Il fait noir, j'ai froid, je ... j'ai peur, je ne me rappelle de rien, je n'ai aucun souvenir.

Où suis-je ?

Qui suis-je ?

Qu'es-ce qu'un nom ? C'est ... quelque chose qui me dissocie des autres. Ca y est, je me souvient !...

Je ne suis pas très différente des autres, je suis brune, j'ai les yeux couleurs noisette, les cheveux long,
je suis d'une taille moyenne, mis à part peut-être le fait que je suis sportive, rien ne me différencie des autres...
Si, mon nom, c'est à cause de lui que tout le monde me déteste, que l'on me regarde comme si j'étais un monstre et que,
à chaque fois que je parle c'était comme si je proférais des insultes ... On ne me demande jamais mon avis,
même le choixpeaux a faillit ne pas m'écouter.
Lors-ce que je me suis assise sur le tabouret et que l'on m'a posé le choixpeaux sur la tête,
il a dit que j'étais rusé, courageuse, travailleuse, intelligente, mais il souhaitait m'envoyer à Serpentard.
A cause de mon nom, et, de ce qu'il pense de mon père, aussi. Mais je ne souhaitais pas aller sur le chemin de la grandeur,
ni de l'ambition, sinon ça aurait voulut dire que je ressemblais à mon père, et je ne le voulais pour rien au monde.
Je déteste mon père, il a détruit des familles, y comprit la mienne.
Le choixpeaux a finit au bout d'interminables minutes par m'envoyer à Gryffondor.
Personne ne m'a salué, dit bonjour ou sourit.

Personne ne m'adressait la parole, pas même les professeurs. J'étais seule, toujours, dans mon coin, personne à qui parler.
Quand les gens m'adressaient la parole c'était souvent pour m'insulter. Un jour, une fille de mon âge, de quatrième année,
m'a proposée de faire les essais pour faire partie de l'équipe de quidditch de Gryffondor.
Beaucoup, l'ont regarder avec haine, alors je me suis décidée, j'ai fais les essais.
Grace au professeur McGonagall, qui est la seule avec le professeur Dumbledore, à me parler, je suis devenue poursuiveuse.
Alors les autres joueurs de l'équipe ont été obligé de me regarder en face, puis peu à peu, tout le monde, sur leurs visages,
on lisait toujours la haine. Mais je ne leur en veux pas, ce que mon père a fait était horrible, mais je me sentais mieux,
on me parlait, on m'adessait la parole.

Un soir de Noël, comme je ne vais pas au bal, je me suis arrêtée devant un tableau, c'était celui de la fille à qui je dois mon prénom : Ariana.
Mon père, m'a nommé ainsi, pour se souvenir toute sa vie de la mort de Ariana Dumbledore, qui est peut-être, sa faute, son crime...
Oui, je suis la fille de ce monstre, je suis Ariana Grindelwald !...