A tout jamais une histoire de Cendrillon
Epilogue : La mort de Sirius
Il était une fois, une petite fille qui aimait son père de tout son cœur, elle s'appelait Hermione de Barbarak. Elle vivait dans un petit manoir avec son père et trois serviteurs Arthur, Molly et Minerva. Elle avait huit ans, son père rentrait d'un long voyage et ramenait une Baronne et ses deux filles. Hermione se préparait à l'arrivée de son père avec ses deux servantes….
-Ah Minerva, c'est comme si c'était noël, une nouvelle maman, et deux sœurs, tout dans la même journée.
-C'est vrai, il va y avoir de l'animation dans la maison aujourd'hui, avec une baronne, vous pensez, dit-elle à Hermione, celle-ci se mit à sautiller, Oh, restez tranquille, s'écria-t-elle encore après la petite fille.
-Le maître mérite un peu de bonheur, après toutes ses années passaient à élever une enfant tout seul. Elle doit être tellement belle, ajouta Molly, en posant un drap sur le lit.
-Vous pensez qu'elle m'aimera, demanda Hermione.
-Elle vous adorera, surtout si le petit ange qui se cache en vous daigne se montrer, répondit Molly en lui pinçant le nez.
-Abstenez-vous de ronger les os, pendant le dîner, si vous ne voulez pas vous trahir, ajouta Minerva.
Hermione émit un petit rire, soudain un claquement aux carreaux, Hermione passa au dessus du lit, et couru à la fenêtre.
-Votre père, va arriver d'un instant à l'autre, Oh ! soupira Minerva.
Hermione ouvrit la fenêtre, en bas se trouvait un petit garçon roux, qui devait avoir le même âge qu'Hermione.
-Ron, je te l'ai dit pas aujourd'hui
-Tu as l'air d'une fille avec cette robe, répondit le garçonnet.
-J'en suis une, espèce d'imbécile ! S'écria le fillette.
-Oui, mais aujourd'hui, tu en as l'air !
-Fille ou garçon, je suis capable de te botter les fesses.
Et Hermione partit en courant vers la porte sous l'air désolé des deux servantes, qui avaient dû mal à tenir cette enfant en place…
Le carrosse arriva. Sirius, le père d'Hermione, à cheval, franchit la barrière de son domaine, et il en descendit devant son serviteur, Arthur.
-Bienvenue dans voter maison, on dit que vous ramener une baronne, fit ce dernier, en prenant la bride du cheval.
-Je ramène toute une maisonnée, Arthur, mais je vois qu'il me manque une fille….
Sortit d'une carrosse, une petite fille brune, avec une belle robe bleue et un léger minois. Puis une deuxième fillette, cette fois-ci elle avait une magnifique chevelure rousse, et habillé d'une robe verte. Et enfin, une grande dame, la Baronne, elle avait une allure assez fière, avec ses longs cheveux bruns, relevés dans un chignon,
-Oh, Sirius, c'est absolument charmant ce domaine, dit la Baronne.
-Papa, cria Hermione de l'autre côté de la cour, elle sauta dans les bras de son père. Sirius la reposa au sol et dit :
-Tu es dans le même état que le jour de mon départ. En fin, Hermione était couvert de boue, sa robe si jolie et son visage aussi.
-Oh ! Ton ami, Ron ne doit pas être bien loin.
-Non, monsieur, je l'ai massacré.
-Tu l'as massa….. commença le père de la fillette, avant de voir un petit garçon arriva devant la cour, recouvert de la tête aux pieds par la boue. Oh, je vois, en effet, reprit Sirius en riant. Moi, qui voulais présenter une belle jeune fille, fit-il en s'agenouillant devant sa fille, il faudra que je me contente de toi. Reprit-il en se relevant en tenant sa fille devant lui, Hermione, je te présente la Baronne Bellatrix de Gente, et ses deux filles Pansy et Ginny.
-Bonjour Hermione, je fais enfin votre connaissance, Hermione, votre père ne parle que de vous, dit la Baronne, à une Hermione toute souriante, Bellatrix se retourna et ajouta à ses deux filles :
-Saluez, votre nouvelle sœur, dans une expression assez hautain sur le visage en levant le menton et d'une allure fière. Les deux petites files se courbèrent en disant :
-Mademoiselle !
Le soir venu, le père d'Hermione, vint border sa fille, et lui tendit un présent en disant :
-Tiens.
