Titre : Nutrire
Auteur : Solène
Rating : K
Spoiler : Aucun. Saison 1.
Résumé : Une "exploration" dans une des zones inexplorées de la Cité. Gervis & Co à la poursuite de Rayan l'insouciante du temps qui passe ! Une préquelle de "Explorer, et après… ?"
Disclaimer : Alors… Pas d'argent perçu. La série Stargate Atlantis et tout le toutim ne m'appartiennent pas. (On peut toujours rêver… Ça ne peut pas faire de mal…) C'est juste pour le plaisir d'écrire ! Par contre, les personnages de Sara Rayan, Dan Gervis, Jayce Bart et Stan Kruck m'appartiennent. (C'est déjà ça… Il ne manquerait plus que ce soit le contraire ! Non mais ! lol)
Note : Vous ne verrez pas forcément les persos de la série. Seuls quelques persos récurrents pointeront leur nez.
Indications : Les phrases en " italique " indiquent les pensées des personnages. Les phrases en / italique / indiquent une transmission radio reçue. Les phrases en / normal / indiquent une transmission radio envoyée.
Note de l'auteur : Pour ceux pour qui ça intrigue, "nutrire" vient du latin et veut dire nourrir. Les explications viendront plus tard. Mais vous pouvez toujours me faire part de vos avis ! lol
Note spéciale : Je te tiens particulièrement à remercier Sady pour ses avis qui m'ont beaucoup aidés dans la rédaction de cette fic ! Et à Tiphaine pour m'avoir poussée à la faire ! Gros bisous à vous deux ! Je vous adore !
Chapitre 01
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Le Lieutenant Dan Gervis soupira pour la énième fois. Il s'attira les foudres du Docteur Beckett qui commençait à en avoir assez de ces manifestations d'impatience.
" Lieutenant. Cessez vos soupirs. Cela n'ira pas plus vite pour autant et ça ne fait que m'agacer. Vous ne voudriez pas rester une semaine de plus, non ? "
Le Lieutenant secoua la tête avec assez de vigueur. Ce qui fit sourire Carson. " Ces militaires… Tous les mêmes ! " Il put donc finir son examen sur ce patient impatient de sortir de l'infirmerie. D'habitude, c'était un patient assez calme. Mais là, Carson voyait bien que quelque chose le démangeait sérieusement. Il s'agitait comme piqué par des puces. Il avait dû lui confisquer sa radio depuis qu'il l'avait surpris à appeler ses subordonnés tous les quarts d'heure ! Et il avait dû lui passer un énième savon quand il l'avait retrouvé encore une fois hors des murs de l'infirmerie ! Oh… Pas si loin que ça. Car sa cheville droite ne pouvait pas encore soutenir son poids. Rien que d'y penser, cela énervait Carson. Cela lui rappelait trop le comportement d'un certain Major qu'il fallait surveiller comme le lait sur le feu…
Pourtant… Les raisons de son impatience étaient en contradiction avec les raisons de son séjour à l'infirmerie. Même si cela avait trait à une seule et même personne. Carson secoua la tête en grommelant en gaélique tout en vérifiant l'état de ladite cheville naguère foulée. Puis, satisfait, il passa à l'examen de l'épaule gauche qui avait été déboîtée. Maintenant, le Lieutenant pourrait démettre et remettre son épaule à tout va. (1) Mais ce n'était pas lui qui le lui dirait ! Il ne manquerait plus qu'il voie le lieutenant tous les quatre matins ! Ce qu'il l'agaçait énormément. Il était certain qu'il le reverrait plus souvent avec ses comparses maintenant… Rien que pour les entraînements, sans parler des missions. Il en était sûr.
Il soupira. Ce qui lui valut un regard étonné du Lieutenant. Il continua à vérifier les muscles de l'épaule et les tendons qui avaient pris un bon étirement hors norme. Les grimaces du Lieutenant prouvait qu'il fallait encore une immobilisation partielle du bras.
