Bonjour !

A LIRE:

Me voici à poster ma première fanfiction. Évidement ce n'était pas ma première histoire/essait. Mais j'ai toujours hésité à posté. Je pense pour deux raisons : mon sous estimation de soit et mon manque de temps (ou plutôt comme dirait ma mère) ma mauvaise organisation.

C'est en tout cas aujourd'hui que je poste mon premier AU. Sur le couple SwanQueen. J'aurais beaucoup, mais alors beaucoup de chose à préciser que cette fanfic. Je pense tout d'abord que je vais vous dire que, je l'ai commencé il y a deux ans. Lorsque des faits qui sont cités dans cette histoire me sont arrivés. Non, ahah je n'ai pas eu une relation avec une femme de mon lycée! (À mon âge ça aurait été plutôt creepy). Mais j'ai eu pendant une de mes années de scolarités une dépression et donc, comme Emma une "tendance" (je ne sais pas comment dire ça) à la scarification. Je pense que je raconte ça (non pas pour me lamenter puisque je suis bien en dehors de toute cette sombre période) mais pour préciser que je n'ai en rien COPIÉ des fanfics de merveilleux auteurs (j'en ai quelque une en tête). J'ai dans cette histoire une part de vérité, et un autre (grosse) part complètement inventée. Enfin bref. Je pense m'arrêter là. Pardon d'avoir abusé de votre temps et passons toute suite au chose sérieuse. Voici le chapitre 1 de ma fanfic intitulée Can you feel my heart ?
Je précise bien évidemment que Regina Mills et Emma Swan appartiennent à Adam et Eddy et donc à la chaîne ABC. Le reste vient de ma petite tête. Du moins, je le pense car je n'ai même aujourd'hui pas finis cette fanfiction et que donc peut être vais je y mettre un autre personnage de ouat. Je ne sais pas.

Premier Chapitre:

Le lycée polyvalent Riverdown était, non pas comme son nom l'indique proche de la Charles River mais à côté du parc de Boston: The Boston Common Park. Coincée entre deux quartiers, dans une des nombreuses rues pavées et étroites, le lycée polyvalent Riverdown comptait en tout 24000 élèves. D'aspect rustique mais à l'image de Boston, le lycée comptait deux énormes ailes, plus couramment appelées "bâtiment externe" et "bâtiment interne". J'étais déjà perdue et qui plus est, en retard, je sillonnais les bâtiments pour chercher ma classe. Ayant fait l'inscription par courrier je n'avais aucune idée de la disposition des classes. Je pris, une bonne dizaine de minutes pour trouver ma classe qui se positionnait en faite dans l'aile externe. Je tapa à la porte et n'entendant pas de réponse j'entra et apporta un dossier d'inscription (rib,photo d'identité, informations basique adresse mail, téléphone) à mon professeur sûrement principal. Le classe était particulièrement calme et je sentis enfin le malaise. Me remerciant, l'enseignante m'indiqua alors de m'installer dans le fond de la classe derrière un garçon d'origine chinoise ou japonaise. Je m'étais à peine assise qu'il se retourna et j'eus la possibilité de le détailler. Sa peau était bien évidement coloré, les cheveux étaient incroyablement lisses et sa coupe en bol accentué le côté stricte. Ses yeux noirs, me fixait et je dû sourire car il me sourit en retour.

-Moi c'est Koji Suwa. Et toi? Sa voix frêle et féminine me surpris. Il avait quelque chose qui me faisait sourire juste en le regardant. Je ne pu pas répondre car l'enseignente rétorqua:

-Monsieur Suwa veillez ne pas déranger notre nouvelle élève. Il se retourna d'un air dépité et sur mon visage apparu un rictus d'amusement.

-Ouais d'ailleurs comment qu'elle s'appelle la p'tite nouvelle?Je me retourna vers un garçon, aux yeux étrangement pu vite comprendre qu'il devait régulierement partiquer un sport car son corps était d'une grosseur impressionnent. Ses muscles serrant son t-shirt d'une façon un peu trop masculine pour moi, me fit vite détourner le regard. Il reprit : C'est pas que j't'aime pas mais ch'nous on s'présente quand on est nouvelle. Toute la classe se mit à rire pour une raison qui m'échappa et je lui répliqua:

