hi tout le monde c'est mon premier chapitre alors dites moi ce que vous en pensez (même un c'est trop nul casse toi! .. euh non je plaisante). bonne lecture
OooOooOooOooOooOooO
POV Bella
Biip...biip ...biip
Oh merde! C'est quoi sa encore? Ah oui mince mon réveil! Ce fut avec une nonchalance poussée à l'extrême que j'éteignis mon réveil. Enfin éteindre c'était trop dire je l'avais balancé d'un coup de main au sol.
Ben ouais faut pas me chercher dès le matin! Même si tu n'es qu'un réveil!
8H. tu as une longue journée qui t'attend Bella!
Je me levai et je constatai dans le miroir que j'avais énormément de boulot à faire et que si je ne dépêchais pas je risquerais d'être en retard pour mon inscription à la fac et pire pour mon rendez- vous avec Carmen!
J'étais surexcitée comme tout! Les cours allais enfin recommencer! Pas que j'étais pressé de retourner en cours mais j'allais enfin retrouver mes amis. Notre petite bande pas si petite que sa à vrai dire. Pendant les vacances on s'était pas beaucoup pour ainsi dire pas du tout vu. Chacun étant parti de son coté en vacances avec sa famille ou en amoureux, comme Angéla et Ben.
Moi... et bien j'avais travaillé. Et oui les autres vont à la mer, à la montagne, dans d'autres pays, et moi j'ai travaillé pour payer mes cours.
J'ouvrais mes stores pour aérer un peu ma chambre et je remarquai qu'il ne faisait pas très beau aujourd'hui et qu'une pluie menaçait. Malgré le fait qu'on soit au mois d'aout en plein été, Seattle restait Seattle.
Alors étape 1: me trouver quoi porter. Et sa c'est pas la chose la plus facile! Déjà on élimine tout ce qui est pantalon, trop serré... donc il nous reste soit une robe, une jupe ou short... tout ce qui est court à bannir. Donc il nous reste... jupe longue, robe longue.
Et finalement je choisis, une robe longue turquoise avec des fleurs multicolores. Et comme elle arborait un dos nu, je mettrais ma petite veste noir doré au cas où. Et voilà, c'était parfait pour camoufler l'horreur que j'avais sur toute ma jambe droite!
Et oui, tout ce cinéma pour camoufler cette attèle qui occupait toute ma jambe! Je ne savais même pas comment je m'était faite une entorse pareil au genou! Disons que je tombais tellement de fois dans la journée, que je ne savais pas laquelle des chutes m'avais fichu dans un état pareil. Peu importe, même si des béquilles sa ne pouvaient pas se cacher au moins l'attèle passerait ni vu ni connu. Je me demandai ce que les autres diraient:
« oh mon dieu, Bella, comment tu t'es fait sa? Angéla
En fait non pas besoin de savoir comment tu t'es fait sa! Mike
Mais bon fallait bien que sa t'arrive un jour ou l'autre. Tyler
N'empêche que c'est bientôt la rentrée et tu seras obliger de venir en cours comme sa ? Carmen
Ooooh ma pauvre Bella chérieee!! Jacob » blablabla.
Oui oui j'imaginais très bien leur air moqueur. mais bon j'avais l'habitude puisque j'étais pareil!
Ensuite étape 2: douche, coiffure, et maquillage ultra léger, le temps est lourd alors pas besoin d'en faire des tonnes.
Et voilà, en 1h j'étais fin prête. Puisqu'on avait rendez vous avec Carmen à 10h pour s'inscrire il me restait à peine 30min pour prendre un petit déjeuner correcte.
Direction la cuisine. Alors qu'est ce que je peux bien engloutir, ce matin? Hum... tiens je vais me faire des œufs! … avec des toasts, et... du jus d'orange! Voilà sa c'est ce que j'appelle un petit déjeuner digne de ce nom!
Bon il est l'heure d'y aller.
J'enfilais mes sandales dorées quand je reçu un message de Carmen.
salut bee
ramènes avec toi un parapluie, pour un être étrange dénommée Edward.
Je t'expliquerais tout plus tard.
Et sois pas en retard.
Bisous. Carmenounette.
Alors comme sa il pleuvait? Et qui c'était ce Edward?
Ah peut être son parapluie!
On avait pour coutume d'appeler nos parapluies par des noms.
Mais je croyais que le sien s'appelait oscar?
Peut-être qu'il s'est cassé et que maintenant c'est un nouveau. Ouais sa doit être sa.
Et pourquoi je dois lui ramener un parapluie à son parapluie?
Ben... pour lui tenir compagnie.
Bizarre cette histoire.
