Kikoo c'est moi… Je vous propose 1 chtite histoire ^^
Y aura 16 chapitres…
Disclaimer … Tous ces jolis personnages sont a J.K rowling, sauf un…..Cui la il est a moi, et je me le garde (vous comprendrez vite pk !^^)
I/ Privet Drive« Dans cette vie, et dans toutes les autres, je te retrouverai, où que tu sois. Tu ne peux me survivre éternellement. »
*
Harry se réveilla en sursaut. Pour changer.
Depuis deux mois, il se réveillait souvent en nage, à cause de cauchemars. Depuis son dernier affrontement avec Voldemort. Mais était-ce toujours des cauchemars, ou bien était-ce le Seigneur des ténèbres qui lui envoyait des messages? « Cela est fort possible! » pensa t'il alors.
Il regarda l'heure. 00H15. Il avait 16 ans depuis quelques minutes. Il n'avait guère envie de se recoucher, pourtant il fallait bien qu'il dorme un minimum. Si seulement il pouvait se faire une potion comme celle de Mme Pomfresh, pour dormir d'un sommeil sans rêves. Mais il n'en avait pas le droit, et encore moins les capacités requises. La vie est ainsi faite, de contrariétés et difficultés multiples. Il était peut-être même une des personnes les mieux placées pour en parler dans le monde sorcier.
Il finit par se rendormir, d'un sommeil assez agité, mais néanmoins, il dormait.
*
16 ans. Il n'en revenait pas d'être arrivé à cet âge là, étant donné que le mage noir le plus puissant de tous les temps en avait après sa vie.
Il descendit prudemment à la cuisine. Prudemment car la famille chez laquelle il vivait ne l'appréciait guère, et cela depuis le début. Depuis qu'il était arrivé chez eux par une tragique nuit où ce mage noir avait anéantit ses parents. Il y a de cela 15 ans maintenant. Et depuis il subissait les critiques, réprimandes, et bassesses quotidiennes qu'ils lui infligeaient. Enfermé dans sa chambre les trois quart du temps, le pauvre était seul. Très souvent seul.
Sa charmante tante Pétunia lui demanda très gentiment de préparer le petit déjeuner (on y croit...) de la famille en suivant les instructions de régime de l'infirmière de Dudley. Un quart de pamplemousse et une tartine. Rien que ça.
Harry, qui était déjà très mince parce que les Dursley ne le laissaient pas manger à sa faim, était légèrement affaibli à cause de ce régime. Régime qui demeurait d'ailleurs mystérieusement inefficace sur Dudley. Harry pensa à ce moment là que s'il avait été plus grand, son cousin aurait facilement pu passer pour un demi-géant dans le monde des sorciers.
Pourquoi le monde des sorciers? Tout simplement parce que le jeune Harry n'est autre que le si célèbre Harry Potter, connu dans le monde de la magie comme celui qui a parmi d'abattre le Seigneur des Ténèbres alors qu'il n'était qu'un petit bébé âgé d'à peine un an. Confié alors à sa famille moldue - gens dépourvus de pouvoirs magiques - par Albus Dumbledore, il grandira dans l'ignorance de sa condition de sorcier, et même de ce qui était réellement arrivé à ses parents. Quelle surprise le jour où il reçut sa lettre de Poudlard, qu'un demi-géant du nom de Hagrid avait du lui amener, l'oncle Vernon faisant tout son possible pour que Harry ne puisse lire cette lettre.
Mais la nuit de ses 11 ans, Hagrid avait forcé la porte de la (hum) résidence secondaire des Dursley, sur une île déserte loin de tout, et avait parlé à Harry de sa vie, de ses parents. Il fit le choix de suivre Hagrid, pour se découvrir lui-même, ou peut-être y voyait-il simplement qu'une façon d'échapper à sa « famille ».
