Auteur : Akane Akira

Titre : Zettai ni Akirametenai

Genre : 0.o

Personnages : Ils s'apellent ''lisez'' et ''ne trichez pas en matant les lignes du dessous'' !!

Pairing : Euh, ça viendra .

Note : Je pense que la complexité de l'histoire ne se manifeste pas au début. Profitez!! XF ( noooon ne fuyez pas !!! siouplait °u°)

Chapitre 1: Shin no Sekai

Il venait de se réveiller. Il perçut ce sentiment étrange qui s'insinue lorsque l'on quitte le sommeil et que l'on sent chaque partie de son corps prête à émettre un quelconque mouvement. Quand le métabolisme quotidien se met en place. Les draps sur sa peau étaient si soyeux… Etait-ce vraiment de la soie ? Il fit une tentative pour ouvrir les yeux, mais il y avait trop de lumière ou… Il entraperçut une fenêtre ouverte. Il lui sembla que la décoration de la chambre était simple, quoi que de luxe mais ce qui le frappa surtout…Tout, absolument tout était d'un blanc éclatant, nacré. Voilà le pourquoi de son aveuglement…il n'y avait point de lumière vive…Juste l'ornement de salle. Le vent fit tressauter le fin tissu constituant les rideaux. Cette couleur ne lui parût plus vive que ce matin là. Il se sentait dans un tel état de bien-être. Ce lit était si confortable…les oreillers, le matelas furent les plus moelleux et les plus tendres sur lesquels il lui eu été donné la chance de dormir. Et ces draps… Il était quasi-certain que de la soie pure les composaient…Il esquissa un geste pour se tourner vers l'intérieur du lit, il sentit ses longues jambes sur le matelas douillet, ainsi que le reste de son corps, se mouvoir lentement. Il vit un lustre, blanc, peut-être du cristal , avec quelques bordures argentées, il n'en fut pas sur car son esprit restait quelque peu embrumé. Il avait bien raison. La totalité de la chambre n'était composé que de la couleur vierge du blanc. Ça n'avait rien d'insistant…la couleur glissait dans la pièce immaculée. C'était si beau…cela lui parut même irréel. Quel plaisir que de se réveiller dans un tel endroit. Quand il finit d'amorcer son mouvement, il vit une forme dans les draps si blancs. ''Des jambes ??''. Il remonta ses yeux le long du corps endormi…Oui. Quelqu'un dormait là. Un beau jeune homme. Il semblait être brun avec des mèches blondes, d'un blond presque blanc…non pas brun, châtain trop foncé…Tel un fondant au chocolat accompagné de sa crème au lait… Il dormait à point fermés comme un bébé. Son dos se soulevait au rythme de sa respiration. Son torse était face au matelas, mais vu ses bras finement musclé, ce qui était caché à sa vue devait à coup sûr être joliment fait… Il paraissait avoir une carrure plutôt prononcée, ce qu'il voyait de ses épaules le lui laisser penser. Le drap couleur ivoire couvrait ce corps de jeune Apollon au autre Adonis jusqu'aux hanches. La cambrure du bas du dos était admirablement dessinée. Les mèches blondes mêlées aux brunes dissimulaient une partie du visage d'ange encore livré au sommeil, mais des lèvres charnues s'offraient à la lumière reflétée par l'ameublement clair et luxueux de la pièce. Le bellâtre bougea son bras droit et l'approcha vers le milieu du lit. Il recula et reprit sa position de départ, s'avouant intérieurement le fait qu'il ne connaissait rien de cet endroit, des draps jusqu'au type dans le lit auprès de lui. Le bras glissa sur sa taille, et le bracelet d'argent le fit frissonner, tout comme le geste en lui-même. Le corps chaud se colla à son dos, et il sentit que son propre corps était glacé.

"Mmmh…"

Le jeune homme aux mèches semblait le connaître lui, apparemment. Mais ce n'était pas son cas. L'autre semblait à l'aise. Ce n'était pas non plus son cas. Peut-être était-ce le propriétaire de tout ce luxe ?? Mais alors, que faisait-il dans son lit ? Comment s'y était-il retrouvé ? Pourquoi l'autre ne remarqua pas que l'inconnu qu'il était se trouvait dans son lit ? En attendant une opportunité d'en savoir plus, il décida de patienter.