Pas plus bizarre que toi qui te parle à toi même!
J'enfilai ma veste en souriant face à ma folie et j'attrapai mon sac au passage.
Pendant que je fermais la porte de la maison, je me rendis compte, qu'on était mardi aujourd'hui et que Renée, ma mère, et Phil, mon beau père, rentraient demain de leur vacances en France.
Mince j'avais complètement oublié.
Comme d'habitude Bella, comme d'habitude...
Note pour moi même: faire des courses pour le repas.
Sur le chemin vers l'université de Seattle, je me rendis compte que j'avais aussi oublié de prendre un parapluie!
Oh merde. Carmenounette va me tuer! Putain, je suis vraiment trop tête en l'air!
Pas le temps de retourner à la maison, je serais en retard. Bah... c'était pas bien grave je lui dirais que j'avais oublié. Elle savait de tout façon à quel point je pouvais être tête en l'air parfois. Faut pas s'attendre à des miracles avec moi. Nouvelle année, même Bella!
Arrivé à destination, je remarquai le monde qu'il y avait et décidai d'appeler Carmen pour savoir où elle était exactement afin de ne pas me garer trop loin. Mieux valait éviter les longues marches surtout avec mon attèle et mes béquilles!
-ey, la miss, t'es où?
-Ben... à la fac.
-Oui sa je sais et moi aussi! mais t'es où exactement? Pour que je sache où me garer.
-Ah je suis du côté de l'accueil. De toute façon c'est là qu'ont lieu les inscriptions.
-Ok j'arrive tout de suite.
-Ok à toute.
je raccrochai et me rendis à l'endroit convenu. En sortant de la voiture, je remarquais que certains regards étaient braqués sur moi.
Bon, disons que j'avais l'habitude de toutes sortes de regards: les envieux (mon apparence n'était pas si déplaisante que sa à ce qui paraît ), les moqueurs( et oui faire le pitre à longueur de journée, c'était du tout moi), et maintenant j'avais droit au regard curieux ( c'est vrai que malgré mes béquilles ma démarche était un peu déformé à cause de ma jambe droite maintenue immobile par l'attèle, on aurait dit un pingouin à une jambe essayant de faire une course!), pour couronner le tout ma robe turquoise avec ses fleurs multicolores n'était pas la plus discrète qui soit.
Mais bon je m'en foutais de ces gens comme de ma première culotte! Alors...
J'aperçus Carmen au loin. Comme d'habitude elle était ravissante. Ses cheveux bruns à la limite du noir lui tombait en cascade dans le dos,et je remarquai qu'ils étaient devenus incroyablement longs, la robe qu'elle portait était simple, juste une robe fourreau noire, mais sur elle on aurait dit l'une des plus grandes création de la mode, bien sur malgré son 1m70 elle était toujours perché sur des talons, ceux là rouge s'accordant parfaitement avec son sac et son rouge à lèvres.
Carmen était une de ces filles qui avait l'apparence digne d'une star hollywoodienne et qui le savait alors elle l'utilisait à bon escient comme elle même le disait. Mais à la différence de ces filles, elle ne se résumait pas juste à son apparence: elle avait un cœur et une sensibilité hors du commun, elle était capable de s'approprier les problèmes des autres avec une telle facilité, elle ne se prenait absolument pas la tête et contrairement à ce qu'elle pouvait laisser transparaitre n'était pas du tout superficielle.
Je connaissais Carmen depuis le lycée. On fréquentait le même lycée, à Forks, ma ville natale. Mais disons qu'on ne se côtoyait pas vraiment. Parce que contrairement à maintenant , elle était assez renfermé sur elle même, et passait la plupart de son temps avec ses écouteurs aux oreilles. Elle nous évitait mes amis et moi, et répondait que très rarement voir jamais à nos discussions ou autres invitations.
Tout avait brusquement changé quand je l'avais aperçu pour la première fois à la fac. J'avais d'abord eu du mal à la reconnaître. C'était vrai qu'au lycée camouflé sous ses sweats et autres jogging on ne distinguait que très faiblement ses courbes avantageuses, et toute cette sensualité qui aujourd'hui était sa marque de fabrique.
Sauf qu'étant dans une ville inconnue, une université avec des proportions étonnantes, et un nombre d'élèves à peuplé une ville, elle a décidé de se rapprocher de nous, anciens élèves de Forks.
