Pulsion Obsessionnelle
Première avertissement : Ce premier avertissement concerne le contenu de cette fiction qui peut choquer ou plutôt qui choquera les personnes trop... innocentes.
Second avertissements : Ce second avertissement est là pour vous rappeler que dans cette fiction, nous ne montrons pas un « acte d'amour »... les personnages ne font aucunement « l'amour »... disons plutôt qu'ils baisent comme des lapins en rut (ou des cochons... tout dépendra du chapitre...) avec une poussée sauvage et des choses même pas autorisé par le Kama-Sutra qui fait qu'ils baisent en effet sans pudeur et sans retenu, ce qui aura pour effet de faire baver les moins touchables d'entre vous (du moins j'espère).
Troisième avertissements : Je déteste les avertissements donc c'était probablement la seule fois que j'en faisais mais comme un homme averti en vaut deux... je conseille à ceux qui seront dédoublés et qui sont bi ou gay de bien se protéger ! (Comprendront ceux qui sauront à quel point mon humour est à chier...)
Sur ce... Je vous laisse découvrir ce « Chapitre 1 : Proie Facile » qui, j'espère, saura vous mettre l'eau à la bouche. (Si ce n'est pas le cas, ça veut dire que je n'ai pas envie d'ouvrir le feu, vous attendrez le chapitre suivant...)
Chapitre 1 : Proie Facile
Les quatre garçons les plus populaires de Poudlard lâchés en week-end dans le château... vous imaginez le pouvoir qu'ils avaient sur les filles de leur âge ? Ces jeunes adolescentes en mal d'amour qui avaient les hormones qui couraient le marathon en attendant de pouvoir être satisfaites ? Et bien voilà, vous avez dû comprendre... ils avaient le pouvoir absolu.
Le premier d'entre eux, se trouvait justement à la bibliothèque au moment où cette histoire commence. La bibliothèque était son lieu de chasse préféré car il pouvait repérer les filles tranquillement assises en train de lire. Il suffisait qu'il en aborde une après l'avoir longuement scrutée et il pouvait être certain qu'elle bafouillerait avant d'accepter toute proposition venant de lui. L'avantage de ce terrain de chasse, c'était que les professeurs étaient persuadés qu'il travaillait. En réalité, ses hormones le travaillaient mais lui-même ne planchait pas beaucoup sur ses devoirs.
Ca y était. Il venait de trouver sa première conquête du week-end. Elle était... elle ressemblait à... elle était ravissante. Il ne se rappelait pas l'avoir déjà vu auparavant. Elle avait des cheveux roux détachés qui lui donnaient un air... sexy. Qui était cette fille bon sang ? Ils n'acceptaient pas les nouveaux en cours d'année. Réalisant que sa bouche était ouverte depuis quelques minutes déjà, il se leva et en profita pour claquer sa mâchoire et serrer les dents. Manquerait plus qu'il se ridiculise devant elle. Mais qui était...
Oh mon dieu ! s'écria-t-il sous le coup de la surprise.
Il s'approchait d'elle au moment où il l'avait reconnu. C'était cette fille très coincée de sa maison. Etonnant qu'elle soit si sexy et attirante aujourd'hui. Elle n'avait pas l'air de trop rire de ses plaisanteries mais c'était probablement dû au fait qu'elle ait très peur de lui.
« Elle doit être impressionnable cette petite, pensa-t-il, reprenant confiance en lui. »
Il arriva à sa hauteur et se prépara à jouer le scénario habituel qu'il répétait avec toutes les filles : Il allait faire tomber son livre, elle allait le ramasser et rougir en le voyant. Ensuite il allait lui faire un compliment, elle allait fondre comme la mousse de bière au beurre au soleil et rougir comme jamais. Puis il allait lui proposer d'aller faire un tour dans une salle privée avec lui et elle le suivrait en laissant sa langue pendre comme une petite chienne.