"- Shou…Pourquoi t'es tout froid koibito…

Il avait parlé d'une voix d'enfant tout endormi…C'aurait pu être attendrissant mais…

Mais qui était ce…Shou ???

Celui qui lui enserrait la taille, dont la main droite était a présent dans le creux de la hanche –le bracelet était indécemment froid !! Comme s'il n'était pas assez gelé !- commença à le bisouter dans le cou. Sa gêne était à son comble. Il restait paralysé, feignant la fainéantise matinale. De plus, il nota non seulement qu'il était entièrement nu, mais qu'ILS l'étaient tous deux. '' Mais enfin à quoi cela rime t-il ?? ''. Et à l'autre d'ajouter, d'une voix paresseuse :

- Mmmh… Tu sens toujours si bon le matin… ça me donne envie de te croquer à chaque fois…

Il ponctua sa phrase en milliers de petits baisers dans le creux de son épaule.

Il sentit que l'autre prenait une mine boudeuse et bougonna :

- On t'a arraché la langue mon Shoushounet ??? Hihi…Je t'ai quand même pas épuisé tant que ça hier soir…

Le hier soir fut prononcé de manière sensuelle et pleine de sous-entendu plus qu'évidents.

'' Hier soir '' ?? ''Mon Shoushounet'' ?? Ce jeune homme, quoi que charmant, devait à coup sûr se méprendre sur la personne. Il n'avait pas ce genre de relation. D'ailleurs quel genre de relations avait t-il ? Sur le moment il ne sut se le dire. ''Je dois rentrer chez moi, vite''. Et qui était ce Shou dont l'homme parlait ? Lui, il était…Il s'appelait…Mais comment s'appelait t-il ??? Il ne se sentit pas bien à l'idée de ne pas réussir à se souvenir de son nom. '' Je dois vraiment sortir d'ici au plus vite et rentrer chez moi''… Mais, quel chez-soi ??! Il ne s'en rappelait pas non plus !!

Cette pensée le fit sortir de sa tétanisation. Il se redressa brusquement, virant le bras de l'autre au passage :

- O-oh !! Su…sumimasen, je !

- Ah bin mon chou, tu t'es peut-être mal réveillé ! Attends, je vais te concocter un revigorant petit déjeuner, hein ? Surtout ne bouges pas, je reviens vite !!!

- Heu…

Ce ne fut pas comme s'il eut le choix de s'en aller, même de bouger le moindre muscle car le jeune homme se précipita hors du lit, nu. Son…membre ballottait au rythme de ses pas, entre ses cuisses. Et comme c'était le matin et qu'il venait de se réveiller, un semblant d'érection tenait sa virilité… Il fit ce qu'il put pour ne pas fixer cette scène, et ce ne fut pas évident du tout. Il devait apparaître extrêmement coincé mais un jeune homme ne doit pas se comporter de la sorte avec un inconnu !!! Même s'il se trompait sur l'individu…Le dévergondé contourna le lit, puis arrivé à son niveau, s'abaissa, posa sa main sur sa joue et déposa un léger baiser sur ses lèvres, telle une brise de printemps qui glisse à travers les frêles branches d'un tout jeune cerisier…Il sortit et commença à chantonner. Mais enfin, on n'embrasse pas un inconnu comme ça!! Même quand on se trouve être affreuseement bien doué comme ce jeune homme !!Les bruits d'ustensiles de cuisine résonnèrent. Il l'avait…embrassé… Cela avait été, certes, agréable, mais… Se souvenait-il seulement avoir déjà embrassé quelqu'un ?? Il ne pouvait blâmer ce jeune homme de son acte, car, aimait t-il seulement les femmes ? Les hommes ? Les deux ?? Pourquoi n'arrivait t-il donc pas à se souvenir ?? Il n'arrivait plus à aligner clairement les pensées qui se bousculaient dans sa tête. Son nom, adresse, age ? Orientation sexuelle ?? Visage ? ''Mon dieu à quoi je ressemble ???''

