Coucou le peuple^^
Alors je préviens tout de suite, la fic commence assez brusquement pour mieux representer le trouble et la passin qui animent les deux personnages^^
Ce n'est en aucun cas un PWP.
Crédit : Les personnes ne sont pas a moi ^^
Nema.
Gravity Of Hearts
Cela avait toujours était ainsi. Une réplique cinglante, un sourire glacial puis un contact dur voir même violent. Juste lorsque l'envi les prenaient, peut importe l'endroit ,ou le moment. Juste un contact humain, un échange de plaisir, juste pour apaiser un besoin. Rien de plus. Lorsqu'il lui lança une remarque bien blessante, il vit dans son regard ambre un éclair de désir, il ne put s'empêcher de sourire. Ils allèrent tous déjeuner, lui mine de rien, il alla suivre ces hommes lorsqu'elle le plaqua contre le mur, il n'eut pas le temps de dire un mot qu'elle l'embrassait déjà avec hargne. Il ferma tout de même la porte pour ne pas être dérangé, avant de lui répondre avec le même désir voilé. Elle lui avait déjà enlevé sa veste, elle s'attaquait maintenant a sa chemise. Alors qu'elle commençait a mordre la peau de son cou, il l'attrapa par les poignet l'obligeant a s'arrêter. Il eut son petit rire provocateur lorsqu'il vit son regard frustré. Il lui enleva sa veste alors qu'elle ne se décessait de son étreinte pour faire glisser sa chemise le long de ses épaules. Elle se colla totalement a lui, griffa hargneusement son dos. Ils s'embrassèrent avec la fougue de deux amants trop longtemps séparés. Il lui enleva son T-shirt. Le beau brun était souvent plus doux que sa belle partenaire, ses caresses restaient toujours relativement tendres alors qu'elle le griffait, le mordait a sang. Pourtant, cette fois ci, il refréna sa douceur au profil de plus de dureté. Lorsqu'il la plaqua brusquement contre son bureau, il lu la surprise dans son regard, il se pencha vers elle pour l'embrasser alors qu'elle l'attirai sur elle, griffant ses épaules. Elle sourit lorsqu'elle sentit le long de sa colonne vertébral une longue griffure assez profonde qu'elle lui avait fait trois jours plus tôt. Elle laissa échapper un gémissement lorsqu'il mordit la base de son cou. Lorsque quelques minutes plus tard, il s'enfonça en elle avec brusquerie, elle rentra littéralement ses ongles dans ces épaules, il gémit de douleur en sentant son sang perler. Au fils de ces vas et vient, elle avait de plus en plus de mal a retenir ses gémissements. Elle ne voulait pas lui montrer l'ampleur se sa félicité lorsqu'ils étaient ensemble tout comme lui qui gardait tant ben que mal son air soit impassible soit arrogant. Juste lorsque l'envi les prenaient, peut importe l'endroit ou le moment. Juste un contact humain, un échange de plaisir, juste pour apaiser un besoin. Rien de plus. Lorsqu'il se libéra en elle, elle le mordit violemment dans le cou pour ne pas crier. Il finit par s'éloigner légèrement, passant sa main la ou elle l'avait mordu. Elle était pleine de sang. Il haussa les sourcils et murmura:
-Pourquoi tant de violence?
Elle le fixa immuablement avec impassibilité avant de brusquement l'attirer a elle pour poser ses lèvres sur la blessure. Elle ne savait pas pourquoi elle agissait ainsi. Elle l'entendit soupirer doucement. Lorsqu'elle le relâcha, elle lu le trouble dans ces yeux beaux noirs.
-Qu'est ce qui te prends?
Elle voulu détourner la tête, mais il s'empara subitement de ses lèvres. Une fois finit, ils n'avaient jamais de contact. Pourtant cette fois si, il l'embrassa profondément avec une douceur qui l'a fit se raidir. Elle essaya de le repousser, mais il ne l'a laissa pas faire, l'embrassant pendant un long moment avec un douloureuse tendresse. Lorsqu'il se séparèrent, elle voulu le gifler, mais il retint son bras.
-Chacun son tours.
Il pose deux doigts sur sa morsure avant de les poser sur ses lèvres pour finir par lui envoyer un baiser. Elle le dévisagea avec froideur, masquant son trouble intérieurement. lorsqu'il se retourna pour se rhabiller, elle étouffa une exclamation en voyant les longues traces qu'elle lui avait fait. Elle détourna la tête en se mordant, avant d'elle aussi se rhabiller. Comme toujours, elle quitta la pièce quelques minutes plus tard. Lui resta un long moment seul, attendant les autres en pensant a tous sauf a se qui venait de se passer, même si cela n'était pas des plus évident puisque son corps en subissait les effets.