Puis il avait découvert le Chemin de Traverse, la voie 9 ¾, le Poudlard Express où il avait fait la connaissance de Ron Weasley et Hermione Granger. Et enfin, Poudlard. Là, il se rendit compte qu'il était célèbre. Hagrid lui avait expliqué pourquoi, un soir, au Chaudron Baveur, alors que Harry l'interrogeait. Tout le monde semblait mieux le connaître que lui-même. Hermione lui dit que l'on parlait de lui dans de nombreux livres.
Le pire avait été, à son avis, le jeune Crivey, qui était littéralement fan de Harry, et le suivait partout pour obtenir un maximum de photos de lui. Ce qui l'exaspérait au plus haut point.
Chaque année à Poudlard avait jusqu'à présent été un délice. Avec ses amis, il avait le chic pour s'attirer des problèmes, mais finalement tout finissait bien, et l'année était merveilleuse. Jusqu'à la fin de l'année précédente.
Harry se remémora ces tristes événements à cause desquels il cauchemardait depuis des mois. Cette année là, tout s'annonçait bien, jusqu'à ce que Harry soit porté candidat à participer au Tournoi des Trois sorciers par un mangemort infiltré à Poudlard, et qui s'était débrouillé pour que Harry soit choisi. La dernière épreuve, la traversée d'un labyrinthe, l'avait marquée profondément. En effet, lui et Cédric Diggory, champion officiel de Poudlard puisque choisi par le juge impartial - la coupe de Feu - avaient touché, volontairement, le trophée du Tournoi en même temps. Ce trophée avait été changé en portoloin par ce même mangemort, et ils s'étaient tous deux retrouvés dans un endroit qui leur était inconnu. Voldemort avait alors ordonné à Queudver, son sous-fifre, de tuer Diggory. Puis à l'aide de Queudver et de vieille magie noire, Voldemort retrouva un corps, dans lequel coulait également le sang de Harry qu'il avait pris pour se rebâtir tout en bénéficiant de la protection qu'avait laissée sa mère à Harry en se sacrifiant pour le sauver. Au péril de sa vie, il avait ensuite affronté le mage noir en duel avant de réussir à saisir la main de Cédric et le portoloin, afin de ramener son corps.
Les premières semaines des vacances, Harry revivait sans cesse la mort de son rival mais néanmoins ami Cédric, ne pouvant s'empêcher de culpabiliser. Ensuite, ce sont des visions des actions du mage noir qui envahirent ses songes. Était-ce réel ou imaginaire?
C'était quand même une torture mentale.
*
Après son frugal petit déjeuner, Harry remonta dans sa chambre avant que son oncle, sa tante ou son cousin ne trouve encore une critique à lui faire. Il avait besoin de se confier à quelqu'un. Mais à qui? Il était bien loin du monde merveilleux de la sorcellerie.
Quand il arriva dans sa chambre, il trouva plusieurs hiboux. Certains qu'il connaissait, et d'autres que non.
Il y avait tout d'abord Coq, le petit hibou que Sirius, son parrain fugitif, avait offert à Ron pour remplacer Croûtard, son rat qu'il avait perdu. Rat qui n'en était même pas un en fait. C'était un animagus -personne capable de se changer en animal - non déclaré qui se cachait, et qui avait fait condamner Sirius à la prison à vie par ses manigances. Harry détacha la lettre de la patte de Coq, et s'installa pour la lire.
Harry,
J'espère que tu vas bien. Ici c'est la folie. Maman ne sait plus ou donner de la tête parce que Papa et Percy ne rentrent plus du travail. Elle s'inquiète très facilement, tu le sais. Depuis que Tu-sais-qui est revenu, ils sont débordés au bureau. Et Fudge n'agit pas. J'ai reçu un mot de Dumbledore me demandant de ne pas t'inviter à passer la fin de l'été chez nous. Donc je ne le fais pas.
Je suis désolé Harry je suis sûr que tu vas être très déçu. J'en ai discuté un petit peu avec Hermione par hibou, et elle aussi trouve que c'est étrange, mais que Dumbledore doit avoir ses raisons. Tu n'auras qu'à lui demander.