" Bon… Votre cheville est guérie. Malgré le traitement que vous lui avait fait subir… " Il haussa un sourcil coléreux à l'encontre du Lieutenant qui déglutit. " Elle aurait pu cicatriser beaucoup plus vite. Les consignes que je donne ne sont pas des perles au pourceaux ! La prochaine fois, je pourrais bien vous faire endurer votre convalescence dans des conditions plus agréables à tout mon personnel… Me suis-je bien fait comprendre ! "
" Oui, Docteur. Très bien. " lâcha tout penaud le Lieutenant qui ne tenait pas à savoir ce qu'il lui réserverait sinon.
" Bien… ! Pour votre épaule, c'est une autre histoire. Elle devra encore être immobilisée quinze jours environ. Enfin… Cela dépend de ce que vous ferez avec entre-temps ! Ça risque d'être beaucoup plus long, vu la fréquence à laquelle vous semblait vouloir me rendre visite… Allez vous rhabiller. Vous pourrez sortir quand j'en aurait fini avec vous. "
Le Lieutenant fronça des sourcils pour comprendre tandis que Beckett lui confectionnait une écharpe sur mesure pour immobiliser son épaule. Il alla se changer rapidement malgré son épaule qui ne l'aidait pas encore. Lorsqu'il revint, la lueur qui éclaira ses yeux noisette indiqua qu'il avait compris. Il fit une grimace de dépit avant de répondre.
" La chance ne nous sourit pas, Docteur. Ces derniers mois, ça a été de la folie. A croire qu'on attire la guigne ! "
" C'est valable pour toutes les équipes, Lieutenant. "
" Oui. Mais j'ai vraiment l'impression que ça attend que nous pour nous sauter dessus… "
" Pour une équipe ayant des ennuis à plus en finir, je crois que SGA1 est en première tête ! Mais, il est vrai que dernièrement, vous les rattrapez… Je préférerais que vous évitiez au possible de suivre leur exemple ! "
" Bien sûr ! Ce n'est pas par plaisir qu'on atterrit chez vous… " finit par grincer Gervis.
" Oui. Oui. Je le comprends très bien, Lieutenant. Loin de moi l'idée de vous accuser de quoi que ce soit. Mais vous auriez pu éviter d'arriver cette fois dans mon infirmerie. "
" Je ne pensais pas non plus vous rendre visite ainsi… " ironisa Gervis.
" Je vois… Mais pourquoi avoir eu recours à cette forme d'entraînement ? "
" Parce que certains ont une prédilection pour. En combat rapproché, on ne se bat qu'en dernier recours à mains nues. Et on a été assez souvent dans cette situation pour que je veuille que tous les membres de mon équipe aient toutes les chances de leur côté… "
" Oui. Evidemment. C'est un aspect que je ne peux imaginer, en tant que Docteur. Mais c'est votre quotidien. "
" Oui… On est en guerre avec au moins deux peuples : les Wraiths et les Geniis. Cela fait beaucoup à prendre en compte en mission. On ne sait jamais qui va nous tomber dessus. " finit par hausser des épaules le Lieutenant. Enfin, d'une épaule.
" En effet… On en est tous au même point. Mais je voudrais éclaircir une chose avec vous. "
" Laquelle ? "
" Je ne sais toujours pas ce qui c'est vraiment passé pour votre "accident" à l'entraînement, ni de la personne concernée. Mais j'ai une bonne idée. Cependant, je voudrais que vous me le disiez clairement et sans détours douteux comme vos collègues en ont baratiné le Sergent Bates. Je suis médecin et je sais reconnaître l'intervention d'une ou plusieurs personnes. Là, il n'y a eu qu'une seule personne pour vous faire cela. Et vous auriez dit qui depuis longtemps sinon. Alors ? " Carson finit par croiser les bras avec ce fameux air du paternel sermonnant un de ses fils. (2)
Le Lieutenant s'agita, mal à l'aise. Il n'arrivait jamais à être stoïque avec le Docteur Beckett. Il avait toujours l'impression d'être le gamin pris en faute. Surtout maintenant. Il était en plein sous les projecteurs du docteur. Pris au piège comme un lapin devant les phares d'une voiture. Le Docteur Beckett lui rappelait trop son père finalement par certains aspects.