-Chez moi on parle d'une autre manière si on veut pas être prix pour un cas social. A peine j'eus fini de lui répondre, que la classe entière me regarda. Y comprit le professeur. À cet instant précis, j'étais face à des personnes qui ne comprenaient guère mon comportement. J'eus durant un millième de seconde le sentiment que j'étais dans un monde dont il ne partagea pas le même point de vue. Que je le veuille ou non, j'étais seule. Je me retourna vers le tableau et fit une mine d'attendre les cours venant de la professeur ; qui me regardait avec une tête de merlan frit. La suite des cours passa très vite. Je ne mangea pas grand chose à la cafeteria. Non pas que j'eus peur de prendre du poids, non, -je me décrirai plus comme un squelette- mais bien parce que tout cette accadance me stressait et que je ne pouvais avaler quoi que ce soit. J'avais du mal à comprendre ces personnes dont l'essentiel envie était de réussir, de percer plus tard. Non, c'était plutôt de la jalousie. Jalouser la facilité que certain avait à réussir leurs études. La nervosité que j'avais lorsque je dépassais les grilles du lycée ne me lâchait que lorsque j'en sortais. Quand à mon grand plaisir les cours furent fini, je me rendis à l'entrée du lycée et me mis contre lu mur. Je pris mon téléphone, mis les écouteurs et attendis que mon père d'accueil vienne me chercher.

- Je peux ? dit une voix à ma gauche. Cette voix, je ne pris que quelque seconde pour la reconnaître. Je ne pris pas la peine de lui répondre ou même de le regarder.

- T'es comme ça avec tout le monde ? me demanda t'il, avant de prendre un bouché de sa cigarette. Il reprit

– Bon, je crois qu'on est parti sur de mauvaises bases ce matin. Moi c'est Casey. Et toi c'quoi ton nom ? me demanda t'il en s'asseyant à mes cotés. Je n'eus pas de mal à cerner son comportement. Ce matin même, il paraissait tout à fait ingrat et maintenant il me parlait d'une façon attendrissante. Et je n'aimais pas ça. Je pris alors le temps de le dévisager. De voir de plus près ces yeux noirs qui s'étaient pointés sur moi plutôt dans la journée. Il avait tout à fait l'air d'un de ces idiots populaires du lycée. Et rien que de le voir à mes côtés j'en avais la nausée. Plusieurs minutes s'étaient écoulées et il n'avait toujours pas bougé. Il continuait à me regarder. Me fixer. J'en eu marre et c'est lorsque la voiture de mon père se fit naître dans l'horizon que je me leva et pris mon easpack à bandoulière. Non, quelque chose le retint. Je me retourna et vis Casey se lever et s'approcher de moi avec mon sac dans les mains. Il me le tendit et me dit :

- Ce n'est pas parce que tu ne me parles pas que tu n'en as pas forcement.. – il prit le temps de se rapprocher encore plus de mon corps et se posta à ma droite, se pencha vers mon oreille et dit :- envie.

Il avait à peine finit que je pris mon sac et le poussa violemment contre le muré auquel nous étions adossés. Il heurta le mur et injura. Je pris mes jambes à mon cou et partie en direction de la voiture de mon père d'accueil. C'est là que je la vis. Adossée à sa voiture ; qui était à deux cent mètre de moi, dans le parking des enseignants à gauche du lycée. Une femme brune. Ni grande ni petite. Des cheveux mis long, qui s'arrêtaient un peu avant les épaules. Une tenue très tendance ; robe bordeau qui s'arrêtait au niveau des cuisses avec un ceinture cintré. Elle portait des talons noirs qui étaient assortis à sa tenue. Mais je ne pu la voir davantage car elle fut trop loin. Ce qui attira mon regard était son regard lui même. Elle me fixait. Me fixait et ne bougeait pas. Elle avait sûrement tout vu. Cela m'était bien égale, je n'avais rien fait de mal, me dis-je. J'accéléra le pas et atteignit la voiture de mon père d'accueil.

