Bonjouuuuur ! Ca fait longtemps (enfin pour ceux qui me suivait sur mes anciennes fictions haha).

Voilà, cette fois-ci j'ai écrit un OS sur Caskett. j'ai attaqué la série Castle (Merci Maman, c'est elle qui m'a poussée à le faire) en fin d'année dernière donc je ship Caskett. J'avais une petite idée dans la tête, et quand j'ai une idée... il faut que j'écrive sinon ça me stress. Donc j'ai écris, j'ai mis un mois à l'écrire, je me suis bien amusé (même si c'est pas 100% joyeux). Je me suis dis "On ne connait pas la vie de Beckett avant, à part pour sa mère même si on en sait que très peu. Pourquoi pas lui inventer quelque chose ?!" J'aime beaucoup le jeu Beckett/Castle dans la série, j'ai essayer de le retranscrire dans mon OS. C'est mon premier écrit Caskett donc c'est surement pas parfait.

Je rappelle que j'écris pour me faire plaisir en premier, quand j'apprécie beaucoup ce que j'écris je le publie donc ce n'est pas prise de tête, il y a des fautes d'orthographe (car j'ai relus mais je suis pas un as de l'orthographe), il peut y avoir des fautes de frappe (quand vous passez plus de 3heures à écrire, ça peut arriver). Je ne pense pas que ces fautes vous crèveront les yeux alors apprécie l'histoire et n'hésitais pas à me dire ce que vous aimez ou pas. (Donnez des conseils mais ne détruisais pas ce que j'ai écrit (rappel : un mois à l'écrire) comme j'ai pu le voir pour d'anciennes fictions à moi, j'aurais plus envie d'écrire et vous aurez vraiment plus rien haha)

BON BONNE LECTURE PETIT CASTLES !


Cours Katherine Cours...

Elle court à travers la ville. Elle veux partir, elle veux fuir ce qu'il vient de se passer. Soûle, elle n'a pas pris conscience du danger jusqu'à ce que tout son monde s'écroule. Partir loin est son nouvel et unique objectif. Elle court toujours. Elle traverse la route alors qu'une voiture roule à grande vitesse à cinq cents mètres d'elle, le conducteur appuie sur la pédale de frein et tourne violemment son volant pour ne pas l'écraser. Elle se retourne vers la voiture, s'arrête, respire fort, regarde de loin si personne n'est blesser et repart en courant. Elle arrive, essoufflé, devant la porte d'un immeuble. Elle entre vite le code, elle pousse la porte, elle court dans le couloir, elle attrape la rampe et commence à monter les escaliers deux par deux. Elle ouvre la porte 58. Elle entre et ferme la porte doucement. Elle n'essaie de ne pas faire de bruit. Elle va à sa chambre. Tout le monde dort. Elle allume la lumière et ferme la porte. Elle ouvre son armoire, sort une valise qu'elle avait coincé dans le coin. Elle l'ouvre. Elle commence à prendre ses vêtements de son armoire et les mettre dans sa valise. Elle essaie d'aller le plus vite possible. Elle ne fait pas attention au bruit dans l'appartement. Elle est presser. Elle finit de mettre le plus d'affaire dans sa valise, elle ouvre ses tiroirs de sous-vêtements, elle en prend quelqu'un. Elle enlève ses affaires qu'il lui reste du tiroir et prend une enveloppe, elle se dirige vers sa valise et regarde ce qu'il y a dedans. Elle compte. Cinq milles dollars. Elle récupère une poignée de billets et la met dans sa poche. Elle met l'enveloppe sous ses affaires dans sa valise. Elle essaie de fermer sa valise, elle s'assoit dessus pour y arriver. Elle y arrive. Elle la pose par terre en essayant de faire le moins de bruit possible. Elle vérifie qu'elle a pris le principal, de toute façon il faut qu'elle parte. Elle se dirige vers la porte de sa chambre en portant sa valise. Elle ouvre la porte. Elle lâche la valise, un bruit lourd se fait entendre.

-Tu comptes aller où comme ça jeune fille ?

-Ma... maman...

..

« You better lose yourself in the music, the moment
you own it, you better never let it go
you only get one shot, do not miss your chance to blow
this opportunity comes once in a lifetime »

Elle court, elle fait son jogging. C'est son habitude. La musique à fond dans ses oreilles elle court. Elle ne fait pas attention au monde autour d'elle. Elle est dans son monde à elle. Elle double les New Yorkais matinaux sur les trottoirs. Elle attend aux passages piétons en trottinant sur place. Elle en profite pour regarder l'heure, 7h45, cela fait déjà trente minutes qu'elle court dans New York. Le feu devient vert, elle recommence à courir. La musique se coupe, elle s'arrête au milieu du trottoir, elle sort son téléphone de sa poche. C'est le poste de police qui l'appelle. Elle décroche.

-Beckett.

-On a un meurtre, je t'envoie l'adresse par sms.

-J'arrive dans une vingtaine de minutes.

Elle raccroche, la musique se remet à tourner dans ses oreilles. Elle lève la tête vers les immeubles autour d'elle. Elle est bientôt chez elle, elle reprend sa course. Arrivé à son immeuble, elle monte à l'étage de son appartement. Elle ouvre la porte. Elle coupe la musique et enlève ses écouteurs de ses oreilles. Elle s'approche de son mari, embrasse sa joue et lui dit en partant vers la salle de bain.

-On a un meurtre, je vais prendre ma douche je reviens.

-D'accord, je t'attend.

Elle rentre dans la salle de bain. Richard Castle se lève de sa chaise, son café à la main. Il débarrasse son petit déjeuner, boit son café en allant au lavabo. Il fait la vaisselle.

-Castle arrête de faire la vaisselle.

Il coupe le robinet tout de suite. Il va a la machine à café. Il commence à préparer un café. La porte de la salle de bain s'ouvre, Kate réapparaît. Richard se tourne vers elle, une tasse de café à la main. Il s'approche d'elle et lui tend la tasse. Elle la prend sans le regarder, elle lui dit juste merci.

-J'ai réussis à te faire un cœur avec la mousse.

-Tu ne seras pas pardonner Castle.

Elle boit son café, prend son manteau et part de l'appartement suivis de Castle.

..

-Ca a toujours été comme ça Kate.

-Et alors, il doit y avoir un problème de plomberie.

-On ne pourra pas le changer.

-Bien sur que si, ce n'est pas normal que dès qu'on fait la vaisselle l'eau est gelé dans la salle de bain. Ils sortent de la voiture et marchent vers la scène de crime.

-J'appellerais le plombier ou je ferais venir celui d'hier, lance-t-il avec un clin d'œil à sa femme.

-Castle !

-N'en dis pas plus Castle, je préfère rester dans l'ignorance.

-Bonjour Javi, où est le corps ?

-Venez.

Ils suivent Esposito qui les mène à une voiture dans un fossé. Kate enfile ses gants bleus et s'approche du docteur Parish. Elle se penche derrière elle pour voir la victime. Elle reste fixé sur le corps sans vie devant elle. Son cœur s'accélère. Elle se recule enfin et se met à côté de Lanie. Elle ne regarde pas les personnes qui l'entoure, elle ne veux pas montrer son mal aise.

-Un simple accident non ?