-ooO-Ooo-
Début du flash-back
L'entraînement avait débuté comme à l'habitude. C'est-à-dire tous les jours. Etant cantonnés pour au moins une semaine à la base, manque de missions oblige, le Lieutenant Dan Gervis avait pris la décision de peaufiner leur aptitude au combat rapproché. Ce qui sous-entendait la lutte au corps à corps, le combat aux bâtons version Teyla Emmagan (Autant apprendre les autres techniques. Ça peut toujours servir.) et surtout le combat à l'arme blanche. Là, le couteau de combat notamment.
Il en avait plus que marre d'être réduit à cette extrémité les trois quarts du temps pendant les missions. Il voulait donc que tous les membres de son équipe, " Sans exception ! ", puissent se défendre et attaquer avec ce moyen ou une autre arme. Vu le nombre de fois où ils avaient perdu leur armement à cause de peuplades craintives voire hostiles et qu'ils avaient fini par être attaqués par ces derniers ou des Geniis plus observateurs que la moyenne… La décision avait été vite prise. Dans cette galaxie s'était surtout le maniement du couteau qui prédominait contre des groupes hostiles autochtones. Et ils en avaient assez rencontré pour établir une de ces foutues statistiques !
Donc… Entraînement poussé sur le couteau de combat.
Ils en étaient à leur quatrième jour quand il décida de prendre en main Rayan. Il avait réussi à l'acculer à promettre de venir sérieusement s'entraîner avec eux. Il l'avait donc pris pour partenaire pour cette fois. Elle ne voulait pas vraiment s'impliquer dans ce type de combat. Mais il l'avait mise au pied du mur en lui arguant qu'il devait être sûr qu'elle puisse vraiment se défendre en cas de pépin. Il ne voulait pas être responsable de sa mort si elle en venait à être encore séparée d'eux sans qu'il ait pu au moins lui fournir les moyens de se protéger. Elle avait rechigné jusqu'à la dernière minute. Et c'était une adversaire maussade et involontaire qu'il avait eu en face de lui. Il avait perdu son calme. Là, il l'avouait volontiers. Elle avait fini par le mettre en rogne à faire sa tête de mule. Il l'avait donc juste avertie qu'il allait franchement l'attaquer pour lui montrer ce qu'il l'attendait si elle continuait sur cette voie.
Evidemment, il y était allé assez franco. Ce qu'il avait momentanément oublié, c'était qu'elle avait déjà eu à vivre un épisode pareil. Et il en avait eu pour ses frais.
-oooo-
" Rayan ! Cesse de faire ta tête de mule ! Bon sang ! Je ne veux pas avoir un membre de mon équipe qui ne sache pas se défendre au couteau ! Tu sais bien combien de fois on a perdu nos armes ? Et qu'on s'est retrouvé sans moyens de défense à longue porté ? " s'énervait Gervis.
" Ça, je le sais ! J'y étais, je te le rappelle ! Mais je voie pas en quoi je devrais me plier à cette mascarade ! Je suis une civile ! Une scientifique ! C'est vous les militaires ! Vous devez me protéger, non ? C'est pas votre boulot ? "
" Rayan… ! Pour une fois, est-ce que tu pourrais éviter de te retrancher derrière ce "mur" ? Je n'ai pas envie que tu te retrouves encore une fois séparée de nous sans moyens de te défendre. Est-ce si difficile à comprendre ? Tu n'auras pas toujours un Beretta à portée de main. Je ne veux pas que tu en viennes à mourir sans que tu ais pu te défendre jusqu'à ce qu'on puisse te retrouver pour t'aider ! "
Gervis avait eu le soutien silencieux des deux autres. Elle avait capitulé.
