Je ne devrais pas écrire ceci. Je suis en plein milieu de l'écriture d'un OS (avec du SpUk) et non non, je viens écrire CET OS (sûrement plus court) avec du SpUk. Et cette fois je le fais triste dans un sens différent… Je me demande ce qui me passe par la tête, sachant que j'aime de plus en plus le SpUk et que j'ai besoin de lire de belles fanfictions ou nos deux anciens pirates déclarent leur amour… Enfin.
Je n'ai rien à dire, si ce n'est que cette fanfic risque d'être légèrement bizarre, je l'avoue.
Pairings : SpUk (bien que rien de forcément très... je sais pas, précis ?), UsUk à sens unique.
Le réel ami imaginaire des rêves - Alfred (Ce titre est bizarre)
Alfred regarda Francis se faire crier dessus par Arthur, comme à son habitude. Il sourit légèrement, se répétant plusieurs fois combien il était mignon lorsqu'il s'énervait. Puis son sourire s'élargit en pensant que s'il le lui avait dit en face, il aurait rougit et l'aurait sûrement traité d'idiot. Oui, c'était vraiment mignon. Dommage qu'il devait attendre le soir pour le voir.
Rien que la perspective de voir l'anglais la nuit le rendait heureux. Il adorait ces moments qu'il passait avec le soi-disant gentleman. Peu importe si cela se résumait à l'écouter s'énerver ou bien à simplement rester silencieux et à boire du café (ou pour l'autre, du thé). Ça lui suffisait.
Rapidement, il regarda l'heure et alla s'asseoir à la table. Il n'eut pas à attendre très longtemps. Après seulement cinq minutes d'attente, Arthur arriva et s'assit en face de lui.
- I swear, this Frog sometimes…
- À peine arrivé déjà en train de râler ?
- Désolé. Mais si tu étais là avec moi et que tu devais aussi supporter ce pervers, tu comprendrais.
Et c'était reparti. Alfred écoutait avec toute l'attention qu'il pouvait donner à l'anglais. Ce qui ne donnait pas grand-chose, mais au moins l'autre pouvait parler tranquille. Parfois, il lui répondrait, faisant une remarque sur quelque chose l'interpellant. Comme les hamburgers, le café, ce genre de trucs quoi.
- Je suis désolé, veux-tu qu'on parle d'autre chose ?
- Oui ! Pas que j'en ai marre de parler de ta vie avec toi, mais je sais ce qu'on peut faire !
Aussitôt, il se leva et prit Arthur par le poignet, l'emmenant jusqu'à une prairie. Il prit un cheval et y assit Arthur (qui lui fit d'ailleurs remarquer qu'il pouvait se débrouiller tout seul) avant de faire de même pour lui. Avec un sourire, il insulta l'anglais et s'enfuit au galop. Il avait toute la nuit pour s'amuser avec le blond.
◘.◘.◘
Il y avait une chose très importante à savoir sur Alfred. Il n'était pas humain, ne l'avait jamais été, et ne le serai jamais. Malgré son apparence humaine, le fait qu'il est une personnalité et pouvait voir tout ce que faisait Arthur, tout ce qu'il pouvait faire était regarder, attendre, et écouter. Le seul moment où il pouvait voir l'anglais, c'était lorsque ce dernier venait le voir, la nuit. Et non, il ne venait pas toujours la nuit.
Donc qu'était Alfred ? Aucune idée. Une idée, une pensée, un être fantastique, un fantôme… Il y en avait, des possibilités sur son être. Sa vie ne commençait nulle part, et ne se terminerait certainement pas avant que celle d'Arthur ne s'éteigne d'abord. Il se déplaçait dans un plan noir, qui pouvait devenir à l'occasion un salon, un océan ou même une énorme montagne. Parfois il était en hiver, parfois en été. Il arrivait qu'il pleuve ou qu'il voyage à travers le temps. Mais tout dépendais d'Arthur Kirkland et de son imagination.
Bien sûr, il avait déjà essayé de changer son petit univers (ou grand, il ne savait pas), mais il avait l'impression que s'il faisait ça, l'anglais venait le gronder ou bien ce dernier avait quelques ennuis. Et il n'aimait aucun des deux scénarios donc à la place, il s'occupait comme il le pouvait.