Etant arrivé à destination, il fit tomber son livre devant elle d'un geste qui se voulait innocent. Ni une ni deux, elle ramassa le livre en se penchant et le regarda de plus près, lisant le titre.
« Oh non ! C'est un livre sur « comment faire partir ses pustules »... quelle andouille, j'aurais dû choisir un truc plus classe... se dit-il intérieurement en se mordant la lèvre. »
Elle regarda le livre sous toutes ses coutures et le lui tendit.
S'il était abîmé, tu aurais eu à le rembourser...
Elle le regardait dans les yeux et elle lui parlait... sans bafouiller. Elle ne bafouillait pas. L'étape « une » n'était pas une réussite.
« Elle dissimule sa timidité derrière sa façon franche et directe de parler. La pauvre ! Elle est tétanisée... »
Il ne bougea pas et elle continua sa phrase après un court temps de pause.
et... bonne chance pour... tes pustules.
Un petit sourire moqueur apparut sur son beau visage triomphant au moment où elle finissait sa phrase. Lui, par contre, ne souriait plus du tout. Il commençait même à perdre sa belle confiance en lui. Il était devant elle et il ne savait plus quoi dire.
Y a-t-il autre chose que je puisse faire pour toi ? demanda-t-elle sarcastiquement après une longue minute pendant laquelle résonna un silence assez gênant.
« Soit tu me tues pour ce déshonneur soit on va coucher ensemble... pensa-t- il. Je ne peux pas quand même pas dire ça... »
Il poussa un long soupir.
Euh ... en fait, je voulais juste te dire que tu étais très belle aujourd'hui, lâcha-t-il enfin, reprenant peu à peu confiance en lui.
« Me revoilà en selle ! Quand on tombe de cheval, il faut toujours remonter directement après... t'en fais pas... je vais la monter ironisa-t-il. »
Elle ne semblait pas avoir compris son compliment, car elle venait de remettre une de ses mèches de cheveux derrière son oreille et penchait la tête d'un air sévère. Aucun signe de rougissement. Alerte générale, la deuxième étape a aussi foirée en beauté.
Deux choses... commença-t-elle sur un ton cassant, premièrement, tu veux dire que tu es venu jusqu'ici et que tu as fait tomber ton livre volontairement pour me draguer ? Et deuxièmement, tu ne me trouves pas belle les autres jours ?
Dans les dents. Il n'y avait pas d'autres termes. Il venait de se prendre deux sacrés cognards dans la tête.
« La par contre, je suis un peu perdu... »
En effet, il ne savait plus du tout où donner de la tête et le regard arrogant de la jeune élève ne l'aidait pas à se concentrer. Et oui, elle était plutôt troublante, il devait bien l'admettre.
« Je peux pas proposer d'aller ailleurs quand même... elle va me rire au nez.... remarque, je suis plus à ça près... mais elle m'agresse... allez ! JE LUI RENTRE DEDANS ! »
Tu sais, je te fais une fleur en t'accostant... ça rend les filles du groupe des groupies de derrière folles de rage. Je te signale au passage, qu'être vu avec moi ça augmenterait ta popularité... fit-il avec une hargne qu'il ne se connaissait pas.
Mais c'est qu'il mordrait le p'tit... commença la jeune fille.
Elle s'était arrêtée dès les premiers mots et elle le regardait maintenant avec ses grands yeux verts brillants. Ses cheveux luisaient de tout leur éclat. Avec une vivacité incroyable, elle modifia son temps qui devint soudainement plus charmeur.
Ma popularité tu dis ? demanda-t-elle en posant son livre.
Nouveau coup de théâtre, elle semblait maintenant très intéressé par son jeune dragueur du week-end. Elle jouait avec une de ses mèches de cheveux d'une façon très garce. Après l'avoir dévoré des yeux avec une apparente envie d'en voir plus, elle se mordit doucement la lèvre inférieure comme pour réprimer une envie.
