Hello evreybody ! Comment ça va ?
Voilà ma nouveauté, j'innove les sections vides de toutes histoires...
Non, honnêtement j'ai adoré le film Desperado 2 et je voulais depuis longtemps faire une fction... et comme je vois je suis la première !! Franchement... faut pas être si timide !
De toute façon, je m'en fiche. Vive la liberté d'écrire toute seule !!!!
Enfin, pour ceux qui on quand même échoués jusque là, merci de me lire et de me dire si je dois continuer... (seule, sur ce chemin hasardeux) ------ non, mais je m'écoute, des fois ? :) Bonne lecture !
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Once upon a time in Mexico 2
I
Bienvenue à Mexico...
Il était environ 21h00 quand Helena pénétra dans l'hotel-restaurant miteux d' Ernesto Lopez, un sac de voyage à la main. La salle était bourrée de monde, et la jeune femme se fraya tant bien que mal un chemin jusqu'au comptoir. Elle arriva à se placer entre un gros mexicain à moustaches qui parlait fort avec son voisin de gauche et un homme tout en noir avec des lunettes de soleil.
Que quieres usted ? demanda le barman.
Helena dû lui faire répéter sa question tant le vacarme était grand.
Un Martini, s'il vous plaît, finit-elle par répondre.
Tout de suite, senorita.
Helena regarda autour d'elle. Le lieu ne payait franchement pas de mine. Et les gens autour d'eux criaient pratiquement les uns sur les autres pour pouvoir s'entendre. Heureusement pour elle, la jeune femme ne s'était pas habillée comme à son travail. Sinon elle aurait été sûre de se faire remarquer sur le champs. Depuis quelques temps, la C.I.A. ne passait plus inaperçue au Mexique...
Voilà, senorita. dit le serveur en posant un verre en face d'elle.
Merci senor... Helena prit le verre et en bu une gorgée. Oh, senor ?
SÍ ?
Vous ne connaîtriez pas par hasard un dénommé Sheldon Sands ?
Le visage buriné du barman pâlit. On aurait pu jurer que l'homme en noir à côté d'elle avait serré les poings.
Vous le connaissez ? répéta la jeune femme.
Vaguement entendu parler... mais j'ai entendu dire qu'il n'était plus dans le coin, hasarda le barman.
Ah. Vous louez des chambres ici, senor ?
Oui, senorita. Adressez-vous à Ricardo, dans la pièce à côté, par là.
Très bien... elle finit son verre et laissa de l'argent sur le comptoir. A bientôt, senor. Et elle partit prendre une chambre.
Le barman soupira.
Bravo, Lopez. Tu as réussit à sauver ta peau encore une fois, fit l'homme en noir au barman, en rengainant son pistolet de dessous le comptoir.
C'est bizarre qu'une jolie fille comme ça te cherche, amigo.
Sands fit mine de ressortir son arme.
Non,non ! C'est pas ce que je voulais dire !
Elle ressemble à quoi, cette fille ? demanda-t-il.
Taille moyenne, cheveux bruns, yeux bleus, dans les 25 ans ... porte un jean, des tennis, un débardeur blanc et un gilet noir. Je pense qu'elle cachait une arme dans son sac. Quelqu'un que tu connais ?
Sands réprima un sourire à faire frissonner, et se leva.
Pas encore.
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Helena sorti de la douche en peignoir, les cheveux mouillés. Rapidement elle se sécha les cheveux et enfila sa chemise de nuit. La journée de voyage l'avait épuisée. Vivement une bonne nuit de sommeil... La jeune femme prit son pistolet et le cacha sous son oreiller.
Jamais trop prudente.
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Le lendemain matin, Helena eu la désagréable impression de sentir quelque chose de froid et de métallique sur son cou. Sans ouvrir les yeux, elle essaya de bouger la tête, mais la sensation ne la quittait pas. Finalement réveillée, Helena ouvrit les yeux et ne pu retenir un cri de peur. L'homme en noir de la nuit dernière était assis dans un fauteuil à côté du lit, un pistolet ... contre son cou.
vez passé une bonne nuit, senorita ?
Helena reprit peu à peu ses esprits. Lentement elle essaya de se lever, mais la pression du canon contre sa peau s'accentua.
Je ne vous le conseillerai pas, si j'étais vous.