Alors on avaient formé « le clan des Forks sans le K » comme on aimait l'appeler. Il était constitué de Carmen, Angéla, Ben ,Jacob, Mike, Tyler, Jessica, Lauren et moi. Malgré cette première année à l'université de Seattle, on était resté toujours le même groupe et avions exclu malgré nous d'autres nouveaux amis. D'après ma mère, notre bloc déjà constitué devait faire un peu peur aux autres première année, qui eux arrivaient aux comte goutte. Et avouons qu'avec nos airs blasés, on avait pas du tout l'air de première année! On s'était dès le premier jour très bien inséré au sein de la fac, surtout avec Jessica et Lauren qui en un rien de temps connaissait la fac comme leur poche et toute la vie des élèves comme si elles les connaissaient depuis des années. On les avaient d'ailleurs surnommées les « maires de S.U ( Seattle university) ». J'espérais vraiment que cette année serait aussi magique que la précédente!
Carmen qui venait de remarquer ma présence marcha vers moi. Et je remarquai qu'il y avait quelqu'un à ses cotés.
Tiens elle ne m'a pas dit qu'elle viendrait avec quelqu'un.
C'est peut être son frère.
Oui sa devrait être sa.
Car celui qui s'avançait vers moi avait une beauté à couper le souffle tout comme Carmen. Il n'y avait certes pas de ressemblance à proprement parlé avec elle, mais il avait le visage dessiné à la perfection. Comme si ces trais avec été tracé avec une habileté hors du commun. Et ses cheveux attirèrent mon regard un instant, ils étaient auburn, entre le roux et le blond mais surtout complètement en pagaille! Je n'avais jamais vu pareille coiffure, si on pouvait appelé sa une coiffure! J'aurais plutôt dit un foutoir, oui voilà, un vrai foutoir!
Je remarquais qu'il avait le visage un peu fermé et passa sa main dans ses cheveux avant de glisser quelque chose à Carmen dans les oreilles.
Euh... peut être pas son frère à vrai dire.
Effectivement à la façon dont il a couvait des yeux c'était à peine dissimulé qu'il était le nouveau joujou de Carmen. Car oui pour Carmen les mecs étaient tous des joujoux faits pour tuer un peu le temps. Mais je ressentais tout de même un petit pincement au cœur. Le pauvre s'il savait dans quoi il s'était embarqué!
À peine était elle arrivé devant moi qu'elle se jeta dans mes bras et nous crions comme des folles à se faire des bisous et sautiller partout!
- aaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!
- aaaaaahhhhhhhhhhhhh!!!
- Oh, comment tu m'as manqué bell's!!!!
- Et toi aussi, ma Carmenounette! Et dis donc, c'est vacances ne t'ont fait que du bien apparemment!
- Ah bon? dis elle l'insouciance feinte, en faisant un tour sur elle même.
- Ah au fait bell's, je te présente Edward. Edward... Bella ma meilleure amie, et Bella... Edward, l'être étrange dont je t'ai parlé.
- Salut dis-je en lui faisant une bise sur la joue.
Oh mon dieu, en plus d'être un dieu vivant, il sent terriblement bon.
- Salut Bella. Et hum...c'est quoi cette histoire d'être étrange?
- Oh rien. Oublies. Bon bee tu viens? On va être en retard pour les inscriptions!
J'étais un peu gêné sans même savoir pourquoi. Disons, qu'avec mon petit handicap je ne me sentais déjà pas tout à fait à l'aise. Je décidai donc de marcher le plus lentement possible!
-OH PUTAIN!!! ISABELLA SWAN QU'EST CE QUI T'EST ARRIVE?
Ah! Apparemment elle venait tout juste de remarquer mes deux nouveaux bras. Pour réponse je soulevai légèrement ma robe et lui montrai mon attèle.
- Chute quelconque, dis- je sur un ton désinvolte, en la voyant me faire des gros yeux. J'avais l'impression que ses yeux allais sortir de sa tête tellement qu'elle les avaient agrandi. Oh c'est bon on ne va pas en faire tout un plat Carmenounette! Je suis tombée et voilà. Comme d'habitude quoi. Sauf que là... bah... il s'est trouvé que sa ma fait une déchirure au niveau d'un ligament du genou.
Tout d'un coup elle explosa de rire, et je la suivis dans ce fou rire.
- T... tu sais … quoi? Je … je suis... pas... éto... étonée... pour un sou! Pa... Par contre... pour... pour... la rentrée... sa n'i.... n'ira... pas du tout avec …la robe que... que... j'avais prévu... que t... tu portes. Dit elle en deux spasmes.
- Oh non ne t'inquiètes pas, je ne l'aurais plus d'ici une semaine. deux jours juste avant la rentrée!
- Ah ouf! Dit elle soulagée, J'ai vraiment eu peur! Mais bon rien d'inquiétant. Au fait Edward, tu parles pas beaucoup aujourd'hui.
