- Et comme ça, ça me va ? Bordel, ce que je me sens laude avec des lunettes !
- Tu es superbe, Caroline.
La blonde sourit. Elle savait qu'elle n'aurait pas du venir ici, que tout ses amis avaient souffert à cause de ce vampire, mais dès qu'il se passait quelque chose - que ce soit un danger mortel ou l'acquisition d'une paire de lunette - elle se jetait dans les bras de la jolie brune. Jolie brune qui la regardait maintenant comme si elle était la plus belle créature de la terre. Elle fit la moue.
- Pourquoi je suis un vampire avec une vue imparfaite ? Ça n'a aucun sens, non ?
- Peut-être parce que tu es canon avec des lunettes.
- Je suis toujours canon.
- Je sais. Caroline, je.. J'adore que tu viennes chez moi, comme ça, à l'improviste, mais.. Tes amis..
- Mes amis n'ont rien n'a dire sur notre amitié.
Ouch. Elle avait dit amitié. Comme si ce que Katherine ressentait pouvait se contenter d'être de l'amitié. Sauf qu'elle ne lui en avait jamais parlé. Parce que..
- Je suis toujours la fille avec un Salvatore à chaque bras. Donc tu n'as rien dit à tes amis.
- Mais non, je sais que tu n'es pas comme ça ! Que tu ne l'est plus du moins. Ma chérie, tu sais bien, je t'aime !
Ce fut trop pour Katherine. Elle baissa la tête, puis Caroline attrapa son menton à deux doigts pour lever son visage et planta ses yeux dans les siens.
- Je t'aime, Kath.
Caroline regarda ses lèvres. Puis, tout délicatement, elle posa les siennes dessus. Elle sentit le corps de la brune se serrer contre le sien, et tout son corps se mit à brûler, son coeur se mit à battre comme jamais. Puis Katherine décrocha ses lèvres, pour les mettre au niveau de son oreille et chuchota :
- Moi aussi, je t'aime, Caroline. Tu es l'amour de ma vie. Je l'ai su dès la nuit où je t'ai transformée. Quand je t'ai vue, allongée dans ton lit d'hôpital, après ce que la pétasse qui servait de soeur à Matt t'avait fait, si forte pour une simple humaine. Quand je t'ai vue dans ta robe de Miss. Et quand je t'ai vue devenir un vampire. Bordel, tu es devenue le vampire le plus génial du monde. Et tu m'as fait découvrir que l'important ce n'était pas le nombre d'homme à mes bras. Ce serait le temps avec toi dans les miens.
Leurs lèvres se joignirent, puis leurs langues s'entrelacèrent. Katherine rompit le baiser pour enlever le t-shirt de sa belle et le sien, puis elle regagna leur baiser fougueux avec ardeur. Du moins elle essaya, et se cogna aux lunettes de Caroline. Elle s'affala alors dans le canapé dans un fou rire. La jolie blonde se mit à califourchon sur elle et Kath partit dans un fou rire.
- Qu'est-ce qu'il y a, mon amour ? Demanda Caroline avec une moue adorable.
- Tu es trop sexxy avec ces lunettes, sourit Katherine en glissant sa tête sur la poitrine de sa compagne.
Sur ces mots, elle enleva son pantalon et celui de Caroline. Puis elle dégrafa le soutien gorge de sa copine tout en laissant sa langue glissait sur sa peau. Elle lui caressa ensuite la poitrine et glissa amoureusement
- Bébé, même avec toutes les lunettes du monde, tu restes la femme la plus canon des 500 dernières années.
