Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas. Ils sont la propriété de Stephenie Meyer. Je les emprunte pour vous raconter cette petite histoire qui n'est que pure fiction.

Notes de l'auteur : Bonjour tout monde, me revoilà pour une nouvelle aventure, totalement différente de la précédente. L'histoire sera vraiment courte, en quatre chapitres encadrés d'un prologue et d'un épilogue. Cette bricole traînait depuis longtemps dans mes placards alors aujourd'hui je vous la livre enfin. Je vous souhaite un bon début de lecture.

Je remercie mes deux super bêtas, Marie et Lydie ainsi que Jazz qui me file d'énormes coups de main quans je suis dans la mouise !

Bisous les filles et merci !

Prologue

22h00 : Une petite ville des États-Unis.

La nuit était tombée très tard ce soir-là et la température était très agréable en ce mois d'août. Madame Bennett, une vieille dame veuve, avait profité de la douceur de l'air pour promener Jasper, son petit Yorkshire.

Tout à coup, elle entendit un cri, suivi de bruits de verre brisé. Elle n'y prêta tout d'abord aucune attention, pensant qu'il ne s'agissait que d'une dispute conjugale qui tournait un peu au vinaigre. Mais comme les bruits s'intensifiaient, elle commença à s'inquiéter. Elle décida donc de se diriger vers le bruit en tirant sur la laisse du chien pour qu'il la suive. Elle arriva à l'arrêt de bus du quartier et constata que la vitre latérale gauche était brisée. Dissimulée derrière un arbre, elle observait les environs : il n'y avait plus personne.

Les cris avaient cessé depuis quelques minutes. Elle resta cachée, tenant la laisse de Jasper très courte, de peur qu'on ne la voit. Soudain, un homme qui marchait, l'air égaré et apparemment d'un pas pressé, passa devant elle. Elle retint son souffle jusqu'à ce qu'il soit parti. Lorsqu'elle fut sûre qu'il était loin, elle se hâta de rentrer chez elle pour appeler les secours.

Mais lorsqu'elle passa devant l'arrêt de bus, elle remarqua qu'il y avait quelques gouttes de sang sur le trottoir. Le chien s'en approcha et les renifla. Il attira la vieille dame vers le gros hêtre du parc. Elle le suivit et tout à coup, elle se mit à hurler : un homme était allongé par terre, baignant dans son sang, le cœur transpercé. Ses yeux étaient encore ouverts et fixaient la vieille dame, comme pour appeler au secours. Le chien se mit à hurler à la mort et quelques lumières s'allumèrent dans les maisons alentours. Un homme se montra à la fenêtre et cria:

— Mais Bon Dieu ! Faites- le taire votre satané clébard !

— Au secours, au secours ! hurla la vieille dame, terrifiée. Monsieur Volturi a été tué ! Venez vite, je vous en prie ! Appelez la police !

Quelques minutes plus tard, la police arrivait sur les lieux. Ils réconfortèrent Madame Bennett autant qu'ils le pouvaient et l'amenèrent au commissariat afin de l'interroger. Ce fut très pénible et très long. Elle donna aux policiers une description exacte de l'homme qu'elle avait vu. Grand, brun aux yeux très foncés et la peau mate.

— Il cachait quelque chose, j'en suis sûre, et il avait une tête de tueur, affirma-t-elle dans un frisson.

Un portrait robot fut dessiné et, après plusieurs heures de dur labeur et de recherches, Jacob Black fut arrêté sur le champ et mis en prison pour la nuit.

Il clama son innocence mais personne ne l'écouta. Il fut jeté dans une cellule sans sommation, avec pour seule consigne de se taire. La police n'avait pas le temps de s'occuper de lui tout de suite alors il dut attendre le lendemain pour être interrogé et avoir enfin la possiblité de s'exprimer à voix haute afin de tenter de faire valoir ses droits.

La nuit la plus longue de toute sa vie l'attendait...

Notes : Voilà pour le prologue. Je vais tenter d'être régulière dans la publication des chapitres (environ une fois par semaine voire tous les 10 jours). Tout est écrit mais pas totalement corrigé. Il va falloir être patients !

A bientôt.