Le voyage de retour se fit en silence. Ni mon père d'accueil ni moi avions à nous dire quoi que ce soit. Ou si, peut être, mais nous nous cachions tout. Nous ne nous connaissions même pas. Nous vivions certes dans la même maison, mais je doute qu'il sache beaucoup de chose sur moi ; et inversement. Mais ce n'est pas plus mal. Chacun garde ses secrets et ses malheur pour lui. Chacun souffre en silence. Oui, ce silence j'eus souvent envie de le briser. De crier, crier ma douleur. Leur avouer que j'allais mal. Depuis trop de temps. J'avais envie qu'ils voient comment leur "fille" était réellement .J'appréhendais comme chaque jours, mon arrivée à la maison. J'avais peur, tellement peur. Depuis des années ma mère d'accueil (je tiens à préciser que nous n'avons aucun liens biologiques) était hospitalisée pour cause de maladie mentale. Mais cette année mon père avait décidé qu'elle serait placé dans notre maison, et que de temps à autre ; infirmiers et infermières viendraient pour lui donner ses médicaments qu'elle refusait de prendre. C'était une spiral à trois. Moi, mon père et ma mère. Chacun ne supporter pas l'autre. J'énervais ma mère, qui énervait mon père, qui m'énervait. Lorsque j'arriva à notre maison, je ne pris pas le temps d'enlever mes chaussures, que je monta à l'étage pour aller m'enfermer dans ma chambre. Toutes les chambres étaient à l'étage : celle de ma mère, de mon petit frère, de mon père et la mienne. En plus d'une salle de bain. Nous vivions avec ce que nous avions. Ce que mon père avait. Depuis que ma mère d'accueil était malade, et avait été hospitalisé, mon père travaillait, pour que nous ayons assez. Assez pour vivre paisiblement. Ce qu'il le fatiguait énormément. Nous nous voyons donc que très peu, et mon caractère têtue l'embêtait énormément. Je ne me laissais rarement faire devant les actes violents de ma mère d'accueil. Et mon père s'y était fortement opposé. Ce n'était pas souvent que ma mère avait des actes agressifs, mais lorsque cela arrivait, il était préférable, que je sois le plus loin possible d'elle. Et c'était pour ceci, que je m'enfermais la plus part du temps dans ma chambre. Cela ne m'embêtait pas plus que ça. Je savais quoi faire; lire ou dessiner tout en écoutant de la musique. Oui, j'en écoutais tout le temps. Tellement fort que ma mère me criait, me hurlait de baisser le son. J'agissais comme une adolescente en puberté qui voulait se révolter contre ses parents, et qui en conséquent se refermait sur elle. Les quelques psychologues que j'avais vu, disaient que je ne voulais pas sortir de la phase "adolescence" car je ne l'avais pas réellement vécu. En changeant relativement souvent de famille d'accueil et ça dès un très jeune âge, j'avais dû me débrouiller seule et je n'avais donc pas eu "l'occasion" de vivre comme les enfants de mon âge. Il y avait des moments où il m'arrivait de m'en rendre compte. J'étais majeure mais je ne m'étais jamais tellement comporté comme tel. Mon troisième psychologue en date, me disait que cette situation m'arrangeait, que de me cacher derrière une image de fille rebelle et enfermée m'arrangeait.

Ce soir, ce fut un soir assez habituel: j'écoutais mes musiques préférés et j'attendais qu'on m'appelle pour manger. Ce qui arriva très vite. Mon frère vint frapper à ma chambre:

- On mange, bouges toi! se fit entendre mon frère derrière ma porte en tambourinant celle ci. Je répondis d'un petit grognement:

- Ouuais.. J'arrêta la musique et descendis les escaliers. Lorsque j'arriva dans la salle à manger je vis ma mère dos courbé et coude sur la table. Elle devait sûrement avoir pleuré. Mais cela ne m'importait en aucun cas. Je ne vis pas mon père et je m'installa donc dans le canapé et prit mon téléphone. Je regarda le fond d'écran en souriant. Mon sourire se dissipa, car mon téléphone me fut retirer; et violemment . Je remonta ma tête et vis ma mère avec mon téléphone dans les mains; les yeux rouges et les doigts totalement crispés.

-J'en ai plus que marre de toi! Combien de fois je t'ai dit de ne pas être sur ton portable 24h/24!?

-C'est bon! Je fais ce que je veux et puis d'abord t'es pas ma mère !

J'avais à peine eu le temps de finir que ma mère me gifla si fort que j'eus cru que ma joue se décrocha de mon visage. Son coup m'avait projeté du canapé et j'étais arrivée brutalement contre le sol. Je mis vite ma main sur ma joue et ferma les yeux, pour retenir mes larmes de jaillirent. J'avais et je le savais; réagis comme un enfant en lui répondant qu'elle n'était pas ma mère. Mais dès le premier jour où j'étais arrivée ici, j'avais mis un point d'honneur en me rappelant chaque jour que je n'avais rien en commun avec ces gens. Que jamais je ne ferais partie de leur famille de dingue. Il m'arrivait parfois de plaindre mon jeune frère d'accueil, d'avoir une famille comme celle ci. Mais ce dernier ne me portait pas dans son coeur. Je voyais mal pourquoi je n'en ferais pas de même. Je me releva et je ne vis même pas l'autre coup arrivait que j'étais de nouveau projetée mais cette fois ci sur le canapé. Je me protégea alors en me courbant et mit ma tête entre mes genoux. Elle s'abat sur moi et me tapa la tête à plusieurs reprises. J'entendis mon père crier son nom et plusieurs secondes plus tard je ne sentie plus aucuns coups. Je releva alors la tête et vis mon père retenant ma mère. Je vis mon frère derrière assit tranquillement sur sa chaise. Je ne prit que quelque seconde pour sauter du canapé pour courir me réfugier dans ma chambre. En entrant dans ma chambre, je sentis ma tête tournée et je tomba sur mon lit.