Qu'est-ce que vous voulez ? souffla-t-elle.
Je vous retourne la même question. répondit l'homme sans broncher, un calme surprenant dans le son de sa voix.
Je ne comprend p...
Bon, écoutez, je sais que vous savez qui je suis. Et je devine presque qui vous pourriez être. Donc on va arrêter de perdre du temps inutilement. Sands enleva la sécurité de l'arme. Cela vaudra mieux pour vous.
Helena soupira de rage. Elle s'était faite avoir comme une débutante.
Je suis de la C.I.A. On m'a envoyée pour... pour m'assurer...
Que j'étais bien mort, après qu'on m'ai arraché les yeux ? compléta Sands, en criant presque.
Apeurée, Helena se contenta de secouer la tête positivement. Bien qu'aveugle, cet homme n'avait rien perdu de ses facultés. Elle était presque sûre qu'il prenait un certain plaisir à se défouler sur elle.
Vous voyez, ce qui m'étonne, c'est qu'ils m'ai envoyé une débutante comme vous. C'est presque trop facile.
C'est que personne ne voulait le faire... dit Helena, un tremblement dans la voix. Allez-vous aussi me tuer ?
Sands ne pu s'empêcher de ressentir une vague d'orgueil l'innonder. Cette fille le craignait, la C.I.A. avait peur de lui maintenant que personne ne le contrôlait... cette prise de pouvoir était tout aussi jouissive.
, répondit enfin Sands en réprimant un sourire. Je ne me sens pas d'humeur.
Helena lui lança un regard peu rassuré qu'il ne put bien entendu pas apercevoir.
Enfin... pas pour l'instant.
Brusquement il enleva la pointe du pistolet et se leva. Il fit quelques pas à tâtons jusqu'à la porte.
Vous enverrez un message à la C.I.A. pour leur assurer que je suis bien mort.
Helena le regarda en se demandant s'il était sérieux. S'il allait vraiment la menacer de la tuer si elle ne mentait pas à ses patrons.
dit-il.
Mais il n'entendit pas Helena bouger. Ce refus perpétuel commençait à vraiment l'échauffer.
LEVEZ-VOUS ! TOUT DE SUITE ! hurla-t-il en pointant son arme vers elle.
Avec le plus de rapidité dont elle pouvait faire preuve, Helena sortit du lit.
, dit Sands en essayant de se contrôler. L'envie de tirer sur cette petite idiote le taraudait depuis qu'il était entré dans cette chambre. Mais il devait se servir d'elle pour assurer sa liberté et couper tous les ponts avec son ancienne vie. Oui. Il fallait qu'il attende.
Une fois habillée -non sans gêne, Helena le suivit dans le couloir, après que Sands se soit assuré qu'elle n'était pas armée. Il était encore très tôt dans la salle commune du rez-de-chaussée quand Helena et Sands descendirent. Il s'assit à l'une des tables et lui fit signe de faire de même. La jeune femme s'exécuta sans plus se poser de questions sur les moyens dont disposait le Tireur Aveugle pour se faire obéir.
Il chercha quelques instants dans sa poche et en tira un papier et un stylo.
Écrivez ce que je vais vous dicter.
II
Voir Mexico...
Helena regarda d'un il vide le soleil se coucher à l'horizon, assise à la fenêtre de sa chambre d' hôtel. Elle se sentait vide et faible. Faible de ne pas avoir pu tenir tête à Sheldon Sands, faible de l'avoir laissé disposer de sa vie comme il voulait.
Maintenant, je ne suis plus rien, pensa-t-elle.
Plus de C.I.A. Plus de vie. Plus d'action.
Un relent de rage la submergea. Comment avait-il osé la faire démissionner et assurer qu'il était bien mort ? Elle n'avait finalement qu'une seule envie : le tuer. Mais une question restait en suspens. Pourquoi ne l'avait-il pas tuée après avoir posté la lettre ?
Helena ne préférait pas émettre de théorie. Son imagination la perdrait trop loin.
D'un bond elle se leva et décida d'aller au bar. Histoire d'oublier un peu toute cette fichue histoire, d'oublier que sa vie est... terminée.
Le bar, comme à son habitude, était bondé. Sans ménagement Helena poussa les gens en travers de son chemin et gagna le comptoir.
