Voilà une fiction que j'ai traduit de l'anglais avec l'accord de l'auteur. C'est la première fois que je fais une traduction donc si vous pouviez laisser une petite reviews pour me donner votre avis ce serait génial :)

Bonne lecture !

Un an et demi auparavant :

Sam Cooper, chef de l'unité « Cellule rouge » au sein du département des sciences du comportement du FBI, s'assit sur le sol du salon de la maison d'un jeune docteur, à Raleyh, dans le nord de la Caroline. Coop, comme ses amis dans son équipe l'appellent, était entré dans la maison avec l'espoir de négocier avec leur dernier suspect. Cependant cet individu était lourdement armé, névrosé, et refusait d'écouter n'importe quelle figure d'autorité désormais. Il avait ordonné à Coop de s'asseoir avec les autres qu'il retenait déjà en otages.

Le nom de ce suspect était Todd Bryant, un soldat des forces spéciales britanniques, qui avait eu une dépression il y avait presque un an. Après l'incident Bryant était passé par une série de tests afin de déterminer si il allait être capable de rester un soldat, mais il fut peu de temps après honorablement demis de ses fonctions à causes de troubles post-traumatiques et renvoyé chez lui. Bryant avait supplié ceux qui étaient en charge de son renvoie de reconsidérer son cas car il refusait de croire qu'il était inapte au service. Mais ils n'avaient pas changer leur décision. Il s'était opposé à eux aussi longtemps qu'il avait pu, pendant tout ce temps devenant de plus en plus instable. Finalement il avait craqué et avait commencé à diriger sa colère vers ceux qui dans son esprits étaient la cause de sa colère et de son comportement instable.

Le docteur, qui l'avait diagnostiqué et avait donné le mot final aux dirigeants concernant Bryant, était la dernière personne encore en vie qu'il devait tuer pour en finir. Il avait brutalement tué toutes les autres personnes impliquées dans son renvoie, aussi bien que d'autres qui étaient avec les victimes au moment de leurs morts. Certains des témoins avaient survécu, d'autres non.

En dehors de la maison, John, ou « Prophète » comme tout le monde l'appelait, Beth et Gina essayaient de trouver un nouveau plan pour tenter de sortir tous le monde, cela incluait leur patron et Bryant, sain et sauf de là. Ils pouvaient tous entendre ce qui ce passait à l'intérieur grâce aux oreillettes qu'ils portaient tous, et donc ils savaient que le plan de Coop de négocier avec Bryant était tombé à l'eau.

Après quelques minutes de délibération, Beth pris sa radio, appela les snipers que l'équipe avait appelé en renforts dans le cas où ceci arriverait et demanda :

« Est ce que l'un d'entre vous à un angle de tire sue le suspect ? »

Un des snipers, qui s'était lui même positionné sur le toit d'un maison à coté de celle du docteur répondit dans la radio :

« Nous n'avons pas de tir dégagé. Votre patron est maintenant dans ma ligne de tir et le reste des otage et dans le champs de mes hommes. Il semblerait que votre tueur leur ait ordonné de rester prés des fenêtres. Il est malin. »

« Et bien, il appartenait aux forces spéciales britanniques. » répondit Gina, seulement à ceux qui se tenaient à coté d'elle. « Je te le dit, Coop n'aurait jamais du écarter Mick de l'enquête sous prétexte que lui et le suspect ont travaillé ensemble. Je pense qu'il est le seul qui peut raisonner Bryant. »

« Et bien, je suppose que c'est une bonne chose que j'ai choisi de ne pas l'écouter cette fois. » lança Mick alors qu'il passa devant eux et ordonna aux hommes armés de le laisser passer.

Beth cria : « Mick revient ! Il va se faire tuer ! »

Mais Prophète rétorqua : « Gina a raison. Il est le seul qui peut raisonner Bryant. Ils étaient amis après tout. »

« Nous avons besoin que vous et vos hommes restiez en retrait. » ordonna Gina encore une fois dans la radio. « Ne tirez pas à moins que vous ayez un tir clair et seulement si notre homme fait mine d'abattre notre agent ou un des otages. C'est compris ? »

« Ce sera fait Madame. » Répondit le chef des snipers.

