Salut ! :D
Me revoilà avec mon deuxième os , qui se transforma en two-shot voir three-shot ;)
Un grand merci a DrWeaver pour ses conseils sa correction et ses modifications ! :)
J'espère que ca vous plaira ! :/
Bonne lecture ! Et n'hésitez pas a donner votre avis ! :D
Questions de mérite
Cette journée semblait la plus longue de toute sa vie . Pour Katherine Beckett, c'était sûrement la pire journée . Elle s'était levée en retard, n'avait plus d'eau chaude et donc dut se résoudre a prendre une douche froide. Elle avait renversé son café sur sa chemise et n'avait pas trouve quoi se mettre. Et en plus de tout ça son enquête n'avançait pas! Elle fut donc sur les nerfs depuis le matin et son écrivain ne faisait rien pour arranger la situation . Elle ne savait pas si c'était dû au fait qu'elle s'était levé du pied gauche mais Castle l'énervait plus que raison depuis les portes de l'ascenseur franchies.
Ils venaient d'aller voir un témoin. Jérémy Morrison. Celui-ci n'avait pas arrêter de faire du rentre dedans à la jeune femme. Chose qui énervait au plus au point l'écrivain, lui qui avait remarqué qu'elle jouait le jeu du suspect. Alors depuis qu'il avait quitté la salle d'interrogatoire, Castle n'avait pas cessé une seule minute de ruminer, de râler et de faire une crise de jalousie . Ce qui, au vu la journée de Beckett, énerva la jeune flic.
Ils franchirent les portes, tousles policiers présents dans le precinct se retournèrent vers eux. Tout le monde avait les yeux rivés sur le duo. Ce n'est seulement qu'au moment où Beckett les regarda d'un regard froid qu'ils continuèrent à travailler, gardant toujours une oreille attentive a la conversation .
-Mais enfin Beckett , vous avez vu comme il vous a manqué de respect, à vous reluquer comme ça . Avouez que ça ne se fait pas ?
Beckett resta silencieuse
-Vous étiez en train de glousser devant ce mec, chose que vous ne faites jamais !
La colère monta petit à petit en Beckett.
-Vous n'allez pas sortir avec lui tout de même ? Vous le connaissez à peine.
Face a son silence il poursuivit.
-Mais ouvrez les yeux , vous êtes une femme extraordinaire et lui un
pauvre type , qui couche avec tout ce qui bouge. Il ne vous mérite pas !
Elle se retourna furieuse et lui crasha au visage
-Vous avez des points en commun en faite avec Morrison. Vous pensez vraiment que vous me méritez ?
Cette phrase fut un choc pour l'écrivain. Il ne pensait pas qu'elle réagiraitcomme ca. Quant à elle, elle avait dit ça sur le coup de la colère. Cette discussion fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase face à cette journée de misère .
Ce fut le silence complet dans la salle . Tout le monde avait les yeux rivés sur eux . Elle vit une lueur de tristesse passé dans les yeux de l'écrivain . Son visage se décomposapetit à petit et pourtant il ne baissa pas le regard . Devant ce visage, elle se mit à regretter amèrement ces paroles mais vu tout la tension accumulée dans la journée, elle n'arriva pas à s'excuser. La tristesse fit place à la colère .
-Vous pensez vraiment que je suis comme lui ?
Il se mit à hausser le ton.
-Je pensais que vous me connaissiez et qu'après toutes ces années passées à mes cotés, vous aviez compris que ce n'était qu'une façade queje ne suis pas comme ça . J'ai changé et ça vous le savez très bien , j'ai change pour vous. J'essaye d'être un homme qui pourra être à la hauteur. POUR VOUS !
« Pour vous » résonna dans la tête de la jeune femme.
-Mais apparemment , je suis classé dans un catégorie de "séducteur" et n'y ait pas bouge depuis toute ces années, continua-t-il. Je ne suis qu'un imbécile d'avoir cru qu'un jour j'aurais ma chance.
Elle resta muette, face à cette déclaration. Il n'avait pas eu envie de faire une scène devant tout le monde mais elle venait encore une fois del'humilier. Quand on garde trop de choses en soi, ça risque toujours d'exploser et faire des dégâts. Il fit demi-tour et partit . Elle aurait voulu le rattraper et lui dire qu'elle était désolée, qu'elle n'avait pas voulu dire ça et qu'elle était juste à cran à cause de cette journéede fou. Et pourtant, elle resta là à regarder l'ascenseur, comme si rien qu'avec la force de son regard, elle pourrait le faire revenir . Elle resta plusieurs minutes figée , jusqu'à ce qu'elle remarque le silence de ses collègues . Elle fit le tour de la pièce, personne ne semblait travailler. Ils la regardaient tous, les yeux ébahis par cette discussion.
-Vous n'avez rien d'autre a faire ? dit-elle, sur un ton sec.
Ils se remirent tous au travail, sans demander leur reste. Ce ne fut qu'au moment de s'asseoir qu'elle s'aperçut que les gars la scrutaient. Leurs regards n'avaient rien de chaleureux . Elle comprit dans quel camp ils se trouvaient
Alors!? Verdict , vous voulez la suite ? Et bien reviews :D!.