D'où venait sa personnalité, il ne savait pas. Il savait qu'il n'était pas humain, mais comment ça marchait dans son cerveau ? Pourquoi était-il en vie ? Pouvait-il se dire « en vie » ? Était-il le seul ? Mais il n'arrivait jamais à se concentrer là-dessus assez longtemps que pour trouver une réponse.
Il y avait deux choses auxquelles Alfred ne pensait pas : le fait qu'il pouvait disparaître pour une autre raison que la mort de son anglais préféré, et que son quotidien jusqu'ici parfait pouvait s'écrouler. Et ce dernier fait vint lui exploser en pleine face, sans avertissement.
Si les quelques premières entrevues d'Arthur et Antonio ne lui avaient rien fait, il y eut un moment en particulier qui changea toute ses pensées concernant le deuxième. Antonio était, après tout, un ami de Gilbert et Francis et les trois meilleurs amis formaient un groupe qu'ils avaient appelé le Bad Touch Trio. Et bien sûr, Arthur n'aimait aucun des trois.
Pourtant, un jour, ils s'étaient retrouvés seuls et quelque chose avait changé. Ce n'était que le hasard. Un jour, pour un travail d'école, ils avaient dû faire des groupes de deux. Les groupes avaient été choisis au hasard et à cause de ça, Antonio et Arthur s'étaient retrouvés ensemble. Au départ, n'importe qui aurait pensé que ça se finirait en meurtre et tout le monde était prêt à faire le deuil de leur joyeux espagnol. Pourtant, le projet avait bien tourné et comme tous les travaux de l'anglais, la note avait été excellente.
Bien sûr en tant normal, ça ne lui aurait posé aucun problème. Mais Alfred avait compris instinctivement quelque chose. Et cette chose ne lui plaisait pas, d'autant plus qu'il ne pouvait l'ignorer ou la nier. Même s'il voulait l'ignorer et la nier. Et Arthur ne venait presque plus.
La tête d'Alfred se releva alors qu'un rire atteignait ses oreilles. Bien sûr, il savait à qui appartenait ce rire. Et il savait pourquoi il entendait ce rire, pourquoi ce rire retentait. Il savait déjà ce qui allait se passer, mais Alfred tendit une main. Au lieu de rencontrer le vide, il toucha quelque chose. Quelque chose qui ressemblait à un mur invisible. Peu importe ce que c'était, il ne le voyait pas, même s'il savait que c'était.
Puis il vit le décor en face de lui changer. Juste en face de lui. Derrière lui, à côté de lui, tout restait noir. Ensuite arriva Arthur. Et avec lui, Antonio. Pas vraiment Antonio bien sûr. Non, il n'était pas comme lui. La situation était différente.
Arthur était en train de rêver. Et comme cela arrivait de plus en plus souvent, ce n'était pas avec lui.
◘.◘.◘
- Cet Antonio…
- Oui ? What about him ?
- Vous êtes devenus amis ?
Cette question fit Arthur recracher sur son thé, en plus de rendre ses joues complètement rouges, légèrement gonflées, et son regard fuyant. Il avait eu plus ou moins la même réaction que lorsque Francis avait remarqué leur manque de… rivalité ? Haine ? Quelque chose dans le genre. En tout cas, il l'avait remarqué et l'avait dit. Bien sûr, sa réaction avait été moins forte et il avait réussi à crier que ce n'était pas vrai avec pas mal de conviction, mais une fois dans son propre esprit, c'était différent…
- Tu l'aimes ?
Les joues de l'anglais devinrent encore plus rouges alors qu'il faisait semblant d'essuyer le thé qu'il avait renversé sur lui. Inutile de préciser, le thé en question avait déjà disparu, raison pour laquelle ni l'un ni l'autre n'avait réellement réagit en premier lieu.
- Q-Quoi ?! Je ne l'aime pas ! Et nous ne sommes même pas amis !
Alfred ne voulu pas pousser le sujet. Après tout, il avait déjà ses réponses. Que gagnerait-il à rendre le blond en face de lui conscient de ses sentiments ? Peut-être Arthur n'était-il pas encore ce qu'on appelait « amoureux », mais petit à petit… Et lui…
Oui. Il ne voulait vraiment pas y penser.
