Pairing général - Hermione/Drago
Genre - Romance
Rating - T-M (Je ne conseille pas aux moins de 16-18 ans de lire)
Disclaimer - Tout l'univers appartient à J.K. Rowling - Je ne prends pas en compte l'épilogue du tome 7
Note de La Rose Gothique – Cette fic est ma première. J'espère que vous l'aimerez. N'hésitez pas à la commenter, même si c'est pour me faire des remarques (dans ce cas-là, donnez un conseil). Pour vous aider à faire des reviews, à la fin de chaque chapitre, il y aura 10 questions que vous pourrez remplir, je réponderai par message privé, ou du moins pour l'instant.
Chapitre 1 : Douce Torture
- Non…
Hermione gémissa, et essaya de se débattre, mais le garde habillé de noir se contenta de lui assener un coup sur la tête, ce qui la fit retomber dans l'inconscience, et de la balancer brutalement sur son épaule. Il sortit de la cellule en prenant bien soin à cogner la tête de la jeune femme quand ils passèrent la porte basse afin qu'elle ne se débatte plus pendant un moment, puis se dirigea vers une salle, dont la porte était à moitié ouverte. Il entra dans la pièce mal éclairée –la seule lumière provenant de la minuscule lucarne au plafond– et jeta Hermione sur le sol froid. Il s'agenouilla près d'elle et commença à la déshabiller, ce qui ne prit fort longtemps, puisqu'elle n'était couverte de seulement un drap sale, le signe respectif des prisonniers. Il lui passa autour de sa poitrine un soutien-gorge blanc, pas très propre, qui avait dû servir des dizaines de fois, et une culotte assortie.
Le garde lui donna ensuite deux grandes baffes afin qu'elle se réveille, et elle papillonna des yeux pendant une bonne minute, avant qu'il ne la gifle de nouveau.
- Allez debout feignasse ! T'es pas là pour te détendre, t'as un client, j'te signale !
A ce moment-là, la porte s'ouvrit à la volée et un homme qu'elle ne connaissait pas s'infiltra dans la pénombre. Le garde se leva aussitôt.
- Bonjour, Messire, je vous en prie, elle est à vous.
- Parfait. J'imagine que j'ai tous les droits sur elle ?
- Oui. Mutilation, torture, humiliation, tout ce que vous voulez, sauf la tuer, bien entendu.
- Parfait, c'est parfait.
Le garde prit Hermione dans ses bras, et l'attacha au mur avec des lanières de fer, aux poignets et chevilles.
- Appelez-moi si elle se débat, j'installerai des mesures supplémentaires.
L'homme acquiesça et le garde se retira, fermant la porte derrière lui. Mais Hermione fut sure que juste avant, elle avait croisé son regard d'acier qu'elle était sure de connaître, et qu'il lui avait fait un petit signe avec sa main l'incitant au silence.
Elle n'eut pas le temps de réfléchir ce que cela voulait dire que l'homme était déjà collé à elle. Il eut un petit sourire malsain, et il commença a lécher son ventre. Elle frissonna de dégoût, mais il n'y prêta pas attention, sa langue se promenant sur la peau gelée de la jeune femme. Sa langue passait partout, laissant une trainée de salive derrière elle, en remontant de plus en plus vers la poitrine d'Hermione. Il décolla sa langue de son corps et d'un geste brusque, arracha le soutien-gorge qu'il laissa tomber à terre. Il se jeta sur ses seins, et, violemment, mordit un de ses tétons. Hermione hurla de douleur, et il resserra sa prise, encore plus fort. Elle essaya à coups de ventre de le dégager, mais son ventre étant trop maigre, et la poigne de l'homme trop forte, elle n'y parvint pas. Elle hurla pendant longtemps, elle avait arrêté de compter le temps depuis qu'elle avait découvert une douleur nouvelle, puis il arrêta. Hermione pleura silencieusement, mais, ayant aperçu les larmes de la détenue, il mordit l'autre téton encore plus fort que le premier. Cette fois, elle n'hurla et ne se débattit pas, sa fierté remportant le combat contre la douleur. Il lâcha sa prise et s'essuya la bouche, puis regarda Hermione qui avait les yeux fermés, essayant d'empêcher les larmes de couler de ses paupières.
