Auteur: Kitty-kyu (Comme le dit si bien mon pseudo)

Couples: Yaoi... Mais pas les couples normaux en tout cas. (Je crois qu'il y en a assez comme ça, surtout 1x2)

° Bonjour les gens!

J'éspere que cette fic vous plaira

Pour ceux qui ont lu le debut de la fic "Ailleurs c'est ici" et qui a été supprimée, ben là on y retrouve la même ambiance

Enfin la même ambiance que ce que j'avais l'intention de faire . ! °

Bonne lecture

Bisous à vous chers lecteurs (Qui n'êtes pas très nombreux je supose T.T Mais merci de lire ma fic :D)

Tout a commencé à l'hopital. Du moins l'histoire de ce garçon commence à partir de là… Il venait de sortir de la chambre d'un ami ayant subit des séquelles d'une guerre qui ne semblait plus avoir de fin et se promenait dans les couloirs d'un air inquiet.

Il avait tendance à trop se préoccupé des autres et en oublié sa personne.

A cette heure son ami suivait des soins et ceux qui l'avaient accompagné l'avaient abandonné pour aller au café du premier étage.

L'adolescent ne les avait pas suivit, il préférait attendre patiemment ici dans ce long couloir blanc.

Son regard se posait sur les dessins d'enfants encadré sur le mur, longeant les mur quand ses saphirs s'arrêtèrent sur une chambre au fond, face au chemin comme isolée et à part des autre pièces.

Jamais il ne l'avait remarquer, cette chambre, et pourtant voila une semaine qu'il faisait des allez retour dans le bâtiment.

La porte était légèrement entre ouverte, laissant un sillon de lumière blanche immaculé entre la porte et le mur.

Il s'approcha prudemment, comme guider par son instinct.

Il n'y avait personne à l'étage, ce qui aurait pu lui paraitre étrange mais il n'en fut rien. Il voulait savoir, et pourtant ce qui se cachait derrière cette porte l'aurait à l'habitude pas plus intéressée que ça… Mais une curiosité non assouvie lui rongeait le ventre. Ce qui le poussa à pousser doucement la porte avant de pénétrer dans la pièce.

Il lui fallut un moment avant de s'habituer à l'éclairage qui rendait les murs blancs encore plus foudroyant.

La pièce semblait complètement stérile, cette chambre ne ressemblait pas aux autre mais avait cette même caractéristique prouvant qu'au moins elle était bien de cet hopital.

Au milieu un lit enveloppé dans un carré de tissus blanc opaque, cachant le patient.

Le bruit des machines prouvait qu'il y avait encore quelqu'un de mal en point dans ce lit.

La curiosité du jeune garçon le poussa à bout, il s'approcha sans se rendre compte de son acte;

Franchissant les derniers pas le séparant du lit, il glissa son regard clair à travers le carré transparent permettant de surveiller le patient dans 'sa bulle'.

Ce qu'il vit fut certes la chose la plus horrible qu'il n'aura jamais vu en ces temps de guerre et tout au long de sa vie.

Un silhouette noir… De petite taille.

Certainement un enfant… Ou une enfant.

Etait-ce seulement humain ?

Son regard parcourut d'abord une petite main aux doigts squelettiques du aux nombreuses couches de peau en moins… On pouvait carrément croire que ce n'était plus que les restes de ses phalanges brûlés.

Il n'eu as la force de fuir cet tristesse palpable dans la pièce, depuis qu'il avait mit les pieds ici c'était comme si une force étrange le faisait agir.

Ses saphirs se posèrent sur cette poitrine qui semblait avoir tant de mal à se lever et s'abaisser… Puis sur un regard noir qui se tourna vers lui.

Exprimant tant de haine et abîmé par les horreurs qu'il avait pu voir.

A partir de ce moment là le jeune homme ne vit que flamme.

Il n'entendit que cris et tambours, avec comme fond le bruit d'un feu qui dansait.

Son coeur battait, c'était horrible, ignoble… Impardonnable.

Comment pouvait-on souffrir comme ça ?

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-… Tre ? Quatre ! Heero il se réveille !

La pièce tangue, un visage se dessina petit à petit à travers le regard du jeune blond.

Deux Améthystes le fixent avec inquiétude.

Duo ? Tu va mieux ?

-Abrutit ! On s'en fou si je vais mieux ! Tu te réveille du coma et la première chose que tu demande c'est comment moi je vais… Je comprendrais jamais. Soupira l'américain.

-Quatre ça va ?

-Heero? Que c'est-il passé?

-Tu t'es soudain évanouit, ça fait deux semaines que tu dors la belle au bois dormant.