Elle chercha de l'argent dans sa poche et le posa sur la table.
Senorita ? demanda Lopez, l'air un peu surpris.
Une tequila, porfavor.
Helena enfila les verres les uns après les autres sans voir le temps passer. Peu à peu le bar se vida et il ne restait plus qu'une vingtaine de personne assises aux tables entrain de boire, de manger et de jouer. C'est alors qu' Helena remarqua Sands assis dans un coin, entrain de siroter un liquide brunâtre.
Sans réfléchir, Helena prit son verre et vint s'asseoir à sa table.
Je vous préviens. Qui que vous soyez, si vous restez une seconde de plus à cette table, ça va mal se passer pour vous. dit-il.
L'effet de sa menace ne parvint pas au cerveau d'Helena sans que l'alcool vienne s'en mêler. Celle-ci se mit à rire sans raison.
Quoi, c'est encore vous ? s'exclama Sands.
Hé, le vous il a un nom.
C'est moi, ou vous avez bu un verre de trop ? fit-il, un peu étonné.
Ça se pourrai bien, amigo.
Trop surpris pour réagir, Sands se contenta de s'imaginer Helena saoule assise en face de lui, un sourire narquois aux lèvres. Facile à dire. Toute fois, le décors ne manquait pas de piquant. La voix de la jeune femme avait prit un timbre plus grave et d'une manière, plus sensuel. Cela le troubla un peu.
Vous êtes entrain de faire quoi exactement ? finit-il par lâcher.
Ça vous embête, hein, de ne pas savoir ce que je fais...
Ne me tentez pas de me servir de mon arme. siffla Sands en prenant un air menaçant. Elle avait touché la corde sensible.
Du calme, du calme. Vous voulez vraiment savoir ? Eh bah j'étais entrain de vous regarder...(les mots affluaient trop vite dans sa tête)... et je me disait... que vous étiez pas mal du tout. Ouais, ouais, je sais, c'est idiot de ma part de trouver un salaud comme vous sexy après ce que vous m'avez fait... mais je dois dire que vous avez un truc.
Très fière de son discours, Helena se leva.
Bon... je vais prendre l'air du soir... adios, Sands.
Et sur ce, elle sortit sans laisser le temps à Sands le temps pour répliquer.
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Sheldon Sands se réveilla en sursaut. Ses cauchemars l'avaient repris. Il était perdu... il faisait sombre. Et cette horrible sensation de se réveiller et de ne rien voir que du noir. Rien. Un vide total. Sa vie était devenue un cauchemar sans limite entre le rêve et la réalité. Les souvenirs de la nuit dernière resurgirent peu à peu dans son esprit. Helena l'abordant, Helena saoule et racontant n'importe quoi... lui disant qu'elle le trouvait sexy. Cette dernière pensée le laissa perplexe. Elle l'avait traité de salaud sexy. Un côté de son esprit voulait se venger et la tuer, l'autre voulait approfondir ce nouveau point. Depuis combien de temps un fille l'avait intéressé ? Longtemps.... même avant son .
Quand Sands arriva à l'hotel-restaurant tant bien que mal, il rejoignit le comptoir où Lopez nettoyait des verres.
Où est la fille ?
Qui ? Helena Evans ? demanda le barman.
Helena Evans... il avait complètement oublié son nom depuis qu'il lui avait dicté cette fichue lettre.
Ouais, c'est ça.
Je ne sais pas. Depuis hier soir, elle n'est pas rentrée.
Un vague mauvais pressentiment le saisit. Une jeune femme seule la nuit dans Mexico, qu'elle soit jolie ou non, avait toutes les chances de s'attirer de graves problèmes.
Faut la retrouver. dit-il.
La retrouver ? Pourquoi ? Depuis quand tu te préoccupe des gens comme elle ?
Sands fit un geste menaçant.
Est-ce que je t'en pose des questions ?
Très bien, amigo. Attends-moi quelques instants et je pars avec toi.
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Si par hasard, quelques personnes (et je doute qu'elles soient nombreuses) sont arrivées jusqu'ici, quelles me laissent une REVIEW !! :) Parceque vous n'avez pas idée comme c'est drôle MAIS un peu désespérant de créer une fic dans un espace.... vide. Les français n'ont jamais vu Desperado 2 ou quoi ?! héhé.. @+