- Tu apprends vite, ma petite Sang-De-Bourbe.
- De rien.
Hermione marmonna ces deux mots sans y penser mais l'homme les entendit sans peine.
- Tu veux jouer à ça avec moi ? Très bien, il fallait juste le demander.
L'homme se recula et d'un « evanesco » murmuré, fit disparaître la fine culotte que portait Hermione, dévoilant son intimité. Il se colla à elle, puis, d'un coup, plongea deux doigts dans la partie intime. Hermione cria et sentit son entrejambe s'humidifier. Elle pleura, cria, hurla, demanda du secours, mais cela ne servait à rien, si ce n'est amuser l'homme. Il remua les doigts et elle cria de nouveau. Il rit et recommença. Encore. Et encore. Et encore une fois. De nouveau. Il recommença.
Hermione hurlait et il recommençait. Et cela dura pendant dix minutes, puis elle se calma, consciente que si elle continuait à se lamenter, elle aurait le droit à deux fois pire.
L'homme sourit puis remonta au niveau de la tête d'Hermione. Elle crut qu'il allait de nouveau lui pincer les seins, mais il fourra sa langue dans la bouche d'Hermione, puis plaqua ses lèvres sur les siennes. Il remua sa langue partout dans la bouche d'Hermione alors que celle-ci essayait de la sortir, puis décolla ses lèvres des siennes et lui sourit bêtement.
- Alors, ça te plait, Sang Impure ? Tu risques de ne pas avoir ce plaisir deux fois, alors tu ferais mieux de profiter de cet instant qui sera le meilleur de toute ta misérable vie, idiote.
Il attendit une réponse, mais Hermione lui cracha au visage. Il s'essuya puis répondit.
- Parfait. Je m'attendais plus à une réponse du genre « merci de faire de ce jour le plus beau de ma vie » mais bon, celle-ci me suffit.
Il lui cracha de retour au visage, et elle fut dégoûtée de voir qu'elle ne pouvait enlever cette crasse de son visage déjà sale et émacié, puisque ses mains étaient prisonnières par les lanières.
L'homme sortit un poignard et le lui passa devant le visage afin qu'elle voit la lame aiguisée et la pointe tranchante. Elle trembla lorsqu'il s'approcha de ses seins, et, soudain, il trancha un des tétons.
Hermione pensa qu'elle n'avait jamais connu pareille douleur, et elle hurla, de toutes ses forces, priant que n'importe qui, Harry, Ron, Neville, n'importe qui de ses amis soit présent et en liberté dans ce château. Et oui, elle était dans un château, dans celui où elle avait passé six ans de sa vie, où elle avait passé les six plus belles années de sa vie, qui était maintenant le refuge principal des mangemorts, et inconnu des sorciers, où les partisans de leur Maitre bien-aimé, qui était mort précédemment, torturait et emprisonnait les nés-moldus comme elle. Poudlard était devenu l'endroit que personne ne connaissait, l'endroit craint de toute personne n'ayant pas de sang sorcier coulant dans ses veines. Poudlard était maintenant un lieu de crime.
Elle arrêta d'exprimer sa souffrance et il en profita pour trancher l'autre téton. Et cela recommença. Hermione criait, croyait qu'elle n'avait jamais souffert autant, puis s'arrêtait d'hurler. Et quand elle s'arrêtait, il tranchait une nouvelle lamelle de chair dans la peau de son sein.
Une heure plus tard, il s'arrêta définitivement et admira le travail. Hermione n'avait plus de seins, elle était plate comme une limande, du sang giclant de la blessure. Mais il n'avait pas fini. Il décida d'attendre que le sang arrête de couler. Il reprit le couteau et sa baguette, et jeta un sort qui tourna instantanément Hermione de sens, cette dernière se retrouvant visage au mur, le dos exposé à l'homme. Il mit sa baguette dans sa poche. Il prit le couteau à deux mains et écrivit dans le dos d'Hermione « Pute Impure » en grosses lettres. Elle n'hurla pas, se contentant de serrer les dents, des larmes recommençant à couler.