- Voilà mon chou !! J'arriiiive !!!

- Oh non… murmura t-il.

Le bel Apollon pénétra à nouveau dans la luxueuse pièce nacrée et étincelante. Il avait mis un tablier. Il soupira de soulagement à le voir vêtu. Mais lui il ne l'était toujours pas…

- Ah ! Tu as remarqué hein ?? Tu remarques toujours !!! J'ai mis un tablier, ton préféré, je sais que ça te plaît !! Tiens, je t'ai fait des tartines pas trop grillés –tu as horreur quand c'est grillé !- là tu as ta confiture adorée, ici du chocolat tout fondant et encore chaud –ne t'inquiète pas je l'ai laissé refroidir pour ne pas que tu te brûles ta petite langue !- une rose encore fraîche dans le vase que je t'ai offert, le tout sur un plateau en bois de bouleau avec les ornements en chênes et les décorations en or blanc -c'est celui que tu préfères pour le samedi- ! Oh !!! J'oubliais, je t'ai mis deux serviettes, comme d'habitude

Il le regarda un peu de traviole. Il n'était pas celui qu'il croyait !!! Par politesse il n'eut osé le dire de peur de voir voler en éclat la bonne humeur du brun-blond…Et pour lui la bonne humeur était très importante, surtout si cela commençait dès le matin. Il accepta alors de jouer la comédie un peu plus longtemps…Bien que ce fut plus que gênant.

- P…parfait, fit il en un large sourire embarrassé.

L'autre fut comme rassuré. Et était toujours de bonne humeur. Il semblait toujours croire qu'il parlait à celui qu'il connaissait, et répondit au sourire.

- M-mais pourquoi toutes…ces attentions ??, il désigna le plateau.

Cette fois ci le sourire disparut, l'autre eut comme peur.

- Bah euh, Shou, c'est tout comme tu aimes, ça…ça te plait pas ??!, sa voix trembla.

- Si si si !!! Extrêmement voyons !!, se reprit-il.

L'autre sourit à nouveau, et rit même, tellement il dut avoir eu peur. Il trouvait cela bien étrange comme réaction. Peut-être était-ce un domestique ?? Nan, un domestique ne dort –si ce n'était pas plus- dans le lit de son employeur. Si c'était le cas, tout ce luxe appartenait à la personne pour qui le jeune homme le prenait… Mais tant d'attention c'était beaucoup…trop. Il se souvint de l'expression apeurée sur le joli visage du jeune homme. Le type qu'il croyait qu'il était devait être un tortionnaire, pour le forcer à…se vêtir de son tablier préféré alors que son corps est dénudé sous l'unique vêtement… Que le pain soit grillé d'une certaine manière, telle sorte de plateau, tel nombre de serviettes… Peut être le jeune homme était-il soumis contre sa volonté et jouait la comédie pour son bien ??? Cela le terrifia sur place. Pour ne point décevoir à nouveau à l'adorable personne toujours prostrée à côté du lit, et au rôle qu'il devait encore jouer un peu, il entama le somptueux déjeuner sur ses genoux.

- Mmh !!! Mais c'est exquis que cela !!!

- … Merveilleux que cela te plaise mon Shou

Il le regarda furtivement et l'autre resta là à le regarder manger, avec un visage ravi. Il eut un peu de mal à tout finir car le stress nouait son estomac, mais tout atterrit sans encombre dans son ventre. L'autre prit le plateau. Il aperçut la gourmette sur le poignet qui s'en emparait, et sur la plaque était inscrit un nom…

''- Uruha…''

- Oui koibito ???

- Euh … ce … Je me suis régalé !

- Hihi !! Yokatta desu ne !!!

Et sur ce, il re-disparut de la chambre.

Ce charmant jeune homme aux mèches blondes sur fond brun se nommait donc Uruha ?? Il avait déjà agit bizarrement et ce Uruha l'avait remarqué… S'il lui demandait quel était son nom à lui, il n'attirerait que plus de soupçons… Autant tout lui dire dans ce cas là.