-C'est ce que l'assassin voulait nous faire croire.

-Comment ça ? Demande Castle.

Lanie tourne le visage de la victime, la partie gauche de sa tête est visible pour tous. Elle pointe son doigt vers la blessure.

-Si ça aurait été un accident, la blessure aurait était du côté droit de sa tête alors que là ce n'est pas le cas. Lors de l'accident, sa tête a cogné la vitre de son côté donc elle était du côté passager, elle ne conduisait pas.

-Le meurtrier l'a déplacé ? Continue Castle.

-Il faut croire oui.

-Donc il a été blesser aussi.

-Où est-il ? Demande Beckett.

Elle tourne la tête et regarde autour d'elle. Le soleil brille. Elle sent qu'elle transpire malgré le peu de chaleur dehors, elle essuie son front avec sa manche. Richard la regarde fixement, il a l'impression qu'il se passe quelque chose. Il s'approche d'elle. Il regarde la victime, presque pas de sang, même Kate Beckett n'a plus peur du sang, pourquoi se sentait-elle comme ça ? Kate s'appuie sur le capot de la voiture. Lanie lève la tête vers son amie.

-Tu vas bien Kate ?

-Oui oui ça va.

Elle n'ose plus regarder son amie, ni personne autour d'elle. Elle a de plus en plus chaud. Elle a l'impression de ne plus respirer. Elle déboutonne son manteau. Son bras, sur lequel elle a appui, commence à trembler faiblement. Richard est à côté d'elle. Elle essuie à nouveau son front avec son bras libre. Son bras gauche, appuyé sur la voiture, tremble de plus en plus jusqu'à lâché. Richard la rattrape avant qu'elle tombe. Ryan vient l'aider. Tous les deux, ils portent Kate jusqu'à une des voitures de la police. Ils l'assoient dedans, elle a les yeux entre ouvert.

-De l'eau Ryan s'il te plaît.

A peine demander, Ryan est déjà partis cherché de l'eau. Il revient quelques secondes avec une bouteilles d'eau. Richard l'ouvre et la donne à Kate qui l'amène directement à sa bouche. Elle boit une longue gorgée et la redonne à Richard.

-Kate on va rentrer à la maison.

-Non non, je vais mieux, on va sur l'enquête.

-Il est hors de question que tu y ailles dans cet état, on rentre.

Ryan reste impuissant à regarder la scène, Esposito et Lanie, au loin, discutent sur Kate. Elle les regarde de loin puis regarde son mari dans les yeux. Il n'a pas l'air de plaisanté pour une fois. Elle ne peux qu'obéir à ses ordres. Il l'aide à se relever. S'en aller de la scène de crime semble la calmer, elle n'a plus besoin d'aide pour marcher, elle se sent juste fatigué et stressé. Ils arrivent à sa voiture, Castle insiste pour conduire, elle accepte.

..

En rentrant, elle est allé s'asseoir dans le canapé et n'a pas bougé de là depuis presque une heure. Castle lui a apporté un verre d'eau qu'elle a posé sur la table basse. Il est assis en face d'elle. Il la regarde simplement, elle n'a pas envie de parler et il le sait, il préfère attendre avant de parler. Les minutes passent et rien ne se passe. Il se décide à prendre la parole.

-Tu vas mieux ?

-Je ne sais pas. Mes vertiges m'ont pris d'un seul coup.

-Je sais je sais. Ne t'inquiète pas, tu as le droit de ne pas être bien, on comprend tous.

-Tu devrais aller travailler, tu serais plus utile qu'ici.

-Je ne veux pas te laisser seule.

Elle lève la tête, le regarde et sourit. Elle le trouve adorable de rester avec elle. C'est ce qu'elle rêvé depuis toujours, un homme qui sera là pour veillé sur elle. Elle n'a pas l'intention de parler mais elle sait qu'il est là. Elle se penche vers son verre pour l'attraper et ensuite boire une gorgée. Elle se rapproche de Castle, pose sa tête son épaule et prend sa main dans la sienne puis ferme les yeux.

..

Il est tard. Ou tôt. Tout dépend de notre point de vue. La fête touche à sa fin. Tout le monde commence à partir. Une bière à la main, elle est posée dans un coin et regarde les personnes autour d'elle. Elle est venue accompagné de sa meilleure amie mais cette dernière la laisser pour son petit ami. Le célibat a pris le dessus sur Kate. La maison se vide. Elle voit sa meilleure amie arrivé dans le salon où elle se trouve. Elle s'assoit à côté d'elle. Elles se regardent. Kate lui demande si elle veux partir, elle répond que oui. Kate finit sa bière et la pose sur la table. Elles quittent la maison. Elles rient. Elles retournent à la voiture de Kate. Kate monte côté conducteur et son amie côté passager. Elle met le contact et commence à rouler. L'alcool fait son effet. Kate accélère sans vraiment s'en rendre compte. Son amie lui tape le bras et lui demande :

-Kate arrête la voiture, j'ai envie de vomir.

Kate freine violemment, elle fait un créneau. Sa copine se détache, ouvre la potière, à juste le temps de sortir de la voiture et vomit sur le bord du trottoir. Kate rit de plus belle. Sa copine se redresse pour la fixer. Elle rit à son tour. Elle marche vers la portière et assoit sur son siège. Elle se remet bien, ferme la portière. Kate redémarre et repart à toute vitesse. Elle roule vite. Elle dépasse le peu de voiture qui se trouve sur son chemin. Elle sort de la ville. Sa copine rit. Kate le sait, elle n'a plus les même réflexes, elle connaît l'alcool et ses conséquences. La double voie se transforme en un seul couloir. Elle n'a pas peur, elle ne réduit pas sa vitesse.

Il est sortis de son travail très tard. Avocat, il avait beaucoup de dossier à lire. Il n'a pas pu rentrer chez lui avant cette heure. Il sait qu'une dispute va déranger son cocon familial. Sa femme ne supporte plus ne plus le voir avant d'aller dormir. Il a pris la voiture. Il rentre sur New York pour aller chez lui. Il a une vitesse normale, la vitesse autorisé. Il fait noir, il n'aime pas prendre la voiture, la visibilité est mauvaise. Il arrive sur une route avant l'entrée dans New York, une route à une voie.

Elle roule toujours aussi vite. Elle dépasse les voitures qui la gêne. Combien de temps allait-elle pouvoir faire ça sans ralentir ? Elle ne prend pas le danger au sérieux jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus y échapper. Une voiture est devant elle. Elle souffle. Elle ne prend pas la peine de mettre son clignotent et se décale vers la gauche. Elle accélère encore un peu. Des phares en face d'elle l'éblouissent. Il ralentit du mieux qu'il peux, il ne peux pas tourner il se prendrait l'autre voiture. Il prie pour ne pas se prendre la voiture en face, il prie pour pouvoir rentrer chez lui, pour voir ses enfants, sa femme. Il commence à regretter de rentrer tard et de ne pas avoir profiter de sa famille. Elle tourne violemment le volent. Le choc l'assomme. La dernière chose qu'elle a vu est les phares de la voiture et puis un noir.

..

Elle sursaute, se redresse dos au dossier du canapé, Castle tourne la tête vers elle, lui prend la main.