Hermione, l'ouvris et en sortit un livre et lu le titre :
-Utopie !
-Cela, veut dire « Paradis », c'est peut-être une peu dense pour un enfant de huit ans, mais j'ai eu envie de l'ajouter à notre bibliothèque.
-Tu m'en lis un peu ! demanda Hermione.
-La journée a été longue !
-Et puis, tu es un mari maintenant ! fit la petite fille en se couchant dans son lit.
-Ah ! répondit-il dans un rire. Oui, je suis un mari, mais je suis avant tout un père, et pour toujours. On a vécu seuls toi et moi, pendant longtemps, il nous faudra du temps pour nous faire à cette nouvelle vie. Allez au lit !
Hermione se glissa dans son lit et dit :
-Tu as vu comment elles ont manger leur soupe, c'était parfait, comme une danse.
-Oui, fit le père dans un sourire. Tu les aimes ?
-Enormément !
-C'est bien, parce que je dois aller aux Avignons dans une quinzaine de jours
-Mais, tu viens à peine de rentrer, fit la petite fille en se relevant de son lit, triste.
-Je sais !
-Pour combien de temps ? demanda Hermione
-Pas longtemps, trois semaines !
-Une semaine, répondit la petite fille
-Deux !
-Une !
Sirius prit la main de sa fille et supplia :
-S'il te plait deux !
-Une ! répondit la petite fille têtue !
Ils jouèrent à pierre-papier-ciseaux.
Hermione sortit des ciseaux et son père, la feuille. Il capitula et répondit :
-Très bien, une. Allez au lit, maintenant Un baiser.
Il fit une bisous sur la joue de sa fille et ajouta :
-Dors bien, puis il quitta la pièce.
Une quinzaine de jours passèrent et le maître de la maison devait partir. Il était devant la porte d'entrée. Il sentit une douleur dans la bras gauche, il sera la main et sortit dans la cour. Là se trouvait sa femme, et ses deux filles ainsi qu'Hermione et les serviteurs. Sirius dit en riant :
-Je n'ai jamais vu autant de sombre mines dans cette maison, je serais de retour dans une semaine.
-Alors, allez vous-en plus vite, vous serez partit, plus, vite nous pourrons fêter votre retour, répondit Bellatrix. Et ils s'embrassèrent, puis le maître de la maison, marcha vers Hermione, en caressant les joues de Ginny et Pansy.
-D'ici là, peut-être que toutes les trois, vous aurez appris à mieux vous connaître. Il s'accroupit devant Hermione et ajouta, tu sais je compte sur toi, pour leur apprendre tous ceux qu'il y a savoir, la Baronne n'a pas l'habitude de sa salir les mains.
Hermione lança un regard vers la Baronne qui se pavana. Son père se releva et alla vers son cheval et monta, il ressentit de nouveau, la douleur dans son bras. Arthur lui passa les rennes et dit :
-Bonne route, mon maître.
-Merci Arthur, répondit ce dernier.
Sirius partit au galop et la Baronne se retourna vers ses filles.
-Allons, mesdemoiselles, retournons à nos leçons.
-Attendez, c'est la coutume, il fait signe arriver à la barrière, fit Hermione à sa belle mère.
La Baronne haussa les épaules et poussa ses filles dans la maison et entra quand même. Hermione courut sur le chemin pour voir son père partir. Il se pencha sur son cheval, une violente douleur dans la poitrine, et se courba et tomba de sa cheval. Hermione cria avec désespoir et tristesse. Son monde s'écroulait :
-Papa !
La Baronne sur le pas de la porte se retourna et courut vers son mari. L'homme était allongeait, Hermione pleurait en disant :
-Papa, ne meurt pas !
Sirius se tourna vers sa fille et posa une main sur sa joue qu'Hermione prit et son père dit :
-Je t'aime.
Le père de la fille ferma les yeux et mourut !
-Sirius, ne mourrez pas ! gémit la Baronne.
-Ne m'abandonnez pas ici, ne m'abandonnez pas ici. Elle criait en pleurant, en se relevant, elle tomba dans les bras d'Arthur, où elle continua à pleurer. Hermione était couché sur son père et pleurait, malgré les effort de Molly et Minerva pour la séparer de son père, la petite fille criait :
-Papa, ne meurt pas, puis aux deux servantes en les poussant, laissez-moi, laissez-moi !!