« Encore changé de camps... ? Parfait... elle est à moi ! se réjouit-il »
Après l'avoir barratinée comme d'habitude sur le fait que la bibliothèque n'est pas un bon lieu pour faire connaissance, ils partirent bras dessus, bras dessous vers la salle sur demande.
Trois passages et ils ouvrirent la porte pour y trouver une sorte de suite nuptiale. Ni une ni deux, elle l'avait poussé sur le lit après avoir refermé la porte avec son pied. Elle ne le quittait plus du regard, paraissant très gourmande ce jour-là, elle prit les initiatives. Peu habitué à ce que les filles prennent les devants, il resta bouche bée devant ce qu'elle faisait. Avec un charme fou, elle venait d'ôter ses vêtements dans un léger bruissement de tissu. Elle était quasiment nue devant lui désormais, avec son ensemble de sous-vêtements en dentelles.
Il n'en revenait toujours pas et il ne s'aperçut même pas qu'elle avait agité sa baguette vers lui. En quelques secondes, il fut attaché au lit avec pour seule couverture son boxer.
Tu auras beau crier, tu es à moi maintenant, dit-elle avec ironie en l'admirant dans sa quasi-nudité.
Tous deux étaient nus et pour une fois, c'était le tombeur de ses dames qui se retrouvait en situation de jouet sexuel. Elle grimpa sur le lit et avança à quatre pattes sur lui. S'asseyant avec volupté sur son torse, elle commença à lui caresser le visage avec douceur. Elle fit en sorte de bien se pencher au dessus de lui pour l'embrasser sur le front à plusieurs reprises, lui laissant ainsi une vue plongeante sur sa poitrine, toujours très serrée dans ses petits habits de dentelle.
La respiration lente, il laissait pendre sa langue avec envie. Toujours assise sur son torse, elle se redressa et baissa la tête vers sa poitrine emprisonnée avec un air boudeur. D'un geste rapide et ample, elle dégrafa son soutien-gorge mais le garda en place avec ses mains. Elle scrutait le visage du jeune garçon qui se voulait impassible et qui pourtant trahissait son désir et son excitation. Lentement, elle fit descendre son soutien- gorge pour finalement le laisser tomber à côté du lit. Elle enserra immédiatement sa poitrine avec ses mains et commença à se caresser aussi langoureusement qu'elle le pouvait. Ses deux seins, qui, d'après ce qu'en voyait le jeune homme était du 90 B, étaient maintenant l'un contre l'autre, serrés par les deux mains fines et délicates de sa partenaire. Elle stoppa son massage après quelques instants et entreprit de jouer avec ses mamelons, elle les pressa doucement avec ses doigts. Son prisonnier, lui sentait maintenant très nettement que son boxer le serrait trop. Elle le sentait aussi puisque ses fesses rebondies cachaient la bosse du garçon mais elle n'y prêtait pas attention puisqu'elle continuait à se caresser. Elle avait repris son pétrissage et elle émettait de petit cris de bonheur à intervalle régulier ce qui avait pour effet de rendre la situation insoutenable pour son jouet sexuel. Ensuite, ses doigts firent tourner doucement ses tétons qu'elle pressait à peine.
Il était prêt. Elle le savait. Elle avait senti que la bosse de son boxer avait atteint son maximum. Elle se recula vivement et passa une main dans le dernier rempart qui lui cachait son membre. Le caressant sous son vêtement, elle le sentait raide dans sa main. Il frémissait. Refusant d'ouvrir la bouche, il était prêt à souffrir sous ses tortures en silence. Ce petit jeu l'excitait grandement et il était, jusque là, bien heureux de voir qu'elle avait de l'initiative. Soudainement prise d'impatience, elle tira son boxer et le fit tomber sur le sol. Avec une ardeur mal dissimulée elle commença à l'embrasser dans le bas du ventre. Insistant bien avec sa langue chaude, elle descendait rapidement vers son sexe. Elle fit un détour par ses cuisses, l'embrassant avec rage et une envie de plus en plus visible. Elle prit enfin en main son membre qui se dressait fièrement devant elle. Doucement, elle débuta un lent manège où elle embrassait son membre puis redescendait vers ses bourses qu'elle suçait en les mettant dans sa bouche tour à tour. Interrompant la succion de ses bourses, elle remonta le long de son engin en le léchant pour aller caresser doucement son gland avec son doigt qu'elle avait préalablement mouillé. Ce petit jeu devenait insoutenable, elle le faisait languir et il ne supportait pas ça. Il grognait maintenant mais se refusait toujours à protester. JAMAIS il ne protesterait devant une fille. Cela reviendrait à admettre qu'il ne tient pas le coup. Ce serait remettre sa réputation en jeu.