-Kate, tu vas bien ?

-Oui... Oui ça va.

Elle se lève du canapé et pars dans la cuisine. Elle ouvre le placard, prend un verre, le remplis d'eau, se pose à la table et le boit. Elle passe sa main sur son front, elle a l'impression d'avoir chaud. Richard est à la porte, il la regarde de loin. Il voit qu'elle ne va pas bien. Elle sens son regard sur elle. Fait genre tu vas bien Kate, pense-t-elle. Elle se retourne vers lui et lui sourit. Son téléphone vibre dans sa poche, elle le sort et répond.

-Beckett.

-Hey c'est Ryan et Esposito.

-Du nouveau ?

-Non, enfaîte c'est pour ça qu'on t'appelle. On a un problème, on a rien.

-La fille ?

-Pas fiché.

-La voiture ?

-Volée.

-Cherchez quelque chose, on ne peux pas rester sans rien. J'arrive.

-Non Beckett, reste chez toi si ça va pas.

-Je vais mieux. En attendant, cherchez dans les affaires d'avant, il y a peut être un autre meurtre qui a un lien.

-On regarde ça.

Elle raccroche. Elle se lève de sa chaise, pose le verre dans le lavabo. Elle passe à côté de Castle pour sortir de la pièce.

-On va travailler.

-D'accord. Mais tu es sur que...

-Oui je suis sur Castle !

Elle prend son sac à main et quitte l'appartement. Castle la suit de près. Il ferme son chez lui à clé et la rattrape dans l'escalier. Elle ne se retourne pas vers lui, elle continue de marcher. Ils prennent la voiture de Kate pour aller au NYPD. Aucun mot ne se dit pendant le trajet.

..

-Je vais voir si Lanie a quelque chose, on doit trouver une piste.

Esposito se lève de sa chaise pour descendre pendant que Ryan reste devant son écran d'ordinateur. Il pianote sur le clavier. Il cherche. Une nouvelle fenêtre s'ouvre. Il entre des mots clés dans le logiciel. Une autre fenêtre s'ouvre. Il fait défiler la page devant ses yeux. Beaucoup de chose écrite pour pas beaucoup de résultats. Il ouvre le premier cas et l'unique cas. Une fenêtre différente s'ouvre. Il commence à lire ce qui est dit. Un accident. C'était un accident. Il préfère continuer de lire, c'est leur seule piste. Soudain, il s'arrête de lire. Il prend son téléphone et appelle Esposito. Il attend deux bip avant qu'il réponde.

-Ryan ?

-Frère, faudrait vraiment que tu montes, j'ai un truc à te faire voir. C'est assez urgent.

Esposito n'a même pas répondu, il a raccroché pour pouvoir partir. Il regarde autour de lui, voit que personne est là à part Lanie et lui. Il l'embrasse tendrement avant de partir. Il prend l'ascenseur, arrive dans le hall principal et se dirige vers le bureau de son ami. Il se plante devant lui.

-Alors, qu'est-ce qui est urgent ?

-Lis là.

Il pointe l'écran de son doigt. Javier pose sa main sur le dossier du fauteuil et se rapproche de l'écran pour lire. Il se recule ensuite. Ryan se retourne vers son coéquipier.

-Javier tu crois qu'il faut qu'on lui en parle.

-Oui mais pas aujourd'hui.

-Vous avez un truc les gars ?

Ils lèvent la tête et voient Beckett débarqué au loin. Ryan remonte la page et la réduis sur le bureau, ils sourient. Elle se rapproche d'eux suivis de Castle. Ils n'ont pas le temps de répondre à sa question que le capitaine Gates sort de son bureau et appelle Kate. Elle leur sourit et part rejoindre sa supérieure. Ils attendent que Kate soit bien partis pour demander à Castle de venir voir ce qu'ils ont trouvé. Il vient se positionné près d'eux, Ryan ouvre la page et le laisse lire.

.

-Comment allez-vous lieutenant ?

-Je vais mieux.

-Vos yeux vous trahissent.

-Capitaine je vais bien.

-Rentrez chez vous lieutenant.

-Non, je veux aider, elle a besoin de moi, je dois trouver qui lui a fait ça.

-Rentrez chez vous aujourd'hui ou je vais être obligé de vous retirer l'enquête. Vous êtes blanche, vous n'allez pas bien. Je préfère que vous rentrez chez vous.

Gates lui indique la porte, Kate se lève, la salut et quitte la pièce. Castle la regarde sortir, il a l'air soucieux, elle n'y fait pas attention et part. Richard sent les regards de ses collègues se posaient sur lui, il les regarde.

-Allez chercher le dossier, on ne sait jamais.

-C'était un accident Castle !

-Mais c'est notre seule piste Ryan, lui répond Esposito.

Ils se lèvent et partent chercher le dossier.

..

Un verre d'alcool à la main, elle regarde par la fenêtre. La porte s'ouvre derrière elle. Elle ne se tourne pas pour accueillir son mari. Elle boit une gorgée de son verre. Il pose un dossier sur la table basse, enlève son manteau et le pose sur le côté. Il s'approche de sa femme. Il entoure son ventre de ses mains et l'embrasse dans le cou. Elle sourit à son romantisme. Elle se rappelle pourquoi elle l'aime autant. Elle boit une nouvelle gorgée de son verre.

-Bonne journée ?

-Je commence à devenir folle mais oui. Et toi Castle ?

-Tu m'as manqué.

-Vous avez avancé ?

-Un peu, il faut que je t'en parle.

Elle se retourne vers lui, l'embrasse.

-Allons-y tout de suite.

Il sourit à son tour, la lâche. Elle va au canapé, il la suit, elle commence à prendre le dossier, il pose sa main dessus, elle le lâche. Il s'assoit à côté d'elle. Il lui prend les mains.

-Alors... il se racle la gorge. Vraiment, on a aucune piste stable. On a rien. Il y a juste eu une affaire qui s'est beaucoup rapproché de celle ci. Kate le regarde dans les yeux. J'ai le dossier. Par contre, euh... Kate, il y a écris ton nom dedans.

Ses mains commencent à trembler, elle les retire de celles de Richard. Elle se lève du canapé et marche dans l'appartement. Castle se lève à son tour, arrête Kate devant lui et la regarde dans les yeux.

-Ca ne veux rien dire le fait qu'il y ai ton nom chérie.

-Non, c'est pas ça, c'est juste que... c'est juste que je ne voulais pas entendre parler de cette affaire à nouveau.

-C'est pour ça que tu n'étais pas bien, ça t'a ramené vingt ans en arrière.

-Oui.

Il la prend dans ses bras. Ils retournent sur le canapé, Kate hésite à prendre et surtout à ouvrir le dossier.

-Castle, j'aimerais être seule, si ça ne te dérange pas.

-Non ça ne me dérange pas, je vais en profiter pour aller prendre ma douche, si tu as un problème tu m'appelles, je suis là.