-Mais … J'étais où?

-Au bout du couloir.

-Au moins t'as pas du aller loin? Oh Quatre on s'est tellement inquiété!

-Tu t'es inquiété Maxwell… ça en devenait insupportable malgré le fait que les médecins nous ont certifiés que tu te réveillerais.

L'arabe ne remarque qu'en cet instant la présence de son ami chinois, et d'un certain français venant de faire son apparition dans l'encadrement de la porte.

-Je suis désolé. J'espères ne pas vous avoir ennuyer…

-Que c'est-il passé ?

Le français semblait plus inquiet que le natté malgré tout.

Cette question fit prendre conscience à l'héritier… Qu'il ne se souvenait plus de rien.

-Je m'en rappele plus.

-Le plus important c'est qu'au final tout le monde soit là et en forme.

-Nous avons une mission dans une semaine, tu seras prêt?

-Heero !

L'américain commençait à en avoir marre de l'attitude impassible du soldat.

-Je pense.

Deux semaines plus tard.

Depuis deux semaines Quatre avait toujours cet oubli, il ne savait pas plus que les autres ce qui l'avait mit dans le coma mais de toute façon l'histoire était oublié.

La mission s'était passée avec réussite.

Maintenant il rentrait dans leur demeure commune et ce depuis plusieurs mois.

Une planque bien caché et sur terre.

C'était la première fois qu'ils avaient décider de passé ces prochaines missions ensemble et pour ce, ils avaient jugé bon de vivre ensemble un petit moment pour mettre leur plan à exécution.

Ils étaient tous épuisé, leur nuit s'était faite courte ces derniers jours et niveau hygiène il y avait mieux.

Duo fut le premier à se précipiter sous la douche alors que Heero alla s'enfermer dans sa chambre avec son portable, laissant ses affaires encore à l'entrée.

Les trois autres allèrent ranger le peu d'affaire qu'ils avaient prit sur eux.

Au soir, Quatre entreprit de préparer un bon repas pour bien commencer leurs prochaines semaines de repos bien mérité, à moins qu'un imprévu ne se présente.

Et en même temps pour se faire pardonner…

Il avait faillit contribuer à l'échec de cette mission, car à un moment mal placé il avait comme perdu le controle de lui même et ne savait plus bouger.

Si Trowa n'avait pas été là pour l'aider à se déplacer et lui éviter une balle en plein dans la jambe, la mission aurait pu être raté.

Surtout que c'était lui qui portait les documents qu'ils avaient volé.

Le français quand à lui semblai l'éviter.

Le blond ne savait pourquoi et en fut peiner… après tout ces deux là s'entendait si bien.

Le grand brun avait pour habitude de jouer les grand frère protecteur avec lui, comme lui prenait soin de ce grand frère, du moins un peu plus que le reste de la bande.

Il était fatigué et ses yeux se fermaient tout seul. S'il avait eu l'occasion e se trouver assis en ce moment il se serait endormit.

-Attends je vais t'aider.

Le chinois prit un couteau et éplucha les pommes de terre alors que Quatre s'apprêtait à le faire.

-Merci Wufei.

-J'en connais un qui va pas tarder à aller se coucher ce soir.

-Et moi un autre.

Ris doucement le blond en regardant son ami discrètement bailler.

-Cette mission nous a tous vidé. On s'en rends pas compte sous le feu de l'action mais dés que le calme revient, voila le résultat.

Dit le chinois en voyant Quatre lacher son couteau, heureusement sur la table donc il ne tomba que de quelques centimètres, pour ce qu'il croyait comme cause la fatigue.

-Quatre ?

Son ami ne semblait pas très bien et s'effondra à genoux.

Des tambours.

Des flammes.

Du sang et des cris.

Le chinois ne comprenait pas ce qu'avait le blondinet, il lacha ce qu'il avait main et se leva pour aider l'arabe à ne pas toucher le sol plus qu'il ne l'ateignait déjà.

-Tu es fatigué Winner, viens va te coucher je m'occupe du diner.

Un regard.

La haine.

Quatre laissa son ami asiatique l'aider à se relever et n'entendit pas l'exclamation inquiète de Duo alors qu'ils quittaient la cuisine.

Il se sentit soulever et reconnu le parfum de l'américain qui le souleva jusqu'à le poser dans son lit.

Il s'endormit aussi vite sous le son de son coeur qui battait bien trop fort dans sa poitrine.

Voila le debut, alors ?

J'ai corrigé les fautes que je pouvais, car en me relisant c'était plus qu'une catastrophe... Même si je sais que ça l'ai toujours...