Il distingua des tintements de vaisselle, et Uruha repointa le bout de son jolis minois.

- Je… J'ai quelque chose à….dire.

- Mais oui bien sur je t'écoute mon Shou chéri.

Il fut décontenancé à nouveau par l'absurdité du surnom, car il était un inconnu ! Ne s'en rendait il pas compte ?!

- Eh bien d'abord… Je me suis réveillé ici, mais cet endroit ne m'est pas familier. Je ne sais ni qui vous êtes ni qui je suis. Je ne connais que vôtre –adorable- prénom. J'ai du avoir une drôle de fin de soirée, bien que je ne pense pas en être coutumier. Vous vous méprenez sur la personne, je ne suis pas ce Shou que vous ne cessez de mentionner. Je le répète mais je ne connais pas cet endroit. Vous non plus, encore une fois, et votre tablier ne me dit rien, tout comme les tartines et tout le reste…D'ailleurs, à moins que vous n'y soyez forcé, vous n'avez point de raison de vous démener pour un petit déjeuner – il était excellent soit dit en passant-. Désolé, je ne suis pas celui que vous croyez et j'aimerais à présent me retirer. Je vous remercie énormément de votre hospitalité et m'excuse de m'être retrouvé dans vôtre lit…chambre…Enfin de vous déranger. Auriez vous la bonté de me prêter un miroir…Je, j'ignore même jusqu'à mon visage…Et si vous sauriez où mes affaires se trouvent je souhaiterais m'en aller de vôtre appartement, ce doit être une erreur. Encore merci.

Son interlocuteur, avait la mâchoire du bas détachée, et son regard exprimait la démence. Ses yeux étaient semblables à deux balles de ping pong. Il était au comble de l'étonnement. Comme il s'en était douté, le Uruha avait déjà remarqué son étrange attitude. Il avait du comprendre.

- Euh…Mais… Shou t'es sûûûr que ça va ??

Raté.

Encore une fois je tiens à m'excuser, je ne connais absolument pas la raison qui fait que je me trouve dans votre lit. Je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps…

- C'est quoi ça ?? Encore un des tes jeux tordus ??? J'en ai marre Shou !! Tu...

Il avait littéralement hurlé sa phrase. Ses yeux fulminèrent, il pinça ses ravissantes lèvres et de la fumée sortit même de ses oreilles mais contre toute attente il se dirigea face au lit au fond de la pièce. Il y avait deux fenêtres dans la chambre. Celle du côté gauche qu'il avait vu en se réveillant, et une autre à droite. Au milieu un grand linge blanc semblait cacher, peut-être un tableau, un de taille conséquente. De forme rectangulaire, il s'arrêtait à quelques centimètres du sol et du plafond, les murs étaient vraiment haut. Le linge servait de rideau, bien qu'il n'y eut de tringle, et de long filins argentés –il y avait aussi des dorés mais seulement très peu- mêlés ensemble formaient une corde, accrochée au sommet droit du même côté de la gigantesque forme rectangulaire, dont Uruha s'approcha. Ebahi, il le regarda, et ce ne fut qu'à ce moment qu'il remarqua l'énorme espace de la chambre. Il avait d'abord cru que la pièce était petite, puisque c'était une chambre, mais elle devait faire au moins la taille d'un salon et demi standard !!! C'était vraiment le luxe ici !! Son incompréhension n'en fit que monter d'un cran, et le jeune homme au tablier tira sur les filins d'argents.

Ce n'était pas un tableau, mais un miroir. Oh mais il avait les dimensions qu'il avait soupçonnées !!! Il en fut tout étonné, et cet étonnement était tel qu'il ne fut presque pas surpris de son reflet.

Il se vit. Ce fut un choc. Un choc car dans son reflet, rien de familier, il se sentait de plus en plus mal à l'aise. Il y avait un type là, assis en face de lui, avec une mine abasourdie qui regardait en sa direction. Il bougea une main. Le reflet de même. ''Evidemment, boke.''