Il se lève, l'embrasse sur le front, elle sourit, il quitte la pièce. Elle attend. L'eau commence à couler sous la douche, elle peut enfin ouvrir ce dossier. Elle hésite mais finit par l'ouvrir, la première feuille est celle de l'autopsie, elle tourne la page. Des photos, pleins de photos de la scène de crime. Elle pose le dossier sur la table. Elle sent les larmes montaient à ses yeux. Elle ne veux pas pleurer, elle a assez pleurer pour aujourd'hui. Elle ne peux rien y faire, elle pleure. Elle essuie chacune de ses larmes. Elle se lève et va se servir un verre d'alcool. Elle boit assez vite, elle remplis son verre une seconde fois, cette fois-ci elle ne le boit pas tout de suite, elle attend un peu. Elle marche dans l'appartement. Elle n'arrête pas de pleurer.

..

La sonnette de la maison retentit. Johanna se lève de son canapé avec beaucoup d'élégance. Elle marche jusqu'à la porte. Ses talons claquent sur le sol. Elle ouvre la porte. Deux policiers lui font face.

-Madame Beckett ?

-Oui c'est moi.

-Nous aimerions parler à votre fille, Katherine Beckett.

-Bien sur, je vous l'appelle. Entrez.

Elle laisse passer les hommes à l'intérieur de la maison. Jim Beckett se lève de son canapé, sert la main des hommes et les fait les asseoir sur le canapé. Johanna monte les escaliers. Elle tape plusieurs fois à la porte. Personne ne répond. Elle frappe à nouveau. Elle finit par ouvrir la porte d'elle-même. Elle marche vers le lit, s'assoit et caresse les cheveux de sa fille.

-Chérie, il y a des policiers qui aimerait te parler en bas.

-J'ai pas envie de leur parler.

-Chérie, je sais que c'est dur pour toi mais il le faut.

Elle se retourne vers sa mère, s'assoit sur le lit, sa mère passe ses doigts sur son visage pour essuyer ses larmes. Elle se lève, sa fille aussi. Elle a la tête baissé, elle est morte de peur même si elle ne le montre pas. Elles descendent les escaliers, avant d'arriver dans le salon, Johanna met sa main sous le menton de sa fille et le relève.

-Tout vas bien se passer Katherine.

Elles arrivent dans le salon, Kate salut les policiers et s'assoit en face d'eux, Johanna s'assoit à côté d'elle.

-Mademoiselle Beckett, où étiez-vous lors de l'accident ?

-Je ne sais plus. Pourquoi cette question ? Vous me l'avez déjà posé hier.

-Nous avons trouver vos empreintes sur le volant de la voiture.

-Vous insinuez quoi là ? Demande Johanna en haussant la voix.

-Rien.

-C'était un accident. Pourquoi revenir dessus ?

-Nous voulons juste savoir pourquoi la scientifique a retrouvé les empreintes de votre fille sur le volant de la voiture.

-Elle habitait... Elle habitait pas loin d'ici, je suis allé la rejoindre chez elle à pied car elle voulait qu'on prenne sa nouvelle voiture. J'ai le permis, j'ai voulus l'essayer pour voir, elle m'a laissé monter à l'avant pour démarrer la voiture donc oui il y a mes empreintes, c'est normal, elle m'a laissé monter côté conducteur pendant quelques secondes.

-Vous êtes allez où ensuite ?

-Elle a repris le volant, je suis monté coté passager et on a rouler jusqu'à chez une amie. Et, haussant la voix, mais merde je vous l'ai déjà dit hier, vous pensez que ça me fait plaisir de reparler de la dernière fois où je l'ai vu ou quoi ?

-Pour le retour ?

Elle se calme, passe sa main dans ses cheveux pour les remettre en place.

-Pour le retour, elle est sûrement rentrer seule, j'en sais rien. J'avais bu, je n'ai pas fait attention à elle. Je suis rentré à pied.

-Merci. Si quelque chose vous revient appelez nous.

-Vous pensez à un meurtre ?

-Nous ne savons pas. Nous envisageons toutes les possibilités. »

..

Elle est appuyé contre la vitre regardant la circulation de dehors. Richard ouvre la porte de la salle de bain, habillé d'un pyjama sous son peignoir. Il passe sa serviette dans les cheveux pour les sécher. Il voit Kate, il pose sa serviette dans la salle de bain, essaie de bien se recoiffer, il ressort et va vers sa femme. Il l'embrasse sur la joue. Il lui décroche un sourire.

-Je suis désolé.

-Ce n'est pas de ta faute. C'était ma meilleure amie. C'était il y a vingt ans. C'était un accident. Ce n'était pas un meurtre. Il n'y a aucun rapport avec aujourd'hui.

-Tu penses qu'aujourd'hui pourrait être un accident ?

-Ça pourrait l'être. Le conducteur a eu peur, il a déplacer le corps et il est partis.

-Donc il pourrait y avoir des empreintes sur le corps ?

-J'en sais rien. Faut voir si la scientifique trouve une deuxième empreintes différente de celle de la victime.

-On en reparlera demain Kate, allons dormir.

-Vas-y, j'arrive.

Il l'embrasse. Elle lui sourit. Il part dans la chambre. Il se couche dans le lit, prend un livre et lit. Elle ne le rejoint que plusieurs minutes plus tard, après avoir finis son verre et s'être changer. Castle dort déjà, le livre à la main. Elle le prend, le pose sur sa table de chevet, éteins sa lumière de chevet, remonte les couvertures sur eux et pose sa tête sur son torse. Elle n'a réussis à s'endormir qu'après des heures. Trop occupé à penser.

..

Elle pousse la porte de la morgue, Lanie lève la tête vers son amie. Elle tient la porte à Richard pour qu'il rentre avec elle. Elle se place devant Lanie. Lanie regarde méchamment Castle.

-J'avais dit de venir seul Castle !

-On s'en fout Lanie, je suis là, répond Kate.

-J'ai essayé de l'empêcher de venir mais tu la connais, s'excuse Castle.

-Qu'est-ce que tu as Lanie ?

-J'ai passer ma soirée à regarder les photos de notre scène de crime et celle de, elle regarde Kate, celle d'il y a vingt ans. Et, on peux voir que Elfy Williams, ici à droite, montrant la photo, il y a vingt ans, a la même blessure que celle de gauche d'aujourd'hui, montrant la deuxième photo.

-L'accident d'il y a vingt ans n'est pas un accident ? Demande Castle.

-En tout cas ce n'était pas elle qui conduisait comme c'est écrit dans le rapport, répond Lanie.

Kate est resté silencieuse.

-C'était un accident.

-Peut être Kate, mais il y avait quelqu'un d'autre avec elle.

-Kate regarde Lanie. Non, elle était seule. Personne n'étais avec elle. Elle a eu cet accident seule. Oui elle a le même style de blessure que celle d'hier et alors ? Qui vous dit que celle d'hier a été déplacé ?

-Kate, si elle était conductrice, un telle blessure n'aurait jamais pu arriver. Ou alors elle serait de l'autre côté du crâne. Depuis quand tu doutes de ce que je dis Kate ?

-Je ne veux pas qu'on revienne sur cette affaire, elle est classée, c'était un accident, elle était conductrice ce soir là. Point final. On arrête d'en parler. On va trouver une autre piste dès que tu auras réussis à trouver qui elle est.

-En parlant de ça, j'ai regarder dans les disparitions, je pense que c'est Constance Adams. Disparue depuis hier soir.

-Il faut aller voir ce qu'on a sur elle, s'enthousiasme Castle.