◘.◘.◘
Je veux voir Arthur… pensait Alfred depuis un long moment déjà.
Combien de temps cela faisait en tout ? Il ne savait pas. Cette phrase se répétait dans sa tête, encore et encore, sans interruption. Parfois, il regardait l'heure, s'attendant à ce qu'une heure ou deux passent, mais la plupart du temps, ce n'était que cinq minutes. Ou moins. La journée était longue et il n'était même pas sûr qu'Arthur vienne le voir la nuit.
« - Arthur ? Arthur ça va ? »
De nombreuses voix se firent entendre, interrompant ses pensées. Il se releva et regarda ce que voyait Arthur. Ou du moins, essaya. Il ne voyait rien, tout restait noir. Ce genre de chose n'était jamais arrivé. Plus qu'inquiet, il regarda autour de lui et commença à se déplacer. Il s'arrêta lorsqu'il vit Arthur non loin.
- Artie !
- Uh ? Alfred ? What the bloody hell…
- Je suis si content que tu sois là Artie !
Le plaisir ne semblait pas partagé car le regard de l'anglais le quittait déjà. En fait il réagissait à peine à sa présence. Rien que pour le fait qu'il l'avait appelé « Artie ». normalement, il aurait déjà dit « C'est Arthur ». À la place, il regardait autour de lui comme s'il ne reconnaissait plus l'endroit. Mais ce n'était pas possible n'est-ce pas ? Ce n'était jamais arrivé et ça n'arriverait jamais.
- Artie ?
- Comment suis-je arrivé ici ? La nuit n'est pas encore tombée et j'étais toujours à l'école…
- Ce n'est pas grave, si ? En entendant tu peux passer du temps avec moi !
Arthur le regarda un moment avant de soupirer.
- Oui, je suppose que je peux.
Quelque part dans un petit coin de son esprit, Alfred savait que la situation était sérieuse et qu'il devait peut-être se pencher un peu plus dessus. Mais pour le moment elle lui profitait et il ne comptait pas laisser passer une si belle occasion.
◘.◘.◘
De plus en plus souvent, Arthur venait voir Alfred à un autre moment que la nuit. Dire que ce dernier n'avait pas remarqué les évanouissements de l'anglais, ou plutôt le fait qu'il s'évanouissait quand il venait le voir la journée, serait un mensonge. Mais à chaque fois qu'il y pensait, il chassait cette idée de sa tête et se concentrait uniquement sur son blond préféré.
Et il fronça les sourcils lorsqu'il vit ce dernier parler avec un certain espagnol.
« - Arthur, est-ce que tout va bien en ce moment ? Tu t'évanouis presque tout le temps »
L'expression inquiète d'Antonio l'énervait définitivement. Bien sûr, le fait qu'il soit inquiet était une bonne chose, dans un sens. Mais le fait que l'espagnol se préoccupe d'Arthur était un problème pour lui. Après tout, ils avaient commencé en tant qu'ennemis. Où allaient-ils maintenant ?
Il n'aimait pas ça. Il n'aimait pas ça du tout.
« - Oui, ne t'inquiètes pas.
- Tu es sûr ? Tu manges bien pour le moment ? J'ai toujours l'impression que tu ne manges pas grand-chose… Et tu dors assez ? Ton teint est pâle en plus donc j'ai tout le temps peur que-
- Je vais bien je t'ai dit !
- Lo siento… »
Il y eu un long moment de silence. Alfred regarda leurs deux visages. Devait-il faire quelque chose avant que quoique ce soit d'autre puisse être échangé ?
« - Arthur je…
- Oui ?
- Te amo… »
Des milliers d'alarmes s'allumèrent dans sa tête et l'observateur sentit sa jalousie remonter, plus forte que jamais. Non, il ne pouvait pas laisser son Arthur à Antonio. Il ne pouvait juste pas. Depuis que les deux étaient devenus « amis », une seule question hantait Alfred. Que deviendrait-il, si l'anglais ne lui prêtait plus attention, ne venait plus le voir, l'abandonnait ?
