La porte ronde se referme sur le refuge de nos amours. Le bouton tourne et préserve nos voeux des flèches de nos ennemis. Le vert de ce qui nous scelle se confond avec la colline,
comme pour mieux nous cacher aux yeux de ceux qui nous voudraient ailleurs. Loin du doute mais près du tout, nous respirons enfin le parfum de nos souvenirs créés au présent. Au dehors la pluie est le soleil comme un tableau perpétuel, mais à l'interieur, toujours la chaleur de nos étreintes, nos baisers, notre amour couvé aprèd tant de batailles pour le faire vivre. Je ne lâcherai plus ta main,
même pour une couronne. Je ne quitterai plus ce trou, même pour un Royaume. Je ne donnerai pas ce bonheur contre une montagne d'or. La richesse de ton âme dans ce petit corps m'est bien plus important que toutes futilités inventées. Je veux chérir la vérité de nos paroles et nos regards pour l'éternité.
comme pour mieux nous cacher aux yeux de ceux qui nous voudraient ailleurs. Loin du doute mais près du tout, nous respirons enfin le parfum de nos souvenirs créés au présent. Au dehors la pluie est le soleil comme un tableau perpétuel, mais à l'interieur, toujours la chaleur de nos étreintes, nos baisers, notre amour couvé aprèd tant de batailles pour le faire vivre. Je ne lâcherai plus ta main,
même pour une couronne. Je ne quitterai plus ce trou, même pour un Royaume. Je ne donnerai pas ce bonheur contre une montagne d'or. La richesse de ton âme dans ce petit corps m'est bien plus important que toutes futilités inventées. Je veux chérir la vérité de nos paroles et nos regards pour l'éternité.