- Alors, content ? fit l'autre sur un ton hargneux, cynique même presque désabusé. Comme s'il avait l'habitude de ce genre de situation et qu'il en avait plus que marre. L'expression de son visage aux traits normalemet angéliques affichait une moue amère, comme un trop plein de quelque chose, comme s'il tentait de réprimer une goutte luttant pour déborder d'un vase.

Il se rappela de sa réaction quand il lui avait parlé et reprit.

- Je vous jure, je ne me rappelle de rien !!! Je viens à peine de découvrir mon visage !!

- Le brun aux mèches blondes s'approcha du lit, y sauta et rampa sensuellement jusqu'à lui :

- Ton merveilleux visage. Et ton merveilleux torse aussi.

Il passa sa main droite sur l'endroit qu'il venait de décrire, au niveau du cœur. Il se retourna pour jeter un coup d'œil au miroir. Il fit de même.

Il se vit alors lui et le jeune homme, face au miroir, la main droite descendant sur son torse.

Uruha tourna vivement la tête et dit :

- Mon dieu vo…ton cœur bat vraiment vite !!! Peut être que…

- Me croyez vous ?balbutia t-il.

- Peut-être.

- …

Il se regarda à nouveau. Les fesses de l'autre étaient à l'air mais il essaya de ne pas y prêter attention. Il se trouvait pas mal. Il ne se reconnaissait pas, certes. Mais reste le fait qu'il était vraiment pas mal et qu'un beau gosse au corps plus que bien fait s'était réveillé dans le même lit que lui… Peut-être était il ce Shou finalement ? Il n'avait pas de preuve du contraire. Mais que c'était-il fichtre passé ? Il s'interrogea enfin à autre chose que son identité. Qu'avait il fait la veille. Qu'avaient ILS fait ??? Il se dit qu'il avait peut être fait des choses qui n'allait pas lui plaire. Dans quel pétrin était-il… Il avait perdu la mémoire, c'était certain. Il devrait faire confiance, avoir foi en ce qu'on lui apprendrait sur lui. Recouvrerai-il la mémoire ou devrait-il vivre en continuant à tracer une vie dont le passé ne lui était pas familier ? Ce Uruha ne pouvait se tromper sur son identité, ils venaient de se réveiller dans le même lit, ils avait agit comme lors d'une routine, le pourcentage que le jeune éphèbe se trompe n'atteingait pas les 0.01!! Néanmoins, il n'était peut-être pas ce 'Shou'... Un regard sur le pseudo Adonis face à lui balaya ce songe. On ne se trompe aps sur le visage de quelqu'un dont on partage une nuit, un lit et des habitudes quotidiennes. Il décida donc d'accorder sa confiance à la créature aux mèches quant aux révélations dont il aurait besoin. Cette situation était tellement...irréelle ! Cela était-il vraiment en train de lui arriver, là maintenant?

Le jeune homme soupira :

- D'accord, je …vous… crois. Je peux…vous dire qui vous êtes, si vous voulez. Je vous dirais la vérité, je vous le jure, et je jure aussi que vous êtes ce que je vais vous dire. Vous ne pouvez pas affirmer que vous ne l'êtes pas ?

Lui dire vous lui était visiblement douloureux, une grimace tordait son mignon minois à chaque énoncement du mot.

- C'est sûr…

- Vous me croirez ?

- Je…j'y suis bien obligé.

- Bien, dans ce cas…"

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Note : ésperons que ça vous a plus, pour le commencement .

Note II: on m'a conseillé de faire un lexique pour les mots en japonais donc euh...:

- Yokatta desu ne Dieu soit loué ( c'est pas la seule signification Ok mais il y a aussi ' je suis soulagé' etc.; mais bon c'est dans le genre è..é)

- Boke Idiot ( bon ça je pense que c'est assez connu...mais ne laissons rien trainer !! . )

Note III : je me suis droguée au malice mizer et un peu de moi dix mois à l'écriture de ce début ".." ... perdue dans un trou paumé à écrire comme une frénétique sur un clavier c'est dur à faire en silence --" [oui oui j'ai du mal à me passer de musique de toute manière (é...à) maaaaais non je ne cherche PAS d'excuse :3[