Il voulait Arthur pour lui tout seul. Il n'aimait pas que le brun le lui prenne. Il n'aimait pas ça du tout.
« - Arthur ? Arthur ! No otra vez… Arthur, reste éveillé ! »
- Laisse-moi repartir.
- Non !
- Alfred, c'est complètement stupide, laisse-moi me réveiller.
- Non ! Je ne veux pas !
L'anglais grogna et malgré le fait qu'Alfred lui tournait le dos, il l'entendit s'approcher. Il ne pouvait pas le laisser l'atteindre, le laisser lui parler. Il savait déjà ce qu'il allait dire et il ne voulait pas l'entendre. Alors il bloqua le passage de l'autre, dressant un mur invisible devant lui. Cette fois, c'était lui qui décidait entièrement de la forme que prendrait ce noir infini.
◘.◘.◘
Alfred n'était lui-même pas sûr de savoir depuis combien de temps il avait « enfermé » Arthur. Même s'il savait que le temps passait plus vite lorsque l'anglais était endormi ou inconscient, sa priorité ne se trouvait pas là. Non, après tout, il voulait qu'il reste avec lui. Qu'il se plaise ainsi. Et qu'il ne le quitte plus.
Donc il avait essayé de distraire Arthur, de l'aider à faire passer le temps, de le lui rendre plus amusant. Mais rien ne marchait et l'anglais lui tournait le dos, parfois lui demandant de le laisser se réveiller, parfois gardant le silence. Il arrivait que la situation soit échangée. Quand Arthur en avait marre et se retournait vers lui, c'était à Alfred de lui tourner le dos et de ne pas l'écouter. Ils ne se regardaient plus dans les yeux.
À partir d'un certain moment, même Alfred commençait à ne plus vouloir de l'anglais.
Il pouvait faire apparaître de la nourriture, mais n'avait jamais faim. Il pouvait aller au bout de l'univers, mais ce n'était pas réel. Il pouvait ressentir des émotions mais il n'était pas censé pouvoir. Et en ce qui concernait l'amour, ses sentiments ne seraient jamais retournés.
◘.◘.◘
- D'accord.
Aucune réaction.
- Je te laisse te réveiller.
Cette fois, une paire d'yeux verts le regarda. Alfred pouvait voir la méfiance et l'espoir dans le regard de l'anglais. C'était normal, il le savait.
- Vraiment ?
- Oui.
Il y eut un long moment de silence avant qu'Arthur ne change de position et ne fronce les sourcils.
- Alors vas-y.
- Avant ça… Je suis désolé. J'étais jaloux d'Antonio, je te voulais pour moi tout seul…
- Quoi ?
- Je suis désolé. I love you.
Ignorant la confusion dans les yeux de l'anglais, il se pencha légèrement et l'embrassa sur le front. Le sourire aux lèvres, il regarda Arthur disparaître pour se réveiller dans un lit d'hôpital. Le premier visage à apparaître fut celui d'Antonio. Évidemment. Des mots furent échangés, mais il n'écoutait qu'à peine, se contentant de regarder. L'anglais se débrouillerait mieux s'il n'était pas là. C'était à son tour de disparaître. Et ce, même si lui ne se rendait nulle part ailleurs que vers la fin.
Il regarda Arthur et Antonio s'embrasser, alors que sa vision devenait floue et qu'une larme tombait sur sa main crispée. Lentement, il ferma les yeux. C'était mieux ainsi.
J'ai fini et je suis sûre qu'il y a au moins une personne qui pleure (facile à deviner, je suis sûre qu'elle était déjà au bord des larmes rien qu'à l'idée, hein immedia ?), et que plus de la moitié de mes lecteurs (ça fera pas beaucoup ça) sont complètement perdu. Non mais c'est que je crois tellement en ma capacité d'expliquer les choses… Mon cerveau est bizarre alors…
Bref il se fait tard, je dois me lever demain (uh) à 6h donc je vais m'occuper de cette note de fin de chapitre, faire mes valises… Tiens, recharger ma nintendo et regarder quels livres prendre avant d'aller dormir. Oh je dois pas oublier mon gsm… Ce serait… pas intelligent. Bref…
Donc ! Je suis désolée si vous êtes déçus de ne pas avoir de détails sur le SpUk. Mais vraiment, l'idée sur laquelle j'ai commencé cet OS (et arrêté le précédent qui pourtant est bien concentré sur le SpUk) était Alfred et Arthur discutant, assis à cette table quelque part au début. Et Alfred n'étant en réalité pas exactement réel.
