Bonjour tout le monde ! Ici Lacrymania-chan, pour vous servir !

Cette fic est la première que je fais sur le fandom de SNK, et franchement j'espère que je ne fais rien de trop OCC... Je n'étais pas très sure pour la poster mais je me suis dit « pourquoi pas ? » et c'était déjà parti.

Le premier chapitre est un peu court c'est vrai. J'ai plus l'habitude de faire des chapitres de six pieds de longs mais je me suis rendue compte que de un, ça ne servait strictement à rien, de deux que je mettais des plombes à poster la suite après, et de trois que je perdais vite l'inspiration...

Donc voilà, les autres risquent d'être bien petits...

Bonne lecture.

Auteur : Bah moi...

Prairing : T (pour l'instant en tout cas ^^)

Pov : Jean Kirchstein

Genre : Romance/Humor comme d'hab'

Résumé : Voilà comment, moi, Jean Kirchstein, me retrouve devant la maison de la prairie, dans le coin le plus reculer du monde, avec comme seuls voisins les vaches et comme cousin le mec le plus sexy que je n'ai jamais vu de toute ma vie... OMG


Chapitre 1 : Comment ma vie (déjà bien merdique) est partie en l'air

Pour tout vous dire, je ne sais vraiment pas comment j'en suis arrivé là. Du moins, je veux dire, après 17 ans de vie merdique, on se dit quand même qu'il va nous arriver un truc cool. Juste un petit truc quoi. Pas que la vie, cette chienne, décide de vous pourrir encore plus, histoire de bien vous montrer que quoi que vous faites, c'est elle qui dirige.

Enfin, tout d'abord, bonjour. Oui, je me suis dis qu'une ou deux politesse avant de commencer à me plaindre ne seraient pas du luxe. Je m'appelle Jean Kirchtein. Totalement français et non pas allemand comme le laisse entendre mon nom de famille très, mais alors là trèèèès facile à écorcher, je suis né le 7 avril 1998, un jour de pluie bien dégueulasse (comme quoi dès ma naissance il était prévue que j'en chierait plus que nécessaire), et je suis en 1ère au lycée de Saint Jean. Voilà ma vie. Enfin le côté positif au possible hein.

Donc revenons en à mes problèmes, c'est un peu le sujet principal non ? Ah vous êtes pas là pour ça ? Bah tant pis, vous écouterez quand même. Je suis actuellement devant chez moi. Oui, là rien d'anormal. Et je galère à rentrer ma clé dans la serrure. Toujours rien d'anormal en me connaissant. Et je force sur ma poignée comme un démon. Oui oui, ne vous inquiétez pas, tout est absolument normal. Et tout d'un coup, ma poignée de porte pars en même temps que moi vers le sol. Je me cogne la tête et je hurle à la souffrance. Oui, oui, tout est... Non, là y a un problème. Parce que je suis peut-être un cas désespéré mais pas au point de casser une poignée de porte si ? Et puis je n'ai même pas assez de force dans les bras de bases.

C'est donc comme un con que je me retrouve à marcher dans la rue, ma foutue poignée toujours dans la main, et mon Iphone 5C (oui, j'estime que tous les Noël et anniversaires sacrifiés à économiser valent la peine que je précise) dans l'autre, ma mère me hurlant que j'étais un incapable, un débile mentale et qu'elle aurait préférer accoucher d'un panda plutôt que d'un abruti comme moi. Vous ais-je déjà parler de ma chère et tendre mère ? Non ? Vous en avez de la chance...

Elle m'avait dit de la rejoindre sur son taff, qui bien sur se trouve à l'autre bout de la ville. Ma mère est prof de français dans un collège de la ville. Ah oui, petite précision dont tout le monde se fout, j'habite à Lyon. Et me voilà donc en route. Une fois devant, j'ai à peine le temps de me présenter à l'accueil que ma mère m'attrape par l'oreille et me hurle dessus tout ce qu'elle m'a déjà dit au téléphone. Pourtant, ma mère ne faisait qu'un mètre soixante. J'aurais du pouvoir me défendre avec mon mètre quatre vingt mais non, ma mère, elle est comme Napoléon, petite, mais capable d'anéantir beaucoup de grande chose. Comme moi en occurrence.

Je me retrouve dans sa salle des profs. Ce n'est pas la première fois que je viens dedans. J'ai même beaucoup l'habitude de m'y rendre. Je salue rapidement Hervé, le prof de sport, qui me rend un regard compatissant, et louche rapidement (très rapidement à cause de la douleur à mon oreille) sur la poitrine de la prof de maths, Nathalie, qui rigole en me voyant me faire malmener par ma mère.

Puis, d'une coup, ma mère me balance sur une chaise comme un suspect dans une salle d'interrogatoire, et croise les bras... Hurg... Elle croise les bras...

- Jean Kirschtein ! Pour l'amour de Dieu ! Comment peux-tu être aussi gauche ?! Ce n'est pas possible.

- Mais m'man... C'pas ma faute...

- Ta gueule !

Je sursautai, ce n'était pas tous les jours que ma mère hurlait. Enfin, si, ma mère hurle tous les jours en continue, mais jamais à cette hauteur de voix. A se demander si elle ne devenait pas hystérique.

- C'est décidé ! Ton père n'était pas d'accord mais je ne vois pas d'autre solutions !

Oula... Qu'est-ce qui était décidé ? Je commence légèrement à paniquer là. Surtout quand ma mère hurle comme ça. Non mais pour vous faire un dessin, j'étais à deux doigts de me faire dessus et à chialer comme une putain de gamine de cinq piges.

- M...M'man ? Qu'est-ce qui est décidé ? Tu me fais peur là...

- C'est décidé ! Demain, tu pars habiter chez tonton et tata à la campagne ! Ca nous fera des vacances !

Heeeeeeeee ?!