Hi tout le monde ! :D

Bon, ça fait pas mal de temps que je voulais écrire une fic Hetalia mais je n'avais pas vraiment le temps alors... Et puis mieux vaut tard que jamais comme on dit ! 8D *meurt*

J'ai remarqué qu'en ce moment il y avait de plus en plus de fanfic super bien sur le fandom français d'Hetalia, vous avez remarqué vous aussi ? Enfin, j'espère que ça va continuer sur ce chemin, car moi j'adore lire de bonnes fanfics Hetalia !

Diclaimer : Hetalia ne m'appartient malheureusement pas, (ou heureusement c'est selon xD) mais appartient au merveilleux et géniallissime Hidekaz Himaruya !

Alors le rating de cette fanfiction est K+, il y a quelques vulgarités et des sous-entendus, des morts mais pas de description "gore" dirons-nous x) Mais le rating pourra peut-être passer M, si lemon il y a fufufu~

C'est ma première fic qui comportera des chapitres, il pourrais y avoir 20 voire 30 chapitres, mais je ne sais pas encore trop où je vais, donc ne m'en voulez pas ! TT_TT Ah et n'oubliez pas d'écrire une p'tite review si ça vous a plu, ça me motivera pour écrire la suite ! :D

EDIT : j'ai finalement décidé de corriger les horribles fautes du prologue, ça me donnais des boutons de voir toutes les fautes que j'ai pu faire. T_T

Désolée de vous avoir donné un espoir d'une suite, mais promis, elle arrivera. Encore un peu de patience !

Sur ce... ENJOY ! ;D


Der alptraum – World Trade Center :

Résumé :

Ludwig Beillshmidt, secouriste de 26 ans dans la ville de New-York, est appelé le 11 Septembre 2001 au World Trade Center pour sauver les rescapés de l'attentat des deux tours jumelles. C'est dans les décombres qu'il sauvera Feliciano Vargas, un jeune employé de la Tour Nord. UA, Yaoi.


Prologue :

Un cauchemar. Ça ne pouvait pas être autre chose. La Tour en feu, des gens sautaient par les fenêtres pour ne pas mourir carbonisés... On se serait cru dans un film apocalyptique, mais c'était pourtant bien la réalité. Les passants regardaient avec effroi l'horrible spectacle qui se déroulaient sous leurs yeux, impuissants. Des femmes étaient en pleurs, leurs maris asseyant vainement de les consoler. Certains étaient au téléphone, paniqués en tentant de joindre leurs proches qui travaillaient dans la Tour Nord. Des parents venaient chercher en trombe leurs enfants à l'école, de peur qu'un autre accident n'arrive.

Je courrais, malgré mes jambes que je sentais flancher sous le choc. Je courrais pour tenter d'atteindre au plus vite la Tour Nord, afin de retrouver mon frère Gilbert qui à l'heure actuelle devait secourir les rescapés. Lui aussi est pompier-secouriste, comme moi.

Mon nom est Ludwig, Ludwig Beillshmidt. J'ai 26 ans et cela fait bientôt 10 ans que nous sommes arrivés aux États-Unis avec ma famille. Nous habitions autrefois à Berlin, jusqu'au jour où notre père a reçu un ordre de mutation à New-York. C'est depuis ce jour que nous avons quittés nos amis, notre maison, notre Pays... A l'âge de 18 ans j'ai décidé de rentrer à l'armée pour renforcer ma force physique et mon endurance afin de réaliser mon rêve : devenir Pompier. Ce métier m'avait toujours fait rêver; sauver les gens des flammes, devenir un héros en quelque sorte. C'est un peu de la même façon que je considérais Gilbert lorsqu'il rentrait à la maison et nous racontait avoir bravé les flammes afin de sauver une famille entière d'une mort affreuse... Mêlant étude et Armée, j'ai eu beaucoup de mal la première année à suivre le rythme infernal que mes supérieurs m'imposait. Mais grâce au soutien et à la confiance inébranlable de mon frère, j'obtins finalement mon bac ainsi que mon diplôme de pompier-secouriste. Toute ma famille était fière de moi, c'était bien la première fois d'ailleurs. Je n'avais que des résultats scolaires médiocres après avoir emménagé aux États-Unis. Tout cela terminé, je fus pris comme stagiaire dans une caserne et engagé comme pompier une année plus tard.

Aujourd'hui aurait dû être une journée normale. Mais le destin en a décidé autrement. Cet accident, cet avion qui a percuté la Tour avec tous ces gens à l'intérieur... Si seulement je n'avais pas oublié hier de mettre mon réveil à sonner, j'aurais pu être à l'heure qu'il est avec Gilbert à tenter de secourir le plus de gens possible... En me traitant d'abruti un fois de plus, je me rapprochais de plus en plus de la zone quadrillée par les policiers et mes quelques collègues. J'étais à bout de souffle, mais ne flanchai pas pour autant. Je devais rester fixé sur mon objectif. Tout-à coup, un bruit de moteur assourdissant me vrilla les oreilles et je levai la tête vers le ciel. C'est là que je vis un second avion qui vint s'écraser à pleine vitesse sur la Tour Sud. Jamais je n'aurais imaginé un scénario pareil, j'étais tombé au beau milieu d'un horrible cauchemar... Je n'en croyais toujours pas mes yeux. Deux avions s'écrasant sur les Tours jumelles, un des symboles de puissance de l'Amérique... Cela ne pouvait pas être une coïncidence... J'entendais autour de moi des policiers s'affoler et crier dans leur Talkies-walkies. J'écoutais d'une oreille distraite, choqué par ces évènements bien trop brusques à mon goût. Je tiquais néanmoins aux mots «Attentat», «effondrée» et «évacuer». La tour était sur le point de s'effondrer ?

Je tentais de réfléchir à la situation pendant quelques instants. Si j'avais bien tout compris, il s'agissait là d'un attentat et non pas d'un accident ? Mais qui pouvaient bien être ses salauds qui ont osés détourner un avion pour tuer des personnes innocentes et détruire la vie de centaines de familles ? Hors de moi, j'accélérais le pas quand un policier m'interpella. Je lui montrai de loin mon badge de secouriste sur mon uniforme et me mis à courir de plus en plus vite.

Tout-à coup, je sentis le sol trembler violemment et j'entendis un fracas assourdissant. Des pompiers hurlaient des choses qui m'étaient incompréhensibles, je ne comprenais plus rien de ce qu'il ce passait autour de moi, et pris d'un horrible pré-sentiment je levais la tête vers la tour qui était en train de...

«Oh Putain...»

La seule chose dont je me souviens est la vision de la Tour qui s'effondrait au ralenti et de la poussière qui recouvrit le ciel quelques minutes après...

Je ne me rappelle plus vraiment ce qu'il s'est passé après cela, le trou noir de l'inconscience m'envahis alors sans que je ne puisse faire quoi que ce soit...