Disclaimer: rien mais vraiment rien ne m'appartient sauf l'histoire ^^

attention: Autant le dire tout de suite, mon histoire n'est pas pour les plus jeunes! Il y aura du yaoi, du lemon, etc... donc si vous pensez que vous n'aimerez pas la suite... Ne lisez pas. Rendons nous service mutuellement! Vous ne serez pas horrifiés et mon histoire continuera.

Dans mon histoire, il n'y aura pas de pitié. Traduction ce ne sera pas une fic type guimauve. (j'aime les fics guimauves).

Pour les fautes d'orthographe grammaire, syntaxe, vocabulaire..., je ne vous garantie rien. mais je ne suis pas contre les remarques du moment qu'elles ne soient pas blessantes!

ps: c'est ma première fic!


Chapitre 1 : déchéance acte I scène 1

Si on devait résumer en un mot l'été qui se profilait à Little Whinging, ce serait brulant. La majorité des habitants du quartier s'étaient enduis de crème solaire dans une forme de résistance passive contre le soleil tapant. Les rares animaux de compagnie évitaient de rester trop longtemps dans cet ensoleillement étouffant. Les seuls qui profitaient pleinement de cela, étaient les enfants, jetant aux ordures toute prudence, pour des jeux. La majorité des adultes, eux s'enfermaient dans leur maison, loin de la chaleur.

Les dursley n'échappaient pas à la règle. Vernon dursley était affalé sur le canapé qui criait grâce sous le poids de ce dernier, à proximité d'un ventilateur. L'homme regardait la télé et n'hésitait pas à faire des commentaires dédaigneux sur chaque nouvelle information donnée par le commentateur.

Tandis que sa femme, pétunia s'affairaient à la préparation du diner. Elle devait finir rapidement le repas avant que son « magnifique » fils rentre de sa sortie avec ses « amis ». Elle aurait pu demander de l'aide à son bon à rien de neveux, mais après l'incident d'i jours, les dursley évitaient tout contact avec la chose.

Oui, le monstre avait été enfermé pour leur sécurité dans sa chambre. Il n'avait le droit de sortir que 2 fois par jours. Le matin et le soir. Pour ses besoins et ses douches. Pétunia ne voulait pas que l'odeur du gamin empeste jusque dans le salon, s'il le privait d'hygiène. Il recevait de la nourriture qu'une fois par jour. Ne voulant pas avoir des problèmes avec les autres monstres de son espèce.

De quel incident les dursley voulaient oublier ? C'était l'attaque qu'avait subi leur fils adoré. L'agression dont a été victime leur dudletnouchet. Leur neveu leur avait affirmé que c'était un détraqueur. Un détraqueur qui avait été envoyé pour aspirer l'âme de leur fils et de leur monstre de neveux.

Ce dernier avait dû user de magie pour les « sauver ». Vernon n'y croyait pas. Pétunia avait un point de vue plus mitigé par rapport à cela.

Depuis, ils avaient enfermé le gamin pour être sûr qu'aucun incident de ce genre ne revienne. La famille dursley vivait dans une crainte constante. Le fils dudley n'était sorti qu'aujourd'hui. Il faisait des cauchemars et avaient un comportement apeuré.

La porte de l'entrée s'ouvrit brusquement, laissant entrer une sorte d'ado cachalot.

« Maman ! J'ai faim ! »

_ Le repas est presque prêt mon chérie, minauda la dite maman. Vas te changer en attendant.

Dudley lui répondit d'un grognement de contrariété. Pétunia observait d'un doux regard son fils montant les escaliers. Elle était heureuse que celui-ci est retrouvé son appétit. Puis elle retourna au fourneau avec plus d'entrain.

Quelques minutes plus tard, alors que le soleil déclinait, la sonnette de la porte retentit coupant l'atmosphère paisible qui s'était installée. Interloqué, pétunia alla ouvrir au visiteur opportun. Une voisine voulant lui donner un dernier potin de cette fin de journée pensa-t-elle immédiatement.

Quelle ne fut pas sa surprise en voyant le groupe de personne à sa porte. Là devant elle, se trouvait une demi-douzaine de personne. Mais ce n'était pas le problème. Elle pouvait dire du premier coup d'œil que ces hommes faisaient partie du monde sorcier. Ne serait-ce que leur ROBES, leurs baguettes à la main ?!

Avant que ces derniers ne puissent dire quoique ce soit, pétunia hurla de sa voie stridente :

« Vernon ! »

Sentant, le danger dans la voix de sa femme, l'homme bondit…tout du moins essaya de se lever rapidement de son siège pour voler secours de celle-ci.