Elle le narguait avec de petits regards coquins. Qu'est-ce qu'il pouvait la haïr à cet instant. Elle venait de commencer à embrasser son petit bout de chair rose. De seconde en seconde elle allait plus loin. Désormais elle donnait des coups de langue bien appuyés sur son gland. Il ne lui fallut pas longtemps pour sucer son bout de chair à pleine bouche. Il sentait qu'elle faisait tourner sa langue autour. Sans prévenir, elle avala son membre dans sa quasi-totalité et commença le faire aller et venir dans sa bouche, le parcourant de coups de langues bien senti. Ensuite, il lui suffit d'imprimer un mouvement de va et vient avec son membre pendant qu'elle recommençait à assaillir ses testicules pour qu'il gémisse et frissonne, se raidissant à chaque aller retour.
Aussi soudainement qu'elle s'était emparée de lui, elle s'arrêta, le regardant d'un air amusé.
Dois-je vraiment finir ceci ? fit-elle avec un air qui se voulait enfantin.
Il ne répondit que par un grognement sourd.
Avant de le faire... j'ai envie de t'entendre me dire que tu es mon esclave...
Il hésita entre pouffer de rire et se vexer.
Tu n'es pas sérieuse... grogna-t-il.
Au contraire, elle semblait plus sérieuse que jamais. Elle reprit son membre dans sa main et fit un lent et très certainement douloureux massage car il était sur le point de venir.
Avant ça... j'aimerais REELLEMENT t'entendre dire que tu es mon esclave...
Elle commença à lécher son membre toujours dressé lentement de façon à ce qu'il n'éjacule pas encore.
Tu rêves ! Grogna-t-il.
Tant pis alors, lâcha-t-elle ne faisant mine de partir.
Non ! Non ! D'accord ! Admit le garçon. Je... je suis ton esclave ! Je t'en supplie ô maîtresse ! Finis en avec moi !
Il était en rogne d'avoir dû dire ça mais c'était intenable pour lui cette situation. Il la regardait avec attention en grimaçant. Mais elle, ne le regardait pas. Elle remettait ses habits.
Réellement formidable mon p'tit ! ironisa-t-elle, un sourire aux lèvres. Je suis venue à bout du légendaire tombeur mais en plus, je le laisse sur sa fin.
Sans rien comprendre, il la regarda bouche bée. Lorsqu'elle fut totalement rhabillée, elle lui lança un regard plein de pitié.
Alors ? Ca fait quel effet d'être un jouet dans les mains de quelqu'un d'autre ? J'espère que tu n'apprécies pas...
Sans rien ajouter, elle sortit de la salle en ricanant.
Mon dieu ! Que venait-il de faire ? Il avait couché avec une préfète. Pire encore, il avait couché avec la préfète qui l'aimait le moins. Celle qui lui mettait des bâtons dans les roues depuis des années. Comment avait-il pu oublier tout cela sur elle... « Elle était belle » mais ce n'était pas une raison suffisante pour risquer de perdre sa belle réputation durement gagnée. Elle... pourquoi elle ? Elle voulait se venger, c'était certain ! Il avait été idiot. Il lisait déjà le gros titre du journal du lycée, la Harpie Enchaînée : « James Potter esclave sexuel de la préfète Lily Evans ».