- Disons que vous deux côte à côte sa m'effraie un peu! Je me demande si je n'ai pas atterri dans un asile de fou.
- Fait gaffe à tes mots Edward, je suis peut-être handicapé d'une jambe, mais mes poings ne le sont pas et j'ai deux bras supplémentaires, dis je avec un sourire, pour lui faire comprendre que c'était juste une blague.
Pour réponse il m'esquissa un sourire, qui me fit rougir instantanément!
- Bon y va! Je suis trop impatiente que tu sois avec nous Edward! Tu verras les autres vont super bien t'accueillir! D'ailleurs pourquoi ils ne sont là?
- En fait euh... ils se sont inscrits la semaine dernière. Mais moi j'attendais que tu reviennes des vacances pour qu'on vienne ensemble.
- Ah ok! bell's t'es un amour.
- Je sais, je sais...
On allait directement au secrétariat,et nous inscrivîmes rapidement, car on entrait tous en 2eme année section arts et lettres, avec certes des options différentes. J'avais choisis littérature options théâtre, Carmen options cinéma et Edward, options musique.
Donc nous aurons la plupart de nos cours en commun, excepté les options qui pour ainsi dire occupait la moitié de notre emploi du temps.
Comme on avait terminé ce pourquoi nous étions là, on décida de se rendre dans un restaurant du centre ville pour manger. En marchant ( enfin moi je ne marchais pas vraiment j'étais à mi chemin entre sauter et trainer des pieds) vers nos voitures, je remarquais qu'il s'était mis à pleuvoir. Et voilà, je savais que sa allais flotter! On s'abrita alors sous le porche d'un des bâtiments les plus proches.
-dis Bella, il est où le parapluie que je t'avais demandé?
-euh, justement. Disons que je l'ais un peu oublié!
-Raahh, Bella, Bella, Bella, quand tu veux tu peux tout retenir, même des pièces de théâtre d'au moins 200 pages, mais quand il s'agit de chose simple et banale, genre une phrase « ramènes un parapluie » tu oublies!
-« ramènes un parapluie pour un être étrange dénommée Edward »
-bref, on s'en fout! Et voilà, qu'est ce que je disait?! Tu t'en souviens même de la phrase exacte!
-Oh mais c'est pas grave. Mais je croyais que tu avais oscar?
-Non. Oscar , a définitivement rendu l'âme! La semaine dernière sous une pluie battante. Il n'a pas su résisté face au vent terrible. Snif... snif... dit elle, en faisant semblant d'essuyer des larmes sous ses yeux.
-Ooohhh pauvre oscar!! une fraction de seconde de silence pour cet être en fer et bois et de noir vêtu.... Je comprends que tu soit aussi triste, des parapluies comme lui, résistant à tout sortes de vent, de tempête, il y en avait pas tant que sa, tu sais...snif... je ne pense pas qu'un jour t'arrivera à trouver un remplaçant digne de ce nom, qui t'accompagnera à travers Seattle! Snif...
-Définitivement timbrées!! AU SECOUUUUURS MAMAN J'AI PEUUUUUR!!!!!
-Edward! Franchement tu me fais honte! Comment tu te comportes en public, c'est inadmissible, en plus devant mon amie que tu connais à peine?! Tu n'es vraiment pas sortable! Elle avait pris tout à coup un air très sérieux qui me faisait rire au vue de la situation.
-Han han Edward, vraiment pas sortable! Tu ne l'as pas si bien éduquée que sa Carmen?!
-Que voulez vous très chère, ma foi de nos jours il devient très complexe de s'occuper de cas tel que lui.
-C'est l'hôpital qui se fout de la charité!! Bon quand vous aurez finis de critiquer mon éducation on pourra y aller, parce qu'on aurait dis que la pluie s'est calmé. Ou plutôt elle a eu pitié de moi.
-LA FERME EDWARD!!! disons nous en cœur.
Je me rendis compte que venant de moi sa devait lui paraître étrange vu qu'on se connaissait à peine.
-euh... désolée, j'aurai peut-être pas du te dire sa!
-oh non, c'est bon. Je t'ai bien traité de timbrée, alors on es à égalité. Pour l'instant en tant que presque amis.
-pourquoi je sens qu'on en a pas fini?
-oh je sens qu'on va bien s'éclater cette année « bee ». dit il en me faisant un clin d'œil.
A cet instant je remarquais qu'il avait des yeux incroyablement verts et emprunts d'une profondeur à fleur de peau. J'avais l'impression que son regard me traversait de part en part et qu'il voyait à travers moi, qu'il « me voyait » vraiment. Je crois que je n'avais jamais autant rougi qu'à cet instant. Oui cette année restera marqué dans ma vie, je le sens.