Je me réveilla et pris quelque seconde pour me lever, car je sentie mon corps courbaturé. J'avais dû dormir replié sur moi même. Je pris une petite heure pour me préparer, douche, brossage de cheveux et de dents, maquillage. Lorsque j'eus finit je me regarda dans mon grand miroir. J'étais très fière de moi. Malgré les événements d'hier soir, je semblais totalement sereine. Je mesurais 1mètre70 et j'étais relativement fine. J'avais un visage fin et un nez légèrement remonté. Des yeux bleus qui tiraient vers le vert émeraude et de beaux sourcils. Mes cheveux étaient longs et blonds. Je ne les avais pas laissé au naturel; j'avais l'habitude de les boucler. Mon maquillage me rendait plus belle. Belle à voir. Et j'avais décidé de ne pas cacher mes bleus dans le cou et sur le visage, côté droit de mon visage sur ma mâchoire. J'étais vêtue d'un jean bleu foncé et d'une chemise carreaux noir et blanc ouverte, et on voyait un débardeur blanc ni plus ni moins décolleté . J'avais mes bottines Klarks noir préférés. Je mis un rouge à lèvre rouge foncé pour qu'on ne voit pas mes lèvres d'une horrible couleur violette. Je descendis et ne pris qu'une mandarine. Avant de sortir je pris ma veste favorite rouge en cuir, qui -on pouvait le dire- me suivait partout. Je partie à pied et me dirigea vers l'arrête de bus. J'arriva au lycée en retard d'une quinzaine de minutes et j'eus légèrement de mal à trouver la salle de musique. J'avais pris cette option car je jouais du piano. Et parce que la musique n'était pas l'option ou je risquais de tomber sur des cas sociaux. C'est à dire que je ne me voyais guère dans un groupe de matheux ou de physiciens à la Daniel Faraday dans Lost; complètement perché. J'entendis plutôt vite le son d'une guitare électrique et de ce qui semblerait être un violon. Quel drôle de mélange, me dis-je avant d'entrer sans toquer, ce qui me décrocha un grand arrêt de musique et regard de toute les personnes dans la salle. Il y avait une fille et deux garçons. Dont un qui me rappelait vaguement quelque chose.

-Tu dois être la nouvelle? me demanda une jeune fille aux cheveux courts et noirs.

-C'est une manie chez vous d'appeller les gens qui viennent d'arriver comme ça? dis-je assez sechement.

- C'est parce que c'est ce que tu es. Me répondit un des garçons, qui tenait une guitare. La tension était assez tendue et le garçon qui me rappelait quelque chose se leva et me tendit la main:

- Hey, tu te rappelles de moi? On était hier dans le même classe avec notre p.p miss Rodwood, notre prof de bio.
C'est vrai! C'était lui, le garçon qui m'avait demandé mon nom, qui était devant moi en bio.

-Oui, c'est vrai. Suwa? C'est ça?
J'étais relativement contente de reconnaître quelqu'un. Et je devais faire des efforts.

-Koji Suwa. Koji ça me va. me dit t'il en me serrant la main. Je pris un grand souffle et fit paraître mon plus beau sourire.

- Je suis désolé d'être arrivée en retard problème de..Je me fis coupée par le garçon 'à la guitare'

-T'sais on a tous des problèmes et c'est pas pour autant qu'on arrive en retard. Me répondit t'il sèchement. Je grinça des dents et sera mes poins. Dieu que j'avais envie de meurtre à ce moment précis. 'Efforts, efforts, efforts'

-C'est bon on te pardonne la nouvelle. fit la jeune fille en rigolant, elle reprit:

- Moi c'est Lucy. Lucy Ford.

- Et moi Tom Fields. Mais on m'appelle plus Fields. Bienvenue dans le groupe des rebelles . Dit il en retournant à sa place avec sa guitare. Je pris le temps d'assimiler tous les noms et je demanda:

-Pourquoi les Rebelles? Lucy se mit à rire et regarda Fields. Il se rassit et me répondit tout en souriant nonchalamment d'un air gêné.