J'espère que nous nous retrouverons sur le Chemin de Traverse. Nous irons dans la semaine du 25 au 31 août. Laisse-moi un message au Chaudron Baveur si tu y passes. J'irai voir tous les jours à la réception. As-tu eu des nouvelles de Sniffle ou de Hagrid? Moi pas. J'espère qu'ils vont bien.
Je dois te laisser Harry parce que je dois vite envoyer cette lettre Maman va avoir besoin de Coq et pour une durée indéterminée, alors réponds-moi vite.
Ron.
PS: Je pense que mon cadeau te plaira.
Harry ouvrit le paquet qu'il n'avait pas vu, Coq l'ayant laissé tomber en arrivant. Il contenait un coffret avec à l'intérieur une miniature animée du joueur de Quidditch préféré de Harry, ainsi qu'un balai volant et l'ensemble des balles le tout à la taille du joueur. « Cool ! Merci Ron! ».
Il répondit alors à la lettre de son ami.
Ron,
J'espère que tu vas bien. En ce moment ça reste vivable chez les Dursley. Dommage pour la fin de cet été. J'espère que Dumbledore a de bonnes, voire d'excellentes raisons pour m'empêcher d'aller chez toi. Nous verrons.
Merci beaucoup pour ton cadeau, j'adore. C'est trop trop bien !!!
Je m'ennuierai beaucoup moins maintenant.
Je vais finir mes devoirs de vacances tout à l'heure. Je ne peux y travailler que la nuit tu le sais, et je suis très fatigué en ce moment.
Bon courage à Mrs Weasley.
Bonnes vacances et J'espère vous retrouver tous sur le Chemin de Traverse.
Harry.
Il attacha la lettre à la patte de Coq, et celui-ci s'envola après avoir volé un petit peu de miamhibou dans la mangeoire de Hedwige.
Il prit ensuite la lettre et le paquet que tenaient les serres d'une magnifique chouette effraie blanche qui n'était autre que Hedwige, revenant d'on ne sait où, avec, comme chaque fois, la lettre et le cadeau de Hermione. Hermione n'ayant pas de hibou, la très intelligente Hedwige partait chercher chez Hermione ce qu'elle ne pouvait lui envoyer.
La lettre était assez courte, mais le paquet était lourd.
Harry,
J'espère qu'avec les Dursley, ce n'est pas trop dur. Sincèrement. Ron m'a parlé de la lettre de Dumbledore. Ce n'est pas très sympathique de sa part mais il doit avoir ses raisons. Tu le connais... Il ne fait rien par hasard.
J'espère qu'on pourra se retrouver sur le Chemin de Traverse, sinon rendez-vous à Poudlard.
Ce n'est pas la peine de me répondre, je pars dès que Hedwige s'est envolée et je préfère qu'elle n'essaie pas de me retrouver. J'espère que mon cadeau te plaira.
Hermione.
Il ouvrit alors le gros paquet. Il contenait diverses provisions, sans doutes s'était-elle rappelée le régime de Dudley, et un petit paquet cadeau tout au fond. Il l'ouvrit et découvrit un tout petit livre. « Curieux! » Harry le feuilleta, et il s'avéra que ce livre était spécial. Bien entendu, il était magique. Il suffisait de penser à un problème particulier, et de multiples solutions apparaissaient alors sur les pages du mini livre. « Chouette cadeau!!! »
Il donna une friandise à Hedwige, et se tourna vers le hibou restant.
« Mais je te connais toi!!!» s'écria t'il devant ce hibou marron mais pourtant magnifique. « Tu es Scoutibou!!! » Harry le connaissait pour l'avoir utilisé l'année précédente pour pouvoir écrire à son parrain en cachette. « Tu dois m'apporter ma lettre de Poudlard non? » Harry décrocha le parchemin attaché à la patte de Scoutibou, et le déroula. L'encre verte était unique, cela ne pouvait être que sa lettre de Poudlard.