" D'accord… Si vous vous y mettez tous… Mais ne te plains pas ! Tu es averti que je ne voulais pas le faire ! "
" Oui. Oui. D'accord. Tout ce que je veux c'est pouvoir savoir que tu pourras te protéger convenablement à l'avenir. "
" Allez. Qu'on en finisse. J'ai autre chose à faire, moi. Je ne peux pas me tourner les pouces comme vous. "
" Oh ! Quelle surprise ! Je ne savais pas que tu pouvais avoir du travail ! " ironisa Gervis.
" C'est ça. Moque-toi. C'est pas parce que je suis cantonnée à l'équipe de la maintenance informatique que je n'ai rien à faire ! "
" Ouais… Je demande à voir. Tu dois glander souvent. Le Docteur McKay répare pratiquement tout le temps les systèmes, quand c'est pas le Docteur Zelenka ou le Docteur Grodin. "
" Pfff… Je ne voie pas pourquoi je devrais m'immiscer sur leurs plates-bandes. Ils ont fait clairement comprendre que personne ne devait essayer de réparer les système sans supervision de leur part. Un mémo a circulé. Et comme ils font généralement eux-mêmes la réparation… Je ne voie pas pourquoi je devrais effectuer les réparations moi-même pour m'attirer leurs foudres au final. J'ai horreur d'être sermonnée pour un boulot que j'ai fait correctement. "
" Mais oui… Mais revenons-en au sujet qui nous intéresse ! Mets-toi en position ! "
" Pour quoi faire ? C'est qu'une perte de temps ! "
" Rayan ! "
" Quoi ? "
" Tu le sais très bien. M'oblige pas à le répéter. Je te croyais plus intelligente que ça. "
" Qu'est-ce que tu peux être casse-pieds quand tu t'y mets ! "
" Parle pour toi ! C'est qui qui recule des quatre fers depuis dix minutes pour un entraînement au couteau ! "
" Qui voudrait d'un pareil entraînement ! "
" Les personnes qui veulent faire des vieux os dans cette galaxie ! "
" Cela m'indiffère ! "
" RAYAN ! Ça suffit ! En position ! Ou tu vas le regretter… "
Là, elle avait obéi de mauvaise grâce en traînant les pieds au possible. Ce qui avait fini d'agacer Gervis, déjà plus que passablement énervé par l'attitude de Rayan. Son attitude maussade et sa répugnance manifeste d'obéir à cet ordre somme toute logique et vital à sa future survie étayaient la colère de Gervis à son encontre.
" Mais qu'est-ce qu'elle a ? Elle ne veut pas vivre ou quoi ? Rhaaa ! Qu'elle m'énerve ! "
" Je vais t'attaquer. "
" Oui. C'est ça. Attaque-moi. Ce sera la totale. "
" Rayan ! "
" Gervis ! "
" Non de non ! Quel âne buté ! Tu pourrais pas faire un effort ! "
" Pour être comme tous ces militaires ! Je suis une civile ! Une scientifique ! Bon sang ! "
" Merci de nous mettre tous dans le même sac ! "
" Rhaaa ! Tu m'énerves à la fin ! Je te croyais au-dessus du lot ! Apparemment, je me suis trompée ! "
" Nondenondenondenon ! Tu ne partiras pas de cette salle avant qu'on en ait fini ! S'il faut qu'on y passe plusieurs jours de plus ou des semaines, je m'en fous ! Mais on ne repartira pas en mission tant que je n'aurais pas décidé que tu as un niveau acceptable pour te défendre ! Et n'espère pas te défiler ! J'en référerai au Docteur Weir. Tu peux être sure que je saurais trouver les arguments pour qu'elle me donne raison. "
Elle souffla entre ses dents de dépit. Mais elle se mit en position. Le couteau d'entraînement en plastique lesté semblait pas à sa place dans sa main. Mais Gervis n'en avait cure. Si elle tenait à maintenir cette attitude revêche face aux armes, elle allait le regretter. Il l'attaqua donc brusquement comme le ferait un Genii vicieux : en changeant de main porteuse dans son attaque.