_Qu'est-ce qui se passe pétunia ? vociféra Vernon dursley à son apparition. Il avisa les personnes debout devant sa porte et leur étrangeté, et s'énerva. que faites-vous devant notr…

Revenant de leur surprise, l'un des hommes s'avança et coupa la parole du mari.

_ Bonsoir, nous sommes les représentants du ministère de la magie ! je suis l'aurore Michel Nirst . nous avons un mandat d'arrêt contre Mr Harry James Potter …

_ Vous êtes venus nous débarrassé de l'autre anormal ! bien ! prenez le et ne le ramenez plus ! et faites en sorte qu'il paye pour avoir agresser mon fils avec sa magie ! éructait Vernon. En apparence, il semblait énerver alors qu'au fond il jubilait. Il venait de trouver un moyen de se débarrasser définitivement de son monstre de neveux.

_ Vernon … commença pétunia, ses yeux s'écarquillant d'horreur. La lettre qu'elle avait reçue l'autre jour, lui avait rappelé durement pourquoi elle avait peur d'albus dumbledor . Ces hommes du ministère n'étaient rien. Et avec la guerre qui se profilait à l'horizon, le gamin leur garantissait une sécurité. Notamment les protections autour de la maison.

_ Non Pétunia, tu ne m'empêcheras pas ! coupa violement Vernon dursley.

_ Hum ! hum ! toussa une voix plutôt stridente.

La dame qui avait interrompu la dispute, posa ses yeux malveillants sur le couple devant elle. Du peu de conversation qu'elle avait assisté, lui avait fourni des informations capitales et trouvé un allié qui peut s'avérer très utile. De sa robe rose avec un chat brodé sur col et sa petite taille, Mme Dolorès Ombrage avait été nommé depuis peu comme sous-secrétaire d'état auprès du ministre de la magie, Cornelius Fudge. Et si elle se trouvait devant la maison des dursley en ce moment, s'était pour mettre en exécution ses plans et ceux du ministre de la magie. A savoir, faire taire définitivement le jeune Harry Potter.

_ Je suis Dolorès ombrage, sous-secrétaire d'état du ministre de la magie. Reprit-elle de sa voix la plus onctueuse. Nous sommes désolés, mes collègues et moi, de déranger des honnêtes gens tel que vous à l'heure du diner qui plus est. Serait-il possible de nous entretenir avec vous à l'intérieur ?

Vernon l'observa quelques instants et un sourire hypocrite se dessina sur son visage.

_ Bien sûr Mme ombrage ! entrez.

Dans les yeux de Vernon dursley et Dolorès ombrage brillaient la même complicité malveillante. Ils se trouvaient l'envi semblable de se débarrasser d'Harry Potter. Le couple dursley laissèrent entrer le groupe de 6 personnes et les invitèrent dans le salon.

« Ma chérie, peux-tu prévenir notre fils Dudley, que nous avons de la visite et que je souhaiterai que lui et toi restiez dans vos chambre pendant que je discute avec Madame Ombrage et ses messieurs, s'il te plait ? » demanda Vernon de sa voix la plus douce.

Sa femme le contempla choquée par la demande. Elle s'avait que son mari ne voulait pas qu'elle lui mette des bâtons dans les roues. Bien sûr celui-ci avait remarqué que pétunia prenait les ordres de dumbledor au sérieux. Si elle restait, elle empêcherait ou du tenterait d'arrêter son mari. Mais elle n'ira jamais contre les ordres de son époux. C'était pour cela qu'il l'aimait. Il avait toujours voulu une femme docile. Et il l'avait trouvé en la personne de pétunia Evans.

Avec un sourire crispé, la mère de famille se dirigea vers l'étage. Une fois seuls, Vernon et les nouveaux arrivants se fixèrent un moment quand Dolorès prit la parole :

« Bien, je dois vous dire que votre maison est charmante ! Merci de nous recevoir malgré les raisons fortes déplaisantes.

_ Mais il en est rien madame, je suis toujours prêt à prouver et à faire mes devoirs de citoyen. Déclara pompeusement Vernon, en bombant le torse. La justice est une chose qui me tient vraiment à cœur. Il faut réparer toute erreur commise, se débarrasser de tout déchet qui salissent le quotidien des gens respectables.

_ Bien, bien ! répéta Dolorès dont un sourire s'accentuait. Mes collègues et moi sommes ici pour un crime dont monsieur Harry Potter est accusé. Mais j'ai cru comprendre que ce ne serait pas le seul dont il aurait commis. Je serai plus qu'HEUREUSE de rectifier toute injustice où vous avez été victime !