La porte s'ouvre derrière eux. Esposito rentre dans la morgue.

-Beckett, il y a des gens qui veulent te voir en haut.

-D'accord, merci j'arrive.

Il part. Elle remercie Lanie et par en compagnie de Castle. Ils montent dans l'ascenseur, sans un mot ils montent à l'étage. Les portes s'ouvrent, ils s'avancent. Un couple est au milieu du couloir, la femme se retourne vers eux. Elle sourit et viens dans les bras de Kate.

-Oh Katherine !

-Madame Williams.

-Isabelle, lui répond-t-elle en lui donnant un coup dans le bras.

-D'accord Isabelle. Qu'est ce que vous faîtes ici ?

-Avec Henrie, nous venons à New York pour une semaine et j'en ai profité pour te voir ma chérie.

-C'est vraiment gentil ça. Mais... hm... j'ai du travail, ça ne vous dérangerais pas qu'on se revoit plus tard. Pourquoi pas ce soir, chez moi pour un dîner ?

-Oh je veux bien Katherine, tu pourras nous dire ce que tu deviens.

-Bien sur. A 19h, je vous note mon adresse. Il y aura mon mari Richard Castle avec nous.

-Katherine Beckett mariée à son romancier préféré Richard Castle !

-Isabelle !

-Je le savais que tu m'aimais depuis le début ! Crie Castle derrière elle.

Castle s'approche de Ryan qui est à son bureau.

-Tu as vu je suis irrésistible depuis le début.

Ryan regarde son ami et soupir, Castle reste tout sourire. Kate note son adresse sur un papier et le donne à Isabelle. Le couple part alors qu'elle va vers Ryan et Esposito.

-Du nouveau ?

-Pas tellement. J'ai appelé ses parents, ils arrivent. Répond Esposito.

.

Les portes de l'ascenseur s'ouvrent. Un couple accompagné d'un policier entre dans le hall, plusieurs autres policiers les regardent entrer. Beckett se lève de sa chaise, elle va vers eux, Esposito fait de même, il prend de l'avance sur sa collègue. Il arrive devant le couple, dis au policier qu'ils les prend.

-Je suis le lieutenant Esposito et voici le lieutenant Beckett. Nous aimerions vous parler de votre fille.

-Bien sur.

Ils les amènent à la salle de pause, Beckett ferme la porte, elle leur sert un café à chacun. Ils s'assoient face à face.

-Madame et monsieur Adams..

-Ma fille est morte ? La coupe monsieur Adams.

-Toutes nos condoléances, dit Esposito

Monsieur Adams prend la main de sa femme dans la sienne et les embrasse. Sa femme pleure. Elle le regarde dans les yeux, la douleur est là. Elle regarde à nouveau Kate.

-Demandez nous ce que vous voulez savoir.

-Pouvez vous nous dire ce que votre fille faisait il y a deux nuits ?

-Je n'aurais jamais dû la laisser y aller...

-Aller où ?

-Constance avait une fête avec des amis à elle. Enfin, elle est allé chez un ami, répond le père.

-Quel ami ? Le connaissez-vous ?

-Je ne me rappelle plus de son prénom, continue-t-il.

-Avait-elle un petit ami ?

-Je ne pense pas, nous ne nous occupons pas de sa vie privé.

-Peter Reynolds, c'est le nom de l'ami chez qui elle est allé, reprend la mère.

-Très bien, continue Esposito, est-ce que vous savez ce qui aurait pu se passer à cette fête ? Votre fille buvait-elle ? Prenait-elle de la drogue ?

-Pas de drogue mais il lui arrivait de boire, comment empêcher une ado de 17 ans de boire ? Même si on l'empêche à la maison elle boira dehors. Nous n'avons pas eu de ses nouvelles avant... avant qu'on nous appelle tout à l'heure.

-Merci monsieur et madame Adams. Nous vous appellerons si nous avons des nouvelles.

-Merci lieutenant.

Ils se lèvent, Beckett les raccompagne à l'ascenseur, Esposito est allé voir Ryan pour lui donner le nom de Peter Reynolds. Beckett revient vers eux, les trois hommes sont derrière leur écran entrain de chercher qui est cet homme. Kate vient se placer à côté d'eux pour lire aussi l'écran. Peter Reynolds, vingt ans, étudiant en fac de médecine. Rien de particulier pour un homme de son âge. Même pas de casier. Ryan note l'adresse et la donne à Beckett, il lui reste plus qu'à aller le voir avec Castle.

.

Elle gare la voiture devant une grande maison. Ils sortent de la voiture, montent les quelques marches et sonnent. Ils attendent quelques secondes avant qu'une femme vienne leur ouvrir.

-Bonjour, je suis le lieutenant Beckett et voici Richard Castle, nous aimerions parler à votre fils.

-Il n'habite plus ici depuis presque qu'un an. Lui est-il arrivé quelque chose ?

-Non, mais nous aimerions le voir pour lui parler de l'une de ses amies. Pouvez-vous nous dire où il habite aujourd'hui ?

-A Boston.

-Il est bien revenu il y a deux jours à New York, pour faire une fête ?

-Je ne sais pas, désolé lieutenant, mon fils à 20 ans, je ne suis plus derrière son dos.

-Pouvez-vous nous donner son adresse à Boston ?

-Bien sur, attendez moi, je reviens.

Elle part dans la maison. Ils restent devant à attendre. Elle revient quelques secondes plus tard, un papier à la main. Elle le donne à Beckett. Ils lui disent au revoir et partent. Ils remontent en voiture.

-Castle, on doit aller chercher cet homme.

-On ne peut pas.

-Pourquoi ?

-Boston est à 4h30 d'ici, on n'aura jamais le temps pour ce soir.

-Ryan et Esposito pourront le faire.

..

Il est aux fourneaux, elle prépare la table. On sonne à la porte, Castle débarque dans le salon, elle le regarde, sourit, vérifie que tout est en place, que ses affaires sont bien mis. Castle la regarde aussi en souriant pour la rassurer, elle est un peu stressé. Elle s'avance vers la porte et l'ouvre. Le couple lui fait face, elle leur sourit de plus belle. Elle enlace Isabelle alors qu'elle sert juste la main à Henrie. Elle les laisse entrer, Richard leur sert la main à tous les deux et les invite à s'asseoir. Il ouvre la bouteille de vin et les sert ainsi que Kate et lui. Ils sont autour de la table.

-J'ai entendu parler de cette histoire, tu enquêtes dessus Katherine ?

-Oui j'enquête dessus.

-Est-ce un meurtre ?

-Nous pensons que oui pour le moment.

-Il ressemble tellement à l'accident d'Elfy.

Un silence pèse dans la pièce, chacun lève son verre à ses lèvres pour goûter le vin.

-Qui pourrait avoir un accident avec quelqu'un, la voir morte et la laisser ? Comment on peux partir comme ça ?

-Je.. Je ne sais pas.

-J'espère que vous retrouverez la personne qui lui a fait ça.

-Non allons le retrouvé, deux de mes collègues sont partis interrogé un garçon qu'elle connaissait.

-Vous parlez peu monsieur Adams, annonce Castle.

-Vous savez, je n'aime pas reparler d'Elfy, je n'aime pas repensé à ce soir où on m'a appelé pour me dire que ma fille est morte, répond Henrie.