Le reste de la journée se passa comme toutes les autres. Il n'y avait pas de problèmes a l'horizon, un QG calme, quelques dossiers qui trainaient, la routine. Leurs regards ne se croisèrent pas une seule fois, ils vaquaient tous a divers occupations, que se soit dormir, lire ou jouer aux échecs. Le lendemain se fut le même tableau. Ils n'essayèrent même pas de se provoquer. En fin de journée pourtant, le regard du beau militaire fut attiré par elle lorsqu'elle se pencha en avant pour ramasser quelques choses. Il suivit le doux renflement de ses hanches jusqu'à la délicieuse courbe de ses fesses. Il soupira, dommage que l'uniforme cachait quelque peu la douceur de ces formes. Il se reprit aussitôt lorsqu'il s'entendit penser cela. Heureusement l'heure pour eux de partir arriva et il put enfin la quitter des yeux. Elle avait sentit son regard sur elle, la chaleur lui était montée aux joues alors que les souvenirs de son corps sur le sien remontaient. Les deux jours qui suivirent eurent le même rythme. Ils ne s'étaient même pas effleurés depuis la dernière fois. Juste lorsque l'envi les prenaient, peut importe l'endroit ou le moment. Juste un contact humain, un échange de plaisir, juste pour apaiser un besoin. Rien de plus. Oui, juste une envie, il voulait la prendre, ici et maintenant. Pourtant a l'instant même ou il ouvrit la bouche pour envoyer les autres ailleurs, elle se leva et déclara qu'elle allait au stand de tir. Il se mordit de frustration lorsque son regard accrocha le balancement de ses fesses alors qu'elle se détournait.
De son cote, elle n'était pas en reste, tout son corps réclamait une caresse, un contact, elle avait tellement envie de lui que s'en était douloureux. Elle avait donc préférée s'en éloigner de peur de craquer. Elle passa donc toute sa frustration sur les cibles qui partirent littéralement en lambeaux. Il y avait autour d'elle comme une aura de colère qui éloignait les autres militaires, même si sa grâce naturelle n'en était que renforcée. Lorsqu'elle retourna dans la salle commune, elle les vit tous autour d'une table avec des cartes, elle soupira avant de prendre un livre pour se détendre, mais son regard revenait toujours vers lui. Lorsque Black Hayate vint se lover contre elle, il eut droit a de douces caresses de plus en plus prononcées qui le ravir. Elle se remémora la première fois que ce la était arrivé... Havoc venait de se faire larguer par sa nouvelle petite ami, le beau Colonel avait comme toujours lancé des remarques bien cinglantes au fumeur qui avait le moral a zéro. Peu a peu leur conversation avait évolué vers l'importance des relations autres que le lien affectif puis plus loin encore, dans le sens du « besoin humain des hommes ». Étant la seule femme, Riza avait protester sur le fait que les femmes en avait tout autant besoin mais savaient beaucoup mieux se contenir, ne sautant pas sur tout se qui bouge. Le remarque lancée sur un ton bien acide avait a peine sonnée comme une réplique pour le beau brun. Se dernière l'avait dévisageait avec son air narquois. Une fois seul a seul, il avait relancé le sujet, la provocant un peu plus. Elle le surprit au plus haut point en dévoilant son cote joueur. Finalement, il lui donna raison, les hommes avaient plus de mal a se contrôler. Il ne put dire le contraire lorsqu'il l'avait violemment attiré a lui pour l'embrasser avec passion alors qu'elle cherchait le contact de sa peau. Ils ne s'étaient pas arrêtés la, ils avaient continués jusque ne faire plus qu'un. Deux jours plus tard, ils avaient recommencés. Puis encore une fois, deux fois... jusqu'à devenir une part de leur routine. Elle soupira lourdement en se demandant si elle n'avait pas fait une bêtise ce jour la. Ce soupir ne passa pas inaperçue aux oreilles du beau brun qui se tourna vers elle, manquant de lâcher ses cartes devant l'intensité de son regard.
-Un problème Lieutenant?
Elle ferma les yeux, refoulant comme elle pouvait cette envie dévorante qu'elle avait pour lui lancer ce regard serein dont elle avait le secret.
-Aucun Colonel.
Cette nuit la, leurs rêves furent agités, peuplés de murmures, d'ébauches de caresses. Lorsqu'ils se réveillèrent avec une envie difficilement atténuable, leur seul recours fut la douche froide. Sur le chemin du QG, plusieurs belles jeunes femmes l'aguichèrent avec provocation. Il aurait pu se laisser tenter vu son besoin, s'il n'avait pas en tête le sensuel balancement de hanches de son si jolie Lieutenant. Lorsqu'il arriva dans les couloirs, il l'a vit parlant avec un soldat qui la mangeait des yeux. Il envoyant froidement balader le militaire avant de la prendre par la main pour l'amener dans la réserve des affaires classées. Il l'a plaqua contre le mur, levant leur main liées au dessus de leur tête alors qu'il l'embrassait avec une passion non contenue. Elle songea quelques secondes a le repousser avant de lui répondre avec le même empressement. Il relâcha doucement sa main pour pouvoir venir l'enlacer, posant ses mains au creux de ces reins. Elle arqua son corps contre le sien en nouant ses bras autour de son cou. Elle le poussa contre une étagère qui tomba a la renverse mais ils ne l'avaient même pas vu, perdu dans leur étreinte. Lorsque leurs mains trouvèrent la peau de l'autre, ils ne purent retenir soupirs et gémissements. Alors qu'ils étaient a demi nu l'un contre l'autre, elle eut un murmure indistinct. Il s'abaissa devant elle avec un regard brulant, il l'a souleva en la collant contre lui. Contrairement a l'ordinaire, ne le mordit pas et lorsqu'elle enfonça ses doigts dans son dos lorsqu'il l'a prit, il ne sentit pas ses ongles, comme si elle les avaient coupés. Ils avaient tellement plus de mal a retenir leurs gémissements qu'a l'ordinaire. Inconsciemment, leurs lèvres se trouvèrent. Elle passa ses mains dans ses cheveux alors qu'il se libérait. Ils restèrent un moment l'un dans les bras de l'autre, reprenant leur souffle et essayant de comprendre d'où venait cette étrange douceur avec laquelle ils s'étaient unis. Lorsque du bruit se fit entendre, ils se rendirent compte de l'endroit ou ils étaient. Sans vraiment comprendre pourquoi, ils éclatèrent de rire avant de se rhabiller pour prendre, enfin, leur poste.