_ Ce n'est pas seulement moi qui a été victime du comportement anormal et instable de ce gamin mais tout ma famille, surtout mon fils d'ailleurs…

D'un mouvement de tête, ombrage ordonna à un des aurores présents d'écrire la déclaration de monsieur dursley.

_ I jours, mon fils est revenu de sa journée avec son cousin. Ensemble , ce qui était étrange puisque mon fils fait toujours attention de ne pas approcher cet enfant dangereux. Il était pale. Il tremblait et était à peine cohérent. Il semblait terrorisé. Mon FILS avait PEUR. Peur de l'autre. De l'autre anormal. Et quand il a été assez cohérent pour parler, il nous a dit que cet Harry lui avait fait quelque chose. De la sorcellerie…

_ Savez-vous ce que c'était monsieur dursley ?

_ Non, mon fils n'a pu avouer qu'il s'était senti sans force. Extrêmement mal. Il ne pouvait plus bouger ! s'exclama Vernon dursley tout à coup véhément. La rage s'exprimait sur son visage le rendant rouge presque violacée.

_ Je comprends votre colère déclara la seul femme dans la pièce. Le ton était compatissant, le visage mortellement sérieux.

_ J'ai voulu le faire partir. Mais je ne peux me défendre contre votre … Vernon refusait de dire « magie » votre … particularité. J'ai cru, quand il a reçu sa lettre du ministère, que nous serions sauvez de son anormalité ! Mais vous vous êtes désistés ! ferez-vous la même chose aujourd'hui ?

_ Comme je vous ai annoncé plutôt, nous sommes venus vous aidez. Dès que notre entretien finit, les papiers signés, nous arrêterons monsieur Potter.

_ Quels papiers ? demanda Vernon suspicieux. J'espère qu'un fois débarrasser, mon fils pourra enfin dormir sur ses deux oreilles ! il fait des cauchemars la nuit depuis cette horrible nuit.

_ Les documents que vous devrez signer sont tout d'abord votre plainte qui a été rédigez, ensuite une autorisation pour des poursuites judiciaires contre votre neveu en tant que majeur bien qu'il soit mineur. Cela permettra de le juger comme un adulte et vous destituera de toute charge pénale puisque monsieur Potter est sous VOTRE responsabilité. Et enfin, un dernier document qui déclare que vous acceptez de céder la garde d'Harry Potter au ministère de la magie. Cela vous convient-il ?

Au fur et à mesure que madame Ombrage avait énuméré les différents papiers à signer, le choc sur le visage de monsieur dursley s'était accentué. Puis un rire de soulagement se fit entendre dans le salon. Oui, Vernon dursley était heureux. Il posa ses yeux sur les documents officiels qui se trouvaient sur la table ombrage les avait sortis pendant qu'elle les décrivait.

Il prit chaque document et les lus attentivement. Il était quand même inquiet quant au fait que sa femme et lui étaient responsables des actions du gamins. Les différents parchemins lui semblaient en règle. Il eut froid dans le dos en lisant les accusations planant sur le gamin.

Sur le mandat d'arrêt, figurait : meurtre.

Vernon dursley était tout pâle. Son neveu était accusé de meurtre, utilisation de magie noir et d'impardonnable sur une victime du nom de Cédric Diggory. Il ne comprenait pas tout mais le mot était plus que suffisant meurtre.

« Après qu'il est tenté d'assassiner ma sœur Marjorie dursley, j'ai cru que vous l'aviez réglé ? Que des sanctions avaient été prises ? s'indigna Vernon.

_ Vous savez, monsieur, son statut de héro le protégeait de beaucoup de chose…

_ Qu'est que c'est que c'est connerie ? hurla Vernon. C'est un gamin instable ! comment pouvez-vous l'appeler héro ?

_ Monsieur dursley clamez-vous ! tempéra Dolorès, grâce à votre aide, cette enfant sera punie pour ses crimes ! Donc pouvez-vous signez monsieur dursley !

_ C'est ma femme qui est de sa famille … cela pose –t- il un problème ? s'inquiéta Vernon.

_ Non ! Vous êtes mariés à madame dursley, donc par rapport à nos lois, seule la décision du chef famille compte.

Vernon dursley lui accorda un sourire soulagé et heureux. Dolores lui tendit une plume pour signer, un sourire sardonique aux lèvres. Tel un pacte signé au diable, l'oncle d'Harry Potter apposa sa signature sur les différents documents. Mais il ne savait pas que le bonheur pour lequel il signait, était éphémère et rempli d'un poison qui toucherait le monde sorcier et moldu. Un poison qui entrainera des cris de désespoir, des larmes de sang et sans aucun doute la ruine du monde sorcier.

à suivre…