Beth plaqua ses mains devant sa bouche dans une attente nerveuse et grommela : « J'ai horreur d'être appelée madame. J'espère que vous allez bien les gars. »

Pendant que ce déroulait cette conversation, Mick arriva devant la porte d'entrée, l'ouvrit et marcha doucement vers le salon en levant ses mains. Briant, en gardant une arme pointée sur Sam, dirigea rapidement son autre pistolet sur Mick alors qu'il continuait de marcher vers eux. Sam regarda avec crainte Mick rentrer désarmé et s'arrêter juste devant leur tueur, sachant exactement ce que son ami essayait de faire.

« Todd, je sais ce qui t'es arrivé. » commença à dire Mick. « Je suis venu ici contre les ordres de mon chef pour faire tout ce que je peux afin de sortir tout le monde d'ici sain et sauf, toi y compris. Tu n'as pas à faire ça. Je sais que tu n'as jamais voulu que tout cela arrive. Nous pouvons t'aider. Je peux t'aider si tu laisses tout le monde partir. Je resterai ici avec toi. Laisse le docteur et sa famille partir s'il te plaît ! »

« Je ne peux pas faire ça Mikey. » répondit Briant en pointant ses deux armes sur Sam et le docteur. « Toi et moi savons tous les deux que dès que j'aurais baissé mes armes et perdu mon moyen de pression, je suis un homme mort. En plus, cet homme mérite de mourir. Il m'a tout pris, tout ce que j'étais. »

Mick relança : « Ce n'est pas vrai mec ! Tu as encore Claire et tes enfants. Pense à eux. Pense tu qu'ils apprécient que tu fasses tout ça ? »

Bryant réagit violemment aux mots de Mick : « Je ne les ai plus désormais ! »

« Tu pourrais si tu arrêtais tout ceci et que tu nous laissais t'aider, Todd. » tenta Mick « Ils t'aiment toujours en dépit de tout ce que tu as fait. »

« Tu n'as pas vu la manière dont ils me regardaient après que j'ai été renvoyé chez moi. » dit Todd « Tu ne sais pas ce que ça fait de rentrer chez toi comme un homme différent, un cinglé ! »

« Peut être que je n'ai pas vu les visages de ta famille quand ils ont vu ce que tu étais devenu. » continua Mick calmement. « Mais je sais pour sûr qu'ils t'aiment et je sais ce que c'est de se sentir devenir un homme différent. J'ai tué tellement de personne en étant un sniper là-bas, tout comme toi. Je me suis sentis changer, et à cause de ça ma fiancée m'a quitté. Si il n'y avait pas eu Cooper, je me serais perdu, effrayé, en colère, et dieu sait quoi d'autre. Grâce à lui j'ai retrouvé ma vie, et je peux t'aider à retrouver la tienne. S'il te plaît Todd. Laisse moi t'aider. Tu es mon ami et je ne veux pas te voir te faire tuer. S'il te plaît laisse les partir. »

Briant regarda Sam, le docteur et sa famille, puis Mick alors que finalement il répondit : « Je ne peux pas faire ça Mick. Cet homme est responsable de tout. J'appartiens aux forces spéciales. Après tout ce que j'ai fait je mérite d'être le sniper que je me suis entraîné à être et non pas un patient dans une institution paumée. Tu es un traître parce que je vois dans tes yeux que tu les choisis eux. Si tu n'es pas avec moi alors tu mourras juste comme eux. »

Pendant qu'il disait ça Bryant retourna son arma contre Mick, gardant l'autre pointée sur Sam, et ouvrit le feu, quand tout un coup, Mick, encore plus rapidement, sortit une arme de son dos et tira une courte rafale sur la poitrine de l'homme, le tuant presque instantanément. Le tir de Bryant toucha Mick à l'épaule. Sam hurla le nom de son ami alors que la force de l'impact le fit tomber à la renverse et dos au sol.