Kate baisse la tête vers son verre, ses yeux se mouillent, elle essaie de faire partir ses larmes. Henrie dirige son regard vers Kate. Elle le sent, elle se lève pour aller surveillé la nourriture. Même si Castle aime parler, le thème de la discutions lui est sensible. Il réfléchis quelques secondes pour enfin prendre à nouveau la parole.

-Madame Adams, vous disiez ce matin que je suis l'auteur préféré de Kate !

-Bien sur, c'est même moi qui lui ai fait connaître votre premier roman.

-Donc vous m'aimez aussi !

La discutions se continue. Henrie ne prend pas la parole, il se lève de la table. Il va à la cuisine. Kate ouvre le four, sort le poulet que Richard a mis dedans. Elle pose le plat sur la table, elle prend la planche à couper pour le découper ainsi qu'un couteau. Une main se pose sur la sienne, elle tourne la tête et le voit.

-Donne moi ça Kate. Ce n'est pas à toi de le faire.

Elle lâche le couteau, il le prend. Elle doit avouer qu'elle n'a pas confiance à le voir comme ça. Mais que pourrait-il lui faire ? Rien. Tout le monde est à côté. Il se déplace au plan de travail et commence à s'occuper du poulet. Elle se met en face de lui et le regarde faire.

-Kate, je sais que ça n'a pas toujours était facile entre toi et moi. Je t'en ai toujours voulus pour Elfy, mais avec les années, je me suis rendus compte que tu n'y était pour rien. J'aimerais rattraper le temps perdu, on était si proche avant. On reste que pendant une semaine avec Isabelle, j'aimerais te voir demain, rien que toi. Tu étais comme ma fille. Ça te dit ?

-Bien sur.

-Par contre, ne dis rien à personne, ça pourrait tomber dans les oreilles d'Isabelle et elle me laisserais pas te voir seul.

-D'accord, mais pourquoi ne te laisserais-t-elle pas me parler seul ?

-Je préfère que tu ne saches pas Kate. Ne le dis surtout pas à Castle, il n'a pas l'air de vraiment m'apprécier.

-Euh... D'accord.

Il a finit de découper le poulet, ils ont mis la table, ils ont mangés, ils ont discutés. La soirée a été plus calme, moins stressante. Ils sont resté de longues minutes autour de la table à parler. Vers minuit, Kate les a raccompagné à la porte pour qu'ils aillent dormir et elle aussi. Elle a fermé la porte, Castle lui a sourit, elle aussi à son tour. Le stress s'est dissipé. Son mari s'est levé et l'a pris dans ses bras. Elle se décolle de lui et propose d'aller dormir, il accepte. Elle va vers la salle de bain tandis que lui va dans la chambre. Elle sort de la pièce habillé de son pyjama, il va dans la salle de bain, elle se met dans les draps et commence à lire. Castle revient quelques minutes après, il se met aussi dans les draps mais ne lis pas. Il embrasse Kate et se tourne vers le mur et commence s'endormir. Elle le regarde avant de refermer son livre, le posé sur le côté et faire pareil.

..

Le téléphone de Castle sonne, il ouvre les yeux et coupe la sonnerie, il se tourne sur le dos. Il tourne sa tête vers Kate qui est couché vers lui, elle ouvre aussi les yeux, lui sourit et dépose un baiser sur ses lèvres. Ils se lèvent. Ils prennent leurs cafés. Puis Castle va dans la salle de bain se préparer. Quand il revient, c'est au tour de Kate. Il l'attend pour partir. Elle revient dans la pièce principale. Elle se rapproche de Castle.

-Rick, ça te dérange pas d'aller au travail tout seul ?

-Bien sur que non mais pourquoi ? Tu ne vas pas travailler ? Tu te sent encore pas bien ?

-Non, je vais bien. Parfaitement bien. C'est juste que j'ai inviter une amie à la maison, juste avant d'aller travailler.

-D'accord, mais tu aurais pu me prévenir.

-Désolé, avec avec les parents d'Elfy j'ai été perturbé.

-Je comprend. Je vais y aller moi. Ne viens pas trop tard.

-Ok.

Il se lève de sa chaise, embrasse Kate et quitte l'appartement. Elle attend plusieurs minutes. Elle prépare du café pour l'accueillir. Elle doit avouer qu'elle n'est pas rassuré de se retrouver seule avec lui, mais elle avait remarqué quelque chose dans sa voix, comme si elle pouvait lui faire confiance.

.

On sonne à la porte. Elle va ouvrir, il apparaît devant elle le sourire aux lèvres. Elle l'accueille. Elle va vers le bar et lui sert un verre. Il s'avance vers elle, il prend le soin de ne rien toucher.

-Katherine Beckett, vous êtes la victime dans cette histoire. Vous avez perdu votre meilleure amie. Votre sœur. Je m'en rappelle maintenant, vous étiez tellement proche. On ne pouvait pas voir l'une sans l'autre. Un visage d'ange. Il s'est transformé en peur dès l'annonce de sa mort, puis hier soir, ce même visage est réapparut. Vous aviez peur n'est-ce pas ?

-Pourquoi aurais-je peur ?

-Expliquez moi pourquoi c'était les même blessures, les même morts ? Pourquoi l'un était un accident et l'autre un meurtre ?

-L'une était conductrice l'autre non.

-Pourquoi êtes-vous devenue flic ? Pour votre mère c'est bien ça ?

-Oui.

-Je pense que ce n'est pas que ça, je crois que la cause est plus profonde. Mettent-ils des policiers en prison pour des meurtres qu'ils ont commis vingt ans plus tôt ?

-Elle est rentré seule, n'allais pas croire que je conduisais.

Il se rapproche de Kate, elle recule.

-Arrêtez de vouloir nous faire croire le contraire. Ce n'était pas un accident et vous le savez très bien.

Le meuble derrière elle l'empêche de reculer plus. Il se rapproche de plus en plus. Il prend un couteau qu'il trouve sur le plan de travail et s'avance avec. Kate lui crie de ne plus avancer. Il ne l'écoute pas, elle ne peux plus fuir. Elle tatte derrière elle, elle ne trouve rien. Il plaque la pointe du couteau sur sa gorge. Elle n'ose plus bouger. Elle ne se serait jamais faire en temps habituel, mais là, elle a perdu tous ses moyens. Pour l'une des seules fois de sa vie, la peur a pris le dessus. Il enlève son couteau, le garde avec lui mais il s'en va, il marche dans l'appartement, elle en profite pour aller prendre son pistolet dans le meuble, il regarde par la fenêtre, elle pointe son arme vers lui, Elle ne veux pas tirer. Elle se rapproche de lui.

-Je n'ai jamais conduit cette voiture.

-Il se passerait quoi si Isabelle l'apprenait ? Sa petite Katherine chérie n'est que la meurtrière de sa fille. Êtes-vous retournez faire la fête depuis ou son souvenir vous hantent ?