-C'est parce qu'on est tous des cas à part, à notre façon. Il se fit coupé par Koji:

- Arrête de dire à chaque fois ça de cette façon Tom

-Ce que Fields voulait te dire, reprit Lucy en croisant les jambes, c'est que nous avons créer ce groupe sans autorisation, et rien de plus. Et que peut de gens restent avec nous car nous ne nous laissons pas faire vis à vis des enseignants.

-Ces bouffons de profs, ouais. Dit Fields en regardant sa guitare. J'étais très bien tombée, ce groupe, c'est juste ce qu'il me fallait pour bien m'intégrer. Non, 'bien' peut être pas. Mais au moins m'intégrer. Tout le reste de la journée j'étais restée -quand je le pouvais avec mon nouveau groupe- et lorsque Lucy et Fields étaient dans d'autres cours je restais avec Koji. Il était plutôt sympa. Et était très beau. Tout chez lui était éféminé, ses gestes etaient doux, sa voix agu, son sourire discret. Je conclue assez vite, que mon nouveau camarade devait, non sans me deranger, avoir un penchant pour les hommes. Mais je ne préférais pas lui demander. Cela pouvait mettre des tensions dans cette amitié qui venait de germer. Et le fait qu'il soit gay, ne m'embêtait, pas mais alors pas du tout. je me foutais pas mal des regards que les autres me lançaient et j'eus compris très vite que je m'étais mise dans un groupe qui n'était pas fréquentable. Nous nous dirigions vers les arbres qui étaient plantés au milieu de la cours. Koji m'indiqua l'endroit ou nous allions nous asssoir, quand une personne vint à me bousculer. Mon sac s'écrasa à terre et je fusilla 'mon agresseur' du regard. Et je reconnu alors, Casey. Il me regarda de haut en bas, et je me sentie d'un coup, comme une vulgaire morceau de viande.

-Qu'est ce qu'une belle fille comme toi, fait avec CE genre de mec, dit Casey en montrant Koji du doigt. Koji se sentant rabaissé, répondit à ma place:

- Elle a plus à faire de chose dans mon groupe que dans le tien. lâcha t'il avec sa voix féminine. Casey et son groupe rigolèrent et une fille châtain sortie du groupe et vint pousser violemment Koji qui n'eut pas de mal à heurter un des arbres. Il était largement trop fin et inoffensif pour se défendre et je ne pris pas le temps de réfléchir: que mon poing termina violemment dans le ventre de la fille châtain. Elle se recula et un sourire sadique apparu sur mes lèvres. Casey, quant à lui ne rigolait plus, nous avions pas eu le temps dire quoi que se soit, que la fille me poussa violemment contre le même arbre ou avait atterrie Koji un peu plus tôt. Mon dos, heurta tellement fort l'arbre que je ne réussi pas à respirer pendant quelques secondes. Tout était assez flou, mais je souleva la tête pour voir, Casey aux côtés de son amie, la tenant, rigolait de mon cas. Je vis tout autour de moi, une plusieurs vingtaine de personnes. Tous en rond autour de nous. Des mauvais souvenirs refit surface, et je fonça sur la jeune fille en lui arracha un crie, quand ma claque le fit reculer. Elle cria tellement fort qu'on entendit autour de nous des lycéens, appeler au secours.

-Arrêtes! C'est bon! cria derrière moi Koji. Mais je n'en fit qu'à ma tête. Je viens frapper encore en encore la lycéenne. Mais elle appela Casey et celui ci vient et essayer de m'atteindre mais sans succès. Je lui plaça un coup de pied entre les jambes et il s'écroula. Je commença à avoir le tête qui tournait, lorsque je vis la jeune fille s'approchait assez vite de moi. J'alla riposter, quand quelque chose me fit me stopper et net.

-Emma stop! on cria mon nom, et puis le poing de la lycéenne s'abattu sur ma joue sans que je ne puisse rien faire. Je chuta à terre et mon crâne s'écrasa violemment contre le sol. Je vis Koji s'agenouiller à mes côtés et me secouait . Et je la vis. Oui, à un mètre de moi, je la vis. Elle cria à nouveau mon nom, mais je ne pu rien faire. Tout devenu noir. Le noir complet.

Pardon pour toutes les fautes, et surtout les incohérences, car étant donné que c'est ma première fanfiction, beh hum, j'ai beaucoupé hésité itout avec pleins de petits détails, et j'écrivais sur mon ipod, donc, la correction c'est faite en 2 minutes.. :')