M. Potter,
Nous vous informons que vous êtes attendus en cinquième année à Poudlard.
Mais vous ne prendrez pas le Poudlard Express cette année, ni encore moins une voiture volante.
D'autres informations suivront par hibou. Veuillez simplement acheter vos affaires scolaires le plus vite possible.
Albus Dumbledore, Directeur de Poudlard.
Étonné, Harry jeta un oeil sur sa liste de fournitures scolaires, qui lui parut étrange. Après les tenues et fournitures habituelles, on lui demandait de prendre avec lui certains ingrédients en plus pour ses potions, et d'autres livres.
« Bon, je vais devoir aller parler à l'oncle Vernon. »
Il descendit au salon. Comme on était dimanche, Vernon Dursley ne travaillait pas et donc, était très occupé à lire son journal. Harry allait battre en retraite quand il fut repéré par Dudley.
- Harry espionne papa!!!
- Potter... Dans ta chambre, immédiatement!!!!
- Oncle Vernon, je suis descendu parce que je dois te demander si tu pouvais m'amener à Londres demain. Je dois me rendre au plus vite sur le Chem... je dois acheter des trucs pour des amis.
- Ça peut attendre.
- Ben non, justement. Sinon je ne te dérangerais pas avec ça, oncle Vernon.
- Et si je ne t'y amène pas, que vas-tu faire.
- Mais j'ai de multiples solutions mon oncle. Je t'ai demandé à toi pour ne pas t'embêter outre mesure. Car tu n'apprécierais guère les autres possibilités que j'ai je pense.
- Quelles possibilités? En rapport avec la magie je suppose.
- Oui mon Oncle.
- Dis toujours, je serais curieux de voir ça.
- Et bien, je peux demander à mon parrain de venir me chercher.
- Cette proposition fit frémir l'Oncle, car lui ne savait pas que Sirius était victime d'une erreur et d'une machination, donc innocent.
- ou je peux aussi sortir dans la rue, et faire des signaux avec ma baguette magique pour faire apparaître le Magicobus. Ce ne sont que deux exemples, mon oncle.
- Bien. Demain je t'emmène à Londres. Mais je reste avec toi. Je n'ai pas envie que tu t'en ailles.
- Tu veux venir avec moi? Mais...
- Pas de mais. Je viens, ou tu ne vas nulle part.
- Bien mon oncle.
Abasourdi, Harry remonta dans sa chambre afin de préparer quelques affaires. Car il ne partirait sans doutes que pour la journée. Son oncle allait être malade d'être sur le Chemin de Traverse. Rien que le Chaudron Baveur devrait suffire. Il appréhendait le voyage.
*
Le reste de la journée fut pesant. Vernon semblait méditer sur sa décision, désapprouvée par sa femme. Sans doutes était-elle effrayée par l'idée que Harry pourrait en profiter pour faire disparaître son oncle. Pétunia était morte de peur. Elle s'était rongé les ongles jusqu'au sang.
Vernon, excédé, fini par dire « si tu as peur que je ne revienne pas, viens avec nous Pétunia. Et Dudley aussi. Pas question de le laisser seul ici!!!! »
Harry était dans sa chambre à ce moment là, et ne su que le lendemain à l'heure du départ que toute la famille viendrait.
« Génial... »
La dernière sortie « en famille » s'était soldée par un échec, et Dudley s'était retrouvé enfermé dans une cage du vivarium du zoo de la ville. Et Harry particulièrement sévèrement puni pour avoir lâché le boa sur son cousin.
A ce moment là, Harry était encore dans l'ignorance de ses dons pour la magie.
*
Le moment de partir approcha. Tout le monde grimpa dans la voiture familiale. Harry se demandait à quoi s'attendre. Avec une famille pareille....
Dans cette vie, nous ne sommes jamais au bout de nos peines.
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Une chtite review siou plé ….