Première avertissement : Ce premier avertissement concerne le contenu de cette fiction qui peut choquer ou plutôt qui choquera les personnes trop... innocentes.
Second avertissements : Ce second avertissement est là pour vous rappeler que dans cette fiction, nous ne montrons pas un « acte d'amour »... les personnages ne font aucunement « l'amour »... disons plutôt qu'ils baisent comme des lapins en rut (ou des cochons... tout dépendra du chapitre...) avec une poussée sauvage et des choses même pas autorisé par le Kama-Sutra qui fait qu'ils baisent en effet sans pudeur et sans retenu, ce qui aura pour effet de faire baver les moins touchables d'entre vous (du moins j'espère).
Troisième avertissements : Je déteste les avertissements donc c'était probablement la seule fois que j'en faisais mais comme un homme averti en vaut deux... je conseille à ceux qui seront dédoublés et qui sont bi ou gay de bien se protéger ! (Comprendront ceux qui sauront à quel point mon humour est à chier...)
Sur ce... Je vous laisse découvrir ce « Chapitre 1 : Proie Facile » qui, j'espère, saura vous mettre l'eau à la bouche. (Si ce n'est pas le cas, ça veut dire que je n'ai pas envie d'ouvrir le feu, vous attendrez le chapitre suivant...)
Chapitre 1 : Proie Facile
Les quatre garçons les plus populaires de Poudlard lâchés en week-end dans le château... vous imaginez le pouvoir qu'ils avaient sur les filles de leur âge ? Ces jeunes adolescentes en mal d'amour qui avaient les hormones qui couraient le marathon en attendant de pouvoir être satisfaites ? Et bien voilà, vous avez dû comprendre... ils avaient le pouvoir absolu.
Le premier d'entre eux, se trouvait justement à la bibliothèque au moment où cette histoire commence. La bibliothèque était son lieu de chasse préféré car il pouvait repérer les filles tranquillement assises en train de lire. Il suffisait qu'il en aborde une après l'avoir longuement scrutée et il pouvait être certain qu'elle bafouillerait avant d'accepter toute proposition venant de lui. L'avantage de ce terrain de chasse, c'était que les professeurs étaient persuadés qu'il travaillait. En réalité, ses hormones le travaillaient mais lui-même ne planchait pas beaucoup sur ses devoirs.
Ca y était. Il venait de trouver sa première conquête du week-end. Elle était... elle ressemblait à... elle était ravissante. Il ne se rappelait pas l'avoir déjà vu auparavant. Elle avait des cheveux roux détachés qui lui donnaient un air... sexy. Qui était cette fille bon sang ? Ils n'acceptaient pas les nouveaux en cours d'année. Réalisant que sa bouche était ouverte depuis quelques minutes déjà, il se leva et en profita pour claquer sa mâchoire et serrer les dents. Manquerait plus qu'il se ridiculise devant elle. Mais qui était...
Oh mon dieu ! s'écria-t-il sous le coup de la surprise.
Il s'approchait d'elle au moment où il l'avait reconnu. C'était cette fille très coincée de sa maison. Etonnant qu'elle soit si sexy et attirante aujourd'hui. Elle n'avait pas l'air de trop rire de ses plaisanteries mais c'était probablement dû au fait qu'elle ait très peur de lui.
« Elle doit être impressionnable cette petite, pensa-t-il, reprenant confiance en lui. »
Il arriva à sa hauteur et se prépara à jouer le scénario habituel qu'il répétait avec toutes les filles : Il allait faire tomber son livre, elle allait le ramasser et rougir en le voyant. Ensuite il allait lui faire un compliment, elle allait fondre comme la mousse de bière au beurre au soleil et rougir comme jamais. Puis il allait lui proposer d'aller faire un tour dans une salle privée avec lui et elle le suivrait en laissant sa langue pendre comme une petite chienne.
