Les pensées de Ziva, son point de vue sur sa famille du Ncis.
Remise en page le : 04/09/14
La douleur.
C'est tout ce que je ressens en ce moment, tout ce que j'ai toujours ressenti, sauf quand il était avec moi. En même temps, quand votre père est le directeur du mossad, vous ne risquez pas de jouer à la poupée jusqu'à vos 10 ans.
Quand je suis venue aux états-unis pour innocenter Ari, c'est là que je m'en suis rendu compte. À cause de lui, Anthony DiNozzo, Tony. Je n'ai pas eu une enfance normale, je n'ai même pas eu d'enfance, mais je l'ai toujours accepté. Jusqu'à aujourd'hui.
Car comment mon père pourrait comprendre que je travaille avec des américains. Qui plus est, avec lui, celui qui a tué mon "ex" qui était sous ses propres ordres.
C'est bizarre, je n'arrête pas de parler de mon père, mais ce n'est pas ma vrai famille. Ma véritable famille, mon équipe, mes amis, ceux qui ont toujours été là pour me soutenir dans les pires moments de ma vie.
Tout d'abord, il y a mon patron, Leroy Jethro Gibbs, dit Gibbs. Mon père. Il m'a toujours soutenue, même quand j'ai voulu réintégrer le mossad. Il m'a accepter dans son équipe comme agent de liaison, puis comme agent tout court, mais au fur et à mesure des années, c'est devenue comme un père pour moi. Il m'a toujours protégé, il m'a sauvé de très nombreuses fois, sans jamais m'abandonner une seule fois.
Ensuite, il y a Timothy McGee, dit Tim ou McGee ou encore le Bleu, mon frère. Il sait comment me parler, m'écouté, sans pour autant rentrer dans ma vie personnel, autant blessante soit-elle. Il a souvent prit des risques pour moi, même après être passé d'agent de terrain à informaticien.
Puis, il y a Abigail Sciuto, dit Abby, ma soeur. Bien qu'au début elle ne m'aimait pas beaucoup, ce qui ce comprend étant donné que mon demi-frère à tué sa collègue et ami Caitlin Todd, nous sommes devenue très proche. Toujours très irritée de me savoir en danger, elle a su me sauver presque sans aide plusieurs fois. Elle parle vraiment beaucoup, mais n'a jamais été blessante envers moi, malgré les quelques différents que nous avions eu.
Après, il y a Donald Mallard, dit Ducky. Je ne sais pas comment le qualifier, il est comme le sage de ma famille, toujours a l'écoute et au besoin des autres, mais il ne demande jamais rien en retour. Il m'a souvent été d'un grand soutient durant des périodes difficiles de ma vie.
Et pour finir, il y a Anthony DiNozzo, dit Tony, avec qui je noue une relation très particulière, entre amour et amitié, entre petit ami et frère. Sans lui je ne sais pas ce que je serai. Il a organisé une opération de sauvetage pour moi, alors qu'il me pensait morte, mais qu'il ne voulait pas accepter la vérité en face. D'après ses dires, il ne peut pas vivre sans moi. Je ne sais pas si c'est vrai, ou si ce n'était qu'un mensonge, mais je garde espoir qu'un jour nous soyons ensemble, malgré la règle numéro 12.