Du moins, comme précisé dans l'OS lui-même, Alfred n'est pas un humain. Une explication là-dessus serait Arthur qui a un réel besoin de se confier à quelqu'un mais n'ayant pas d'amis (il connaît Francis mais vous me suivez non ?), il ne peut qu'en parler à lui-même. Mais se parler à soi-même peut ne pas être assez et Arthur a imaginé un visage à qui il parler.
Là par contre, le genre « supernaturel » est choisi pour une raison. Pourquoi Alfred a-t-il une vie (pour résumer) ? Magie les gens.
Sinon je m'étais « amusée » à penser à chaque émotion que ressentait Alfred.
Car Alfred a beau avoir sa personnalité, elles sont souvent liées à celles que peut ressentir Arthur. Juste interprétées différemment. Bien sûr je ne vous demande pas de les deviner car je n'ai pas pris le point de vue d'Arthur et je n'ai même pas décris les scènes qu'Alfred regardait (d'ailleurs à propos de ça, vous imaginez ça comme vous voulez, il peut voir directement à travers ses yeux, avoir un « écran »… Ce n'est pas comme si ça allait changer toute l'histoire ou votre perception ce celle-ci).
Mais par exemple, si vous voulez des exemples, j'ai clairement expliqué qu'Alfred ne pouvait modifier le noir, alias le subconscient, puisque c'est là qu'Arthur rêve. D'ailleurs, rapide pause là-dessus. Je ne suis pas une spécialiste du subconscient, il y a plein de choses que je ne connais pas dessus et qui cassent certainement tout ce que je peux raconter. Mais au moins vous aurez mon point de vue.
Un exemple donc, Alfred pouvant modifier « l'univers » autour de lui. Normalement, Alfred ne peut que le changer si Arthur est d'accord. Puisque c'est lui qui rêve (Bon il décide pas non plus entièrement mais… c'est compliqué ? En gros je ne veux pas donner l'impression qu'il fait ce qu'il veut). Mais à la fin, Alfred fait clairement ce qu'il veut, bloquant le chemin d'Arthur quand ce dernier veut lui parler. Bon je ne sais pas trop pourquoi, là je suis un peu inconfortable mais disons ceci ainsi : En se disant qu'Arthur ne va pas bien, qu'il a peur ou ce genre de chose et qu'Alfred est jaloux à cause de son amour pour notre cher anglais, alors la situation se résume par : L'un perd en force, l'autre en gagne.
Soit dit en passant, oui dans la réalité Arthur est dans le coma.
Mais bon, et si on disait simplement qu'Arthur a un ami imaginaire et que celui est tombé amoureux de lui et après une crise de jalousie, disparaît pour lui rendre la vie meilleure ?/SBAFF/
Maintenant que je viens de jeter toutes mes explications psychologiques et tout ce qui allait avec (en fait une partie est toujours à l'intérieur je crois mais elle va rester dans ma tête), j'ai des choses à faire !
Donc juste avant de partir, je m'excuse auprès des fans d'UsUk, mon intention n'était pas de piéter ce couple que j'apprécie pourtant. J'ai toujours un autre OS et le voyage de la sorcière pour ce pairing et en plus, y en a combien des fanfics d'UsUk sur ? x'D Je m'excuse aussi auprès des fans de SpUk (aussi peu nombreux soient-ils eh ?) qui espéraient certainement quelque chose de plus concrets (immedia va se retrouver dans les deux excuses, même si elle n'est pas « fan » de SpUk x) ). La prochaine chose que je publie, c'est l'OS de SpUk ok ? ^^
C'est bon ! Une demi-heure pour écrire ceci… J'ai pas vraiment le temps de relire en fait donc je le ferai à un autre moment. J'espère réellement ne pas avoir écrit n'importe quoi (comme « même » au lieu de « peine » *Soupire*).
Sur ce, j'espère que cet OS vous aura plu ! ^^