Etant arrivé à destination, il fit tomber son livre devant elle d'un geste qui se voulait innocent. Ni une ni deux, elle ramassa le livre en se penchant et le regarda de plus près, lisant le titre.
« Oh non ! C'est un livre sur « comment faire partir ses pustules »... quelle andouille, j'aurais dû choisir un truc plus classe... se dit-il intérieurement en se mordant la lèvre. »
Elle regarda le livre sous toutes ses coutures et le lui tendit.
S'il était abîmé, tu aurais eu à le rembourser...
Elle le regardait dans les yeux et elle lui parlait... sans bafouiller. Elle ne bafouillait pas. L'étape « une » n'était pas une réussite.
« Elle dissimule sa timidité derrière sa façon franche et directe de parler. La pauvre ! Elle est tétanisée... »
Il ne bougea pas et elle continua sa phrase après un court temps de pause.
et... bonne chance pour... tes pustules.
Un petit sourire moqueur apparut sur son beau visage triomphant au moment où elle finissait sa phrase. Lui, par contre, ne souriait plus du tout. Il commençait même à perdre sa belle confiance en lui. Il était devant elle et il ne savait plus quoi dire.
Y a-t-il autre chose que je puisse faire pour toi ? demanda-t-elle sarcastiquement après une longue minute pendant laquelle résonna un silence assez gênant.
« Soit tu me tues pour ce déshonneur soit on va coucher ensemble... pensa-t- il. Je ne peux pas quand même pas dire ça... »
Il poussa un long soupir.
Euh ... en fait, je voulais juste te dire que tu étais très belle aujourd'hui, lâcha-t-il enfin, reprenant peu à peu confiance en lui.
« Me revoilà en selle ! Quand on tombe de cheval, il faut toujours remonter directement après... t'en fais pas... je vais la monter ironisa-t-il. »
Elle ne semblait pas avoir compris son compliment, car elle venait de remettre une de ses mèches de cheveux derrière son oreille et penchait la tête d'un air sévère. Aucun signe de rougissement. Alerte générale, la deuxième étape a aussi foirée en beauté.
Deux choses... commença-t-elle sur un ton cassant, premièrement, tu veux dire que tu es venu jusqu'ici et que tu as fait tomber ton livre volontairement pour me draguer ? Et deuxièmement, tu ne me trouves pas belle les autres jours ?
Dans les dents. Il n'y avait pas d'autres termes. Il venait de se prendre deux sacrés cognards dans la tête.
« La par contre, je suis un peu perdu... »
En effet, il ne savait plus du tout où donner de la tête et le regard arrogant de la jeune élève ne l'aidait pas à se concentrer. Et oui, elle était plutôt troublante, il devait bien l'admettre.
« Je peux pas proposer d'aller ailleurs quand même... elle va me rire au nez.... remarque, je suis plus à ça près... mais elle m'agresse... allez ! JE LUI RENTRE DEDANS ! »
Tu sais, je te fais une fleur en t'accostant... ça rend les filles du groupe des groupies de derrière folles de rage. Je te signale au passage, qu'être vu avec moi ça augmenterait ta popularité... fit-il avec une hargne qu'il ne se connaissait pas.
Mais c'est qu'il mordrait le p'tit... commença la jeune fille.
Elle s'était arrêtée dès les premiers mots et elle le regardait maintenant avec ses grands yeux verts brillants. Ses cheveux luisaient de tout leur éclat. Avec une vivacité incroyable, elle modifia son temps qui devint soudainement plus charmeur.
Ma popularité tu dis ? demanda-t-elle en posant son livre.
Nouveau coup de théâtre, elle semblait maintenant très intéressé par son jeune dragueur du week-end. Elle jouait avec une de ses mèches de cheveux d'une façon très garce. Après l'avoir dévoré des yeux avec une apparente envie d'en voir plus, elle se mordit doucement la lèvre inférieure comme pour réprimer une envie.