Un long silence s'installe entre eux deux, elle arme son pistolet. Elle est prête à tirer si il le faut. Elle attend, elle sait qu'une seconde d'inattention peux tout changer. Il se retourne brusquement vers elle, le couteau à la main. Son pistolet tombe par terre, elle crie de douleur. Elle panse son poignet en sang avec son autre main. Il a un sourire sur son visage. Elle le regarde dans les yeux, elle lutte pour ne pas pleurer, pour ne pas lui montrer plus de faiblesse. Il se penche en avant pour prendre le pistolet entre ses mains. Il le pointe vers elle. Elle le supplie de ne pas tirer. Il tire. La balle arrive dans son épaule. Avec la vitesse de la balle, elle se sent partir en arrière, elle n'a plus d'appuis à cause de son poignet. Elle tombe sur le sol. Il met son arme dans son manteau et prend son couteau. Il le met aussi dans son manteau, avec sa manche il prend un nouveau couteau, un encore plus tranchant. Il a fait ça avec une telle rapidité qu'elle n'a pas pu se relever, elle avait tellement mal, elle criait de douleur, elle voulait que quelqu'un l'entende, que cette personne arrive ou qu'elle appelle Castle, qu'elle lui dise que quelque chose ne va pas dans son appartement. Elle aurait tellement voulus le voir ouvrir la porte. Il se rapproche et se met au sol. Elle sait que ça va être la fin, qu'il a le dessus. Il parcourt son ventre avec la pointe de son couteau. Elle s'attend au pire.

-S'il te plaît non. Tu m'as ouvert le poignet, j'ai une balle dans l'épaule. Laisse moi mourir là, part. Fais pas ça.

Il a sourit à ses paroles. Elle crie plus fort qu'avant. C'est finit, il a enfoncé son couteau avec une telle violence, une telle rage dans son corps. Elle a mal, une douleur atroce, elle a envie de fermer les yeux, de partir, ne plus sentir cette douleur.

-Tu as tué ma fille, à moi de la venger.

Il se lève. Elle essaie de le suivre des yeux mais n'y arrive pas, elle entend la porte s'ouvrir puis se fermer. Il est partit. Elle regarde le couteau planté dans son ventre, elle pleure. Son poignet droit se vide dans son sang tout comme son épaule gauche. Elle ne peux pas retirait le coupeau. Malgré tout, malgré la douleur, elle lance son bras, sa main attrape le couteau, elle sert les dents de douleur et retire le couteau. Elle aimerait se lever, aller à son téléphone et appeler son mari. Mais elle ne savait même plus ce qu'elle avait fait de son téléphone, elle n'aurait jamais assez de force pour le retrouver.

Elle le savait, une seconde d'inattention et elle n'aurait plus eu la main.

..

Il allume l'écran de son téléphone, lit l'heure. Il verrouille son téléphone. Il appuie à nouveau sur le bouton pour que l'écran s'allume. L'heure n'a pas changer. Il regarde autour de lui, il a envie de la voir apparaître par l'ascenseur. Mais personne n'arrive. Esposito passe à côté de lui pour aller vers l'escalier. Castle l'interpelle.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-Il est plus de dix heures, tu trouves que c'est normal que Beckett ne soit toujours pas là ?

-Je ne sais pas, elle avait prévu quoi ce matin ?

-Elle devait voir une amie à elle. Mais elle m'a dit qu'elle arriverait après.

-Elle a peut être décidé de ne pas venir du tout.

-Tu as raison, je vais l'appeler.

-J'ai jamais dit ça mais vas-y.

Castle déverrouille son téléphone et appelle de suite Kate. Il porte son téléphone à son oreille. Ça sonne. Il tombe sur la messagerie. Il pose son portable sur le bureau, il décide d'attendre deux minutes avant de rappeler. Après les deux minutes écoulé, il rappelle. Toujours pareil. Esposito le regarde faire. Il sourit à son attitude de mari collant. Castle repose son téléphone sur le bureau. Il se met à vibrer. Il le prend en main avec précipitation, le numéro de sa voisine est écrit, il soupire mais répond quand même.

-Monsieur Castle ?

-Oui.

-Je viens de rentrer chez moi, la porte de chez vous est ouverte.

-C'est normal, Kate est à la maison.

-Je n'ai entendu personne.

-Elle ne vous répond pas ?

-Attendez je descend voir.

A travers le téléphone, il entend ce qu'elle fait. Il comprend qu'elle descend les escaliers. Son cœur s'accélère, il lève la tête vers Esposito, son sourire s'est dissipait.

-Kate ? C'est Marie. Un silence. Oh mon dieu Richard, il y a du sang. Beaucoup de sang.

Il se lève brusquement de sa chaise. Esposito lui prend le bras avant qu'il parte.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-Kate a eu un problème, il a du sang.

Le regard de Javier s'arrête sur celui de Richard, il le lâche.

-Je vais chercher Kevin. On se rejoint en bas.

-Dépêche toi !

Javier s'exécute, Richard prend une allure très rapide, il attend l'ascenseur, il entend les garçons arriver derrière lui. La porte de l'ascenseur s'ouvre devant eux, ils montent dedans et indique leur destination.

Une fois sortis du NYPD, Richard monte à l'avant de sa voiture, Esposito côté passager et Ryan derrière. Il conduit vite.

Il se gare, descend de la voiture. Il monte les escaliers à grande vitesse suivis de ses coéquipiers. Il trouve Marie devant la porte. Elle lui explique qu'elle n'a pas eu le courage d'entrer, il la remercie. L'ouverture de la porte montre du sang. Il pousse la porte pour mieux voir. Elle est couché sur le sol, dans du sang, son sang. Il s'approche d'elle en courant, les larmes aux yeux, il s'accroupit à côté d'elle, relève son corps et le plaque contre lui. Son regard croise son visage, les larmes roulent sur ses joues. Elles finissent leur trajet sur le chemisier de sa femme. Javier et Kevin se regardent devant la porte, ils décident de parler à Marie, ils apprennent qu'elle a appelé les ambulances. Il colle la tête de sa femme contre sa poitrine. Il lui dit de rester là, avec lui, que tout ira bien.

Les sirènes retentissent dans la rue, du bruit se fait dans la cage d'escalier, Ils rentrent dans l'appartement, ils se placent à côté de Kate, ils demandent à Castle de se reculer. Il obéit. Les ambulanciers commencent leur protocole.

-Monsieur depuis quand elle est comme ça ?

-Je .. j'en sais rien.

Castle n'en savait rien. Il ne voulait pas y croire, ce n'était pas sa femme en face de lui. Ce n'était pas ce qu'il voulait voir. Les ambulanciers se parlent. Il les entend parler, il n'écoute pas, il ne comprend pas. Comment avait-il pu la laisser seule ici ? Le ton se hausse, ils la mettent sur un brancard et part. Castle les suit dans l'ascenseur. Esposito et Ryan descendent les escaliers pour les retrouver en bas. Tout se précipite, la situation est grave.

.

Il avait demandé à ce qu'on le laisse seul. Esposito et Ryan se sont assis sur des sièges dans le hall d'attente. Castle avait marché dans le couloir qui allait vers la salle d'opération, il s'est posé par terre dans le couloir. La tête dans les mains, il ne pouvait pas y croire. Elle n'avait pas le droits de partir comme ça, elle n'avait pas le droit de le laisser seul, ils étaient heureux. Il repense à tous ce qu'ils avaient vécu, leur rencontre, le premier regard sur elle qui l'avait fait tomber dingue d'elle. Leur premier baiser. Leur première fois. Leur mariage. Leurs soirées à parler de leur avenir à deux. Il regrettait ses quatre ans à travailler avec elle sans pouvoir lui dire qu'il l'aimait. Un médecin sort de la salle d'opération, Castle se lève d'un coup. Il transpire beaucoup.