L'homme mit la main sur la poitrine d'Hermione, appuyant bien fort sur la plaie qu'avait laissée la mutilation, et remarqua que le sang qui coulait s'était stoppé.
Il rejeta le même sort qui avait fait changer Hermione de sens et elle se retrouva de nouveau face à lui, le ventre couvert de sang. Il remonta le couteau vers la plaie, mais cette fois-ci, elle rassembla toutes ses forces et se débattit du mieux qu'elle pouvait. L'homme, impatient, planta le couteau dans sa cuisse, mais malgré le cri qu'elle poussa, elle ne s'arrêta pas de se débattre. L'homme murmura un « très bien » inaudible et sortit de la pièce. Une seconde après, enfin ce fut l'impression qu'eut Hermione, il revint avec le garde qui l'avait portée et déshabillée. L'homme ordonna :
- Je veux que vous mettiez en place les mesures supplémentaires maintenant.
Le garde ne répondit pas et, sans prêter attention à l'état d'Hermione, ajouta d'un sortilège informulé deux nouvelles lanières de fer qui se placèrent autour du cou et du ventre de la jeune femme. Il repartit sans jeter un regard à qui que ce soit présent.
- Très bien ma chère, je vais maintenant t'apprendre les lois du respect.
Sur ce, il attrapa le poignard qu'il avait passé dans sa ceinture et s'approcha près d'Hermione. Il inscrivit dans la bande de chair beige claire qu'avait laissée la plaie de la mutilation, les mots « Ricardo Moelius », ce qui devait être son nom. Hermione hurla cette fois-là, puisqu'il rouvrit une plaie en en ouvrant une autre, de plus que la chair des seins était très sensible, surtout après les avoir coupés.
- Je t'avais prévenue…
L'homme, Ricardo, la laissa-là, ses trois heures d'amusement écoulées, et elle sombra pour la troisième fois de la journée dans l'inconscience.
Elle se réveilla sur le dos du garde qui la ramenait vers sa cellule. Elle aperçut une mèche de cheveux blonds trempés de sueur. Tout de suite, elle fit le rapprochement entre la couleur de cheveux et le regard d'acier qu'il lui avait jeté tout à l'heure et devina qui était l'homme en train de la porter.
Le garde ouvrit la porte de la cellule et posa doucement Hermione sur la planche de bois suspendue par des chaines qui servait de lit à cette dernière. Il l'attacha aux barreaux au-dessus et lui passa une chaine au pied qui la tenait prisonnière dans cet endroit malpropre. Il lui tendit un drap dans lequel elle pourrait s'habiller. Il lui donna ensuite discrètement un pot contenant de la pommade pour ses blessures et qui ferait repousser ses seins, même s'ils garderaient la marque de la signature de Ricardo. Hermione le regarda, étonnée, puis, lorsqu'il feignit de partir, refermant à clef la cellule, elle lui murmura avec un petit sourire :
- Merci Malefoy.
Alors ? Vous en avez pensé quoi ? Vous avez aimé ? Pas aimé ? N'hésitez pas à me le dire dans tous les cas !
Moi, j'ai beaucoup aimé l'écrire, j'espère que ce chapitre vous a donné envie de lire la suite...
Et maintenant, place aux questions !
Q1. Que pensez vous du début de la "relation" entre Hermione et Drago ?
Q2. Que pensez vous de la vie des "prisonniers" ?
Q3. Pensez vous que c'est trop violent ?
Q4. Où pensez vous que sont les autres personnages (Ginny, Harry, Seamus, etc.), en prison ou autre part ?
Q5. Où pensez vous que se trouve l'Ordre du Phénix?
Q6. Que pensez vous des motivations de Drago pour aider Hermione ?
Q7. Que voulez vous que soient les motivations de Drago ?
Q8. Que pensez vous qu'Hermione pense de Drago ?
Q9. Comment imaginez vous la suite de la "vie" menée par Hermione (torture, etc.)
Q10. Comment imaginez vous la suite de la relation Drago/Hermione ?
Et la question habituelle : qu'avez vous pensé de ce chapitre ?
La Rose Gothique