« Encore changé de camps... ? Parfait... elle est à moi ! se réjouit-il »
Après l'avoir barratinée comme d'habitude sur le fait que la bibliothèque n'est pas un bon lieu pour faire connaissance, ils partirent bras dessus, bras dessous vers la salle sur demande.
Trois passages et ils ouvrirent la porte pour y trouver une sorte de suite nuptiale. Ni une ni deux, elle l'avait poussé sur le lit après avoir refermé la porte avec son pied. Elle ne le quittait plus du regard, paraissant très gourmande ce jour-là, elle prit les initiatives. Peu habitué à ce que les filles prennent les devants, il resta bouche bée devant ce qu'elle faisait. Avec un charme fou, elle venait d'ôter ses vêtements dans un léger bruissement de tissu. Elle était quasiment nue devant lui désormais, avec son ensemble de sous-vêtements en dentelles.
Il n'en revenait toujours pas et il ne s'aperçut même pas qu'elle avait agité sa baguette vers lui. En quelques secondes, il fut attaché au lit avec pour seule couverture son boxer.
Tu auras beau crier, tu es à moi maintenant, dit-elle avec ironie en l'admirant dans sa quasi-nudité.
Tous deux étaient nus et pour une fois, c'était le tombeur de ses dames qui se retrouvait en situation de jouet sexuel. Elle grimpa sur le lit et avança à quatre pattes sur lui. S'asseyant avec volupté sur son torse, elle commença à lui caresser le visage avec douceur. Elle fit en sorte de bien se pencher au dessus de lui pour l'embrasser sur le front à plusieurs reprises, lui laissant ainsi une vue plongeante sur sa poitrine, toujours très serrée dans ses petits habits de dentelle.
La respiration lente, il laissait pendre sa langue avec envie. Toujours assise sur son torse, elle se redressa et baissa la tête vers sa poitrine emprisonnée avec un air boudeur. D'un geste rapide et ample, elle dégrafa son soutien-gorge mais le garda en place avec ses mains. Elle scrutait le visage du jeune garçon qui se voulait impassible et qui pourtant trahissait son désir et son excitation. Lentement, elle fit descendre son soutien- gorge pour finalement le laisser tomber à côté du lit. Elle enserra immédiatement sa poitrine avec ses mains et commença à se caresser aussi langoureusement qu'elle le pouvait. Ses deux seins, qui, d'après ce qu'en voyait le jeune homme était du 90 B, étaient maintenant l'un contre l'autre, serrés par les deux mains fines et délicates de sa partenaire. Elle stoppa son massage après quelques instants et entreprit de jouer avec ses mamelons, elle les pressa doucement avec ses doigts. Son prisonnier, lui sentait maintenant très nettement que son boxer le serrait trop. Elle le sentait aussi puisque ses fesses rebondies cachaient la bosse du garçon mais elle n'y prêtait pas attention puisqu'elle continuait à se caresser. Elle avait repris son pétrissage et elle émettait de petit cris de bonheur à intervalle régulier ce qui avait pour effet de rendre la situation insoutenable pour son jouet sexuel. Ensuite, ses doigts firent tourner doucement ses tétons qu'elle pressait à peine.
Il était prêt. Elle le savait. Elle avait senti que la bosse de son boxer avait atteint son maximum. Elle se recula vivement et passa une main dans le dernier rempart qui lui cachait son membre. Le caressant sous son vêtement, elle le sentait raide dans sa main. Il frémissait. Refusant d'ouvrir la bouche, il était prêt à souffrir sous ses tortures en silence. Ce petit jeu l'excitait grandement et il était, jusque là, bien heureux de voir qu'elle avait de l'initiative. Soudainement prise d'impatience, elle tira son boxer et le fit tomber sur le sol. Avec une ardeur mal dissimulée elle commença à l'embrasser dans le bas du ventre. Insistant bien avec sa langue chaude, elle descendait rapidement vers son sexe. Elle fit un détour par ses cuisses, l'embrassant avec rage et une envie de plus en plus visible. Elle prit enfin en main son membre qui se dressait fièrement devant elle. Doucement, elle débuta un lent manège où elle embrassait son membre puis redescendait vers ses bourses qu'elle suçait en les mettant dans sa bouche tour à tour. Interrompant la succion de ses bourses, elle remonta le long de son engin en le léchant pour aller caresser doucement son gland avec son doigt qu'elle avait préalablement mouillé. Ce petit jeu devenait insoutenable, elle le faisait languir et il ne supportait pas ça. Il grognait maintenant mais se refusait toujours à protester. JAMAIS il ne protesterait devant une fille. Cela reviendrait à admettre qu'il ne tient pas le coup. Ce serait remettre sa réputation en jeu.