-Comment... Comment va-t-elle ?

-Monsieur Castle, ça a été dur pour tous les médecins qui sont dans cette salle. Elle est arrivé au bloc en arrêt cardiaque. Esposito et Ryan se rapproche pour écouter. On a tout fait pour faire repartir son cœur. Il est repartit. On lui administré du sang à cause de sa perte, elle a fait un nouvel arrêt cardiaque. On a fait repartir son cœur. Elle est en vie, pour le moment. Mais elle a perdu beaucoup de sang, ça va être dur pour elle de se réveiller. Messieurs il faut s'attendre au meilleur comme au pire. Surtout au pire.

Le médecin est partis sans qu'aucun n'est pu dire quelque chose. Richard s'est décomposé. Il ne pouvait pas y croire. Il est entrain de perdre tout ce qu'il aimait dans sa vie.

..

Elle pousse les portes de l'immeuble, elle rentre dans le hall. Des policiers se retournent vers elle. C'était ce qu'elle faisait tous les jours pendant des années, mais aujourd'hui, ses actes lui semblait si étranger à sa vie. Elle traverse le hall, monte dans l'ascenseur et arrive à son étage. Elle marche vers le bureau du capitaine Gates. Elle s'arrête au niveau de son bureau, rien n'avait bougé par rapport à avant.

-Katherine Beckett !

Elle se retourne vers la voix masculine, celle de Ryan. Quand ils arrivent à sa hauteur, elle les prend dans ses bras l'un après l'autre.

-Qu'est-ce qui t'amène ? Tu n'as pas le droit de reprendre le travail avant plusieurs semaines.

-Je sais mais j'avais besoin de voir le capitaine, je dois lui parler.

-D'accord. En tout cas, tu as l'air d'aller beaucoup mieux.

-Je suis encore assez fatigué et j'ai encore mal au ventre mais ça va.

-Castle ne t'avais pas interdit de quitter votre appartement sans lui ? Interrompt Esposito.

-Si mais il part toute la journée voir son ex-femme pour son livre et je commençais à devenir folle. Lui dites pas s'il vous plaît.

Derrière eux, elle voit la silhouette d'une femme, assez petite de taille, elle se rapproche d'eux. Esposito et Ryan se pousse pour lui laisse de la place.

-Lieutenant Beckett, je vous avais interdit de mettre les pieds dans ce commissariat avant que votre médecin ne vous autorise à reprendre le travail.

-Je sais, mais je dois vous voir.

-Dans mon bureau.

Elle lui indique le bureau. Kate sourit aux deux garçons qui retournent à leur travail. Elles rentrent, Victoria Gates descend les stores et les ferme pour ne pas être dérangé. Elle lui propose de s'asseoir, elle refuse car elle doit faire vite. Elle sort de son sac, sa plaque et son pistolet et les pose sur le bureau.

-Je veux démissionné.

-Non, vous ne pouvez pas.

-J'en ai parfaitement le droit.

-Vous êtes viré. Vous ne démissionnez en aucun cas.

-Pourquoi ?

-Car si je vous vire je pourrais vous reprendre quand vous irez mieux, si vous démissionnez je ne pourrais pas. Pourquoi partir ?

-J'ai passé six mois dans le coma, j'ai entendu parler de ce qu'il s'est passé pendant ce temps, l'état dans lequel j'avais mis Richard, je ne veux plus lui faire vivre ça. J'ai jute envie d'être heureuse et pourquoi pas avoir une famille.

-Kate Beckett, vous avez tout à fait raison. Je suis fière de vous, fière de votre chemin. Si vous avez besoin de quelque chose, vous savez que je suis là.

-Merci capitaine.

Gates la raccompagne à l'entrée du commissariat. Une poignet de main se fait et Kate part.

..

Elle est assise au piano installé pour elle dans le salon. Elle y joue quelques notes quand la porte derrière elle s'ouvre. Elle se retourne à moitié pour voir que c'est Richard qui rentre. Il pose son manteau sur le canapé. Il se rapproche d'elle et l'embrasse sur la joue. Il s'assoit à côté d'elle.

-J'ai bien fait de te l'acheter ce piano, t'es toujours entrain d'y jouer.

Il lui arrache un sourire. Il la regarde, prend ses mains dans les siennes, prend son visage et la force à le regarde.

-Qu'est-ce qui ne va pas ?

-Je suis allé au commissariat. Chut dis rien s'il te plaît. Ça m'a rappeler trop de choses, surtout cette dernière enquête.

Ses mains se mettent à trembler, Castle les sert plus pour lui montrer sa présence.

-Je sais, on n'a jamais reparlé de ça depuis mon...

-J'attendais que tu sois prête.

-J'ai jamais su qui conduisait dans la voiture et je ne t'ai jamais dit la vérité sur l'accident d'Elfy.

-Le conducteur était Peter Reynolds, il a eu l'accident, a prit peur, a déplacer le corps et il est partis. Si tu ne veux pas me parler de cet accident, tu as le droit, je crois que je sais toute la vérité, tu l'as assez dit.

-A-t-il eu quelque chose ?

-Non, le procès a tournait ça en accident.

-Pour Elfy, je n'ai pas dit la vérité. Promet moi de ne le dire à personne et de m'aimer quand même.

-Bien sur, je te promet.

-Ok, donc... c'était moi.

-Quand ?

-Lanie avait raison, par rapport à la blessure, elle ne conduisait pas, elle était côté passager. Je... je conduisais. J'avais bu, sûrement trop. On..On a eu un accident, quand je me suis réveillé, elle ne me répondait plus, je ne sentais plus son pouls, elle était morte. J'ai eu peur. Je suis partis et j'ai tout inventer.

-D'acc.. D'accord Kate. Tu sais que je ne te prend pas pour une meurtrière, je pense que tu as fais le bon choix. Je suis fière de toi.

-Gates m'a viré parce que j'ai démissionné.

-Attend, pourquoi tu as fait ça ?

-Castle, j'en ai marre, marre de risquer ma vie. J'ai arrêter ce lui qui a tuer ma mère, c'est ma plus grande fierté, je n'ai plus vraiment de but. J'ai juste envie de profiter de toi, quand j'étais encore consciente, je pensais qu'à toi, je n'arrêtais pas de me dire que j'ai pas profiter de ma vie avec toi. Je veux vivre avec toi, tous les jours, à chaque minutes. J'aimerais tellement qu'on ai une famille ensemble. Un bébé par exemple.

Il la regarde les yeux écarquillé, il caresse son visage et l'embrasse.


Voili voilou ! j'ai bien la fin mais dans ma tête ça rendait mieux, j'ai pas réussis à faire les dialogues les actions que je voulais vraiment, ça m'a un peu déçu. Mais bon après tout j'aime bien quand même xD

Et vous, vous avez aimé ? N'hésitez pas à tout me dire, ça ne coûte rien profitez en !

Bisouus