la réparation et du remplissage de la sainte machine à expressos. La belle époque.

"Tout ça pour vous dire qu'on a un cas "d'englouti de faille spatio-temporelle".

- Et vous me dérangez pour ça ? Vous savez très bien qu'il y a toujours au moins un idiot à catastrophes et à situations de merde qui tombe dedans par millénaire !

- Sauf que ce sont trois idiots à catastrophes et à situations de merde. Rajouta son second, perfide. Nommé Ace, Sabo et Luffy."

Il vit avec satisfaction son chef virer au cachet d'aspirine, agrippant son bureau comme un malade, avant de demander, la voix tremblante :

"Vous... EUX ? Les plus gros aimants à conneries de l'histoire de la Création ?

- Oui, eux." Se retint de chantonner son second.

Son chef eut alors une réaction extrêmement mature, réfléchie et totalement adaptée à la situation selon lui. Il se roula en boule sur la moquette en suçant son pouce et en réclamant sa maman. Carlos, puisque tel était son nom, eut presque pitié de lui. Presque, et c'était là que résidait l'essentiel.

"Section mythes, légendes et Histoire d'un autre monde." Acheva-t-il, le sourire aux lèvres.

Le responsable émit alors une sorte de râle particulièrement effrayant. A tel point que la secrétaire blonde à mini-jupe (Pour le travail, cela va de soit.) de la pièce d'à côté eut un mouvement de frayeur, renversant son café sur le gestionnaire de la loi qui fait que "c'est toujours ton putain de petit orteil qui rencontre le putain de coin du putain de meuble qui n'a rien à faire à ce putain d'endroit". Cela le mit de de fort mauvaise humeur, et l'on recensa une augmentation drastique de blessure du pied ce jour là.

Mais revenons en à nos fonctionnaires, voulez-vous ? Le patron finit tout de même par reprendre une contenance, aidé d'un bon verre de Whisky au frais de son second, et posa calmement les choses :

"Bon, avec un peu de chance, tout va bien se passer. On va ouvrir un maximum de portails, et ils finiront bien par tomber sur un qui les ramènera chez eux. Sans qu'ils n'aient fait la moindre vague.

- Chef, sans vouloir vous offensez, il y a autant de chance que ça arrive que de possibilités pour qu'ils deviennent danseuses étoiles et donnent un récital devant l'ensemble de la Marine.

- Seriez vous un traître Krabs ? Vous les défendez !

- Je vous demande pardon ? S'indigna-t-il, réfléchissant désormais à comment fichtre de l'arsenic dans le café,

- Ça suffit maintenant ! Vous devriez avoir honte de soutenir ainsi l'ennemi !"

Le second ne chercha pas à comprendre plus longtemps. De toute façon, qu'y avait-il à comprendre d'un patron sur le point de danser la gigue irlandaise à poil sur son bureau ? Rien, nous sommes d'accord. Il décida de quitter la pièce, et avant de prendre grand soin de CLAQUER la porte, il lança :

"Et Ace et Luffy sont en couple."

Le beuglement qui retentit fut si monstrueux et effrayant qu'on somma le gérant des créatures mythiques d'aller chercher la putain d'bestiole qui devait s'être échappée dans les bureaux.


Voili voilou ~ En espérant que tout ça vous plaise, et que vous prendrez plaisir à voyager avec moi !

... ("Rythme de parution ? - Aléatoire. Na.")