Ils remarquèrent tous l'ambiance beaucoup plus douce et légère qui régnait dans la salle commune. Peu a peu, la belle confiance et intimité qui liait leurs deux supérieurs avaient évoluées vers quelques choses de plus brusque, de plus froid, jusqu'à laisser une ambiance souvent lourde et tendue. Pourtant ce jour là, la douceur était revenue, ils en étaient heureux, supportant mal cette paissance. La journée passa lentement, sans problème.
Le lendemain, le matin même, il se pencha vers elle et l'embrassa avec une tendresse qui lui fit peur mais auquel ne put que répondre. Juste un baiser pour la saluer. Un langoureux baiser dont l'unique tendresse pouvait englober toutes leurs étreintes réunit. Toute la journée, il ruminèrent cet étrange baiser. Comment avaient-ils pu passer de tant de froideur a quelque chose d'aussi doux. Alors qu'elle quittait la salle commune pour il ne savait quoi, il la rattrapa. Se trouver entre lui et le mur l'a mettait étrangement mal a l'aise. Lorsqu'il se pencha vers elle, une jeune soldat passa près d'eux en les dévisageant. Le beau Colonel lui lança un regard glacial qui le fit reculer.
-Qu'est ce que tu regard ?
Le pauvre soldat se mis au garde a vous et bafouilla une excuse avant de partir a grand pas. Elle fut surprit de l'intonation de sa voix et de la manière dont il avait envoyé le gamin. Elle comprenait. Il y avait de quoi les dévisager avec surprise. Dans cette position, ont aurait vraiment dit deux amants. Que lui prenait-il? Lorsqu'elle alla le lui demander, il posa un doigts sur ses lèvres, les fesant tout deux frissonner. Il plongea son regard de jais envoutant dans le sien, ou elle pu déceler un imperceptible conflit intérieur. Il se pencha encore.
-Qu'est ce que...
-Dine avec moi ce soir.
-Que...
-Je sais que ça peut paraître stupide mais, viens diner avec moi, ce soir.
Incapable de dire un mot, elle resta a le regarder avant de hocher lentement la tête. Il lui souria avec ce sourire qui pouvait réveiller un volcan avant de venir caresser ces lèvres avec langueur. Il se séparèrent que lorsqu'ils entendirent des pas se rapprocher. Toute la journée, elle fut assaillit par la douceur se sa voix lorsqu'il l'avait invité. Elle ne savait plus ou tout cela aller les mener. Elle ne pouvait accepter que la situation dégénère. Elle prit une profonde inspiration avant d'aller le voir a son bureau.
-Lieutenant?
-Colonel. Nous ne pouvons pas diner ensemble.
Elle parlait d'une voix basse, n'étant pas seuls dans la pièce, elle ne voulait pas que cela fasse le tour du QG. Elle le vit jeter un coup d'œil aux autres avant de lui demander.
-Ou est le problème Lieutenant?
-Cela n'a pas de sens, nous...
Elle ne put finir sa phrase qu'il s'était légèrement redressé pour venir caresser ses lèvres des siennes. Elle recula vivement, ayant peur qu'on ne les voit.
-Colo...
-Il pourrait bien y en avoir un mon chère Lieutenant.
Il effleura sa joue du bout des doigts avant de lui murmurer.
-Je passe te prendre a 21h.
Ils restèrent a se dévisager intensément avant qu'elle ne se détourne pour regagner son bureau. Toute la journée, elle chercha une solution pour se dérober . Au fond d'elle, elle savait que cela était une mauvaise idée d'accepter, c'était trop impersonnel, pourtant la simple image d'elle et lui en tête a une table isolée faisait naitre en elle de douces vagues de chaleur partant de son ventre. Lui, ne doutait pas une seule seconde du fait qu'il avait fait une grave erreur. Cependant, il ne pouvait et ne voulait pas reculer. Il savait que cela allait un peu trop loin. Ils devaient s'éloigner, réduire leurs contact, jusqu'à étouffer leur liaison avant qu'ils ne deviennent vraiment...
-Amants !
Asuivre...
Voila^^
Alors encore une fois, la début est un peu brusque mais bon^^
Review?
Nema.