Elle le narguait avec de petits regards coquins. Qu'est-ce qu'il pouvait la haïr à cet instant. Elle venait de commencer à embrasser son petit bout de chair rose. De seconde en seconde elle allait plus loin. Désormais elle donnait des coups de langue bien appuyés sur son gland. Il ne lui fallut pas longtemps pour sucer son bout de chair à pleine bouche. Il sentait qu'elle faisait tourner sa langue autour. Sans prévenir, elle avala son membre dans sa quasi-totalité et commença le faire aller et venir dans sa bouche, le parcourant de coups de langues bien senti. Ensuite, il lui suffit d'imprimer un mouvement de va et vient avec son membre pendant qu'elle recommençait à assaillir ses testicules pour qu'il gémisse et frissonne, se raidissant à chaque aller retour.
Aussi soudainement qu'elle s'était emparée de lui, elle s'arrêta, le regardant d'un air amusé.
Dois-je vraiment finir ceci ? fit-elle avec un air qui se voulait enfantin.
Il ne répondit que par un grognement sourd.
Avant de le faire... j'ai envie de t'entendre me dire que tu es mon esclave...
Il hésita entre pouffer de rire et se vexer.
Tu n'es pas sérieuse... grogna-t-il.
Au contraire, elle semblait plus sérieuse que jamais. Elle reprit son membre dans sa main et fit un lent et très certainement douloureux massage car il était sur le point de venir.
Avant ça... j'aimerais REELLEMENT t'entendre dire que tu es mon esclave...
Elle commença à lécher son membre toujours dressé lentement de façon à ce qu'il n'éjacule pas encore.
Tu rêves ! Grogna-t-il.
Tant pis alors, lâcha-t-elle ne faisant mine de partir.
Non ! Non ! D'accord ! Admit le garçon. Je... je suis ton esclave ! Je t'en supplie ô maîtresse ! Finis en avec moi !
Il était en rogne d'avoir dû dire ça mais c'était intenable pour lui cette situation. Il la regardait avec attention en grimaçant. Mais elle, ne le regardait pas. Elle remettait ses habits.
Réellement formidable mon p'tit ! ironisa-t-elle, un sourire aux lèvres. Je suis venue à bout du légendaire tombeur mais en plus, je le laisse sur sa fin.
Sans rien comprendre, il la regarda bouche bée. Lorsqu'elle fut totalement rhabillée, elle lui lança un regard plein de pitié.
Alors ? Ca fait quel effet d'être un jouet dans les mains de quelqu'un d'autre ? J'espère que tu n'apprécies pas...
Sans rien ajouter, elle sortit de la salle en ricanant.
Mon dieu ! Que venait-il de faire ? Il avait couché avec une préfète. Pire encore, il avait couché avec la préfète qui l'aimait le moins. Celle qui lui mettait des bâtons dans les roues depuis des années. Comment avait-il pu oublier tout cela sur elle... « Elle était belle » mais ce n'était pas une raison suffisante pour risquer de perdre sa belle réputation durement gagnée. Elle... pourquoi elle ? Elle voulait se venger, c'était certain ! Il avait été idiot. Il lisait déjà le gros titre du journal du lycée, la Harpie Enchaînée : « James Potter esclave sexuel de la préfète Lily Evans ».