Il ne s'attendit pas à sa réaction immédiate et brutale. Toute son attitude changea du tout au tout. Tout se déroula en à peine en quelques secondes. Elle s'avança d'un pas vif pour lui bloquer le bras par un coup descendant de son avant-bras droit avant de lui assener un coup de coude à la tempe droite à la suite, ce qui l'étourdit. Tandis qu'un de ses pieds s'enroulait autour de sa cheville droite, elle lui prit aussitôt le bras gauche avec lequel il l'avait attaqué, lui prit méchamment le poignet pour lui faire une clé bloquante et l'envoya valser dans les airs par-dessus elle. A ce moment-là, il sentit son épaule craquer et se déboîter, et sa cheville lui apprit à son atterrissage brutal qu'elle ne pourrait plus le soutenir. La douleur eut fini de lui couper le souffle quand son épaule meurtrie percuta également le sol. Et l'inconscience le prit dans ses rets.
-oooo-
Ce n'est qu'à son réveil à l'infirmerie qu'il comprit qu'il ne s'en tirerait pas à si bon compte. Son épaule gauche était bandée si serrée que son bras était totalement immobilisé. Idem pour sa cheville droite. Et en prime, il avait été attaché au lit. Ce n'est qu'avec l'arrivée du Docteur Beckett, alerté par le monitoring, qu'il avait pu être libéré des sangles. Il avait appris que cela faisait trois jours qu'il était inconscient et qu'ils avaient dû l'attacher car il se débattait dans son sommeil au risque d'aggraver ses blessures.
Tout ce qui lui revenait en mémoire, c'était une Rayan transformée qui l'attaquait comme un combattant aguerri. Mais c'était surtout son regard glacial. Et son visage sans vie. Il avait rêvé de ce regard. Mais il n'en avait rien dit au docteur. Il ne pouvait pas encore l'admettre.
Et quand le Sergent Bates avait fini par venir chercher des explications, il prétexta qu'il ne se souvenait pas de ce qu'il s'était passé : le coup à la tête. Le Sergent avait insisté jusqu'à ce que le Docteur Beckett l'expulse de son infirmerie à grand renfort d'invectives colorées avec un accent écossais à couper au couteau ! Il en avait pris pour son grade ! C'est sûr ! Dan avait eu du mal à se retenir de rire à la mine ahurie du Sergent. Le Docteur l'avait menacé de représailles toutes personnelles entre ses mains de médecin des contrôles mensuels et post-missions. La pâleur dudit Sergent avait été très éloquente. Même pas besoin de parler au Docteur Weir. Sauf s'il y tenait tant que ça à subir sa colère froide… Le Sergent Bates avait déguerpi vite fait de l'infirmerie et tout était redevenu calme, comme après une tempête. Après la pluie, le beau temps.
Dan n'avait pu se retenir plus longtemps de rire. Mais il l'avait regretté ! Son épaule ne le supportait pas. Des hoquets de douleur avaient vite remplacé ses éclats de rire. Le Docteur Beckett avait alors augmenté la dose d'anti-douleurs et lui avait administré un calmant doux. Il avait fait ainsi de plus doux rêves.
Fin du flash-back
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TBC
Notes explicatives :
(1) Vous savez, comme dans l'Arme Fatale 2, le sergent Martin Ricks (Mel Gibbson) se démonte l'épaule pour sortir d'une camisole suite à un pari avec ses collègues policiers et ce devant la psy. Je me marre toujours autant de le voir la faire tourner en bourrique après.
(2) J'aime particulièrement ses scènes ! lol C'est hilarant ! Voir des militaires se ratatiner comme des gosses devant leur père… Arf ! Trop drôle !
Propos de l'auteur :
Une nouvelle aventure de ma petite équipe SGA9 ! Bon… C'est une préquelle. Qu'est-ce qui se passe quand ils sont bloqués dans la Cité ? lol
L'idée des zones inexplorées m'avait trotté dans la tête depuis un moment. C'est l'occasion de la mettre en pratique !
Haaaa… L'infirmerie ! Et son Docteur Ecossais ! Miam ! J'ai pas pu résister longtemps ! lol En plus, ça me démangeait trop de faire tarabuster Bates par Carson ! Niark !