Sam se précipita rapidement là où Mick était couché pour l'aider, tandis que des agents armés chargaient à l'intérieur de la maison, suivis par John, Beth et Gina. Les agents se précipitèrent vers le corps de du tueur et éloignèrent son arme tandis qu'ils vérifiaient qu'il était bel et bien mort. Les équipiers de Coop se dirigèrent vers l'endroit où il était agenouillé au dessus de Mick, qui était toujours couché sur le sol.

Beth fut la première à réagir et cria : « Appelez une ambulance ! Mon dieu, Mick ! On a entendu toute la conversation avec Bryant grâce aux oreillettes. Quand on a entendu les coups de feu nous étions persuadés qu'il vous avait descendu tous les deux. »

Gina ajouta : « Nous ne pensions pas que tu étais armé Mick. C'était de tout évidence un tir extraordinaire. »

« Apparemment pas assez extraordinaire, » rétorqua le concerné, « Je n'ai pas réussi à me préserver de me prendre une balle. »

« Non mais tu as réussi à sauver les reste d'entre nous », répondit Sam. « Bon boulot et merci. Tu vas bien ? »

Mick détourna le regard de son ami et fixa le plafond alors qu'il répondait doucement : « Je voulais vraiment le sauver Coop, j'ai combattu avec lui et j'étais là quand il a fait sa dépression. J'aurais dû savoir quoi dire pour le sauver lui aussi. J'aurais dû. »

Sam posa doucement sa main sur l'épaule indemne de son ami et lui dit : « Tu as fait tout ce que tu as pu Mick. Tu n'aurais rien pu dire de plus. Il était parti trop loin. »

« J'ai besoin d'être celui qui l'annoncera à sa femme et ses enfants. » Dit il néanmoins. « C'est mon devoir. Ils m'ont supplié de la sauver. »

« J'irai avec toi leur parler quand tu sera sorti de l'hôpital. » Répliqua Sam. « Maintenant soit un gentil garçon et fait ce que les médecins te disent. Oh, et en fait, ne désobéis plus jamais à un de mes ordres. La prochaine fois tu te fera probablement tuer. »

L'équipe rigola alors qu'ils se relevaient et reculaient afin de laisser les secouristes faire leur travail et prendre soin de leur ami. La blessure n'était pas grave mais ils savaient tous à quel point Mick avait été chanceux que la balle ne soit pas un centimètre plus près de la poitrine. Si ça avait été le cas, les choses auraient été différentes. »

Présent :

À l'intérieur du salon d'un appartement, un homme s'agenouille près du corps du femme à peu près âgée de 35 ans. Elle a était le meurtre le plus facile de l'homme jusqu'à maintenant et ne lui a pas donné toute la satisfaction qu'il espérait. Elle est tombée trop vite sous son charme et ne s'est même pas débattue quand il lui a planté le couteau dans le ventre.

Il retire le couteau de son corps et l'essuie rapidement avec un linge qu'il a apporté avec lui avant de le remettre dans sa poche à l'intérieur de sa veste. Puis il met ses mains dans le sang qui s'écoule et se redresse rapidement pour écrire un message sur le mur. Une fois qu'il a fini il nettoie toute la zone pour être sûr que ses empreintes ne seront nul part où les flics pourraient les trouver quand ils arriveront pour enquêter.

Avant de passer la porte d'entrée il se retourne pour admirer son travail une dernière fois et se tourne vers le message qu'il a laissé, le même message qu'il a laissé dans chaque maison de ses victimes, sachant qu'éventuellement il attira l'attention de la personne pour qui il fait tout ça. Le message dit : « TON TOUR EST PROCHE »

Voilà pour cette fois :)

Je traduirais le prochain chapitre pour la semaine prochaine je pense :)

Encore une fois : reviews please !